Les négociations Franco-Algériennes d'Evian et leur préjudiciable au Maroc!


Concernant ce dossier qui a fait vaciller un demi-siècle de propagande Algérienne. Mr.Staffan de Mistura, l'envoyer Onusien, pour le Sahara, ce diplomate habituellement réservé jusqu’à l’excès, a choisi la clarté, en la résumant , lors d'un entretien avec l'Institut italien d'études politiques internationales (ISPI), en une seule phrase, dont je cite :
«Le conflit du Sahara n’oppose pas un «peuple à un «occupant», ni une affaire de «mouvement de libération» mais deux États, le Maroc et l’Algérie». Oui. Il s’agit bel et bien d’une confrontation directe entre deux États. Tout le reste n’est que mise en scène».
En quelques mots seulement, il a balayé des décennies de propagande, réduisant à néant la fable fabriquée par Alger, osant dire tout haut ce que ses prédécesseurs n’avaient jamais franchi le pas de formuler. Cette fois, c'est la clarté qui provient, si j'ose dire, au nom de l'ONU!, place l'Algérie, et pas ses entités multicolores de Tindouf, face à sa responsable du conflit et l'incite à envisager le dialogue, autour de tables rondes plutôt que. l'intransigeance et la complexification de la crise.
Stupidité made in Algerian : Loin de tout ça et à la recherche d'alibis actant sa haine envers la générosité Marocaine, Alger a fait enfanter, de relation illégale, un peuple bâtard qui pourra lui permettre d'avoir, facilement accès à l'atlantique. Pour y réaliser, le maudit Boukharouba, n’a pu en «inventer qu'un qu’en 1973» créant son Polisalgérien à Tindouf.
Mais aujourd'hui avec la force des vents violents soufflant de chez l'oncle Sam, l'Algérie se trouve contrainte de courir contre la montre, après avoir sentie la menace d'initiative inédite visant à classer son bâtard de Tindouf en -entité terroriste-, le régime algérien déploie une diplomatie de crise pour amadouer l’administration USA et infléchir l’action de députés Américain.
Il a dépêché en juillet dernier son jongleur (Bou-Guadoum) à Washington chez le Sénateur influent, «Jimmy Panetta», l'un des deux qui ont déposé le projet de loi, qui l'avait auditionné, en juge responsable devant un criminel en menottes !.
Une agitation qui révèle l'ampleur du désarroi d’Alger et ses contradictions sur un dossier qui lui colle à la peau, et qui n’avait jamais affiché une telle fébrilité diplomatique. Mais l’annonce a eu l’effet d’un coup de tonnerre dans les cercles du pouvoir algérien. Dans les coulisses, c’est une véritable panique qui s’est emparée du régime, inquiet de voir sa marionnette séparatiste perdre, démoulant le jeu de Tindouf.
Tentant d'éteindre les incendies qui l'entourent, l’Algérie avec toutes ses vannes de corruption ne pourra jamais encercler ou appréhender, de manière ou d'une autre, les progrès Marocains consolidant la Marocanité du Sahara.
Sa diplomatie de mallette ne sert plus à rien, créant derrière, que l'incapacité de s'imposer encore plus en scène internationale, ni de de tordre le bras du Maroc, car le reste de ses corrompus d'autrefois, n'est plus en mesure de tenir le coup ou de contrarier la cadence Royale qui, continue à déjouer les illusions du vouloir d'Alger d'accéder à l'Atlantique pour déguster, gratuitement, de ses crevettes.
Un souhait irréalisable, en tant que le Maroc est force inébranlable, demeurant pont infranchissable et obstacle aux voyoucraties Algériennes., surtout si cette voisine de mal, persiste de chambouler à sa guise. Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25
¹les Français d'Algérie contre l'indépendance. / ²Le contenu détaillé en note, quelque part en blog.