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Mémoires d’outre-politique, affaires : «Timor et Sahara», même illusion, dont elle adhère l'Algérie..!

 
                                                                                                 
                                                                                                        drapeau-du-maroc-image-animee-0008
 
                           
                                   La crise d'hommes en Algérie fait monter le taux d'homosexuels à des niveaux records                                                                    

C'est évident : Je n’ai jamais souhaité quitter la rédaction du blog. Là où je me suis débattue, pendant plus de 18 ans d'écriture sur l'Algérie et contre l'Algérie. Ce sont les circonstances de méchanceté Algérienne qui me l’ont imposé. La virtualité, la frivolité Algérienne deviennent insupportables, tant pour nous Marocains, que pour les opposants Algériens à l'étranger, aux voix brisées qu'ils soient en Algérie ou à l'extérieur de l'Algérie, en Europe surtout., dont la gravité de l’équation pour eux était aux risques de -la prison ou l’exil-.

Depuis la mise en pause du hirak hebdomadaire de 2019 en Algérie, les rassemblements sont interdits en Algérie. C’est l’une des mesures prises pour limiter l’extension de protestation. Mais si la nécessité de respecter des mesures barrières semble largement acceptée, les manifestants s’inquiètent du climat de répression accrue à l’œuvre ces dernières années.

La situation me rappelle celle de 2001. Cette année-là, le monde entier regardait ce qu’il se passait en Algérie et en Kabylie [126 morts entre avril et juin 2001 dans la répression de manifestations et émeutes. Dès le lendemain, la répression qui était catégorique a repris. et «L’absence de manifestations encourage les autorités Algériennes à réprimer».

En tant qu'admin d'un blog officieux d'expression libre, je conseille à n'importe quel décideur de la chose Algérienne, de prendre soin du peuple  opprimé, dont la particularité est en fils d'attente, négligeant, le droit à l'autodétermination des Kabyles, et Ibadites de Ghardaia, cette localité qui s’embrase, où la persécution de sa minorité «ibadite» se poursuit impunément, au vu et au su, des autorités algériennes.

Pour rappel, de violents affrontements opposèrent, après la prière de chaque vendredi en 2019 durant le printemps arabe où des jeunes de la localité de Guerra, située à 120 Km du chef-lieu de la wilaya de Ghardaïa furent réprimés, voire certains d'eux, liquidés physiquement par les éléments des forces anti-émeutes, si on croit le site Algérien «Tout sur l’Algérie».

Pour en savoir plus, le degré de haine Algérienne envers le Royaume Chérifien du Maroc, je prends l'exemple d'une affaire d'autrefois de «Timor Charqya». Une affaire de petite ile qui a éclaté au Sud-Est Asiatique en 1975. 

C'est une petite île, dans l'archipel Indonésien, affaire similaire à celle du polisalgérien actuel, qui en violation des droits des gens, a été éclatée et puis jetée, la même année dans la poubelle de l'histoire contemporaine de la région.

Que pesait-elle donc «Timor oriental» dans le concert des nations? Rien, absolument rien. C’est, certainement, le sort de la création Ben Batouche, que souhaite l'Algérie pour les polisalgériens,  multicolores, séquestrés à Tindouf?.

J'essayerai de rester franc dans mes points de vue, mais au fond de mon intérieur, je me sens dans un champ bourré de «pensées contradictoires et d'idées ruinées» C'est par ces mots que je dois commencer et conclure ma présente, avec moins d'ennuis au lectorat, qui rappelons-le,  en profite de ma générosité intellectuelle et me lise gratuitement.

L’île de Timor se trouve dans l’archipel Indonésien. Le dit archipel eut le malheur d’être colonisé par deux puissances Européennes: la Hollande et le Portugal -comme le Maroc, qui fut divisé pendant un demi-siècle entre la France et l’Espagne. (On voit déjà un parallèle intéressant et instructif à dresser entre ce bout de terre oriental et le Sahara Marocain à l'ouest. «Qui se ressemble s’assemble».

Les Portugais occupèrent la partie orientale de l’île pendant quatre siècles puis s’en allèrent en 1975, après la romantique ‘Révolution des œillets’. L’Indonésie, qui avait arraché son indépendance aux Hollandais en 1949 après des siècles de colonisation, étendit naturellement sa souveraineté sur la partie de l’île qui venait d’être évacuée par le colonisateur. «Tout est bien qui finit bien?» disait le proverbe.

Que pèse Timor aujourd'hui?.. Rien, absolument rien. Il fait partie des vingt pays les plus pauvres du monde, il n’a produit ni artiste, ni écrivain, ni penseur notoire; quasiment personne ne peut le placer sur une carte du monde, c’est juste un petit appendice d’une île de l’Indonésie, qui en compte des centaines; la jeunesse se morfond à Dili, la capitale. Et c’est ça que souhaite l'Algérie, insistant à reconnaitre le mirage de ses mercenaires de Tindouf?

Des naïfs et des ignorants qui se ressemblent avaient réussi à dégoûter l’Indonésie, qui a abandonné Timor en 1999. Et puis , celle-ci, a disparu des radars. L’Indonésie prospère à pas sûrs et qui se souvient-il de Timor aujourd'hui? certes personne.

Pendant tout un demi-siècle de tension, notre voisine de mal d'à côté ne vacillera pas. Ses mains délicatement posées dans les plus sales boues politiques du monde,  s'en coiffant, en continue, en haine et en hostilité,  assemblant ses efforts et tout son vouloir porter atteinte à autrui, cherchant activement «comment faire basculer dans l'horreur la balance d'un ennemi si fort (le Maroc) à sa frontière-Ouest». 

Pas que le Maroc qui se plaint de l'Algérie, il y a aussi d'autres pays. Le ministère Espagnole de l'Intérieur qui vient de mettre en garde contre le risque que l'Algérie devienne une source de terrorisme qui menace, pas que l'Espagne, mais aussi toute la méditerranée.

En contant ses petites histoires, la rédaction du blog ne manquait pas à la vacation, censée conter ses points de vue, surveille de loin sur qui se passe de conneries en Algérie, en essayant de tirer avec souplesse la poile de la sale pate de malheur de cette mauvaise voisine de tous. 

Cette fois-ci, l'Algérie changeait de direction pour aller vers un de ses voisins du sud, le «Mali» en lui créant des problème.  Son intelligence d'autruche, sa poussée à faire escalade en jumelant son polisario. Mais le Mali rendait public la naissance chez lui d'un nouveau né-dz. Un front que je peux baptiser en  «Polimalien».

Le magazine français "Jeune Afrique", spécialisé dans les affaires africaines, s'est intéressé aux tensions diplomatiques entre Alger et Bamako, sur fond d'accueil par l'Algérie de plusieurs séparatistes du Mali, les deux pays ayant rappelé leurs ambassadeurs pour consultations et la rension persiste encore.

Je rappelle, à toute fin utile que Algérie est bel et bien une entité en mode d’emploi, de haine, et de désespoir. Elle est confrontée à une série d’échecs diplomatiques successifs. Passe encore celui d’accéder aux BRICS, la débandade au Sahel, les attaques menées quasiment «ad-hominem» contre le Maroc, la haine est devenue le ressort de sa politique mensongère qui n’en a que le nom, embourbée dans un spectral de fourberies depuis toujours.

L'hypocrisie au grand damne...Au sommet de la Ligue arabe, tenu à Rabat en 1974, Boukharrouba, alias «Houari Boumediene» s’était fendu d’un discours devant ses pairs dont le moins que l’on puisse dire, qu’il amadouait la salle entière, voire au-delà. En sa qualité de président de l'Algérie  déjà neuf ans et au comble de l’hypocrisie, il consacra une grande partie de ses discours à la question du Sahara Marocain occidental, et ce pour en passer de la spoliation par son pays de l'autre Sahara Marocain oriental, déclara hypocritement que, je cite :

«l’Algérie soutenait des toutes ses forces le combat du Maroc contre l’Espagne pour récupérer son Sahara…» ! Il ne croyait pas si bien dire, ajoutant «nous mettrons nos forces et nos moyens pour sa libération, à la disposition de nos frères marocains»!. fin de citation.

L’emphase avec laquelle ce discours «mémorable », disons de triste souvenir était prononcé ne laisse pas de nous surprendre a postériori, maintenant que nous franchissons la quasi cinquantaine d’années d’hypocrisie et de haine. La bande enregistrée de ce discours existe bel et bien, archivée, documentée, un secret bien gardé dans les archives du régime algérien, à l’abri de tous ceux qui s’évertueraient éventuellement à y recourir.

Or, l’histoire de l’Algérie,  celle du  vrai combat de libération et de sa vérité historique, n’a cessé d’être triturée, revisitée, réécrite même comme partout dans les régimes staliniens et dans les dictatures dont le premier souci, on le sait, est d’instaurer la fameuse théorie du révisionnisme à la mesure souhaitée par la vanité extrême de la mentalité Algérienne.

Mais ses fourberies n’en finissent pas. En panne de légitimité, la junte d'Alger fait appel à l’imagination pour inventer, comme à l’accoutumée, des histoires montées de toutes pièces pour chercher vainement à «décrédibiliser» le Maroc. Réagissant à ses allégations évoquant toujours du mal envers le Maroc Bourita et ses élèves à travers le monde opposent des démentis formels à ses conneries.

Une entité sauvage, partie de rien, comme nombre d’Etats fantoches qui se disaient "socialiste", aspirant et respirant à peine sous l'épaule gauche de l'ex-Union-Soviétique, s’est construit un petit empire dans le mensonge et dans la gestion d'imaginations et de fourberies, et s’est fait un nom en devenant l’éphémère leadership d'un monde emporté par les vagues du propagandisme. Avant d’être entraîné dans la boue par des styles trompés dans l'arrogance et l'ingratitude.

 

                                                     

                                                                                                     Le dessous d'une Algeroise.

 

L'Algérie à l'heure de désordre : C'est un sujet qui fait honte et l'arrogance Algérienne n'en peut pas cacher sa réalité humiliante. Je m'excuse si le lectorat me trouverait obligé, pour la première fois, de traiter ce genre de sujet déshonoré. Ici à la rédaction du blog, on avait jamais l'envie de citer ou de côtoyer, non plus, un sujet contraire à l'éthique de honte :

«Au moins 4 millions d’Algériennes en dépendent de la prostitution». un secret polichinelle, mal gardé par le régime d’Alger ou des familles, toutes entières vivaient et vivent encore de la générosité des clients accros aux relations sexuelles tarifées.

Parlant de ce sujet, se coïncide et se confirme avec la dernière sortie médiatique de -Ben Sdira-, le pion parleur de casernes et de DRS qui s'est montré joueur, très en colère, déchaîné, précisant l'arrestation en flagrant délit, de 17 hauts responsables et caporaux de Ben Aknoun, impliques dans des affaires de prostitution, qui se pratiquaient à grande échelle, surtout au lieu dit «Hydra», un quartier de haute gamme à Ben Aknoun, le lieu "hyper" parait-il, situé dans la proche banlieue d'Alger.

La prostitution gangrène la société algérienne, comme d'autres sociétés, dans des proportions inédites . En dépit du verrouillage du régime et de sa censure de toute information liée au phénomène, des chiffres documentés parlent de cette honte qui entache, au mépris de choses, la dignité humaine, malgré la vanité extrême de l'être.

Quand on sait que les porte-voix du régime font de ce sujet un -leitmotiv- pour salire le Maroc par cette honte, il y a lieu de leur rappeler le célèbre proverbe arabe «le chameau qui ne voit pas sa bosse». Quand les frivoles Algériens, évoquent-ils le Maroc sur les réseaux sociaux, ils ne trouveraient pas de mots déshonorant et adéquats à utiliser contre la grandeur Marocaine, sauf les termes (prostitution et trafic de cannabis).

Dans leur ouvrage conjoint -«Le mal algérien»- paru en 2023, deux chroniqueurs Français chevronnés mettaient en lumière la sordide réalité d’une prostitution institutionnalisée avec des ramifications locales profondes en Algérie. Les forces de l'ordre, censées être le rempart contre la délinquance, se trouvaient complices de premiers rangs.

Une connivence cynique entre le système et les réseaux de prostitution contribue à maintenir ce cercle vicieux où la misère et l’exploitation se nourrissent mutuellement en Algérie de "fierté et de dignité" de Bouteflika.

Certaines régions d’Algérie, comme la  ville de Béjaïa, sont devenues des épicentres de ce phénomène, avec plus de 1500 prostituées exerçant leurs activités dans une multitude de lieux, cette ville s’est convertie en un symbole de tourisme sexuel florissant, accueillant en particulier les Tunisiens et Lybiens.

Les grandes villes algériennes telles qu’Alger, Oran, Béjaïa, Annaba, Tlemcen, Sétif, Tizi-Ouzou, Sidi Bel Abbès à l'ouest Algérien ne sont pas en reste. En 2007 déjà, un pseudo-Institut de sondages algérien (Abassa) estimait un nombre choquant de prostituées clandestines en Algérie, chacune entretenant un entourage familial d’au moins trois personnes, «ce qui donne un chiffre d’un peu plus désonorant de personnes vivant de cette activité» ce qui traduit une précarité fortement sévissante et une dégradation sociale, somme toute tragique.

Lors d’une enquête qu’elle a réalisée sur ce fléau en Algérie, une avocate au barreau d’Alger, (Fatima Ben Brahim), a quant à elle décrit des «bordels à ciel ouvert» et recensé près de 8.000 maisons closes à Alger-capitale seule, dédiées à la prostitution! Il est très difficile de trouver une autre ville au monde qui peut la concurrencer dans ce domaine. Cette situation déplorable s’étend sur tout le territoire algérien, avec une entrée dans le métier dès l’âge de 15/16 ans.

La prostitution, dans ce contexte disait-elle, se mue en une activité de survie désespérée, exacerbée par les cicatrices laissées par la «décennie noire des années 90» du terrorisme de Bel Mokhtar et de Hattabi, où de nombreuses femmes et jeunes filles, violées ou mariées de force, se retrouvèrent abandonnées et rejetées par la societé à la rue, poussées vers la prostitution par une absence de perspectives, d’alternatives et d’offres d’emploi à même de préserver leur dignité.

L’avocate explique également, avec force détails, que la prostitution est pratiquée «dans la rue, garages, carcasses de véhicules, gourbis, petits appartements, villas, hôtels de passe en bordure de mer [...]. Cette dernière est pratiquée par les deux sexes, même si elle est exercée majoritairement par les femmes et consommée par les hommes».

Et d'ajouter qu’elle a constaté, à travers toutes ses enquêtes que la prostitution est un marché fructueux qui a tendance à se développer. C’est un crime organisé qui rapporte énormément d’argent de blanchissement dans l’immobilier et dans l’import-export qui touche tous les milieux sociaux.

Le rapport de l'Office Français de Protection de Réfugiés et Apatrides de 2020 souligne, de son côté, que la prostitution est aussi le résultat de la crise économique, des violences conjugales, de la toxicomanie et de la dégradation du système Algérien d’entraide traditionnel qui reste toujours «un département Français d'outre mer!»

En outre, la montée en puissance de la prostitution estudiantine dans les universités, n'en manque pas des pratiques, comme en témoigne une enquête menée en février 2020 à l’université de Tizi Ouzou, et qui révèle une profonde détresse économique et sociale parmi les jeunes générations algériennes.

En dépit de cette situation alarmante, le régime des caporaux continue de jouer son double jeu sordide. Selon Amir-dz (vidéo), l'exilé Algérien en France, le régime d’Alger finance et gère un immense réseau de prostitution qui envoie des milliers d’Algériennes à se prostituer dans les pays du Golfe, où elles sont prises en charge et logées dans des maisons closes sises à des quartiers huppés.

Les anti-ma :  Ce n’est pas demain qu’on en aura fini avec cette crise créée par les caporaux, mâchée et entretenue par des hommes de paille, dont un certain Abdelaali Hassani, connu de sa seule mère, qui l’a peut-être oublié, a donné une interview passée inaperçue, mais que j’ai exhumée, parce qu’elle montre à quel point la clique au pouvoir à Alger vit dans un monde parallèle.

Tout d’abord, qui est cet individu?, C’est ce que les Algériens nomment, avec un humour amer, un ‘lièvre’, un chargé de mission propagandiste, c’est-à-dire que les caporaux l’ont sorti de leur képi et l’ont bombardé candidat à l’élection mascarade présidentielle du 7 septembre pour meubler le tapis de l'absurdité Algérienne. S'adressant au Maroc, il a fait entendre ce qui retient, l'attention : «Que le Maroc reconnaît le droit à l’autodétermination des peples, dont le "peuple Sahraoui?".

En réponse à cela, n'importe quel Marocain lui répondra par : «Oui, le Maroc a déjà accepté ce principe, via ses députés Marocains originaires du Sahara, ayant siègé autrefois au Cortes d'Espagne à l'ère  de Franco».Par les voix de /

«Khatri Old Sidi Said Joumani et  Mohamed Old L'Bachir Reguibi» ayant approuvé les accords de Madrid de 1975, accords qui ont fait grincer les dents de l'ennemi et déjouer l'ambition fâcheuse de Boukharouba. 

Feu Haj Khatri avait fait un discours en l'objet, par lequel il a transmis des signes forts et des messages éloquents relatifs au devoir d’appuyer le front intérieur en vue de défendre l’unité territoriale nationale, de consacrer les acquis et de consolider le processus de développement durable et intégré les Provinces du sud à celles du nord du Royaume.

De la frivolité encore : C’était simple, selon l'invention des Algériens, surtout de ceux qui se portaient, en élites politiques, à l'exemple de :

-Mahfoud Nahnah, ex-président d'un parti islamawiste (Mouvement de salut et de Paix - le Hamas Algérien), avançait  dans son vivant, les stupidités, qui se collent à l'esprit de tout Algérien, quand il s'exprime, en écritures virtuelles ou  en micros, comme les futilités ci-dessous :   

-Que le mur de lamentations à Jérusalem et les pierres de sa construction sont des matériaux Algériens, et qu'un certain "si Boumédiane était  superviseur

-Que l'Algérie était le premier pays à reconnaitre l'indépendance de l'Amérique en 1776.

-Que George Washington, le premier président USA (1732-1799) avait offert à l'Emir Abdelkader (1806-1883)...un pistolet, comme cadeau de prestige».

Ces stupidités hors normes, ne sont pas à vérifier!.ni même à prendre avec des pincettes, puisque y sont similaires à ce qu'ajoutait cet engagé de la caserne de Ben Aknoun d'Alger, qui rêve étant éveillé, s'exprimant de manière ridicule comme sponsor et service général de casernes,  je cite :

1-le Maroc doit combattre les anciens colonisateurs, dont la France.

2-Il doit rompre ses relation avec les sionistes d'Israël.

3-Il doit reconnaître le droit à l’autodétermination au  "Sahara occidental"!».

Et pourtant, malgré les vulnérabilités qui persistent dans les esprits adverses et la résilience Marocaine et en face à la vulgarité algérienne..

«le Maroc reste, dans sa droiture, sérieux et hônnete et crédible, mettant, ses contributions et ses efforts, à préserver sa valeur d'état.  Tout le monde salue sa politique et sa la diplomatie». Bonne lecture

                                                            Cordialement, Chihab25

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-L'ex-président Tunisien Habib Bourguiba,  disait aux Algériens, avec un ton de colère :«Eddakhel, N'aaraf, M'mou ou Lkharej N'aaraf B'bah». C'est fini avec le pot-de-vin . 

 

 

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