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L'Algérie avec sa frivolité ne peut pas algérianiser le Sahara Marocain..!

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                                                                                                      La cocaine parle d'elle même

Agenda de crimes...Les pseudo-militants Algériens remettent en question la «santé mentale» de Tebboune. Les sorties médiatiques et ses déclarations spectaculaire sont généralement accompagnées de grandes polémiques, non pas en raison de leur insignifiance, mais à cause de la de ridiculité qu'elles suscitent sur les réseaux sociaux, dont les utilisateurs remettent à chaque fois en question la crédibilité de président d'état, dépourvu de potentialités censées être portées par tout locataire du palais Mouradia d'Alger, après que ses propos soient éloignés des réels, ne provoquant, ni la raison, ni la  logique.

Après les chiffres astronomiques concernant le dessalement de l'eau de mer et la liaison de l'armée de son pays avec la libération et la construction de trois hôpitaux de campagne en 20 jours à Gaza. Tebboune s'est prononcé lors d'un rassemblement électoral à Oran, une nouvelle déclaration dans laquelle il a affirmé que "l'économie algérienne est devenue la troisième économie mondiale!!".

Cela a constitué une matière riche pour les internautes adeptes de la satire de ce discours qui fait de l'économie algérienne, en tant que telle, un concurrent sérieux des économies des États-Unis d'Amérique, de la Chine ou tout simplement du Maroc.

Commentant cela, un militant politique de l'opposition algérienne, a déclaré : «Ce n'est pas la première fois que le président désigné Abdelmadjid Tebboune fait des déclarations irresponsables, inconsidérées et loin d'être réalistes, qui se transforment rapidement en un matériau riche. Pour ridicule et sarcasme sur les réseaux sociaux».

Il a ajouté : «Tebboune a un problème majeur dans le contrôle des chiffres économiques, et il parle de ceux qui sont faibles sans aucune considération des conséquences et sans se souvenir de sa position de président, censé être à la hauteur de président, bien informé et conscient de ce qu’il dit.

Le même porte-parole a expliqué que «ce type de déclaration revient à s'en prendre à l'esprit des Algériens conscients de la réalité de la situation économique et sociale de leur pays», notant que :

«éviter de rapporter cette déclaration ; Parce que cela embarrasse le régime et parce que cela confirme le niveau de décadence auquel a atteint le discours politique en Algérie».

j'ajoute à  cela que l'Algérie d'aujourd'hui, de Ben Q'riha et ses exemplaires a perdu ses hommes de parole et de crédibilité avec lesquels l'interlocuteur Marocain, censé parler et régler les problèmes en suspens avec l'Algérie. 

Nous Marocains, nous sommes habitués, voire contraints de supporter les propagandes, mensonges diffamations de la part d'Algériens et nous ne serons nullement pas surpris d'entendre davantage plus de désinformations, de haine et d'hostilité d'une voisine reconnue atteinte d'une folie extrême.

Et nous constatons, entre autres, que les jongleurs d'Alger, bûchent davantage et ramassent les petits bois pour garder la vacation et maintenir le même rythme de jonglage politique pour y augmenter les tonalités de mépris envers le Royaume. On entend ces jours-ci que,نهيق الحمير- (les braiments) de plusieurs chargés de mission, mais j'en prends en exemple, un sale opportuniste Algériens en France .

-Un commentateur franco-algérien à la RMC (Radio Monte Carlo) s'en est pris au Maroc lors d'une émission sur chaîne algérienne, créant la polémique, laquelle a même atteint la France, où ce connard travaille dans les médias. Ses propos ont suscité un mécontentement généralisé chez nous Marocains.

Pour contenir le tollé provoqué par ses "déclarations choquantes" la RMC l'a rapidement expulsé, malgré ses excuses en direct avec une mise au point, précisant : «Suite aux propos inacceptables tenus par Mehdi Ghezar sur une télévision étrangère, la direction de RMC et «Les Grandes Gueules» ont décidé de mettre un terme à la participation de Mehdi Ghezar à l’émission. RMC et les animateurs des Grandes Gueules».(vidéos).

De notre côté Marocain, l'électronique quotidien «Hespress» écrivait dans ce sens ce qui résumerait le contenu d'un grand article, l'intitulant.. «Le venin médiatique d'un chroniqueur aux ordres d'Alger» ajoutant, entre autre, qu'Il y a des moments où la ligne rouge est franchie avec un désinvolture qu'il devient impératif de dénoncer, sans détour, ces dérives scandaleuses.

Ce salop chroniqueur aux ordres a offert une démonstration saisissante de ce qu'on pourrait qualifier de journalisme de caniveau sur une chaine Algérienne, qui par étrange laxisme, s'est transformée en plateforme de haine et de diffamation non voilée.

De l'autre côté voisin en plus, la donne change complétement, malgré les mouvements de propagandes et de mensonges. Tout le monde sait que l’antisémitisme systémique en Algérie s’exporte en France et presque à travers toute la planète...Ce phénomène décomplexé du régime algérien, qui sévit dans les médias, au sein des écoles et jusqu’au sommet de l’appareil étatique, déteint aussi sur les Algériens de l’étranger.

Il est bien antérieur aux attaques du 7/10/2023, s’est exacerbé avec la guerre de Gaza et s’exprime désormais hors des frontières de l’Algérie, en particulier au sein de la communauté algérienne au monde, celle de France. On apprend selon le quotidien Français (le Point) que le 24 août dernier, une synagogue dans la commune de l’Hérault, en France, a été ciblée et visée par un incendie criminel.

Il s'est avéré d'après l'enquête que l'auteur de ce crime était un Algérien,armé d’une hache et d’un revolver, un drapeau palestinien ceignant sa taille, la tête recouverte d’un voile, (Hocine Khanfri-33 ans) en situation régulière, arrivé en France en 2018, avait juré «de commettre un massacre dans des synagogue».

Algérianiser le Sahara...L’Algérie fut assimilée à la France métropolitaine, dont elle constitua l'une de ses trois départements d'outre-mer. Différente fut la politique suivie au Maroc par Hubert Lyautey. Respectueux des institutions et des autorités Marocaines, il se qualifiait même de «premier serviteur du Sultan».

Cette célèbre phrase prononcée par Hubert Lyautey, Hubert Lyautey  à son arrivée au Maroc, en 1912, a une profonde signification. Elle montre que le Résident général de France ne voulait pas voir le Maroc géré à la manière de l’Algérie.

Après la défaite militaire française de 1870 devant la Prusse, en Algérie, le régime civil républicain succéda au régime militaire. Son jacobinisme, le mépris qu’il afficha pour les populations indigènes et son laïcisme qui fit passer ses représentants pour des mécréants aux yeux des musulmans exercèrent des ravages et provoquèrent un traumatisme.

Les décrets du 24 octobre 1870 placèrent l’Algérie sous l’autorité d’un Gouverneur général civil dépendant du ministre Français de l’Intérieur. 

Ce dernier fit un véritable procès en sorcellerie aux Bureaux arabes, les accusant de «politique antinationale» pour s’être opposés à l’extension de la colonisation terrienne. Par le décret du 24 décembre 1870, le Bureau politique et ses subdivisions furent supprimés, décapitant un corps ensuite vidé de sa substance par le décret du 1er janvier 1871, qui le transforma en Bureau des Affaires indigènes, le cantonnant aux Territoires du Sud, là où le colonat était inexistant.

Puis l’Algérie fut assimilée à la France métropolitaine dont elle constitua trois départements. En 1881, avec le Code de l’indigénat, ses habitants autochtones furent dotés d’un statut particulier, puisqu’ils devinrent en quelque sorte les sujets de la République française, cependant que les Français et les juifs étaient des citoyens à part entière. Plus exactement, la population de l’Algérie fut alors répartie en trois catégories: les Français de souche ou les Européens nés en Algérie, les juifs assimilés aux Français et les Français musulmans.

Le décret du 26 août 1881 retira ce qui restait de personnalité à l’Algérie avec la mise en place du système des «rattachements» qui enleva ses derniers pouvoirs au Gouverneur général. Chacun des grands services administratifs d’Algérie fut directement placé sous l’autorité des ministères parisiens, chaque administration n’étant plus qu’un bureau détaché.

À partir de 1892, le système des «rattachements» fut dénoncé devant le Parlement par les élus d’Algérie eux-mêmes, tant les lourdeurs administratives et l’incompétence des administrations Parisiennes entravaient les initiatives locales.

Il a fallut cependant attendre le Gouverneur général Jules Cambon, en poste d’avril 1891 à septembre 1897, pour que le système soit enfin aboli par le décret du 31 décembre 1896 qui adoptait une timide forme de décentralisation.

La période de l’assimilation administrative étant terminée, la décentralisation se fit ensuite en trois étapes : Le décret du 23 août 1898 définit les nouveaux pouvoirs du Gouverneur général puis les délégations financières, etc. - La loi du 19 décembre 1900 dota l’Algérie de la personnalité civile. - La loi du 24 décembre 1902 aménagea une circonscription distincte, celle des Territoires du Sud.

À cette époque, le Sahara n’était donc pas encore rattaché à l’Algérie et il ne le sera d’ailleurs que dans les dernières années de l’Algérie française.

Pour le législateur, l’Algérie n’était donc plus un simple prolongement de la France dans le département d'outre mer, car il reconnaissait qu’elle avait un caractère propre. Cependant, elle n’avait aucune autonomie politique ni financière. La gestion était certes décentralisée, mais elle demeurait étroitement subordonnée aux pouvoirs publics métropolitains.

Différente fut la politique suivie au Maroc par Lyautey. Respectueux des institutions et des autorités Marocaines, il se qualifiait même de «premier serviteur du Sultan».

Dans cette lettre, Omar Hilale, le représentant permanent du Royaume aux Nations Unies a relevé que lors du débat du Conseil de sécurité, le  12 août, et consacré au thème «Maintien de la paix et de la sécurité internationales, remédier à l’injustice historique et renforcer la représentation effective de l’Afrique au Conseil de sécurité», le secrétaire général du ministère algérien des Affaires mensongères a cru bon de se répandre dans sa déclaration pour aborder une question qui n’est nullement inscrite à l’ordre du jour de cette séance.

Étant donné que seuls les membres du Comité des dix chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine sur la réforme du Conseil de sécurité et les représentants des groupes d’intérêt aux négociations inter-gouvernementales ont été invités à intervenir lors du dit débat, Mr.Omar Hilal a affirmé que le Maroc voudrait apporter les éléments de réponse suivants à la déclaration du délégué algérien, tant sur sa forme que sur le fond.

Évoquant la prétendue question de décolonisation tel qu’avancé par le délégué algérien, l’ambassadeur a soutenu que la question du Sahara Marocain est une question d’intégrité territoriale et d’Unité Nationale du Royaume, et nullement une prétendue question de décolonisation, notant que ni l’histoire, ni le droit international, ni les rapports du SG de l’ONU, ni l’avis consultatif de la Cour internationale de justice et encore moins les résolutions du Conseil de sécurité, ne désignent le Sahara Marocain comme un soi-disant «territoire colonisé».

Il a, de même, rappelé que la décolonisation du Sahara a été définitivement réglée grâce à la glorieuse Marche verte, ajoutant que sa réintégration à la mère patrie est également scellée par l’ONU, et ce conformément à sa résolution 3458b du 10 décembre 1975, qui a pris acte de l’Accord tripartite de Madrid du 14/11/1975. Cet accord est déposé depuis le 1975 auprès du Secrétariat général de l’ONU.

«Le Sahara Marocain fait l’objet d’un processus politique visant à parvenir à une solution politique réaliste, pragmatique, durable et mutuellement acceptable, sous les auspices du Secrétaire général de l’ONU et de son Envoyé personnel, censé être crédible dans le cadre du chapitre VI relatif au règlement pacifique des différends».

 

                                                           

                                                                                                                  effrayé du  Maroc

Double discours...Réagissant à la question d’autodétermination évoquée par l’Algérie pour le cas du Sahara Marocain «dans le seul but de contrarier sa récupération par le Maroc», l’ambassadeur a souligné que l’Algérie recourt à une interprétation insidieuse et sélective de ce principe, dans une vaine tentative d’induire en erreur la communauté internationale.

Il a signalé que le délégué algérien «feigne, également, d’ignorer la résolution 1541, qui décline les différentes options pour la mise en œuvre de la 1514 sur le principe d’autodétermination, dont la libre association ou l’intégration. Par la suite, l’Assemblée générale a adopté sa résolution 2625 de 1970, qui est venue ajouter l’option de «“tout autre statut politique librement décidé”».

L’ambassadeur a encore expliqué que l’Initiative Marocaine d’autonomie est une forme moderne, concrète et démocratique d’exercice du droit à l’autodétermination, notant que c’est la raison pour laquelle le Conseil de sécurité a réaffirmé, dans ses 20 résolutions successives depuis sa présentation en 2007, sa prééminence, son sérieux et sa crédibilité.

«Bien plus, cette initiative jouit d’un soutien international large, dont le récent soutien Françaçs. Ô combien symbolique de la France en tant que membre permanent du Conseil de sécurité», a poursuivi M. Hilale, notant que le Secrétaire général du ministère algérien des Affaires étrangères s’arroge le droit de demander, hors contexte, le droit à l’autodétermination pour des provinces Marocaines au sud du Royaume du Maroc.

L’ambassadeur a fait remarquer à ce propos que le responsable algérien «dénie cependant ce droit au peuple kabyle, qui vit sous occupation depuis des siècles». Que l’Algérie assume jusqu’au bout sa logique de soutien au principe d’autodétermination en faveur de tous les peuples du monde, et accepte de l’accorder au peuple de Kabylie.

«La région Kabyle est délaissée. Sa population de plus de 7 millions vit dans la marginalisation et la pauvreté; ses jeunes et ses femmes sont persécutés et leurs droits d’expression, de rassemblement, d’association, de libre circulation, de préservation de leur culture et identité kabyles sont bafoués au quotidien», a déploré l’ambassadeur, ajoutant que «le vaillant peuple kabyle mérite amplement que les Nations Unies se chargent de lui assurer son droit de décider librement de son avenir et d’exercer son droit à l’autodétermination, comme ce que demande l’Algérie pour d’autres populations dans le monde».

Enième mensonge!....D'un autre volet, les Algériens assistent ces jours-ci une pièce théâtrale à diverses épisodes, à des absurdités et de fausses promesses de rigolade, durant les élections présidentielles en Algérie, faisant la plus grande farce politique de l'histoire de l'humanité.

On se demande en Algérie pourquoi les généraux-pisseurs de Ben Aâknoune, insistent pour que Tabboune soit le candidat favori de la racaille-armée à la mascarade présidentielle? La réponse serait, à mon sens, très simple, du fait «Qu'il ne pas refuser l'ordre du service général des casernes et qu'il est un simple ivrogne, incapable de s'imposer en tant que vrai président décideur».               

Pour convoiter la compagne électorale de Tebboune, la junte d'Alger annonce ce qu'elle appelle désormais : «le démantèlement d'un pseudo «réseau d'espionnage, composé d'Algériens et de Marocains dans le but d'atteinte à la sûreté de l'Etat ». mensonge inspiré de l'imaginaire de la caserne de Ben Aknoun, à la veille du jeu de marée présidentiel prévu le 7 septembre et ce pour anesthésier davantage le peuple Algérien opprimé, ce qui a été vite fait et rapporté par l'APS (agence de presse officielle algérienne).

Le Maroc, par le biais des amis de Bourita, persiste et signe et juge comme, à l'accoutumée cette décision «injustifiée», rejetant, entre autres, toutes les accusations infondées de l’Algérie et continuera à s'attaquer éventuellement à ses aventures dégueulasses, étant que la «laideur géographique» nous impose et pour toujours cette voisine de mal l'Algérie.

Sachant que la course aux petits chevaux de l'Algérie contre la grandeur et l'intégrité territoriale du Maroc, n'amuse plus personne. La Communauté internationale est consciente, plus que jamais, de l'absurduté Algérienne, de ses mensonges, propagandes et de sa mentalité d'autruche qui, pour se camoufler la figure : « elle cache la tête dans le sable, laissant le corps exposé au vent».

                                                                         Trés cordialement, Chihab25

 

 

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