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  • 1/2.-L'Algérie au service du Mossad Israëlien.(à suivre..)

     

    La rédaction du blog vous invite à jeter un coup d'oeil sur les vidéos au bas de la page, à gauche, qui traçent l'authenticité d'un royaume Chérifien et le Maroc  actuel en bref. 

    N.B: La publication de ces vidéos est provisoirement suspendue pour permettre aux lecteurs de lire les commentaires envoyés au blog par les services secrets algériens au sujet de la note en publication, qui portent la mention DZ de la catégorie et les réponses de l'administration.

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      (Les services secrets Israéliens recrutent des espionnes parmi les Algériennes, particulièrement les plus douées et  efficaces. Pas celles de Bab-El Oued ou d'El Kasbah d'Alger(?)        

         

    Préambule :

     Dans la majorité de leurs écrits, qu'ils envoyaient  à la rédaction du blog,des commentateurs frivoles algériens, nous qualifient, nous Marocains, de "juifs sionistes" (tel que!) utilisant des mots vulgères, diffamatoires, portant atteinte à nos valeurs sacrées et aux symboles nationaux de l'État. Ces affligeants algériens oublient, en quelques sortes, que leur pays de dignité (?) l'algérie collabore étroitement avec Israël sioniste, à leur insu et sans qu'ils le sachent. Je vais leur répondre particulièrement par cette note, pour qu'ils sachent davantage que la grandeur du Maroc est bien bâtie à l'abri de toutes diffamations et loin d'être à la portée des affligeants-connards alégriens,comme ceux-ci, pour désigner l'honneur Marocain de sioniste, comme ils le disent par esprit sale, esprit chaleresque chargé de haine, bourré de mensonges calomnieux, inventés depuis la venue de l'algérie en 62 par un pouvoir corrompu. Un sale pouvoir qui ne cesse de tracer dans l'esprit algérien de toutes les générations , depuis plus de cinq décennies, une mauvaise image sur le Maroc, le contraignant à s'en apprécier  à jamais.

    Quand le Maroc a voulu faire un pas dans ce sens, il le faisait ouvertement en Juillet 1986. Il agissait  dignement dans le cadre de sa propre souverainté.  Sans crainte de personne, le feu S.M. le roi Hassan II que Dieu ait son âme, par un  brave geste d'homme d'État, avait reçu solennellement à Ifrane Mr.Shimon Péres, alors ministre des affaires étrangères de l'État hébreu, le moment où l'algérie et les arabes bouillonnaient dans le vide, voulant jeter Israël à la mer. En plus de ça, le Maroc avait le courage, contrairement à l'algérie et sans rétisence, a ouvert publiquement un bureau d'attache Israëlien à Rabat en dépit de la tempête tumultueuse des arabes. Regardez cette vidéo inédite dans laquelle feu Hassan II faisait une déclaration dangereuse que ceux qui se sont succédaient au palais d'El Moradia ne pouvaient faire, voire ne connaissaient faire:

    http://youtu.be/QhVFC6sAQoc

    S'agissant de la cause arabe, les Palestiniens connaissent trés bien, plus que d'autres, la position positive du Maroc dans leur affaire. Qui ne peut se rappeler de la bruyante «affaire Arafat-Hassan II» déclancée à partir d'Alger? C'était une initiative  «algéro-Lybienne», pour ne pas dire autrement, qui tentait de casser le pont entre Marocains et Palestiniens d'une part, et minimiser le grand rôle que jouait feu S.M.le roi Hassan II, président du »Comité ElQods» dans le champ politique international, et en tant qu'activiste silencieux, de poids lourd, dans l'affaire arabo-Israëlienne, d'autre part.

    Dans ce sens,  le président Palestinien, s'est fait enroulé par pression du pouvoir algérien, qui collectait aveuglement les reconnaissances de sa fantôche Rasd, par tous les moyens, profitant de chaque occasion pour arracher l'appui de n'importe qui, lui permettant «d'autodeterminer» de force, son peuple imaginaire.

    S'adressant au peuple "Sahraoui d'Alger".Yasser Arafat s'est fait trompé de cible et il avait dit:Nous savons bien que vous êtes bien anéantis et opprimés, comme nous Palestiniens!". Et Hassan II n'a pas manqué de le redresser à chaud, car cette déclaration inopinée et inattendue d'un leader Palestinien surtout, le mettait en colère capitale, adressant publiquement à son peuple, pour la 1ère fois, à travers la radio et la télévision des mots vulguères¹, dépassant la vertu du respect linguistique et le principe qui dit «Quand on sait entendre, on parle toujours bien.»                                 

    La sortie initiale de cette note consacrée à l'algérie et le Mossad, était prévue pour les mois prochains, mais elle a été décalée à aujourd'hui à cause d'afflux de commentaires adressés à la rédaction par des algériens, portant entre autres, des écrits insultants, des injures offensants à l'encontre de nous Marocains.

    J'aurais pu reculer la sortie, encore et encore, mais je ne me sentais pas avancer dans cette direction, un retard de plus me fait, à moi et à mes lecteurs, un drôle d'effet. Et demain, paradoxalement, je n'aurai pas mon petit déjeuner servi au lit si je tarderai encore la publication d'un jour. Après la publication, le lecteur verra bien l'ampleur du contenu où on se moque pas des petites mamies algériennes qui sont à côté de la plaque hébraïque à Tel-Arrabiâ(Tel-Aviv selon Kaddafi) ou à Jérusalem occupée.

    Je ne peux pas dire que je ne suis pas mécontent de me retrouver devant une telle situation, mais je sais ce que je dirai la-dessus  pour riposter et piquer le nez algérien qui en général ne sent que la pourriture, surtout de ceux du DRS qui bloquent le souffle des algériens, sans pouvoir faire autant pour stopper l'emergence des services secrets israëliens dans leur pays.

    Le lecteur assidu me trouvera agité dans cette préambule, et me dira qu'il me faut un peu de calme pour faire une transition, puis absolument réusssir à entrer à nouveau, par la réalité qui touche le sale esprit de nos ennemis algériens. Je dis bien nos ennemis, car se sont eux qui ont choisi de les appeler comme ça, dans ce monde dont ils sont, à mon sens, réellement exclus depuis l'acquisition de leur indépendance en 1962. Oui, ils sont bien sûr exclus dans un monde jouissant de la crédibilité, où le Marocain se sent bien à sa place pour affronter les calomnies algériennes,  les affronter par les vérités, dont ils sont dépourvus, pour ne leur permettre plus de se cacher derrière les rideaux de mensonges du pouvoir algérien.

    Vous me direz..attends..!, les relations algéro-Marocaines connaissent en ce moment un réchaufement échafaudé par le gouvernement de Ben Kirane,  par le visite du président Tunisien au Maroc, et par la spectaculaire rencontre des ministres des  AE des cinq pays formant le soi-disant" U.M.A", dans l'espoire de re-dynamiser le mort-né, le Grand Maghreb. Je réponderai par un grand "NON". et pour cause, je n'y crois pas à cette nouvelle pièce théatrale Maghrebine au pluriel, malgré apparemment, les bonnes volontés éxprimées par le Maroc et la nouvelle Tunisie dans ce sens. Quant à l'Algérie, je ne pense pas qu'elle a la même volonté, voire la «volonté», tout simplement. Elle surveille avec son hypocrisie habituelle ce qu'elle considérerait comme "danses" circonstancielles et excéssives des autres Maghrebins.

     Il n'y aurait pas d'ouverture crédible, non plus, dans  nos relations avec cette algérie, tant qu'elle est encore soucieuse de protéger les problèmes en suspens avec le Maroc et veille de plus à leur protection et à leur sauvegarde au profit de sa crise de pouvoir (pour la consommation locale), en l'occurence le problème du Sahara et les frontières avec notre pays. On parlait de «maintenir en différé» le dossier du Sahara Marocain à l'instance des Nations Unies et au Conseil de sécurité, c'est l'alibi pertinent auquel s'attache le pouvoir algérien pour s'en fuir en avant, sachant que les rounds de «Manhasset» ou d'ailleurs n'aboutiront toujours à aucun concret. Etant donné qu'elle persiste dans sa fuite en avant en évoquant toujours aux instances internationales, les mots qualifiant "Le Maroc occupant" du Sahara (occidental) et la situation des droits de l'homme au Sahara marocain, son objectif étant de détourner l'attention de ses innterlocuteurs sur son «déficit national en matière de démocratie, des droits de l'homme et de liberté en général».Tandis qu'elle est mal placée pour parler de cela au Maroc, en particulier.

    De même il n'y aurait pas, à mon avis, de Grand Maghreb avec les cinq aliénas conditionnels du président Tunisien le Dr. Mohamed Mouncif El Marzouki. L'attitude de l'algérie est bien claire depuis le «ronronnement», si vous vous souvenez, de Mourad Medelci ministre algérien des AE devant les journalistes et les caméras de télévisions durant son dernier passage à Rabat(18/2/12), évitant certainement de parler clairement de cette absurdité et de ce tumulte (grande agitation bruyante) des nouveaux venus au pouvoir, le "Ennahda en Tunisie et le Pjd au Maroc. C'est la grande phase de l'hypocrisie algérienne officielle, se moquant de tout ça en disant: " Monter au train en panne, écouter ses affligeants" et suivre l'évolution dans le sens qui n'emmène en rien". Je ne suis pas un charlatan-fkih, (Samawi) lisant les pommes de mains. Mais ça serait  sûrement la réalité algérienne.L'avenir en prouvera comme à l'accoutumée.

    J'aurais voulu faire mourir cette avalanche de sentiments de négativité qui martèle, sûrement, la bons esprits dans les cinq pays de l'Afrique du nord pour ne plus jamais avoir mal, comme on réconforte un enfant après un cauchemar.Mais les faits et les pratiques de la part de l'algérie déjouent substantiellement les dires. Et je ne sais toujours pas pourquoi les algériens nous détestent désormais autant....."il n'y a que les gens qui ont vécu le mal algérien qui peuvent comprendre..! Néanmoins, les Marocains ne sont pas des juifs ni des sionistes non plus, ils  ne sont que des hommes braves, crédibles ayant eûent le courage, à travers les temps, de gifler -aux moments propices- ce voisin affligeant qui dérange. Tandis que les algériens, les plus intéllégeants du monde(!), honorés par le clan d'Oujda patinent et dérapent dans tous les sens, alors que leurs dirigeants, sans exception, volent avec les voleurs et pleurnichent avec les volés! Chihab25                                                           

                  

                                                               

    Abdelaziz Bouteflika a traité il y a plus d'une décennie les journalistes algériens qui se sont rendus en Israël de« lâches».Ignorait t-il que les plus grands lâches sont ceux qui méditaient les prêtres à Tibhirine:
    " Fait ce que je te dit, mais ne fait pas ce que je fais ", C'est la culture du clan d'Oujda plus particulièrement de Bouteflika qui a même outrepassé ses prérogatives devant un peuple de dingues.

    Il est à rappeler dans ce sens que les journalistes de l'AFP  accrédités en Israël ont constaté à Jérusalem - qu'une dizaine de journalistes et universitaires algériens ont entamé  «une première visite publique» d'une délégation de leur pays en Israël en rencontrant à Jérusalem le ministre israëlien des Affaires étrangères en poste, Mr.David Lévy.Cette visite témoignait de l'accroissement régulier des contacts entre Israël et l'algérie depuis fort longtemps."Nous sommes très fiers de cette visite d'intellectuels et de journalistes venus voir la société israélienne et ses institutions", a affirmé M. Lévy à l'époque."C'est une initiative importante que nous ne pouvons qu'encourager". "Cette visite est un signe positif, même s'il ne s'agit pas d'une délégation officielle", a-t-il déclaré à l'AFP. "Le gouvernement algérien est au courant de leur venue", a-t-il ajouté.
    D'autre part, le journal français Le Monde avait fait état en décembre 2000 de la visite en Algérie, du 15 au 25 octobre 2000, "d'une délégation Israélienne de haut niveau". Le président algérien a toutefois souligné à de nombreuses reprises qu'il ne pourrait y avoir de relations diplomatiques tant qu'Israël n'aurait pas signé d'accords de paix avec les Palestiniens et la Syrie.

    Bouteflika joue le malin :

    1) Il a saisi toutes les opportunités d'ouvertures à l'égard des juifs en rendant hommage aux artistes juifs à l'image d'Enrico Macias qu'il a lui-même invité en Algérie?
    2) En marge de son voyage d'État effectué à la mi Novembre 1999 en Italie, Bouteflika a rendu visite secrètement à Danny Yatom conseiller aux affaires de sécurité d'Ehud Barak premier ministre israélien à l'époque. Cette information a été dévoilée et diffusée sur le mensuel algérien «l'Espace d'Algérie» du mois de septembre 2000 dans sa page 16 consacrée aux dossiers de l'heure extraite d'une revue parue en l'an 2000 dont l'article était intitulé "ALGERIE-ISRAEL liaison dangereuse". Aucun démenti à l'époque du locataire du palais d'ElMoradia d'Alger.
    3) Selon cette revue, le président algérien a demandé l'assistance de l'État Hébreu pour la mise en place d'une unité spéciale chargée de la garde rapprochée des personnalités, ainsi que la fourniture de système électronique de surveillance et de matériel de télécommunications sophistiqué. Israël a donné son aval à la première requête, mais pas à la seconde. Les membres de l'unité spéciale devaient être formés à l'époque par le «Shin Beth et le Mossad». Peu après la visite secrète d'une délégation israélienne à Alger le 15 et le 24 octobre 2000, alors que le chef de l'État algérien a ainsi rencontré deux ministres israéliens en Espagne.

    Ce que n'a pas dit Bouteflika :

    (Diplomatie, sécurité, économie : voilà des années qu'un rapprochement algéro-sioniste s'esquisse. Même si Bouteflika s'en défend hypocritement, au nom de la cause arabe).

    Quel tapage! Le 3 juillet 2000, à l'aéroport Houari Boumediene d'Alger, deux comités d'accueil rivaux attendent une poignée de journalistes algériens, de retour d'un séjour controversé en Israël. Le premier, emmené par les islamistes du Mouvement de la société pour la paix (MSP), abreuve d'injures les «scélérats». Accouru au secours des collègues ainsi flétris, le second, ténors des médias et de la mouvance démocrate en tête, aura droit lui aussi à sa bordée d'anathèmes. 

    L'exemple vient de haut. Trois jours plus tôt, le président Abdelaziz Bouteflika fustigeait de Tunis la «trahison», l'«erreur impardonnable» commise aux dépens des «peuples frères» libanais, syrien et palestinien. Pis: ce voyage au coeur de l'«entité sioniste», à l'invitation du ministère des Affaires étrangères de l'État hébreu, passe à ses yeux pour un «acte de violence qui nourrit le terrorisme». Trahison, terrorisme: en Algérie, ces mots-là valent leur pesant d'histoire et de sang. Pourquoi un tel tollé? Même si le format de cette visite guidée lui conférait un caractère inédit, plusieurs envoyés spéciaux algériens avaient déjà foulé le sol israélien. Le quotidien algérien francophone «El Watan» en a dépêché cinq entre 1992 et 1998. Mieux: dès 1995, une équipe de la télévision d'État algérien, venue explorer les enclaves cédées à l'Autorité palestinienne, s'offrit de brèves incursions en Cisjordanie occupée, avec l'aval de Tsahal². 

    Dûment informé, voire consulté par quelques rédacteurs en chef dubitatifs, le pouvoir aurait pu tuer dans l'oeuf l'expédition. Il n'en fit rien, au grand dam de Damas. D'où l'hypothèse en vogue au sein des rédactions algéroises: Bouteflika a trouvé là l'occasion de lancer à peu de frais un ballon d'essai, mais aussi de piéger la presse indépendante algérienne,  considérée comme «cause de tous les maux» du pays selon le pouvoir algérien. Diplomate de carrière, «Bouteflika» ne saurait tolérer la moindre intrusion dans son domaine réservé. D'autant que Bouteflika, alors le président en exercice de l'Organisation de l'unité africaine (OUA) tient à parfaire sa stature de leader continental, médiateur engagé de l'Erythrée au Congo-Kinshasa et porte-drapeau intransigeant de la cause arabe. La virée israélienne lui offre le prétexte de réaffirmer les dogmes façonnés au temps du Front du refus, quand l'Algérie, au côté de l'Irak et de la Syrie, donnait le ton de l'antisionisme. «En ce sens, note l'historien Français Benjamin Stora, professeur des universités. , il reste prisonnier de son passé.» La doctrine tient en une formule: pas de normalisation avec Israël avant l'émergence d'un Etat palestinien digne de ce nom et la restitution à la Syrie du plateau du Golan. 

    Voilà pour la posture officielle. Sur scène comme en coulisse, maints indices confirment pourtant l'amorce d'un dégel. Il y eut bien sûr, le 25 juillet 1999, en marge des funérailles de Sa Majesté le feu Hassan II, la poignée de main échangée avec le Premier ministre israélien, Ehud Barak, prélude à un aparté de 7 minutes. Et ce, trois semaines après l'hommage rendu aux juifs d'Algérie à Constantine, jadis siège de la plus forte communauté hébraïque du Maghreb. Il y eut aussi, en juin 1999 à Paris, l'entretien accordé par Bouteflika à Henri Hadjenberg, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crijf). L'occasion de reconnaître à Israël le «droit d'exister» et d'envisager des «relations privilégiées» entre les deux pays. Bien sûr, les écueils ne manquaient pas. 

    Pour preuve, le report «sine die» de la tournée d'Enrico Macias, prévue en mars de la même année, victime du travail de sape des milieux islamo-conservateurs. Pied-noir natif de Constantine, le chanteur était pourtant l'invité du président... «Malgré une présence deux fois millénaire, souligne Benjamin Stora l'historien Français, le passé juif de l'Algérie a été escamoté d'une manière radicale. En devenant citoyens français dès le 19 eme siècle, les juifs d'Algérie ont échappé à la condition de «dhé'mmi», sujets protégés en Islam. Quitte à passer pour les alliés du colonisateur. Grief aggravé lors de la guerre d'indépendance de l'algérie, quand ils choisissaient, les uns d'aller en Israël, les autres de s'établir en France.

    «Fortuits» ou pas, les contacts s'intensifient. Notamment, depuis plus de dix ans, dans les domaines militaire et économique. La surveillance des réseaux terroristes islamistes a stimulé la coopération entre les services de renseignements des deux pays, le Mossad et le DRS. De plus, selon le quotidien israélien Yediot Aharonot, des émissaires de Bouteflika auraient transmis, lors d'une discrète rencontre en Italie avec Dany Yatom, désormais conseiller d'Ehud Barak et ancien chef du Mossad, une requête portant sur la formation d'une unité spéciale chargée de la protection rapprochée des dignitaires du régime et la fourniture d'équipements de sécurité sophistiqués. Voilà en outre plusieurs années que des sociétés israéliennes fournissent à l'Algérie des médicaments et du matériel hospitalier, expédiés fictivement de Marseille. Quant aux règlements, ils transiteraient par une banque marocaine(!). «Si j'ai un malade à l'agonie à la maison, et que toutes les pharmacies sont fermées hormis celle que tient l'Israélien, moi, j'achète.» Qui donc fit un jour cet aveu à Oran? Un certain citoyen dit Abdelaziz Bouteflika. 

    Quand Israël espionne l’Algérie :

    Cet atout technologique israélien devait donner un avantage stratégique sur l’Iran, mais aussi sur d’autres pays arabes. Israël semble vouloir envoyer un message à tous les états arabes considérés comme “hostiles”.

    Lancé le 25 avril 2006, le satellite espion israélien Eros B, troisième satellite militaire de l’état hébreu, devait initialement se focaliser sur les installations nucléaires iraniennes. Or, selon le quotidien israélien Maariv, l’agence Imagesat International, filiale des industries aéronautiques militaires israéliennes, a diffusé de nombreuses photos émises, plusieurs sites considérés comme sensibles dans les pays arabes, dont l’Algérie, ont été capturés par les caméras à haute résolution.

    Que cherche Israël en diffusant des images satellites sur les sites algériens ? à son lancement de la rampe russe en Sibérie, les militaires israéliens, dont le ministre de la défense, Shaoul Mofaz, ont clairement indiqué que ce satellite espion Eros B — troisième satellite après Eros A et Ofek 1, 2 et 3 — devait permettre au gouvernement israélien de surveiller de plus près (le satellite peut prendre des photos d’objets pas plus grands que 70 centimètres), les installations nucléaires iraniennes soumises, déjà, au suivi étroit de la NASA américaine(National Aéronautics And Space Administration) et de l'AIEA (Agence Internationale d'Energie Atomique).

    Ainsi, le satellite-espion, d’Israël Aircraft Industries, une société d’état israélien, a balancé des images de sites aussi divers que le barrage de Tabka, le plus grand pourvoyeur d’électricité de Syrie, l’aéroport militaire de Kassala, au Soudan, d’où s’envolent les hélicoptères soudanais qui survolaient le Darfour ou encore des photos de bases aériennes ou de ports comme celui de Skikda en Algérie !
    L’utilisation de ce genre d’images contre l’Algérie a déjà eu lieu à deux reprises. D’abord, suite aux déclarations des services secrets britanniques du MI6 qui ont diffusé dans les médias anglais les images du réacteur civil algérien d’Aïn Ousséra, Essalam, qu’ils ont tenté de faire passer pour un réacteur militaire afin de contrarier la coopération nucléaire entre l’Algérie et la Chine.
    Les inspections répétées de l’AIEA sur le site de Jelfa avaient démenti toutes ces allégations qui sont reprises, de temps à autre,dit-on en algérie par les «Marocains(!)» pour justifier la relance de leur propre programme nucléaire.

    Ensuite, lors de l’affaire du massacre de Bentalha  22-23/9/1997(un village algérien aux alentours d'Alger), lorsque des sources probablement étatiques ont donné à une chaîne de télévision française des images satellites de la région de Bentalha lors de ce forfait, prises par le satellite espion français Spot. Ces images visaient à faire accréditer la thèse de déplacement de troupes algériennes lors du massacre pour faire croire que l’armée n’a pas assisté les civils et n’a pas mis les moyens pour organiser la défense. Sur ce dossier-là, les témoignages des “Emirs” du GIA avaient contredit cette manipulation.

    Mais cette fois-ci, ce sont les Israéliens qui s’y mettent. En choisissant le port de Skikda, un des plus grands pôles pétroliers en algérie, Tel-Aviv veut par cela insinuer qu’elle est en mesure de suivre de très près l’évolution des ressources énergétiques stratégiques de l’Algérie.
    Alors que le satellite devait prendre quelques jours pour être opérationnel, les médias israéliens diffusaient, 5 jours après, des images d’une haute qualité comme pour narguer les états arabes hostiles à sa politique.
    Cette volonté de superpuissance a été vivement critiquée dans les médias arabes qui exhortaient les états de la Ligue arabe à riposter sous la forme d’un projet interarabe visant à prendre également des images d’Israël.
    L’idée est judicieuse, mais son application pourrait tourner à la catastrophe comme ce fut le cas d’Arabsat. Il faut dire que les États-Unis veillent au grain dès qu’il s’agit de sa sécurité et de celle d’Israël et mettraient leur veto à toute entreprise de ce type qui nécessite une technologie de pointe, car seuls 8 pays dans le monde peuvent envoyer des satellites dans l’espace (les États-Unis, la Russie, l’Angleterre, le Japon, l’Inde, la France et la Chine).

    L'Algérie de dignité est une proprièté privée du Mossad :

    (Les services secrets israéliens recrutent leurs agents parmi des Algériennes, particulièrement  les douées et efficaces).

    Teint doré, petite coupe à la garçonne, yeux pétillants, regard charmeur, démarche gracieuse et élocution parfaite. Sous ses airs légers et désinvoltes de métropolitaine bien dans sa peau, Badra F., une algérienne à la quarantaine épanouie, cache remarquablement son jeu. Badra est, comme on l'appelle dans le jargon du renseignement, «un officier traitant». olyglotte, instruite, intelligente, perspicace et discrète, c'est l'une des recrues étrangères hautement opérationnelle d'une des plus puissantes agences de renseignement dans le monde, le Mossad israëlien. Chargé, à côté du Shabak (ex Shin Bet, sécurité générale intérieure) et de l'Aman (renseignement militaire), de la sécurité extérieure (renseignement,  des opérations clandestines et lutte anti-terroriste).

    Badra chapeaute un réseau de 12 agents secrets en jupons, toutes algériennes comme elle, dont sa sœur, engagée à l'âge de 12 ans. Repérée en décembre 2001 par le "sayan" Albert M., un agent dormant du Mossad établi au Maroc, dans une soirée mondaine à Casablanca, celui-ci lui présentera quelques mois plus tard à Paris, Joseph B., chasseur de têtes pour les services secrets israéliens. Badra M., diplômée en sciences politiques et en langues étrangères, hésitante au début, finira par accepter de travailler comme "katsa". Autrement dit, comme officier de renseignement, pour le compte d' IRAS (l'Institut pour les Renseignements et les Affaires Spéciales), moyennant une rémunération initiale alléchante de 70.000 euros par an.

    Mais pas seulement. Car, en plus d'un salaire fixe, elle s'est vue proposer, comme nombre d'agents secrets, d'autres émoluments et avantages en nature : prime pour certaines opérations à risque élevé, passeports de plusieurs pays occidentaux, voiture et appartement personnel dans une métropole de son choix, ouverture d'un compte bancaire en Suisse, quelques bijoux précieux et vacances annuelles vers sa destination préférée. Et, bien sûr, augmentation de salaire avec l'expérience et les années passées au service de l'agence. Tous les ingrédients de la motivation étaient là.

    Tests psychologiques, entraînement au combat, à la filature, à la résistance à la torture, maniement des armes légères, perfectionnement en informatique, cours de linguistique… Badra . suit une formation intensive et pointue en espionnage pendant plusieurs mois dans la région de Haïfa. Jonglant avec les passeports et les identités. Imitant à merveille les multiples accents orientaux. Au gré des missions, elle portait tour à tour plusieurs étiquettes d'identité: journaliste Marocaine, Beurette bénévole dans l'humanitaire, Enseignante Tunisienne d'arabe classique. Comédienne belge d'origine libanaise, Assistante de direction Libyenne. Ou encore Organisatrice Emiratie d'événements artistiques. Elle apprend vite et fait montre d'une telle efficacité qu'elle se voit à son tour confier le recrutement de nouveaux agents féminins à travers l'algérie.

    Nous sommes en 2003. Meir Dagan(4), ne machait pas ses en laissant entendre que:La politique d'ouverture du Mossad, entamée en l'an 2000, sous la direction d'Ephraïm Halevy (1998-2002), alors que la seconde Intifada battait son plein. Et que la communauté internationale dénonçait massivement les exactions croissantes de l'État hébreu contre le peuple et les dirigeants palestiniens. Plus que jamais, Israël avait besoin d'être informé de tout ce qui peut, de près ou de loin, attenter à son existence, sa sécurité ou sa pérennité. Le Mossad s'essaie même au recrutement en ligne (www.mossad.gov.il). Les attentats du 11 septembre 2001 finissent de convaincre l'Institut (créé initialement en 1951 sous David Ben Gourion pour faciliter l'Aliyah, le retour vers le jeune Israël né en mai 1948) de la priorité de renforcer ses antennes périphériques.Notamment et surtout dans les nations et auprès des faiseurs d'opinion (hommes et institutions) et des centres de décision politico-économiques arabes et musulmans. Le mieux est d'embaucher des gens du cru, des autochtones. Et, pourquoi pas, des femmes. Enrôlées de gré (en échange de contreparties conséquentes) ou, comme le prétend Nima Zamar,une ex-espionne du Mossad, dans "Je devais aussi tuer", de force (chantage, viol, menaces…).

    Attirant peu les soupçons et les méfiances, le "sexe faible" dispose en plus d'un arsenal inné redoutable. Enveloppe charnelle qui s'avère parfois plus efficace et plus pointue que n'importe quel équipement d'artillerie lourde. Œillades suggestives, balconnet plongeant, danse lascive, paroles coquines, alcool et autres paradis artificiels aidant, et voilà, à l'usure, le plus récalcitrant des hommes dans les filets, le corps en feu et la langue déliée. Autant de "bombes anatomiques au service des Services" à dissimuler et disperser ici et là, en fonction des besoins et des missions du moment.

    N'hésitez pas de lire la partie suivante de la présente note  pour avoir l'idée générale complète. Bonne lecture, à tout de suite.

                                                             Cordialement,Chihab25

    (à suivre...)

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    ¹.-"Je tâcherai de (ka..ka!) la porte de celui, des Marocains, qui sympathise avec la Palestiniens" .نَطْلِيلــُو بابو بْلــَخْـــرى

    ².-l'Armée de défense d'Israël
    ³.-  Margaretha Geertruida Zelle,une danseuse Hollandaise qui paie de sa vie son inconscience et sa légèreté. Le 15/10/1917, en pleine guerre(1ère guerre mondiale) est fusillée pour espionnage en France.
     (4).-Meir Dagan est un militaire israélien, directeur du Mossad (Service de renseignement israélien) durant la période allant de août 2002 à 2010.