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Maroc-Algérie : Quel ennemi le régime algérien veut-il effrayer avec une armée de saltimbanques?

                                                                   drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                     
                                                                                           L'Algérie et le Sahara Marocain 
 

Hors d'œuvre..Une vue d'image et un cas d'aliénation mentale qui s'expriment  : «En tant que chiens de races différentes, nous ne faisons pas partie, nous membre-contrôleur avec la non-ingérence aux affaires d'Etats». (sic). (sauf le Maroc). Dans l'espoir de pouvoir intégrer la côte atlantique, l'Algérie vit dans ses illusions d'expansion. Faisant de son mieux pour marquer place au Sahara Marocain, projetant trouver une aire servant à stocker le fer de "Ghar Jbilat" de Tindouf.

Ce serait mal calculé, par Alger, croyant, si simple de faire des tournées de gala à Dakhla et à Laâyoune. Pour nous Marocains, cela ne serait que dans les rêves du pouvoir d'Alger à qui nous disons (هيهات ثم هيهات). Du rêve des Algérois, qui deviendront certes, des Sans Domicile Fixe sur une terre sacrée, irriguée de pur-sang Marocain. 

Recyclons les idées.. D’après ce que disait voltaire dans son vivant : «L'homme n'est pas né méchant, il le devient quand il est malade d'illusions». Ce qui veut dire pour moi, le cas des gouvernants Algériens qui vont sûrement en finir avec leur entêtement orgueilleux dans l'étang de toutes les merdes.

Pour me soulager avant d'écrire, je me fais, des petits massages aux bouts du crâne, car l’hostilité insensée du régime algérien contre tout ce qui est Marocain m'interpelle, elle s’est aggravée surtout, avec ces vieillards cinglés qui sont aux commandes. A telle enseigne que le régime algérien constitue aujourd’hui un corpus exceptionnel, qui fait l’objet d’un grand nombre d’écrits relevant de la psychanalyse.

Cet article conceptuel de la rédaction fera certes, le fracassant emmerdement au régime Algérien, sur fond de réalités, mais aussi le récit d’une virtualité, sans oublier les aboies vulgaires sans effet contrariant de certains engagés du régime.

A quoi rime le droit de réponse, avec lequel les mouches internautes engagés par le régime Algérien réagissent.. à rien et sans effet bien sûr.. La rédaction a «au franc-parler aussi rare que percutant!». On remarquait que chaque écrit a su marquer le lectorat, voire l’opinion publique, pourquoi pas?. Certains ont même envoyé à la rédaction des textes pour faire montre de solidarité à son égard, souhaitant ne pas couper le beurre.

On a déjà trouvé chez nos ennemis Algériens, le don et la faculté de nous irriter. Il ne s’agit pas forcément de motifs concrets, mais cela est toujours agaçant et dérangeant au point de mettre en péril toute chance de réconciliation. Que dire de ce régime de mafia qui s'attache aux conditions de haine et d'hostilité à cause de la façon malveillante et farouche qu'il détenait envers le "conjoint de sa mère", le Royaume du Maroc? (je m'excuse pour cette vulgarité). 

Ligne droite.. En voici quelques feuilles que je propose à cet effet: -Depuis toujours, le Maroc accusé de prédateur est sur toutes les lèvres des caporaux de France en Algérie. -La menace Marocaine qu'ils préconisent l'a propulsé à la une de tous les médias d'Alger. Cette invention, loin du réel, est certes, traitée comme une crise de la plus haute gravité, mais qui n'aurait finalement rien à voir avec le Royaume Chérifien, je dis bien "Chérifien", puisque le terme crève davantage les tampons des gouvernants d'Alger.

C'est la dispute verbale qu'on peut imaginer d'aveugle vaincu, disant virtuelle, plus que réelle sur le terrain Marocain de gifles, tout à fait étrangère entre un Empire âgé de plus de 14 siècles, rival, malgré lui, à une entité créée et façonnée par la France de De Gaules, dans une galaxie «lointaine, très lointaine» de toute crédibilité planétaire. Un pugilat titanesque qui se déroulerait «-in fine-» à des années-lumière de la partie nord-Africaine.

Le Maroc a autrefois été une affaire bien propre à ses populations. Il est, alors baptisé : le «Royaume Chérifien des Marocains», avait déjà, il y a plusieurs années, pour ne pas dire des siècles, fait "la une" des journaux de la métropole Française et d'Europe durant ses années de leadership Africain, et suscité des dizaines de livres. La France elle-même, avec sa puissance, avait tenté d'envahir le Royaume, mais elle a été contrainte de s'imposer uniquement en "protectorat"! pas en département d'outre-mer, comme l'Algérie Française, qu'elle héritait ,en morceaux, de l'empire Ottoman en 1830 du siècle dernier...

Et pourtant, l'Algérie, étant ivre d'un triomphalisme imaginaire, faible de ses défaites et soûle d'illusions. Son ministre aux mensonges Lahmamra rêve de demain pour imiter Bourita qui «brille dans ses co-stars diplomatiques». Il souhaiterait réussir et matérialiser, sur terrain, les paroles menteuses de son maitre Teboune, disant, qu'après l'anecdote des pistolets offerts par Georges Washington à l'Émir Abdelkader.

 A noter que : George Washington est mort en 1799, tandis que Abdelkader ould Mohyeddine (le pseudo-Emir) ne voyait le jour qu'en 1808. Celui-là qu'ils prennent en Emir était Marocain d'origine Fassi. Il trouva les Algériens, groupés en un peuple de dingues, venus de tout bord et il ne manqua pas de se déclarer, unilatéralement "Emir", au sens religieux, pour les dominer de fond, étant qu'ils sont disposés à croire tout vent.

Au Maroc, on invente rien, à la rédaction non plus, tout observateur hésitant ou méfiant, cherche et y trouvera certes cette réalité que le pouvoir Algérien cache  en se donnant, voire en fabriquant une fausse histoire commençant par ce qu'ils appellent désormais,  cheikh Abdelhamid Ben Badis et se terminant par un grand berger de l'ouest Algérien, dénommé "Cheikh Bou Aâmama?. 

Dernières stupidités.. 1-C'étaient les Algériens qui ont exporté l'islam en Europe.  2-C'étaient leurs ancêtres qui ont construit le  -«Mur de lamentation»- à Jérusalem en Palestine. (!?)  3-Que la monarque Britannique Victoria (1714) était venue en Algérie pour se recueillir au mausolée.. "Sid'hom Abderahmane", le supplier et lui demander sa bénédiction pour y enfanter une fille devenant après. La Reine Élisabeth II-».

Ces conneries sont reprises, à volontiers par des gens, disant mûrs, mais cinglés qui, pour se vanter, ils les misent au devant en les répétant avec fierté et grande croyance. Je pourrais dire dans ce sens et sans surprise aucune, que la plupart des Algériens, les dirigeants surtout, sont venus au monde que pour être maitres de l'idiotie et de faire l'objet de moquerie en général. Sachant que l'Algérie, dont ils se vantaient, n'existait pas d'ailleurs avant l'empire Ottoman qui l'avait colonisé sous le nom  -Numidia-.

L'Algérie est aujourd'hui au cœur du scandale, la mêlant à des tentations de trafic d’influence et de règlement de comptes entre le clan pisseur et l'autre héritage du général (l'inhumé) Gaid Ahmed Salah, mettant son entière innovation, le «Rallye d'ânes de Touggourt»  et «l'ensemble de mercenaires de Tindouf» sur le devant pour contrarier le Maroc qui en face d'elle, fabrique silencieusement, les accessoires  d'avions et des millions voitures utilitaires.

Cette voisine  de mal, se dit très fière d'elle-même de pouvoir mener, les futiles du monde, à l'écoute et croire à ses propagandes susceptibles d'effrayer et de dissuader l'ennemi... c'est-à-dire à l'intérieur, choisir l'activisme Kabyle, Karim Tabou et le Hirak et bien sûr à l'extérieur, il n'y à que le Royaume du Maroc. Sa propagande locale revient à la charge pour lui tisser de nouveaux lauriers. A son tour, la porte-voix du général-pisseur, la revue-chiffon «El Jeich», étale les images dites "chocs de son armée de saltimbanques".

S’ils avaient la moindre once de professionnalisme, les «journalistes» du mensuel de l’armée algérienne, auraient dû faire preuve de rapide réactivité, au vu du grand tapage créé autour du défilé militaire en juillet dernier, et sortir dans la foulée, et à chaud, un «spécial» dédié à cet évènement de honte pour vexer uniquement l'ennemi Marocain à l'ouest. La propagande locale n’a pas tari de superlatifs envers ce terne défilé qu'elle qualifié de, je cite : «grandiose à l’organisation rigoureuse et parfaite».

Ce Royaume Chérifien, ou "L'Marrocc, de son surnom, gênant aux Algériens – était le voisin ayant fourni des gloires majeures à travers les temps, sur toutes les histoires d'honneur. Aujourd'hui, avec son leadership couvrant l'ensemble d'Afrique et le Moyen Orient, ayant acquis une spécificité particulière que l'Algérie, avec son pétrole ne pourrait s'acheter,  tant qu'il  lui en  manque la crédibilité des hommes. La traitrise en bande organisée,  est une qualité qui ne peut se trouver qu'Alger, si on se fait référence aux enquêtes et études sur le fonctionnement de son régime mafieux.

Cherchant via internet, toute information humiliant l'Algérie, je me suis tombé sur la tv Franco-Allemande ARTE qui, dans d'une de ses séries documentaires, a eu le courage et le défi de dévoiler, à la surprise de tous, l’instrumentalisation du terrorisme par les généraux Algériens, en le faisant expédier vers les pays du Sahel surtout au (Mali, Niger et Tchad) où l'Algérien Mokhtar Bel Mokhtar, le borne, joue le maitre et le Roi dominant.

Je m'arrêterai-là pour ne pas faire de l'imagination qui honorait, éventuellement, la sale voisine de l'Est, détenant de pires antécédences, surtout, son casier de défaites cinglantes badigeonnées par les raclés qui lui parvenaient des faucons des FAR dans plusieurs étapes, notamment, sur terres sacrées de notre Sahara Marocain. Les Amgala-1976 en témoigneront en preuve, s'il le faut.

On jetant les verdicts de justice à la largeur du mur, la junte poursuit son show irraisonnable, par une réhabilitation inédite, honorant ses criminels généraux à la retraite. De gauche à droite (photo en bas) : Khaled Nezzar, Saïd Chengriha, l'imposé président et Toufik, ce sont les architectes du carnage de la décennie noire et cibles des manifestants du Hirak 2019. Cette proclamation du clan-pisseur, naguère décimé par le maudit général Ahmed Gaïd Salah, ouvre la voie à une nouvelle vendetta dans l’armée algérienne. Nezzar comme aide de camp de Tebboune et Toufik, en détecteur de pièges déclenchant, éventuellement, toute merde de mouvement anti-présidence.

C’est une grave insulte à la justice Algérienne que le régime vient d'en proférer à l’encontre du peuple Algérien opprimé, pas à nous autres Marocains qu'ayant vécu, à maintes fois, l'incapacité d'une armée, constituée dans sa majorité par des voyous et de hitistes. Les hitistes, en l'occurrence, sont les chômeurs Algériens qui mettaient, tout au long de la journée, le dos au mur, attendant voir tomber le miracle du ciel Algérien. La séquence de brossage dont parlait un subordonné-Chengriha, (vidéo), ne convaincra, sûrement, personne de la rue Algérienne.

Aujourd’hui, c’est au tour de ces généraux praticiens ayant, beaucoup de sang sur les mains qu'ayant occupé de hautes fonctions à la tête de l’Etat d'Alger et qui ont eu, sans mérite, le privilège aux honneurs pour les faire occuper et d'acheter leur silence. Bien que certains autres généraux sont actuellement recherchés et poursuivis en Europe pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, à l’instar de Khaled Nezzar, qui revient à Alger, tête haute, disant à l'un de ses détracteurs, avec une langue tordue (hani r'jeâtt lik ab'ba), malgré la gravité de ses abus d'autorité d'avant pandémie Covid-19.

Il est à rappeler que les deux généraux réhabilités, vachement, Nezzar et  Toufik ont été l’une des cibles privilégiés du Hirak, en raison notamment de leur implication directe dans les tueries de la «décennie noire 90» qui ont fait plus de 250.000 morts et presque 20.000 disparus parmi les civils, en particulier, les neuf moines Français et l'horreur marquée de la localité Bentalha dans la wilaya de Souk Ahrass.

-Le général Khaled Nezzar, le tyran de la décennie noire, a écopé en septembre 2019 de 20 ans de prison au moment où il se trouvait en fuite en Espagne. -Le général Toufik, en a pris pour une quinzaine d’années et a été effectivement emprisonné, lui qu'on le prenait pour le «Dieu de l’Algérie». Mais il a fallu la mort subite et très suspecte d'Ahmed Gaïd Salah, alors chef d'Etat-major, qui les a écartés, pour que ces généraux reviennent aujourd'hui pour prendre du poil de la bête, avec le duo (un général-pisseur et un président-menteur-).

Leur retour en force, qui s’est manifesté par l’humiliation de la justice algérienne, par une purge-vengeance sans précédent au sein de l'armée et aux services de renseignement, et par la mise au pas, de Tebboune lui-même, est auréolé aujourd’hui par des auto-distinctions que ces généraux sanguinaires et corrompus s’attribuent en se faisant présenter comme d’anciens Moujahid, un sale-titre qui vaut cher en Algérie, se payant par des milliers de dollars.

Khaled Nezzar a failli être coincé et jugé en février dernier en Suisse «pour des faits gravissimes constitutifs de complicité de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, notamment des exécutions extrajudiciaires, des actes de torture et des disparations forcées», suite à une plainte de Trial international.(Organisation internationale de défense des droits de l'homme). 

Le Sahara Marocain est Kenyan.. Prenant la parole le 21 septembre 2022, à l’Assemblée générale de l’ONU, le nouveau président kényan, William Ruto, a parlé de tous les défis auxquels le continent africain fait face, tout en prenant soin d'ignorer une «RASD» désormais oubliée, et plus chimérique que jamais. Pour lui, reconnaître la Marocanité du Sahara était une décision de souveraineté de l'Etat Kenyan.

Sur le plateau de l’émission «Les Grandes Gueules», la chaîne i24, diffusait le 20/9/2022 un débat autour du positionnement de la France sur la question du Sahara Marocain, faisant réagir des hommes politiques français,  ne mâchant pas leurs mots. «le Sahara, est-il du sable mouvant pour la France d'Emmanuel Macron?». Une la question à laquelle répondait un homme politique et polémiste Français, je cite :

«Cette question du Sahara et du Polisario, c’est une invention purement algérienne en réalité, ce qui est d’ailleurs assez culotté de la part d’un pays disait un autre., l’Algérie, qui a hérité des territoires Marocains immenses à sa faveur, sur lesquels il a aussi hérité les droits de gérance, et d'en bénéficier de ses richesses en énergie, territoire amputés vachement par les autorités Française de l'époque pour agrandir une Algérie Française qu'ils ne songeaient jamais quitter et que le Maroc considère son Sahara oriental de toujours! (sic)». fin de citation.

Tous les généraux, qui ont directement dirigé l’Algérie d’une main de fer pendant de longues années, avant de connaître toutes sortes de tracasseries et tourments judiciaires, voire la prison et la décadence, se retrouvent aujourd’hui à être honorés, au détriment d'un peuple condamné à faire, dès les aubes, de longues chaines d'attente pour s'enquérir d'une simple baguette de pain ou d'un sachet de lait en poudre.

Le show surréaliste de la junte ne s’arrêtera pas à ce stade. Les honneurs accordés au tandem sont aussi un blanc-seing pour poursuivre en toute impunité leur vendetta parmi les rescapés du clan d'Ahmed Gaïd Salah. L'avenir va être le plus pire de la racaille algérienne et particulièrement douloureux pour les proches de l'ancien clan de l'inhumé général Gaid Salah.

Pour aider les hitistes à surmonter les difficultés du quotidien, accentuées par les prix qui s’envolent, tout nouveau locataire du palais d'AlMouradia, faisant cavalier seul, se maquillant et se parfumant de la sale odeur du tabac à chiquer, déployait, verbalement, un ensemble de dispositions inefficaces pour anesthésier les voix d'ennui d'intérieur et rien après, que du bla-bla- et du Whisky à l'abreuvoir.

Pas seulement le Maroc qui se déchaine contre la junte d'Alger. Le célèbre sénateur républicain Américain de Floride (Marco Rubio) connu pour avoir tenu tête à Donald Trump, l'a clairement affirmé, s'interrogeant, je cite : «Quel ennemi le régime algérien peut-il effrayer avec son armée de saltimbanques? appelant, en substance, à des sanctions contre la junte en Algérie qui s'arme, sans raison aucune, de la ferraille Russe pour effrayer ses populations et pas d'autres».

Si l'Algérie veut-elle effrayer quelqu'un, elle en a droit de le faire à son opinion publique, de faire signe au retrait, par le Kenya de la reconnaissance de sa fantomatique RASD et qui a été ressenti comme un grave séisme géopolitique par le régime d’Alger».

«Ce n’est pas d'ailleurs, un retrait ou une révocation en provenance de n’importe quel pays. Il s’agit du Kenya avec toute la charge et la symbolique qui accompagnent ce pays  d’Afrique australe». Il s’agit bien.. «d’un vrai séisme» qui a secoué en particulier Lahmamra et qui ne tardera pas à produire ses effets par amplification. Le Kenya n’a fait que réajuster et rectifier le tir vers l'international en respectant les textes pertinents des Nations Unies».

«Dans ce sens, la junte d'Alger a alloué 300 millions de dollars au Kenya pour revenir sur sa position de soutien au Maroc. Ramdane Lahmamra a accouru, vite, vers Nairobi la capitale pour y faire donation, mais, revenant bredouille, car, par crédibilité interlocutive de Bourita, il n'a pas trouvé de preneur, étant que le Kenya, le poids lourd, n'est pas des petits Africains, comme : les Affar et  Aissa, (le Djibouti actuel».

Le régime algérien a activé, en contre-attaque, ses relais hérités de l’ancien régime au Kenya, dans l’espoir de polluer la décision historique du Kenya au sujet de la Marocanité du Sahara. On se demande, diplomatiquement : Si un secrétaire général d'un Etat quelconque sur les pieds du départ, peut-il annuler la décision de son chef de l’Etat consignée dans un document officiel ? 

Cette interrogation de bon sens, le régime algérien l'a ignorée, prompt qu’il est à abreuver sa meute médiatique de chimériques offensives diplomatiques. Le secrétaire général du ministère kényan des Affaires étrangères a produit une note interne contrariant la décision de son pays sur le Sahara.

Cette décision, rappelons-le, qui a été "vite" prise et diffusée par les médias affiliés à la junte algérienne, dont l’acronyme correspond davantage à l'APS, l'agence de Propagande et des Sornettes, qui a fait relayer cette note, en la transformant en «Communiqué officiel kényan» qui dément, la reconnaissance de la Marocanité du Sahara par le Kenya.

La réponse à cet effet n'a pas tardé, elle a été vite faite, annoncée publiquement, et soufflée à l'oreille de Ramdane Lahmamra, en l'occurrence: «le Kenya ne mène pas sa politique étrangère sur Twitter ou sur n'importe quelle autre plateforme, mais plutôt par le biais du gouvernement officiel, documents et cadres réglementaires».

Sachant que depuis le retour du Maroc à l'OUA (Organisation de l'Unité Africaine), je veux bien qu'on retourne à cette épellation et effacer l'acte de naissance signé Kadhafi de l'actuelle Union Africaine et dépoussiérer son siège vide d'Etat organisateur. Les Africains se sont revenus à la raison, chacun d'eux règle à sa manière, sa position sur le navire, dont le commandant s'est avéré  bien formé, homme de paroles crédibles et généreux.

Cela étant me rappelle d'autre part, les ténors de l'ex-Afrique, en l'occurrence, Rois et présidents, ceux qui ont enfanté et y assisté au baptême de l'OUA en janvier 1961 à Casablanca. C'étaient biens, comme disaient les petits Français «l'Afrique de Papa». Un Continent des sages qui en manquent aujourd'hui, à savoir. :

«Feu Sa Majesté le Roi Hassan II - Habib Bourguiba de Tunisie - l'Empereur Haïlé Sélassié d'Ethiopie - Léopold Sedar Senghor du Sénégal - Felix Houphouët Boigny de la Côte d'Ivoire - Ahmed Sécu Touré de Guinée - Ahmadou Ahidjou du Cameroun et Jumu Kenyatta de Kenya - Ange-Félix Patassé du Centrafrique - Amilcar Cabral de Guinée-Bissau - Patrice Lumumba du Congo Brazzaville - Joseph Kasa-Vubu du Congo-Léopoldville.

Avec tous ces «Gentlemen’s», c'était bien vrai, pour la petite Française, «l'Afrique de son Papa». Bonne lecture.

                                                          Très cordialement, Chihab25

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                                                            Khaled Nezzar - Saïd Chengriha - Abdelmadjid Tebboune - Mohamed Mediène

                                                    

                                                                                                                                                                           

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