l’Algérie est une fatalité conspuée, fiable pour certains, par son tabac à chiquer, contaminant presque toute la société Algérienne (!)
l'Algérie-pluriel, au sens interdit (!)
Important.. En fouillant les archives personnelles, je me suis tombé sur un vibrant message de Sa Majesté le Roi feu Hassan II que Dieu ait son âme. Message que le Souverain avait adressé de Fès en février 1975 à Houari Boukharouba, le maudit président de l'Algérie de l'époque. Ce qui a attiré mon attention dans ce message, une phrase valable à l'Algérie de tout temps. A savoir «Une Algérie égale à l'inconstance ». Celle qui n'a pas trouvé encore son identité(!).
Le message Royal était très clair, surtout après que le Souverain et son armée Royale (FAR), étaient sortis vainqueurs des deux batailles d'Amgala 1976, faisant perdre au maudit Boukharouba, trop de victimes humaines, capturant, en parallèle, plus d'une centaine de soldats Algériens, jetés, frivolement à des combats, hors frontières, sans pour autant, savoir pourquoi?.
Je ne manquerai pas de résumer très prochainement, ce message pour que le lectorat sache que le Maroc a vraiment perdu le génie d'un Roi qui ne se trouvait qu'au Maroc et pour prouver, en parallèle, à tout autre ennemi que le Royaume du Maroc est malchanceux et il y aura toujours affaire à l'inconstance d'une sale veuve à sa frontière-Est, l'Algérie, le pays des maladies mentales.
Perdant ainsi toutes les facultés, de façon qui dépassait ses capacités militaires. Boukharouba, n'a pas pensé à payer le cafetier de Nador qui détient, à nos jours, son permis de conduire à titre de caution de paie d'une note de consommation qu'il avait prise à son compte, en simple joueur de cartes avec son gamin Boutfrika, laissant cette affaire à côté, et partant jouer le "Grand" avec feu Hassan II, là où il a été tabassé de manière humiliante. (مشى يتعلق فين تفلق)
Silence svp...On murmure quelque part. Une partie de la classe politique Marocaine appartenant à une période révolue, vivant encore dans le mirage du nationalisme d'autrefois. Il s'agit d'une petite bande d'opportunistes (Soufia/Benjelou) qui allume les feux et attend pour en profiter de la cendre, appuyant les mouvements à répétition devant le siège du parlement à Rabat qui en témoignent.
D'ailleurs cela n'est pas le sujet de la présente note, il s'agit seulement d'un léger passage, permettant à la rédaction de s'introduire au rythme de conte. Non, l'amour de la patrie est une vertu de valeur politique pour tout Marocain. Ne vous en faites pas, il n'y aura pas de laxisme là-dessus !?Les Marocains veilleurs de nuit et de jour ne s'amuseront pas, de quelle sorte que ce soit. Les abois des chiens se disant d'origine Marocaine, errant ici et là, engagés au service de l'agenda ennemi Algérien n'auront certes pas d'effet sur la conscience des sujets de Sa Majesté le Roi au Royaume. C'est uniquement de la fumée qui couvre le ciel d'Alger.
Nous n'accepterons pas d'hypocrisie Algérienne, enveloppée de velours récalcitrant, nous sommes bien comme ça. Nous voulons pas, parmi nous, des hôtes "lourdement" indésirables. Cependant, le Maroc, à mon avis, doit sortir de l'ombre de la sagesse et relever le plafond de la défiance avec l'Algérie, tant que ses gouvernants, ne laissent passer aucune occasion pour mentir et augmenter le volume de tension, portant ainsi préjudice à tout ce qui est Marocain.
Nous devons en profiter de cette folie, trop avancée, et aller, sur la même longueur d'ondes, ou plus même, contre toute frivolité Algérienne à venir. Sachant que la guerre des médias est plus trompeuse que d'autre guerre, même si l'anecdote disait : «ignorer, négliger, c'est tuer l'ennemi, sans arme à feu ». On dit ça, au dialectal populaire Marocain (N'oukhane). Le Pic de discordance avec l'Algérie ne sera jamais dépassé, tant qu'il y existe, là-bas, une junte dépourvue, de sagesse, de raison et de légitimité.
Je connais, plus que d'autre, la mentalité malade des Algériens. Je les ai côtoyé, chez eux et en Europe. comme, si ce faisant, transformait la situation liée à l'effet du tabac à chiquer, à sa cendre et à l'énergie d'escarmouches sous des prétextes d'émotion, de faiblesse et d'opprimés, humiliés par le Maroc dès le début de leur indépendance. Cela étant pour eux, est une cause à prendre au sérieux, leur permettrait de "punir", par hypocrisie, l'autre Marocain qu'ils en prennent, sauvagement, d'ennemi classique de toujours!.
A cet effet, les enjeux ne sauraient symboliser les renouveaux de l'histoire, passablement écornée entre les deux pays voisins, déjouant ainsi les discours belliqueux d’une junte grabataire, coupant le souffle à un peuple se vantant être, le meilleurs de la planète. Les confrontations et les tensions avec l'Algérie, avec ceux qui se présentaient " nos frères!" n'en valent pas la chandelle.
Punir c'est un "Grand mot", pour ne pas dire un "gros mot" ne convenant pas, dans tous les cas déjà vus, à la fausse puissance Algérienne, et ce par "stupidité" qui conduirait à l'augmentation indésirable de haine et d'hostilité, de l'un vers l'autre. Je veux dire par -Cas déjà vus- les défaites des Algériens, enregistrées face au Maroc dans plusieurs étapes, diplomatiques et autres, citant en particulier, la guerres des sables 1963 et les raclés successives des FAR, qu'endossait la racaille Algérienne (armée) au Sahara Marocain, depuis les Amguala 1976.
Mais avant tout, laissez-moi m'exprimer, donner mon opinion, même si passagère en l'occurrence. de ce que je crois envers la folie Algérienne qui abat, les mentalités du trio de mal Algérien, accaparant, le pouvoir d'Alger (-Tebboune-Chengriha-Lahmamra-) qui sont atteints d'étranges maladies incurables - l'envie et l'hostilité à autrui, envers le Royaume bien sûr..
C'est sur les rives du Nil que la scène s'est déroulée, cette fois-ci. Après avoir tenté par tous les moyens de faire avorter les efforts inlassables du Maroc pour préserver son leadership, et Afrique surtout. l'Algérie a pris une cinglante claque qui a retenti dans tout le Monde arabe. «Ce sera davantage que le leadership du Maroc et pas d'autre nulle part ailleurs.
De quoi faire suffoquer la diplomatie Algérienne de Lahmamra qui cumule les revers depuis qu'il est rappelé en rescousse au duo sanguinaire les généraux (Nezzar et Toufik) pour paralyser, le cas échéant, tout mouvement anti-pouvoir et parer à toutes éventualités et au redémarrage du Hirak populaire dans sa deuxième Edition.
Remise partout, à des terribles échecs et pour se rafraichir, actionnant ses satellites médiatiques, l'Algérie, se fait croire à de «soi-disant avancées et points enregistrés contre le Maroc lors de la réunion de l'écurie arabe qui vient d'achever ses travaux au Caire». Les médias Algériens engagés accusent Nacer Bourita d'être plus persévérant, je cite : «fidèle à sa pratique de fabricant de triomphes diplomatiques imaginaires, et tente le racolage indécent» fin de citation.
Or, les documents officiels adoptés par l'écurie arabe, tenue au niveau des ministres des Affaires étrangères, ne font, ni de près, ni de loin, référence aux élucubrations de l'Algérie. Ce qui est sûr, c'est que l'Algérie actuelle, est décidément bien partie pour des séries d'infamies et de jonglage à répétitions pour lesquelles elle semble avoir pris du goût.
Quoi de plus qu'une pareille honte d'une Algérie, devenue la risée des Arabes? Alors qu'elle s'attelle a recoller les morceaux d'une diplomatie déchiquetée en tentant, sous table, des médiations et des réunifications, avec ce qu'elle appelle, le Makhzen, excellant, mais ouvertement, dans ses plans diaboliques de casser toutes les bonnes volontés et les dynamiques de réconciliation.(Emiraties et Saoudiennes).
Décennie noire bis.. Quand les caporaux d'Alger ressuscitent les morts de leur décennie noire. Alors qu’ils ont déjà un pied dans la tombe et qu’ils n’ont même pas pu faire le déplacement, Khalid Nezzar et Mohamed Mediène ont eu droit à tous les honneurs et un hommage leur a été rendu par la junte. Satisfaisant, ces architectes de la décennie noire des années 90 en Algérie? Que nenni! (كلا بالعربي),Ils veulent désormais une Algérie à leur nom.. C'est pourquoi, certes, ils seraient appelés par les apprentis politiques d'Alger pour les aider à contourner tout un peuple opprimé, mouvementé, parfois par pudeur, par les braves de la Kabylie et par les Touareg.
Alors que le monde change à leur insu. Le système international actuel en est l'expression. Qui est qui et contre qui? Quelles alliances peut-on en tirer? Les interprétations se multiplient sans que l'on ait une visibilité à propos d'un «autre» système en recomposition en Algérie. Le déclin accentué de l'hégémonie est l'un des pistes à la merde avec l'Algérie, sans que celle-ci envisagerait les trajets, les plus fréquents ou les plus courts, lui permettant de revenir à la raison. Elle se voit aux yeux de tout observateur une entité faible conspuée, mais fiable aux yeux myopes des siens par le mâchage de tabac.
Après celles de la France au 18e siècle, de l'Angleterre au siècle suivant puis des Etats -Unis au 20e, voilà qu'aujourd'hui et pour les décennies à venir l'accent est mis surtout, sur le basculement Algérien vers l'isolement total au premier rang. Il est devenu plus clair que l'Algérie s'aligne sur la Russie contre l'Occident, mais Moscou n'a jusqu'à présent montré aucune position favorable à l'approche Algérienne du Sahara Marocain, même si les Etats-Unis ont soutenu le Royaume dans la proposition d'autonomie.
Et ça sera clairement sûr par le degrés de participation des Etats arabes au prochain sommet arabe prévu à Alger en novembre prochain et que sa tenue est incertaine en l'absence du Royaume, ne contribuant, effectivement pas à soutenir tout effort pour que cette réalisation "arabe" soit tenue dans un pays de fous,. En disant cela, je ne suis pas Bourita, mais ce sera, sporadiquement, une opinion personnelle.
La guerre froide à l'Algérienne.. Depuis 1962, date de naissance de cette farouche voisine jusqu’à nos jours, elle ne croyait pas à la chute du mur de Berlin qui prévalait surtout, un monde bipolaire plongé dans une guerre froide acharnée. C'était la même guerre froide avec un modèle d’alliance qui s'annonce, de jour en jour, et ça serait, à mon avis, la traduction d'un engagement considéré comme nécessité durablement imposée.
L'Algérie basculait ainsi d'une logique pragmatique dans un contexte de sa Guerre froide qu'elle mène, avec haine et hostilité grandissantes, pour contrarier la maitrise du Maroc de ses progrès, de son leadership et qui la dépasse de tout, particulièrement de mentalité sereine, surtout quand il se singularise par une sacralisation de valeurs jugées supérieures, à celles d'une Algérie qui, s'immobilisant dans des couloirs les plus sombre de l'entêtement avec des parois vides de raison et de crédibilité.
Cette veuve créait et même réinventait pour se justifier ainsi, un ennemi à sa frontière Ouest, lequel était, à un certain temps, le plus généreux à son égard pour qu'elle accèderait à l'indépendance? Maintenant que l’Algérie s’est complètement dévastée par de pires dirigeants de tout vent, il va être difficile d’imputer au Maroc les revers de ses défaites et l’avancée des groupes d'injures aux commandes d'Alger.
Avec une poignée de mercenaires venus de tout bord pour s'installer à Tindouf, la junte Algérienne doit désormais assumer ses responsabilités alors que les Algériens les plus crédibles, soit qu'ils sont morts naturellement ou assassinés et les vivants, même si peu, sont progressivement mis sur la touche et que l'Algérie est en train d’assouplir le train de mauvaises gestions et de sanctions spirituellement divines qui ne sont guère rassurantes à son égard, alors que le Maroc, d'à coté, est en pleine progression.
Attachés à leur souveraineté, les Marocains, rappelons-le, ne semblent pourtant pas en mesure d'y croire à l’efficacité d'une racaille militaire d'une voisine mentalement, trop dérèglée, déchirant ses habits par envie.
Le décalage entre mentalité Marocaine et celle Algérienne n’en est que plus saisissant avec l'image catastrophiste d'Alger qui circule dans les capitales européennes, en l’occurrence sur la base d’un scénario d’effondrement à l’Afghane.
Si l'on appréhende l'espace, hors nord-Africain, une observation de principe peut être mise en avant : Celle de «connivences pragmatiques» avec leur jeu diplomatique influent sur certains Etats corrompus, dont les présidents seront les plus assoiffés aux pétrodollars.. Des folies à géométrie variable d'une certaine fluidité se multiplient au palais d'AlMouradia d'Alger et tout autours, à la Tunisie aussi de Kais T'âyess qui devint, malgré elle, un exemple de département autonome de l'Algérie Chengri-Tebounienne.
Ce dernier pays usant de toutes ses folies pour être un allié et le bon élève des Occidentaux mais, hélas, il a sa place que dans des alliances de diables. Etant que ses connivences ne s'en distinguent pas moins avec l'occident. Il s'agit là d'une pratique de mérite et d'honneur qui s'installait, de plus en plus chez les pays qu'ayant bu le lait de l'occident d'autrefois et qui se sont élevés dans ses confins démocratiques de soie, dont le Maroc sans exagération aucune .
L'Algérie, en tant que telle, conduit à donner peu de visibilité à des interactions entre Etats dans les espaces conflictualisés au Yémen au Proche-Orient et en Lybie en Afrique du nord. Confrontée à des nouvelles réalités, l'Algérie actuelle arrive difficilement à s'adapter à ces nouvelles situations, elle s'apparente à un modèle lourdement bannie et inadaptée aussi pour qu'elle accueillera le prochain sommet arabe.
Les conflits Algéro-Marocains s'inscrivent-ils dans ce schéma? A première vue, la réponse est affirmative; elle prolonge la grammaire classique de mauvais voisinage, comme aux deux Corées avec une actualisation d'une nouvelle Guerre froide dans la mentalité Algérienne.
Du fait, c'est beaucoup plus complexe dans la mesure où cette Algérie qui se veut structurelle, peine à se mondialiser par ses petits sachets de tabac à chiquer que tout le monde en profit là-bas.
La séquence de haine Algérienne n'a pas la forte charge idéologique des décennies de la Guerre froide. Elle privilégie plutôt le pragmatisme et une forme d'utilitarisme leadership dans une mondialisation taillée, à l'Algérienne, une promotion, d'interdépendance entre caporaux-fr.
Qu'en est-elle précisément cette voisine de merde? Ses gouvernants œuvrent à distendre leurs liens des anciennes dépendances et tutelles, dont leur affaire mémorielle avec la France; ils veulent aussi maximiser leur influence et leurs gains au détriment de la dignité de leur peuple qui se lève dès l'aube sur des fils d'attente pour un sache de lait en poudre ou pour un kilo de pomme de terre moisie. se demandant, comme s'y prendre toute la journée.
Au passage, il faut évoquer que la thèse -très controversée- du régime Algérien et son ingérence en intégrité territoriale du Maroc (le Sahara Marocain en exemple) est sérieusement battue en brèche en un demi siècle après. Elle était par trop déterministe, fondée sur une sorte de polichinelle et d'actes rigollots de l'acteur Français Louis de Funès.
L'hostilité Algérienne à la main généreuse du Maroc se définit par des éléments abjects d'orgueil. D'une autre manière, son fait d'envie et de concurrencer le Royaume, annoncerait une conflictualité irréductible sur la scène internationale : Elle s'embraserait, en fait aux yeux du monde, toutes aires d'entente et de réconciliation avec le Maroc, les mains tendues du Royaume en témoignent sans équivoque.
L'alignement idéologique et politiques de l'Algérie est désormais de très faible teneur dans sa diplomatie d'autruche que mène son ministre de mensonges et de déformation de réalité Ramdane Lahmamra. Une mise au net doit être faite en Occident qui revient, globalement, à raisonner en termes de blocs.
Des idéologues «occidentalistes», des deux côtés de la Méditerranée et de l'Atlantique d'ailleurs, postulent encore que la culture, les valeurs et les modèles de société prédominent en toute circonstance -une sorte d'horizon indépassable de dimension universelle que l'Algérie n'arrive pas à concevoir ou à digérer tout simplement.
Le leadership Algérien est devenu «faible coût» il ne tient plus, mais il garde encore cependant des capacités de pression et de maîtrise de l'agenda des pays pauvres qui courent derrière le pétrodollars Algérien. Certains parlent volontiers d’images de «chaos et de désordre Algérien»: Un constat réducteur sans doute. C'est qu'en effet les grilles de lecture et d'interprétation sont celles des alliances durables et pérennes des diplomaties classiques; loin de la volonté haineuse de l'Algérie.
Or, de nouvelles données s'imposent et impriment le déroulé de la vie présidentielle en Algérie: la fluidité, l'imprévisibilité des situations, les incertitudes. Un écheveau de diplomaties instables et complexes. Un jeu systémique délicat qui requiert de l'agilité qu'il faut décrypter en termes conséquents. La complexité. Le brouillard. L'inconnu et L'incertain et la panique au sommet de la présidence Algérienne...surtout après la lettre de Pedro Sanchez à Sa Majesté le Roi..
C'est une folie et le comble de la folie que les militaires au pouvoir en Algérie jouent le jeu de la concurrence avec le Maroc sur l'amitié des Espagnols. La géographie est un élément très important dans le tissage des relations, et c'est un élément qui ne peut être manipulé et sa position comme élément décisif dans tout dialogue, aucun être humain ne peut, quelles que soient la tyrannie et la tyrannie Changer la géographie, même la taille d'un atome sur le terrain, le gang des fils d'adultère régnant en Algérie peut-il se rapprocher géographiquement aux terres espagnoles que le Seigneur de Gloire a voulu ne pas éloigner du Royaume du Maroc de seulement 14 km ?
Par conséquent, l'Espagne fait tout ce qui est impossible pour profiter de cette proximité géographique avec le Maroc, mais les militaires régnant en Algérie ne prêtent aucune attention à ce don divin. N'ont-ils pas coupé la relation avec un voisin qui n'est que loin d'eux par une ligne imaginaire? On retrouve certains Algériens, les adeptes du système de Boukharouba, en particulier, exprimant leur désir de construire un mur sur la ligne frontalière avec le Royaume? Un ressentiment de honte, bien ancrés en eux-mêmes, alors que nous Marocains, le peuple libre et Souverain, nous rêvons encore de réaliser le blocus devant nous séparer des Algériens, en effaçant tout lien qui peut nous en approcher !!!!
De nombreux Algériens d'Europe profitaient de leur retour en Algérie via les villes Marocaines : Tanger, Nador, Ceuta ou Melilla. Aujourd'hui, après que Dieu a aveuglé les ânes régnant en Algérie et coupé leurs liens avec le Royaume du Maroc, ils vont aggraver la situation des leurs aux pays d'accueil en Europe, lors de leur retour pour renouer avec leurs familles. Les gouvernants de l'Algérie n'ont pas un grain de moutarde dans l'esprit, ou plutôt dans le cerveau, auquel l'animal et l'humain sont égaux et pour cause :
Le Maroc ferme, volontiers et bien satisfait, toutes les voix de dialogue avec l'Algérie, car il veille, à préserver sa formule de conditions innovantes pour maintenir les relations de respect mutuel avec tout pays devant avoir la même vision, tenant compte ses intérêts stratégiques, en particulier son intégrité territoriale, tandis que les cons d'Alger se réjouissaient, croyant davantage avoir poussé l'Espagne à tomber dans l'inimitié éternelle avec le Maroc, et cela n'est pas étrange pour les locataires du palais d'AlMouradia d'Alger, étant chaque vaisseau respire ce qu'il contient (كل اناء ينضح بما فيه). Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25