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  • Les négociations Franco-Algériennes d'Evian et leur préjudiciable au Maroc!

                                                                                      drapeau-du-maroc-image-animee-0008 
     
    Clarté et dure vérité : Partout où en passe, on remarque la propagation de la stupidité dominant, largement la mentalité malade de l'Algérien, qui s'en vante,  qu'il est seul intellectuel et intelligent au monde et que tout interlocuteur, en face, est d'infériorité mentale!. Il serait ainsi, insouhaitable pour quiconque, de côtoyer le fou aux pierres en mains. La célèbre citation millésime du président-clown Algérien en prouve     : (Tokhrej a3la starr...n'a3tik!).
     
    Des stupides Algériens répètent des slogans pareils parfumés, de façon erronée, d'une supériorité illusoire, inondant la toile par des conneries et de stupidités que personne n'aura la faculté d'accepter ou d'entendre. 
     
    Nous le disions, pour ne pas se faire valoir et ne pas se contaminer, le Maroc Monarchique, dont nous sommes fiers d'appartenir, doit se doter, à mon avis  de bonnes prospectives pour éviter la rage Algérienne, avant d'espérer même une réconciliation avec la folie accrue Algérienne, qui se propage de ce «Tabouristane» qui en manque de fraternité fructueuse.
     
    Ce mauvais voisinage, nous a démontré, depuis toujours, les plus pires moments de mal., dont le  douloureux, était l'expulsion en octobre 1975, de manière humiliante de 350 milles Marocains hors de ses frontières. Une position d'hostilité et de mal-être (!) prise délibérément par le maudit Boukharouba,  que la malédiction divine soit sur lui.
     
    Ce conard songeait, vainement, pouvoir créer des problèmes structurelles au Maroc qui, marqué par son génie de Grand, avait créé la surprise du siècle : «La Marche verte» ayant décolonisé, le Sahara Marocain occidental. Je dis bien -Occidental-, parce qu'il y en a encore -Oriental- à rapatrier dans l'avenir, dont des signes et clins d'œil d'appui y sont flashés ces jours-ci par l'oncle Sam, pas pour provocation gratuite, mais pour soutenir l'unité historique du Maroc. 

    Concernant ce dossier qui a fait vaciller un demi-siècle de propagande Algérienne.  Mr.Staffan de Mistura, l'envoyer Onusien, pour le Sahara, ce diplomate habituellement réservé jusqu’à l’excès, a choisi la clarté, en la résumant , lors d'un entretien avec l'Institut italien d'études politiques internationales (ISPI),  en une seule phrase, dont je cite  :

    «Le conflit du Sahara n’oppose pas un «peuple à un «occupant», ni   une affaire de «mouvement de libération» mais deux États, le Maroc et l’Algérie». Oui. Il s’agit bel et bien d’une confrontation directe entre deux États. Tout le reste n’est que mise en scène». 

    En quelques mots seulement, il a balayé des décennies de propagande, réduisant à néant la fable fabriquée par Alger, osant dire tout haut ce que ses prédécesseurs n’avaient jamais franchi le pas de formuler. Cette fois, c'est la clarté qui provient, si j'ose dire, au nom de l'ONU!, place l'Algérie, et pas ses entités multicolores de Tindouf, face à sa responsable du conflit et l'incite à envisager le dialogue, autour de tables rondes plutôt que. l'intransigeance et la complexification de la crise.

                                                                                       -:-                                          
                                            
    Le sujet de la note : Quelles étaient les accords d'Evian? . Les archives Françaises prouvent que les accords d'Evian sont : «une série de protocoles signés le 18/3/1962 entre la France et le GPRA(le Gouvernement Provisoire Algérien)», ils avaient pour objet :« mettre fin à la guerre d'Algérie Française et organiser la transition vers son indépendance».
     
    Ils ont abouti le 5/7/1962, à la naissance "césarienne" d'une entité baptisée en «Algérie indépendante, supprimant son terme Franquisme, après la reconnaissance du droit à l'autodétermination d'un peuple multicolore, constitué de plusieurs ethnies hétérogènes :
     
    «-Un cessez-le-feu, -l'amnistie des prisonniers et -l'organisation d'un référendum sur l'indépendance», mais malgré,  cela pas mis fin à la violence, qui a continué. surtout au «Sahara Marocain oriental, groupant administrativement :
     
    «le Grand Touat, la Saoura, Tabelbala, Erg Iguidi et Tindouf», où les populations locales et le Caid Marocain Abdallah Sanhouri, agissant par Dahir Sultanine, avaient exprimé, leur Marocanité, refusant d'y participer au référendum organisé à ce sujet.
     
    Les Accords ont été le résultat de négociations secrètes entre la France et le (GPRA) qui ont eu lieu à Évian-les-Bains, en France, après lesquels, le cessez-le-feu a été décrété le 19/3/1962, mettant officiellement fin à la guerre, ouvrant la voie à la reconnaissance de l'indépendance de l'Algérie Française.
     
    Ainsi, le 1er/7/ 1962  a été l'occasion pour les Algériens d'en profiter de la libre-circulation en France et aux «Pieds-noirs¹» à se révolter. Ces derniers, rappelons-le, sont des colons Français, possédant biens et vivaient en Algérie Française, qui se sont soulevés, à volontiers, contre la décolonisation gratuite et la perte de leurs privilèges dans Algérie Française 
     
    Malgré les accords, recrudescence et violence ont eu lieu, notamment avec les attentats de ce qu'on a appelé à l'époque l'OAS (Organisation de l'Armée Secrète), et OS (Organisation Spéciale) deux filières Françaises qui se sont autoproclamées contre tout vent dévastateur à leur existence, s'opposant à toute indépendance improvisée de l'Algérie Française.
     
    Derrière ces accords, la France et le FLN ont façonné une transition où le contrôle de France restait intact, notamment sur le Sahara Marocain Oriental, tandis que le FLN consolidait son autorité., via, ce qu'on a appelé, -l'armée de frontière- prise au tenaille par le clan d'Oujda qui avait fait sa révolution au jeu de cartes et de loisir au Maroc, à Nador, Oujda et Meknès plus précisément!.
     
    Mailles et souveraineté: ..Les négociations n’ont jamais été faites au nom du GPRA ni au nom du FLN. Ce fut le triomphe depuis les barbelés de la frontière Algero-Marocaine au clan d’Oujda. La mise à l’écart du GPRA par le FLN était une idée bien française pour asséner un coup fatal aux gouvernements en exil de Ferhat Abbes et Benyoucef Ben Khadda.
     
    Ceci montre à quel point l’indépendance de l’Algérie n’a été obtenue ni au nom d’un peuple algérien ni au nom d’une souveraineté réelle sur le territoire. Les slogans politiques relevaient d’un registre différent de celui de la négociation suivie par le FLN pour exclure du droit à l’autodétermination et l’annexion des territoires du Maroc, tels que le «Grand Touat et la Saoura au Sahara Marocain Oriental».
     
    Tout au long des négociations d’Évian, dans aucun texte, la France n’a parlé de peuple, mais elle utilisait plutôt l’appellation de populations locales. Le handicap dont souffre l’histoire de l’Algérie actuelle est celui de la cohésion de ces populations collectées d'ici et de là!. Le recours et l’adoption du principe de l’intangibilité des frontières héritées du diable, sont le symptôme et l’unique rage, excitant l'Algérie, de manière aveugle.
     
    Cependant, les archives secrètes montrent que jusqu’en 1962, la France compte bel et bien organiser un référendum octroyé aux populations de l’Algérie Française, mais en faveur de deux territoires distincts :
     
    L’Algérie d’une part, et le Sahara Marocain oriental en département d'outre mer d'autre part,  ne furent rajoutés qu’à la suite de cette déclaration tonitruante du maudit négociateur Algérien, qui fait suite à celle du 26/10/1961, résumant la fin des négociations, sanctionnées par la signature des accords.
     
    Faut-il rappeler, les manœuvres néfastes épuisées d'Alger au sein de l'ex-OUA et à l’ONU pour l’organisation de référendum dans un territoire, empochant plus de douze siècles d'histoire ancestrale, qui n'est bien, que «le Sahara Marocain occidental», de Gelmim au nord à Lagouira au sud d'où, les tribus locales ont le prolongement dans le Nord du Royaume.
     
    Alors que les Touaregs, les Chaânbas et même les Reguibat de l’Est en Algérie n’avaient pas droit de voter au référendum organisé par la France sur la question de l’indépendance de l’Algérie en 1961, qui n'existait, ni sur mer ni sur terre, mais il y a eu, quand même, (le 8/1/1961) un référendum consultatif sur l'autodétermination des populations, en pèle mêle  en Algérie Française.
     
    Mise à mort du GPRA  : la mort du GPRA, mise en lumière conjointement, par la France et le FLN était en partie due à l’obstacle que constitue le traité² du 6 juillet 1961 signé entre Sa Majesté le Roi feu Hassan II et Ferhat Abbes, président alors du GPRA  :
    «Donnant droit au Maroc de restituer les territoires du Sahara oriental, dès que l'Algérie aura eu l'indépendance». Cela était conforme, de bonne fois, à la volonté de Sa Majesté le Roi feu Mohamed V qui, se croyait être devant des hommes crédibles de paroles.
     
    Ce traité aurait dû changer le cours de l’histoire, et éviter des décennies de mensonges et de trahison de la part de l'Algérie, étant que les accords ont été rendus caduc et quasiment inexistants après les Évian, puisque la France n'a pu négocier en quiétude, le troc entre ses intérêts en l’Algérie, et la restitution par le Maroc de ses territoires Marocains spoliés actuellement l'Algérie.
     
    Le terme «Algérie Française», fait référence à la colonisation Française de 1830 à 1962, est une expression qui semble faire allusion à des travaux qui cherchaient à analyser les enjeux de relations Francc-Algerie. Cette assertion montre, la voie suivie par les négociateurs pour écarter les droits historiques du Maroc sur ses territoires amputés.

    Stupidité made in Algerian : Loin de tout ça et à la recherche d'alibis actant sa haine envers la générosité Marocaine, Alger a fait enfanter, de relation illégale, un peuple bâtard qui pourra lui permettre d'avoir, facilement accès à l'atlantique. Pour y réaliser, le maudit Boukharouba, n’a pu en «inventer qu'un qu’en 1973» créant son Polisalgérien à Tindouf.

    Mais aujourd'hui avec la force des vents violents soufflant de chez l'oncle Sam, l'Algérie se trouve contrainte de courir contre la montre, après avoir sentie la menace d'initiative inédite visant à classer son bâtard de Tindouf en -entité terroriste-, le régime algérien déploie une diplomatie de crise pour amadouer l’administration USA et infléchir l’action de députés  Américain.

    Il a dépêché en juillet dernier son jongleur (Bou-Guadoum) à Washington chez le Sénateur  influent, «Jimmy Panetta», l'un des deux qui ont déposé le projet de loi, qui l'avait auditionné, en juge responsable devant un criminel en menottes !.

    Une agitation qui révèle l'ampleur du désarroi d’Alger et ses contradictions sur un dossier qui lui colle à la peau, et qui n’avait jamais affiché une telle fébrilité diplomatique. Mais l’annonce a eu l’effet d’un coup de tonnerre dans les cercles du pouvoir algérien. Dans les coulisses, c’est une véritable panique qui s’est emparée du régime, inquiet de voir sa marionnette séparatiste perdre, démoulant le jeu de Tindouf.

    Tentant d'éteindre les incendies qui l'entourent, l’Algérie avec toutes ses vannes de corruption ne pourra jamais encercler ou appréhender, de manière ou d'une autre, les progrès Marocains consolidant la Marocanité du Sahara.

    Sa diplomatie de mallette ne sert plus à rien, créant derrière, que l'incapacité de s'imposer encore plus en scène internationale, ni de de tordre le bras du Maroc, car le reste de ses corrompus d'autrefois, n'est plus en mesure de tenir le coup ou de contrarier la cadence Royale qui, continue à déjouer les illusions du vouloir d'Alger d'accéder à l'Atlantique pour déguster, gratuitement, de ses crevettes.

    Un souhait irréalisable, en tant que le Maroc est force inébranlable, demeurant pont infranchissable et obstacle aux voyoucraties Algériennes., surtout si cette voisine de mal,  persiste de chambouler à sa guise. Bonne lecture. 

                                                                 Cordialement, Chihab25

                                                             ____________ 

    ¹les Français d'Algérie contre l'indépendance. / ²Le contenu détaillé en note, quelque part en blog.