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Maroc-Algérie : des obsessions ouvrant les merdes aux Algéro-Tunisiens, de façon à se transformer en losers..!

 

                                                                                                             drapeau-du-maroc-image-animee-0008

 

                                                                                      L'offrande-dz pour recevoir Ben Batouch à Tunis

La grandeur du Maroc domine l'atmosphère de préparation du sommet arabe d'Alger repoussé en novembre prochain. Les pays arabes du Golf insistent, voire obligent la présence effective du Royaume, faute de quoi, laisseront Tebboune manger ses beignets seul.

Termes de complot... Lorsqu’il n'était rien que prof d'université, ce jeton du dernier temps Tunisien, avait la réputation d’être «un incorruptible», peu enclin à se laisser impressionner par le statut des personnalités qu’il entendait éjecter du devant de sa locomotive, murmurait-on dans les sphères populaires Tunisiennes.

Une image qu’il continue d’entretenir «exagérément» depuis qu’il a hérité la Tunisie, sur un plateau d'or, d'un président légitimement élu, feu Baji Caid Essebsi en 2019. écartant en parallèle, Rached Ghanouchi et son parti Ennahdha, disloquant, en même temps, toutes les institutions de l'Etat Tunisien, pour œuvrer, calmement, enfin de compte avec le venimeux Algérien.

À la suite du «putsch et de l'intronisation illégale» qui a formellement installé Kais Saied à la tête du pays en octobre 2019, le prof devenu "garde des sceaux" s’est érigé en pourfendeur de la mauvaise gestion du dernier public et a fait déferler sur la classe politique Tunisienne foultitude de poursuites judiciaires avec soupçons de corruption, de surfacturation, de détournement et de dilapidation de fonds publics.

Les accusations pleuvaient, à tord et à travers, sur les anciens ministres ou administrateurs qui ont servi en ères des Présidents Moncif ElMarzouki et Baji Caid Essebsi, son coup d’État, parfumé d'une langue arabe classiquement trompant, n’avait rien de constitutionnel pour y convaincre le Tunisien ni tout autre observateur. 

Ce nouveau tyran Tunisien, qui s'enforcit d'occuper par scorie le palais présidentiel de Carthage s’est révélé être la source de l’instabilité politique du pays baptisé depuis les soulèvements arabes en 2011, en pays de "Yasmine" pour son calme et sa stabilité particulière d'après Ben Ali. Il a régné en faisant de embardées entre menace et douceur. Mais -in fine-, il voulait tout pour lui et lui seul.  
 
Faut-il rappeler qu'une vague de manifestations inédite, connue sous le nom de "Printemps arabe", bouleversait l'Afrique de nord et le Moyen-Orient. Des millions de personnes descendaient dans les rues pour défier l’ordre établi. De la Tunisie à l’Égypte en passant par le Bahreïn, où des équipes de journalistes étaient sur le terrain pour couvrir ces événements. 
 
Dix ans après, une édition de "Reporters sans frontière" revient sur les origines du mouvement, sa chronologie, ses conséquences ainsi que les leçons qui ont pu en être tirées, dont la rédaction du blog ait profité pour mieux servir son lectorat, s'agissant d'événement de grand ampleur qui a pris de court des autocrates au pouvoir depuis des décennies…
 
Des millions de personnes ont bravé l’interdit, souvent au péril de leurs vies, avec une principale revendication : «Celle de pouvoir bénéficier d’élections libres, d’une vraie démocratie, du droit de manifester et de s'exprimer librement». Les reporters de diverses tribunes nous ont fait revivre, à temps, ces événements qui ont bouleversé la planète arabe.
 
Le Maroc de son coté, n'était épargné du chantage, par quelques faibles mouvements de la part d'un parti politique barbu, qui s'alimentait du modèle Turquiste. Le Souverain, jouant très vite désamorçant toute surprise à l'horizon ou tentative prejudiciable à la stabilité du pays, par un discours Royal éclair le 9 octobre 2009 qui mettait, par - préméditation - l'ordre en place.
 
Le Royaume est envié pour sa position géographique, constituant une sorte de «Far West» du monde arabe. Avec ses quelque 35 millions d’habitants en 2011. Ce pays dont certains politologues occidentaux considéraient qu’il est : «le plus africain, le plus européen et le plus indigène des trois pays du nord Africain, pour ne pas dire au grand «Maghreb» dont l'union n'existe pas dans les esprits vivants depuis sa naissance le (17/2/1989) à Marrakech et dès lors, il est pratiquement dans le compte de "mort-né". 
 
Il incarne, un exemple de stabilité politique, mais aussi de transition graduelle vers la vraie démocratie. Surtout, qu'en 1999, Sa Majesté le Roi Mohamed VI a bénéficié, dès le début de son règne d’une image valorisante de Jeune Roi, comparativement aux (ex-) dirigeants octogénaires de Tunisie, d'Algérie de Lybie.En politique, le processus de «décompression et de redéploiement autoritaire» avec par exemple l’élargissement de liberté d’expression, en instaurant  l'IER «Instance Équité et Réconciliation» l'unique au monde arabe, à l'instar de la seule en Afrique du Sud. De telles orientations nourrissaient le discours d’une «Exception Marocaine». 

Je voulais mettre en exergues ces «bonnes appréciations générales», rappelons-le, sur fond de consolidation des liens avec les États-Unis et l’Union européenne (UE), tant dans le domaine économique et commercial qu’en matière politico-sécuritaire. Cela étant pour prouver aux Algériens que ce Royaume est un État crédible des institutions, pas un pays dominé par la mafia comme en Algérie. Une mafia qui en finira, certes, baignant dans ses excréments. 

Pour autant, à première vue flatteur, l'Algérie comporte de multiples zones d’ombre. Citons la disparition de la raison, la médiocrité et la persistance d’inégalités sociales et d’importants écarts de pauvreté entre Algériens de ville et Algériens de campagne, le conflit en suspens de la fermeture de la frontière terrestre avec le Maroc depuis 1994…  et le maintien de « lignes rouges » dans les médias concernant la grandeur du Maroc et le rapatriement du Sahara Marocain.

Faculté de noter...M'exprimant en tant que citoyenne Marocain, convaincu des liens indubitables forgés par l’histoire entre les peuples Marocain, Tunisien et Algérien et ulcéré par l’exacerbation des tensions, dont le Royaume, certes, sortira vainqueur, comme il est toujours face, en particulier, à la junte de caporaux en Algérie, les semeurs de divisions, marchands de blagues et de mensonges anti-Marocains. Nous Marocains, nous avons toujours eu le choix: d'éviter les sujets qui fâchent ou crever l’abcès avec nos voisins de l'Est en leur ajoutant, cette fois-ci, la Tunisie de Kais T'âyes dont je consacrerai certainement une chronique à son égard, en sa qualité de chef de district Algérien en Tunisie.

J’ai choisi une des options adéquates, pour reprendre, l’expression bien de chez nous: «Exploser la grenade», allusion au fruit bien entendu!, s'il en reste encore quelque chose de préjudiciable de cette grenade, surtout qu'entre le Maroc et la Tunisie, c’est la crise. En accueillant le chef du Polisalgérien, à Tunis, Kaïs Saïed a provoqué la colère des Marocains, considérant cette démarche comme un «acte dangereux et sans précédent». 

Quand un commentateur sportif et journalistes bien calés dans leur fauteuil d’information sur des chaînes-tv, ajoutés aux mouches électroniques téléguidées, s’y mettent en concert sur les réseaux sociaux en reprenant les éléments de langage de la junte militaire Algérienne, j’ai jugé de mon devoir de sortir de toutes réserves et d'augmenter le volume de ton.

Citant en substance, le connard dit "Hafid Darraji, le jeton pavoisé en journaleux, engagé par ses Algérois, au commande, pour ouvrir sa sale gueule, de tabac à chiquer, contre ses maitres Marocains. Je le chahuterai tant que je n’appartiens, ni au monde politique, qu'il soit officiel ou officieux, ni à un magistère religieux, ni à une quelconque organisation ou de cénacle de gens, de quelque nature qu’il soit.

Je résumerai l’histoire par une parabole. Un pays c’est comme une maison ou un foyer hospitalier, mais qui n’en reste pas moins un lieu sacré et inviolable. Or, comment tolérer que notre voisin héberge, finance et soutienne en toute occasion, depuis des décennies, une bande armée afin de le dépecer et d’y semer l’instabilité dans le Royaume, le pays qu'ayant abusé de sa générosité pour que l'Algérie soit indépendante et revendiquerait, voire d'amputer son Sahara Marocain qui est bien géographiquement occidental?

Tout le problème débute par là et se concentre principalement là. Entre nous simples, Marocains, Algériens et autres, pas besoin de se mentir en arguant de neutralité et de pseudo-statut d'observateur! La résolution Onusienne 2602 du 29/10/2021, désignait clairement l'Algérie comme partie intégrante au problème artificiel qu'elle créa dans la région et plus précisément contre le Maroc.

La dernière réaction à la décision souveraine de l'Espagne en faveur de l’autonomie du Sahara proposé en 2007 par le Maroc  a prouvé, pour ne citer qu’elle, à la face du monde entier, le statut de l’Algérie comme principale partie dans ce conflit. Mais si la question tente de s’y élever par la grâce des militaires Algériens, au rang de première cause interne Algero-Algérienne au détriment des préoccupations véritables de leurs populations. Tandis qu'au Maroc, c’est une cause sacrée pour l'ensemble de la nation Marocaine et le consensus sur sa Marocanité partagé incontestablement dans tout le Royaume.

On ne peut pas mettre sur un pied d’égalité l’attachement à une terre à laquelle nous sommes soudés par toutes sortes de liens séculaires dont juridiques, d’allégeance, synonymes de souveraineté, et l’instrumentalisation d’une entité artificielle, naissante de l'entêtement révolu d'un certain Boukharouba que la malédiction divine soit toujours sur lui à l'enfer, absente de tout document d’histoire avant sa fabrication de toutes pièces dans les laboratoires militaires, libyen et algérien en 1976 dans un contexte général de guerre froide!

Incongruité... «Le dossier du Sahara est le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international et l’aune qui mesure la sincérité des amitiés et de l’efficacité des partenariats». Cette phrase en forme d’avertissement aura mis moins d’une semaine avant de connaître son premier champ d’expérimentation. Et c’est le pays du président Kaïs Saied qui en a fait les frais. Le 26 août, le royaume a annoncé le rappel de son ambassadeur en Tunisie et depuis, les deux États se regardent en ennemis de circonstances imposées. 

Si besoins est, en pleines tensions, de communion et de nostalgie,  les algériens, face à leurs crises multiples, n’ont pas trouvé d’idées sobres de sortie du tunnel!, au contraire, ils y sont déjà, au camp balayé des pays les plus bannis au monde, confrontés à des crises névralgiques qui les interpelleront en cascades.

Notons qu'au moment voulu convivial de coopération, rebaptisé d'«unions communautaires» le preuve, en est la tenue récemment, entre ironie et amertume, du controversé -Ticad8- à Tunis, en l'absence de son acteur principal, le Maroc. Des pays participants, proches du Royaume, répétaient solennellement à ce propos que : «le comploteur Tunisien (Kais) a été très affecté par les défaites de ses commanditaires Algériens, enterrant, au fond de l'abime plongée, la neutralité Tunisienne au sujet du Sahara Marocain, froissant malheureusement,  la verdure de la Tunisie d'autrefois de «Bourguiba et d'Abou L'Qassem Echabbi».Au moment où le Maroc s'est vu transparent et réaliste, soucieux d'en finir avec la politique d'autruche Algérienne, en matière notamment de tensions et de mauvais voisinage.

A cet instant, les voix de la raison et de la sagesse se sont élevées, pour dénoncer sèchement. le rôle destructif de l'Algérie avec sa création - "Ben Batouch" - et l'échec de la Tunisie à l'organisation de cette rencontre «Afro- Japonaise» qui s'est terminée, particulièrement par l'inutilité flagrante.. Cependant,  les Algériens ont perdu la sobriété, vivent un basculement unique d'une décennie noire, ayant couté la vie à des milliers d'entre eux, ils en avaleront la couleuvre?

De quelle fraternité parle-t-on?, Est-ce, celle qui ferme les yeux sur l’inacceptable acharnement contre notre intégrité territoriale sous le prétexte de défendre le droit d'existence d'autrui, des pseudo-Sahraouis à Tindouf, dont une poignée, à la tête d'une fantomatique entité (polisalgérienne), bénéficie des largesses des dons du mmonde. et le reste,  à distribuer - distinctement - aux populations, séquestrées dans les camps du désert aride de Tindouf. 

Par quel miracle les prétendues aspirations d'un pseudo «peuple sahraoui» se trouvent-elles confinées strictement au sud du territoire Marocain spolié par l'Algérie.La logique voudrait, que si peuple sahraoui il y en a en Algérie, il occuperait l’étendue du Sahara  Algérien ; à moins de suivre les élucubrations des chantres des morcellements et fabriquer des mini-Etats pour les «peuples des  saharas» d’Algérie, de Tunisie ou de Lybie avant de passer au «peuple des plaines» et des montagnes» selon la conviction malade du pouvoir d'Alger!

Dans une quête de faux-fuyants visant entre autres à étouffer dans l’œuf toute tentative de réconciliation, on découvre subitement que la normalisation des relations entre le Maroc et Israël est devenue le nœud du problème interne Algérien, alors que les frontières sont fermées bien avant, de manière intégrale suite à une décision Algérienne grossièrement unilatérale; et, la guerre par procuration livrée depuis plus de 46 ans!

La mascarade grotesque consistant à manipuler la cause palestinienne devient totale hypocrisie quand face à d’autres pays qui ont choisi la pleine normalisation, à l’instar d'Egypte, des Émirats, Qatar et de la Turquie tout récemment, les perroquets du régime Algérien, particulièrement la sale gueule, au tabac à chiquer, d'un certain Hafid Darraji ont préféré avaler leurs langues.

Comme la vérité toute crue est certainement dure à avouer, En Algérie, on use farouchement "à satiété " de l’inversion accusatoire. «Frapper, puis pleurer, dit le proverbe. Devancer et aller se plaindre»ة ce qui veut dire en arabe dialectal (ضربني و بكا واسبقني واشكا)

La rengaine habituelle!.. le phénomène d'amputations du Maroc s'amplifie de façon regrettable. Pas envie de me fâcher avec nos ennemis Algériens, puisque, je pense qu'à demain, après l'expiration de l'effet d'anesthésie du tabac, ils y reviendront à la raison, mais la franchise étant de mise, je vous invite à revoir objectivement à titre d’information, sur les cartes et dans les documents d’archives, les amputations, voire les «dons territoriaux» hérités de la France coloniale qui s’était goinfrée notamment de terres Marocaines, depuis le flou maintenu durant le Traité de Lalla Maghnia de 1845 succédant à la Bataille d’Isly, le 04 août de la même année, jusqu’à l’occupation effective de Tindouf en 1934, reliées aux territoires du Sahara Marocain Oriental, groupant tout le Touat et Oued Saoura, en tant que subdivision de l'Algérie française qu’elle (la France) n’envisageait jamais, un jour, indépendante.

Pas pour rien que les Algériens d'aujourd'hui s’accrochent "mordicus" à ces frontières coloniales, symboles même de l’injustice et de l’arbitraire. Et ce n’est rien d’autre qu’une velléité d’expansionnisme  à "l'Algérienne" qui pousse le pouvoir algérien dans une quête désespérée vers un couloir accédant à la côte atlantique en contrôlant une mini république fantoche aux ordres.

Tout le reste n’est que propagande...J’aurais pu réserver une chronique, qui ne dirait jamais assez en un si petit espace, les différents liens qui relient les peuples Maroco-Algériens et les mouvements naturels des populations depuis la plus lointaine histoire en passant par les atrocités commises par l’armée française durant la campagne de Thomas Bugeaud en 1836, le maréchal génocidaire Français et le refuge trouvé progressivement au Maroc par les familles algériennes où leurs marques sont éclatantes dans la toponymie que ce soit dans l’oriental, dans le Gharb ou dans le Haouz de Marrakech.

Des pages entières pourraient également être consacrées au soutien Marocain à la résistance Algérienne depuis l’époque d'Abdelkader ould Mohyeddine, dit  "’Emir Abdelkader" jusqu’au combat pour la libération de l’Algérie et la reconnaissance, dès sa création, du GPRA (gouvernement provisoire de la République algérienne) dont l’annonce a été faite en septembre 1958, simultanément à Rabat, au Caire et à Tunis.

Sur le terrain des opérations, la région frontalière Marocaine poursuivait pendant ce temps-là son rôle de fief politique et militaire de la résistance Algérienne, formant une base arrière pour un grand nombre de militants indépendantistes algériens et africains de manière générale. Autant de faits, facilement vérifiables, travestis par les faussaires de l’histoire. A ce stade, nous Marocains, ne rendrions pas service à l’amitié ou à la fraternité de quiconque, que de brosser sans discontinuer les points de jonction tout en omettant les flétrissures au risque de les muer en graves fractures avec un voisins dominé par une folie insoignable..

Il y aura une chance à saisir...Chaque jour, j’espérais que des voix émanant d'Algérie ou d'intellectuels de la diaspora tentent de calmer ces escalades de violences verbales dont le paroxysme a été atteint sur une chaîne télévisée où un ancien militaire a incité ouvertement à des actes terroristes au Maroc. Se taire, c’est cautionner. Souffler sur les braises, c’est risquer de provoquer dans l’avenir d’autres foyers d'incendie, qui mettraient l’ensemble de la région à feu et à sang.

A défaut de construire une union maghrébine ou même d’ouvrir la porte à son voisin, que chacun s’attelle à développer paisiblement sa maison. Aucune fondation viable ne peut se construire autour de la haine.

Maintenant que nous savons que l'état de merde avec l'Algérie persiste toujours , nous pouvons, enfin, retrouver un peu nos esprits pour reprendre le combat, la plume à la main, pour que vive la pensée irrévérencieuse et audacieuse. Pour que l'esprit des lumières continue d'irriguer nos esprits Aussi terrifiante qu'elle soit, nous renvoie à l'absurdité de nos voisins de l'est.

À quoi peut-on encore se raccrocher pour envisager l'avenir avec moins de lâcheté et, rêvons un peu, avec plus de courage ? Comment appréhender l'attitude haineuse des Algériens en les faisant trembler davantage ? Comment voir au-delà du vide diplomatique ? Comment surmonter l'inertie ennemie Algérienne? Comment faire sortir l'Algérie de son impasse ?

Cette insoutenable situation stérile avec l'Algérie, rappelons-le, a commencé dans la banalité Algérienne depuis son indépendante en 1963. Et puis, tout s'est accéléré en une fraction de seconde, surtout après la défaite Algérienne devant le Maroc durant la guerre des sables.

Si les Algériens se distinguent par leur goût d'attitudes hostiles envers le Maroc. Le Maroc lui, en parallèle, en garde pourtant de très grands raisonnements et calmes, chaque offense aux Marocains. Les conneries Algériennes ne manquent jamais de valoriser les fermentés de leur haine. C'est le cas de plusieurs engagés DRS, inlassables promoteurs de malheurs quotidien à leurs concitoyens.

Ancrant leur «légitimité» sur une histoire idéologique fabriquée, les vieillards qui dirigent l’Algérie sont conditionnés par un logiciel, bloqué depuis les années 70. Leur politique repose sur des paramètres et des paradigmes obsolètes. Et sur des obsessions quasi-existentielles qui sont la haine, l'hostilité et leur jalousie vis-à-vis de leadership d'un Royaume Chérifien.

L’Algérie  est un pays âgé de moins de 60 ans, selon un témoignage raisonnable exprimé par le général Charles De Gaules, dont la politique est pourtant ancrée sur des obsessions d’un autre temps. Peut-être parce que le pays est gouverné par des vieillards dont le logiciel intellectuel semble s’être bloqué dans les anales de la guerre froide d'autrefois.

En effet, les deux gérontes qui gèrent le «Système» s’approchent tous les trois du terme de leur «horloge biologique». Tebboune et Chengriha, vont tous deux avoir 80 ans. 

Ancrant leur «légitimité» sur une histoire idéologique fabriquée, ces vieillards paraissent ne pas avoir vu que le monde a changé depuis leur jeunesse et les années de lutte pour l’indépendance, il y a trois quarts de siècle de cela. Alors que l’Algérie se débat dans une terrible crise morale et politique, leur politique semble en effet toujours reposer sur des paramètres et des paradigmes obsolètes datant d’un autre temps. Et sur des obsessions quasi-existentielles qui sont la haine, l'hostilité et leur jalousie vis-à-vis du Maroc.

La première est régulièrement rappelée à travers des exigences de réparations sonnantes et trébuchantes relayées par les héritiers des «porteurs de valises» La seconde accule les dirigeants algériens à la cécité historique et politique. Les maîtres du «Système» algérien refusent ainsi de reconnaître que la colonisation amputa territorialement le Maroc,

Etat millénaire, au profit d’une Algérie directement passée de la colonisation turque à la colonisation française et dont, jusqu’à son nom, lui fut donné par le colonisateur, dit-on "verbalement" en Algérie «très honni». N’est-ce pas, en effet, le général Schneider, Ministre de la guerre qui, en octobre 1839 décida que le nom d’Algérie remplacerait désormais officiellement l’appellation turque de Gezayir-i Garp?

Les dirigeants algériens refusent également d’admettre qu’au moment des indépendances, et comme je l’ai montré dans une des précédentes chroniques, il fut  insolemment demandé au Maroc d’entériner ces amputations en acceptant le rattachement à l’Algérie Française - les territoires historiquement Marocains, comme le sont : «Touat,  Saoura avec Colomb-Béchar et Kenadsa,  Tidikelt,  Gourara, ainsi que Tindouf et sa région ou se trouve le gisement de fer-Ghar J'bilat-».

Sachant que le régime Algérien avec sa fuite en avant, dans tout sens, ait cumulé les torchons de son linceul  et le fait de remodeler sa mentalité est inimaginable, tandis que le raisonnant, censé d'y intervenir à tout conflit est au point d'incriminer ce pouvoir mafieux qui s'en vante, sans gênes, être le meilleur et le plus intelligent de la planète par ses failles, ses couardises et sa stupidité envers la raison.

Le Royaume Chérifien du Maroc, ou bien ce Grand (Makhzen) que les ennemis Algériens s'efforcent, avec insistance, d'incriminer, n'en démord pas : «il tient absolument à être le maitre de l'Algérie, jusqu'à ce qu'elle renonce à son hostilité et revienne à la raison, de manière à succomber à la réalité Marocaine, et relancer unilatéralement, les relations bilatérales avec ce qu'elle considère comme «ennemi classique», relations et voisinage qui, depuis qu'elle est Algérie en 1962, sont en perturbation constante, ou plutôt, sont au point mort. Bonne lecture.

                                                              Très cordialement,Chihab25

         

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