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Maroc-France-Algérie : Bombardement,de Tanger, prise d’Essaouira et bataille d’Isly-Angad…

 

 

                                                                                                                drapeau-du-maroc-image-animee-0008
 
 
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                                                                                                                                          Rouleau compresseur-ma   
 

Relations Maroc-France-Algérie en 1844 : Bombardement de Tanger, prise d'Essaouira, bataille d’Isly¹-Oujda… Que s'est-il arrivé au mois d’août de l’année 1844 prés de cette localité Marocaine, dépendant administrativement à la commune rurale de «Laâyoune Sidi Makhoukh».

Dans le rang des forces tiers-mondiste en ce 2024, on remarque une montée en puissance du Royaume du Maroc dans tous les domaines, promettant, garantir au bon plan, les aspirations et les attentes des sujets de Sa Majesté le Roi.

Tandis que l’Algérie à côté, stagne dans le flou, dépourvue d'hommes d'Etat, de bonne volonté politique sincère, souffrant en parallèle, de banditisme et de dilapidation de fonds publics, au détriment des exigences. d'un peuple opprimé qui, depuis son accès à ce qu'on appelle là-bas, (l'indépendance nationale),  tissant, nécessité oblige, des fils d'attente -made in Algérie- pour s'en procurer de quelques futilités alimentaires.

Le Maroc devenant exemple, grâce aux initiatives Royales et à la puissance de ses FAR, qui imposent l'empreinte Marocaine, là où elles interviennent, soit pour sécuriser l'intégrité territoriale Nationale, soit en casques bleus à travers la planète depuis le premier contingent au Congo en 1960. On trouve à côté, que les bla-bla médiatiques de l'Algérie, entachent tout espace.   

Devant l'acharnement de cette voisine ne possédant pas de feuilles de route , en développement et en politique, le Maroc a fait de ses priorités la modernisation de ses infrastructures et de ses flottes aériennes, terrestres et maritimes, pour parer à toute éventualité émanant de la folie Algérienne.

Événements clés dans l’histoire des relations entre le Maroc et la France, inscrits dans le cadre de ce qui est appelé «la guerre Franco-Marocaine», et y sont intéressés de parcourir par leur mise en lumière des causes, de leur déclenchement, des stratégies d'alliances, tout autant que de leurs répercussions sur le long terme.

Le contexte était celui des amputations au profit de l'Algérie Française, de l’expansion militaire française qui avait occupé la Régence d’Alger, province lointaine de l’Empire Marocain, baptisée officiellement en 1839, dans les documents officiels français : en Algérie. 

Il faut dire que depuis le début de la conquête française, exactement au mois d’août de l’année 1830, une délégation de notables de Tlemcen s’était précipitée à Meknès pour prêter allégeance au sultan Alaouite Moulay Abderahmane, qui consulta ses ouléma afin de fonder cette bay’a sur les règles du droit juridique, demandant aide et assistance du Maroc.

Accédant à cette requête de protection, le Sultan envoya, au mois de novembre de la même année 1830, un membre de sa famille, nommé Moulay Ali ben Slimane, pour le représenter à Tlemcen et en Oranie où il fut favorablement accueilli par les H'myane et les tribus de la région de Mascara(M'âskar), ainsi que par les citadins de Tlemcen majoritairement Marocains, contrairement aux Karloghlis, métisses Turco-Algériens.

En 1832, ce fut le tour de l’importante délégation diplomatique, partie de Tanger vers Meknès, chargée de mission par le roi de France Louis-Philippe auprès du sultan Moulay Abderahmane en vue de lui demander la neutralité Marocaine dans les affaires algériennes.

Lorsque le soi-disant émir Abdelkader fut défait par le duc d’Aumale le 16 mai 1843, quoi de plus naturel que de lui offrir l’asile et de soutenir son combat, au niveau des populations Marocaines, des ordres religieux et de manière officielle en lui fournissant armes et troupes alors qu’il était à bout de ses souffrances!.

Le 30/5/1844, un ultimatum est transmis officiellement à la cour Marocaine, stipulant ce que dit : «La France  ne veut rien de ce qui est à vous (…) Elle veut que vous ne receviez plus Abdelkader pour lui donner du secours, le raviver quand il est presque mort. Cela n’est pas de la bonne amitié; c’est de la guerre …».

La guerre effective commençait après la réponse évasive Marocaine, sous forme d’opérations militaires Françaises...-Le 6/8/1844, à l'aube, la flotte prenait ses positions devant la ligne des fortifications et les autres parties de la côte et le bombardement de Tanger commençait. Immédiatement après, l’escadre se déploie plus au sud en direction d’Essaouira, où elle arrive six jours après.

Quelques jours plus tard, la canonnade commençait, mettant les batteries Marocaines à plat avant le débarquement des forces Françaises qui se sont emparées de l’îlot de Mogador dans lequel furent placés 500 hommes jusqu’en mars 1845, date du fâcheux traité de -Lalla Maghnia-. Car entre deux bombardements, l’un au nord, l’autre au sud et la bataille était décisive. 

 

                          Description de cette image, également commentée ci-après

                                                                                                 Campement de Tizi Ousli

 

Loin de la névrotique...Dans la matinée du 14 août 1844 avait eu lieu, en effet, à la frontière Maroc-Algérie Française, la bataille d’Isly (région d'Oujda) qui était un conflit militaire opposant les troupes Françaises aux troupes Marocaines, sous le commandement du prince Moulay Mohamed et constituée principalement de volontaires, issus de la grande confédération tribale des Béni-Z’nassen, des tribus d'Angad et de Bni Oukil, face aux troupes du général Français (Bugeaud) le premier résident Français en Algérie-Ottomane, qui rédigeait dans son rapport, la veille de la bataille, je cite :

«J’ai environ 8500 hommes d’infanterie, 1800 chevaux réguliers et irréguliers et 16 bouches à feu, C’est avec cette petite force que nous allons attaquer cette multitude qui, selon tous les dires, compte 30.000 chevaux, 10.000 hommes d’infanterie, et plus de 10 bouts de feu».

Pour rappel, cette bataille¹ était liée à la lutte des français contre le soi-disant Emir Abdelkader qui rejoignait les troupes Marocaines, laquelle se soldait par un repli tactique,  demandé par le Sultan à la suite des bombardements de Tanger et de Mogador par la Marine française.

Quoi qu’il en soit, le maréchal Français qui supervisait tout ça, regagnait la tente Marocaine, pour savourer du thé et des gâteaux, laissant entendre : «La catastrophe était si énorme, que jamais l’État Chérifien Marocain n’en a enduré de pareille», soutient lucidement l’historien Marocain Slaoui Mr.Ahmed Ben Khalid Naciri, ayant effectué dans son vivant, toute sa carrière dans l'administration judiciaire Marocaine.

La cuisante défaite était en effet vécue comme un traumatisme national, se soldant par la signature de paix à Lalla Maghnia, séparant artificiellement les frontières, maintenant l’ambiguïté au Sud et semant les graines des conflits frontaliers ultérieurs avec le folle Algérie.

En 1973-1975, la diplomatie algérienne, se basant sur l'absurdité, était au sommet de sa gloire, jouissant d’une position influente sur la scène internationale, en particulier au sein du Mouvement des non-alignés et auprès des pays récemment décolonisés. Pour ses dirigeants, le statut de leader régional, voire africain de l’Algérie, comptait sur la solidité de ses alliances corrompues et le soutien du camp socialiste, censé triompher de l’Occident décadent.

Que s’est-il passé durant ces cinquante dernières années pour que l’Algérie se retrouve aujourd’hui dans une posture peu enviable, alors que le Maroc enregistre des succès sur plusieurs fronts, se plaçant naturellement comme le leader régional non négligeable.

En appliquant la grille de lecture de l’économiste français Thomas Piketty, qui considère les richesses du sous-sol comme faisant partie du patrimoine universel, l’Algérie s’est appauvrie en dilapidant ses ressources, sans feuilles de route précises, alors que le Maroc sans pétrole, s’est enrichi en créant des richesses renouvelables dans les secteurs agricole, industriel.

Le Maroc s’est engagé dans un effort diplomatique de longue haleine, surtout au cours des dernières décennies, concrétisé par un renforcement des alliances internationales, une approche multilatérale, son retour à l’Union africaine, la reconnaissance de sa Souveraineté territoriale, par les États-Unis, l'Espagne l'Allemagne et la France, est une «Puissance bienveillante» éthique et respectueuse avec son industrie naissante, fabriquant voitures et pièces de pointe et de rechange d'avions.

À l’inverse, l’Algérie s’est enfermée depuis des décennies dans une posture diplomatique rigide et inflexible, mettant sa seule préoccupation «le Sahara Marocain», ce qui lui a fait perdre sa crédibilité d'Etat et a permis au Maroc de prendre le devant. 

Sur le plan géostratégique, les caporaux algériens sont restés figés dans une logique de confrontation héritée de la Guerre froide. Plutôt que de s’adapter aux réalités qui l'entourent. Ils continuent de miser sur des fourbies, sur les alliances fragiles et anachroniques, défendant des positions qui n’ont plus de résonance, ni au sein de la communauté internationale, ni parmi les grandes puissances.

En soutenant son Polisario, mercenaire et acteur non étatique, et en refusant tout dialogue constructif avec le Maroc, l’Algérie se prive de l’opportunité de stabiliser la région nord-Africaine. Cette obstination a fini par isoler l’Algérie sur la scène diplomatique, alors que la majorité des États reconnaissent désormais le «Plan d’autonomie Marocain» dernier en date, «Le Dominique» en Amérique latine, fief d'autrefois de propagande, de jonglage  de l'Algérie.

La théorie de Sobriété offre un cadre analytique utile pour comprendre les dynamiques stratégiques entre le Maroc et l’Algérie. Le Maroc, malgré une position initiale, a mis en œuvre une stratégie à long terme, renforçant ses positions par la diplomatie et le développement économique, ce qui lui a permis de «remporter la mise» dans cette longue confrontation, souvent perdue par l'Algérie.

L’approche algérienne dans l’affaire du Sahara est devenue non seulement inefficace, mais aussi, malveillante et contre-productive. Alors que le monde évolue vers plus de pragmatisme et de coopération, l’Algérie continue de s’accrocher à des schémas dépassés, minant ainsi ses propres intérêts et perdant, entre autres, au passage son rang d'Etat, non seulement en Afrique, amis aussi, en scène internationale.

Le Maroc a fait jusqu’ici sa brillance mondiale remarquable, du fait que les sondages, fait à son égard par les firmes spécialisées, ont salué sa position de leadership arabo-Africain crédible, ne tenant pas compte des harcèlements en continue, de sa voisine enragée de l'Est. 

Le Maroc, rappelons-le, ne se méfie pas de ses amis réticents, mais de ses ennemis, et s'en charge. Ce n'est ni l'Algérie ni son partisan sud-Africain qui lancent et détiennent toujours la fonde pour jeter davantage des pierres devant la force de la diplomatie Marocaine qui avance et marque des points positifs. C'est le journal de référence de l'establishment démocrate américain, le «Washington Post» qui le dise, avec un ton d'un journal de grande renommée.

Croit-on à l'absurdité... Je crois que, seuls les opportunistes se poseront la question :«Pourquoi se tenir si fort contre cette voisine de merde!». La réponse est naturelle...C'est pour prouver au lectorat que l'Algérie vit encore au rythme de la guerre froide et sur ses ruines.

Ses gouvernants depuis le président ("H'memid²") et ses acolytes à ce charlatan actuel, de leur nature d'hostilité, ils  ne changent pas de position pour y aller de l'avant en politique étrangère, étant qu'ils n'ont pas de vision politique claire à déployer et ne pourront non plus, quitter le stade de leur -tabac à chiquer- (Chemma).

A partir de 1990, après la fin des blocs «Orient-Occident», les soulèvements internes en Algérie, eurent diverses formes et pas en fortuit  : -Ce fut le cas de la décennie noire et du Hirak en Algérie (1992-2022).

Il y a trente ans, en octobre 1988, l'Algérie connaissait déjà son «Printemps», marqué de guerre civile d’une rare violence qui saigna le pays, par l’assassinat ou par l’exil, d’une grande partie de son intelligentsia et les victimes, tombèrent, en vrac, sous les balles de soi-disant "jihad islamiste". Et le malheur persiste toujours chez les familles des victimes et de disparus. 

Une intervention télévisée d'un Professeur, analyste Marocain, spécialiste de la politique Africaine (M.A) a fait de la lumière sur la situation tendue avec l'Algérie, au sujet de l'intégrité territoriale Marocaine, concluant que la fin de ce conflit artificiel est plus proche que jamais, et ce grâce au dégagement des vérités, que l'Algérie ne cesse de camoufler, via sa presse jaune et son sale pétrodollar.

Ce prof-conteur évoquait en substance trois thèses : -La reconnaissance par les pays crédibles de l'UE, en l'occurrence : «France-Espagne-Allemagne», de la Souveraineté Marocaine est une étape décisive qui annonce la fin ,tôt ou tard  du conflit avec l'Algérie, pour ne pas dire avec sa création de Tindouf.

-La communauté internationale dévoile davantage, la faible thèse de l'Algérie en ce sens et découvre que le Maroc a, activement développé, en l'espace de quelques décennies, les infrastructures de base de ses trois provinces du Sud,  formant le territoire complet du  Sahara.

-De l'autre côté, le «peuple! de Tindouf» et ses sponsors Algérois, devraient accepter et sans conditions, le plan d'autonomie Marocain proposé depuis 2007, avant qu’ils ne perdent connaissance et se trouveront devant «le statu quo actuel» et sa réalité éblouissante, en s'immergeant dans d'autres inventions maladroites contre la raison.

En conclusion, il existe des imprécisions et des contrefaçons de nos ennemis Algériens qui démontrent, de façon claire, à quel point la propagande grossière d’Alger et de ses acolytes idiots Sud-Africains, a déformé les esprits, même chez ceux avertis.

Bref, notre intervenant a fait une analyse correcte de la situation divergente avec le mal que nous impose la lâcheté géographique (l'Algérie), en concluant que la fin de ce conflit est évidente et que la «Marocanité du Sahara» est irréversible.

Toute la presse d'égouts Algérienne a pour but de faire croire aux Algériens que le Maroc est assaillant et occupant de ce qu'elle appelle «le Sahara occidental», épaulé dans ses actes contre l'Algérie, notamment par Israël, avec la complicité des certains opposants Algériens à l'étranger, dont le Kabyle pacifiste Mr.Ferhat M'hanni.

Et à chaque sortie de violence anti-Marocaine, la junte d'Alger reprend, les mêmes accusations que celles proférées depuis toujours. Il n'y a donc rien de nouveau, les Algériens ou les soi-disant élites, se sont plus gaussés de ces turpitudes qu’ils n’ont cru.

Notons-bien...L'Algérie est un pays gangréné par les caporaux, la corruption et la répression : la réalité du régime algérien dénoncée par l’hebdomadaire français «Valeurs Actuelles».

Dans son dernier numéro, cette tribune dressait un tableau accablant du régime algérien, révélant les dessous d’un pays où la paix est achetée à coups de subventions,  où les opposants sont écrasés par la répression. À travers des analyses incisives et des témoignages éclairants, le magazine offre une critique cinglante d’un pays souffrant du militarisme, la répression et la corruption.

Ce magazine  a consacré dans son numéro du dernière semaine d'août 2024 à la défaillance tous azimuts faisant de l'Algérie, une entité perdue, scrutée sous un prisme qui révèle la réalité brutale d’un système corrompu, encloué dans l'inertie économique aigue.

Sous la plume d’experts de renommée, le portrait de ce pays se dessine avec des contours sombres, où le désespoir du peuple se mêlent pour former un tableau des plus désastreux.

L’analyse  de l’hebdomadaire Français est une pertinence implacable où «on achète la paix sociale à coups de subventions, tout en multipliant les arrestations d’opposants», ajoutant que l’armée est la seule institution sur laquelle la politique d’autruche produira des effets immédiats et durables.

Le reste de la vie quotidienne de l'Algérien est un puits sans fond. Son moteur est bridé par les vieux carcans socialistes, mité par le travail au noir et la corruption, plombé par une démographie galopante de jeunes chômeurs, qu'on appelle les Hitistes³».

Cette critique résume la déliquescence d’un peuple malheureux condamné par une gouvernance défaillante, où la redistribution des richesses ne bénéficie qu’à une poignée de privilégiés et de caporaux, tandis que le reste de la population croupit dans la misère. La prolifération de fils d'attente en prouve.

Le militarisme en Algérie est dépeint comme le cancer qui ronge le pays. En 2023. Ce phénomène persistant, souligne l’omnipotence des caporaux qui, de fait, exercent un contrôle écrasant sur les affaires de l’État. Le magazine évoque ainsi un pays où le pouvoir est «l’alpha et l’oméga», mélangeant toutes les cartes de jeu de caserne, éclipsant les institutions civiles et toute voix d'opposition.Bonne lecture.

                                                              Cordialement, Chihab25   

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¹Les Algériens, accusent vachement les Marocains d'avoir trahi le psedo- Emir-AEK.

 ²Ahmed Ben Bella, l'ex-président Algérien, d'origine Marocaine, de Sidi Rahal Boudali-Marrakech. 

³les jeunes, sans travail, qui mettent, toute la journée, le dos au mur.

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