Avant les Français, l'Algérie peine à créer une «fausse identité en falsifiant les faits»
Tout d'abord : La rédaction du blog informe le lectorat que : Nous Marocains, nous ne prosternons devant personne, sauf devant la Grandeur Divine. On nous accuse de prosterner et baiser la main d'autrui, visant les descendants de la Monarchie Marocaine, et directement la personne de Sa Majesté le Roi en particulier!..
Que dirai-je à ces «-Kargholi¹-» pour atténuer leur soif et hostilité haineuse!?. Je leur dirai Oui, avec un «Grand Ô» et fiers de le faire, pas par obligation, mais par respect. Étant que le geste est conforme aux termes décisifs d'Al«القران الكريم» qui s'adresse à l'Univers croyant : «Obéissez à Dieu, obéissez au messager et à ceux qui détiennent l'autorité de parmi vous», si j'ose traduire ainsi. يا ايها الدين امنوا اطيعوا الله والرسول واولي الامر منكم
Nous regrettons que nos accusateurs, sont obligés, par force de casernes, de baiser, tout le temps, les sales bottes, se réjouissant à faire de même à la maman Française (!). songeant par stupidité à imiter, vainement «-Tamaghrabit-» dans tous ses volets constructifs et positifs.
Des photos se trouvent en internet, montrant des Algérois en train de baiser en clair les mains de -François Holland et Emmanuel Macron-, durant leurs visites à Alger. C'est vrai, l'anecdote est juste :«le dromadaire ne voit pas sa bosse, mais il voit que celle de l'autre».
En politique générale: On ne doit pas dire n’importe quoi. On doit peser ses mots, du fait que, ce n’est pas grave de dire la chose et son contraire. Bref, quand on est une personne publique, on doit faire attention, et se dégager des banalités qui n’engagent à rien. Autrement dit, il faut respecter soi-même, évitant de répéter, bêtement, ce qu'on dit de mal de la grandeur ancestrale du Maroc.
Le retenue, dit-on, a sa limite. Ce Maroc qui, un jour serait à bout de patience et passera à d'autres guerres de sable pour prodiguer des soins au mauvais voisinage Algérien et mettre fin à tous les agissement ennuyeux de ses caporaux. On aime pas continuer avec le fou, il y en a, généralement, les lieux de placement de cinglés qui troublent à l'ordre et au droit public et nous saurons certes, -rira qui rira le dernier et qui pilotera son convoie vers l'enfer.
Noureddine Boukrouh, un homme politique Algérien, parait-il un Kabyle, était candidat à la présidentielle de 1995, décrit que le système Algérien cherche à légitimer l'État farouche, en tant que tel, et ce grâce à :
«L'immigration illégale dans l’histoire» -«La formation de l’identité Algérienne et la définition de ses traits comptent parmi les crises de conscience de l'Algérien» -«L’Algérie a instauré une culture d’idées rentières et dont la préservation de la mémoire est le plus grand ennemi de son existence». -«L’Algérie compte des chefs militaires qi travaillent dans les coulisses, à la prodigieuse longévité au pouvoir. -«Les puissants d’entre eux exercent les hautes responsabilités du régime, entrainés au massacre depuis l'avenue de l'Algérie au monde en 1962.
Le régime militaire au pouvoir depuis 1965, lorsque Boukharouba, dit Boumediene, renversa son sponsor Ahmed Ben Bella, qui fut le premier président civil après l'indépendance du pays en 1962. Ce régime barbare est toujours ancré dans la mentalité de la période d'avant la chute du mur de Berlin, et vit dans un état de confusion identitaire, qui l'a rend, une lutte acharnée avec l'histoire, et un voyage à la -Don Quichotte- pour chercher sous chaque brin de paille l'identité perdue dite algérienne .
Description et témoignage : Le psychologue (James Marcia) affirme que l’identité est une «construction interne qui représente la somme des croyances, des capacités, des motivations et de l’histoire de l’individu». Plus cette construction est solide, plus l’individu est conscient de son caractère unique et de sa similitude avec les autres . Plus cette construction est faible, plus l’individu est confus quant à son identité. Ce qui le distingue des autres, et plus il devient dépendant de sources extérieures pour s’évaluer et se découvrir.
C’est une abréviation de ce que vit l’Algérie. Une crise identitaire profonde, et pour compenser ce terrible défaut dans la structure historique de l'individu et du groupe en Algérie, le régime militaire a eu recours à la culture de la rente identitaire pour créer une «identité», après avoir réalisé que le peuple algérien était «affamés» d’une histoire sur laquelle fonder le sort d'un ensemble d'entités mélanges, venues de nul et de toutes parts.
Tout simplement, il s’agit d’un peuple qui vit une crise d’identité, qui est «un événement en développement dans lequel une personne ne sait pas avec certitude qui elle est», selon le fondateur du concept d’identité, le psychologue (Erik Erikson), croyait que :
C'est le même concept exprimé par le président français Macron en octobre 2021 lorsqu'il a accusé le régime militaro-politique algérien de créer une «rente mémorielle», lui rappelant qu'«il n'y avait pas d'Algérie avant le colonialisme français, et que le discours sur l’existence d’une nation avant n’est qu’une illusion..
L'expression de Macron s'inscrit dans le prolongement de faits historiques déjà confirmés en 1959 par l'ancien président français, le général Charles de Gaulle, lorsqu'il avait déclaré que, je cite :
«Depuis que le monde est monde, il n'y a jamais eu d'État algérien souverain». «Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes du Levant, Arabes de Cordoue, Turcs et Français sont tous entrés dans ce pays, les uns après les autres, et il n’y a eu, à aucun moment ni d’aucune façon d’État algérien.
Cette expression est incluse (son et sens) en vidéo quelque part en blog, accompagnant une note précédente. Une expression très claire qui parle vrai et met à nu les Algériens qui s'en vantent, faussement, avoir existés depuis l'antiquité avec une identité incontestablement particulière. et que l'Algérie était terre et berceau d'origine des prophètes et envoyer divins. (trouvez la vidéo visualisez-la).
Ainsi, l’État algérien n’a été créé qu’en 1962, et qu’il est un mélange de races et d’ethnies telles que les «Kraghla», terme qui désigne la lignée mixte d’hommes et de femmes Turcs qui ont habité l’Algérie et qui sont issus des tribus amazighes, arabes, mozabites et Européens qui ont été amenés par les colonialistes successifs sur cette terre, le régime a travaillé sur l'illusion, créant une «fausse identité qu'il considère historique» au lieu de construire l'être humain selon la diversité humaine et ethnique du pays après l'indépendance.
Et il est entré dans une sorte de démence historique, où il a parlé d'un faux (..) million et demi de martyrs" pendant la révolution d'Algérie, une déclaration fictive prononcée, à la légère, par Abdenacer lors d'un passage de soulagement à son gamin Ben Bella et que les Algériens l'ont transformé en "document historique". Son se persuader, Tebboune, (...) fait l'invention, augmentant le chiffre de 3,5 millions à 5 millions de martyrs !
Avec ce fantasme, le régime militaire d'Alger a transformé toutes les préoccupations du peuple algérien en une recherche de savoir si «le morceau de Zellij, le Caftan et les Tambourins de danseurs d'Ahidous» sont «un patrimoine algérien volé », jusqu'à ce que l'Algérien dépense son argent pour se nourrir jour, dans une recherche permanente et légendaire de «qui il est, de ce qu'il possède, et de ce qu'il ne possède pas, quelles sont ses racines historiques, et où est son identité» se demandait Boukrouh?.
C'est le disque que les médias algériens répètent à des centaines de fois par jour, et les hommes politiques en parlent avec une conviction qui est sourde jusqu'à la moquerie, ce qui a fait dire à l'écrivaine française Céline Pina que les médias algériens sont, je cite : «plongés dans la haine et Si l’élite algérienne est dingue à ce bas niveau, imaginons le reste de l'escalade...Comment va le peuple au doigts bleus?».
Colonisations et déchainement : Pendant 315 ans (1515-1830) la domination Turque a façonné l’héritage historique laissé à la société algérienne actuelle, bien plus que la présence durant 132 ans des Français. Le thème choquant de cet héritage l'étiquette d'humiliation (Kraghala) qui vaut en terme Français (indigènes). Elle a aussi modelé des formes d’administration, de rapports à l’autorité tyrannique, et une économie bâtie sur la rente et les magouilles, la loi du plus fort et le rançonnage.
Avant la France, Alger était un patelin de bandits frappé par la rigueur d’une brutalité d’un système politique où la piraterie et la corruption structuraient la vie quotidienne. C’est ce qui ressort de la centaine de pages consacrées à la régence d’Alger par les historiens et analystes de la chose Algérienne.
«Il n’y a ni logis ni auberges dans Alger; de sorte que les Turcs qui y passaient, sont obligés d’aller loger chez quelqu’un de leur connaissance.» Dans une ville dédiée pendant des siècles à la course et la piraterie en mer, la méfiance primait sur l'hospitalité, traduisant l’héritage d’un passé en perpétuelle alerte.
Milices et pirates d’esclaves...Les 3100 familles mores (Berbères et Andalous artisans et commerçants) sont dominées et surveillées par «la milice des janissaires composée moitié par les Turcs et moitié par les renégats (esclaves chrétiens qui se sont convertis à l’islam pour servir les régents turcs)».
Cette époque ottomane algérienne s’impose aujourd’hui avec ses paradoxes saisissants. La régence turque d’Alger a instauré un système où les militaires et l’économie du butin se conjuguent, comme au 21ème siècle, pour régurgiter une réalité inhospitalière et enclavée. .
L’analyse du chroniqueur et chercheur français spécialiste du monde arabe, Pierre Boussel, met en évidence le délire de militarisation que le régime algérien entretient à travers un budget de défense colossal, tandis que les questions économiques cruciales sont mises à l’écart, exacerbant le fossé entre les aspirations populaires et les intérêts de l’élite dirigeante.
Fabriquer une histoire algérienne pour l’Algérie, c'est qu'il en faut faire appel à l'imagination et s'équiper de mensonges. Dans un ouvrage-trottoir, «Histoire, Mémoire et Colonisation» un écrivain Algérien (Kotbi), s'activait sur les conditions de déploiement du colonialisme français en Algérie, disait-il, centré sur les mécaniques d’extermination et de spoliation mises en œuvre par les français, éradiquant toute résistance d'infrahumaines.
Aux historiens et analystes d'en vérifier, laissant la malédiction divine et les désastres s'abattront sur l'Algérie, qui est née avec une différence et handicap? Je sais, ce n’est pas étonnant de voir les conséquences d'une naissance césarienne. il faut qu'elle revienne à la réalité et l’affronter pour le meilleur avec ses voisin, dont le Maroc.
Elle n'est pas si mure pour qu'elle comprenne, étant qu'elle souffre sous les sales bottes et n'est pas libre non plus, pour se détacher de ses illusions de supériorité face au Maroc fort qui nage aussi fort dans son histoire très lointaine, avec son âge de pionnier et de leadeurship dans la région, du fait que...
Avec l'âge, on apprend plus facilement à se détacher des gens, même des plus proches. -Avec l'âge on n'a plus le temps de réparer les relations lorsqu'elles se détériorent. -Avec l'âge, on ne cherche plus la compagnie, on cherche seulement la paix. Mais l'Algérie est inadaptée de nature pour se consolider et se prodiguer de son handicap politique qui n'exister qu'en elle, même si «le handicap est un malheur innocent» comme le qualifiait le philosophe Colombien Gabriel Marcel.
Photo-Choc de menace de Trump
Enième connerie : L'ambassadeur d'Algérie aux Etats-Unis, a confirmé que son pays est prêt à corrompre Washington et lui céder -ses ressources naturelles et minérales vitales- dont jouit l'Algérie, est également prête à héberger des centres Américains de données à un cout inférieur aux options actuelles.
Avec cette offre gratuitement imaginaire, l'Algérie tente de flatter à l'administration Trump au détriment du Maroc pour contraindre la Maison Blanche à ne pas prendre au sérieux son isolement diplomatique et de ne pas remuer davantage les plaies frontalières, déjà douloureuses préoccupantes avec le Royaume.
Souhaitant, entre autres des USA de s'abstenir de peser encore plus, sur la Marocanité du Sahara, tout en évitant aussi de se mêler, éventuellement, du problème de l'autre Sahara Marocain Oriental spolié par l'Algérie, du fait que Tebboune et son caporal-pisseur ne peuvent jouer, la moquerie, aux estrades de l'oncle Sam, tant que l'Algérie ne peut offrir que de la viande d'ânes! ( voir gravure en dessous). Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25 .
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¹C'était un quartier en Algérie Turkmène où vivaient les «fils d'esclave».
La viande d'âne de haute qualité revient sur les tables de ftour des algériens.
