2/2.-L'Algérie au service du Mossad Israëlien.(suite et fin)
Malgré son intéllegance trop avancée, Bouteflika, dit:Sidi H'bibi!, est dans la tourmente totale.
Le Mossad emploierait depuis ses quartiers généraux, 1500 personnes, dont 25% de femmes.
L'Institut s'est déjà, par le passé, assuré de l'efficacité de ses agents féminins, dont certaines ont réussi d'admirables faits d'armes. Parmi les plus célèbres agents du Mossad, Une certaine «Cindy», de son vrai nom "Cheryl Hanin Bentov". Cette dernière est parvenue à piéger Mordechaï Vanunu, israélien d'origine marocaine( du Mellah de la vieille médina de Rabat) converti au christianisme, et ancien technicien à la centrale nucléaire de Dimona (construite au début des années 60 dans le désert du Neguef en Israël). Celui-ci avait révélé au Sunday Times, le quotidien britannique, l'existence d'ogives nucléaires dans les sous-sols de la même centrale. Pour avoir accepté, le 30 septembre 1986, l'invitation à Rome de Cindy dans une rue Londonienne, Mordechaï Vanunu, traître pour les uns, héros pour les autres, se retrouvera, drogué, kidnappé puis expédié clandestinement en bateau vers Israël. Avant d'être incarcéré pendant 18 ans dans une prison en Israël.
Autre preuve de la place grandissante de la gent féminine au cœur des services secrets israéliens, sous Shabtai Shavit (1990-1996), le numéro deux du Mossad n'était autre qu'une femme, Aliza Magen. Ceci étant, quelles femmes s'allier dans le monde arabo-musulman? Au sein de ce dernier, Israël connaît bien le Maroc. Et sait aussi que les Marocaines peuvent faire preuve d'une détermination et d'une efficience étonnantes dans les causes qui leur tiennent à cœur. Qui ne se souvient pas des sacrifices consentis pour la cause palestinienne et l'identité arabe (5 ans dans les geôles israéliennes, 7 ans de guerre civile au Liban) par les sœurs Rita et Nadia Bradley? Mais comment faire pencher la balance de son côté ? En y mettant le prix fort, les services secrets israéliens parient qu'ils pourront au moins s'adjoindre la coopération précieuse de quelques-unes d'entre elles, fut-elle ponctuelle.
C'est ainsi que l'agent Badra, désormais chasseuse de tête et formatrice, voit sa prime grimper. Elle rentre un certain temps au Maroc. Histoire de repérer des filles du pays correspondant au plus près aux critères exigés par les services d'espionnage israéliens. Elle en cueille une dizaine, jeunes, jolies et coquettes, de milieux socio-culturels différents.
Argent, alcool, sexe, drogue ?
Certains agents recruteurs s'adressent aux réseaux de trafic humain, comme c'est le cas d'après les témoignages de repenties, de mineures russes vendues parfois par leurs propres parents à la mafia locale. Avant d'être exploitées par le crime organisé au Moyen-Orient et ailleurs puis forcées à collaborer avec le Mossad. Badra, elle, a ses propres procédés. Elle détecte les faiblesses des unes et des autres, leur faisant miroiter mille et une promesses en échange de leur collaboration. Certaines rêvent d'une vie luxueuse, d'argent facile et d'horizons cléments. D'autres ne demandent qu'une petite aide pour leur famille démunie ou espèrent rencontrer un étranger qui leur assurerait une existence décente.
Concernant les espionnes algériennes, Badra, elle les avait enchainées et bloquées pour qu'elles ne puissent s'en fuir et retourner en algérie, les obligeant à contracter, sans le savoir, des mariages de complaisance (zawaj lmout'aâ) avec des ressortissants israëliens mercantis d'origines arabe du territoire palestinien de 1948 et avec des riches «businessmen» des monarchies pétrolières du Golf qui viennent en Israël pour le plaisir. Elle le fera aussi certainement pour les Marocaines sélectionnées, avant de se rendre compte, une fois sur place, du véritable but de leur venue en Israël.
Avec sérieux et discipline, Badra enseigne à ses protégées, les rudiments de la parfaite petite espionne : se fondre dans la masse, faire preuve d'empathie, tout en restant réservée et vague sur sa personne. Quitte à s'inventer un tout autre vécu pour brouiller les pistes. En parallèle, les jeunes mercenaires affûtent leurs armes de séduction : cours de culture générale, de maintien et de bonnes manières, séances de perfectionnement en cuisine et en danse orientale, diètes amincissantes, shopping dans des enseignes de luxe et de grandes surfaces…
Les voilà fin prêtes. D'Alger à Damas, en passant par Bagdad, le Caire, Washington, Paris et Nairobi, Badra et son staff se lancent dans des missions plus ou moins périlleuses, chacune sous une couverture différente. Les moins instruites sont affectées à des postes de domestiques, de filles au pair ou de masseuses. Les plus agiles et les plus jolies embauchées comme danseuses dans des boîtes de nuit huppées, tandis que les plus futées sont introduites dans des ONG internationales. Les cibles de ces «Mata Hari³» sont claires: députés, diplomates, ministres, activistes, hommes d'affaires, magistrats. Hauts gradés de la police, de l'armée et de la gendarmerie. Ou encore journalistes influents et experts en géostratégie ou en terrorisme (entre autres) exerçant dans les pays arabes et limitrophes ou en dehors. Les objectifs aussi sont bien définis:
obtenir des renseignements auprès de ces notables - à leur insu ou par chantage - sur leurs positions et leur degré d'implication idéologique et matérielle, entre autres, quant à l'Etat hébreu et sa politique. Ses relations avec les pays arabo-musulmans, la situation au Moyen-Orient, la légitimité des régimes arabes actuels auprès de leurs populations . Ou encore leur opinion par rapport à la montée de l'islamisme dans le monde.
(avant le printemps arabe bien sûr). Autant d'informations précieuses qui aideront par la suite la DRE(Division Recherche et Etudes du Mossad, l'un de ses 8 départements) à rédiger ses rapports, qui sera remis au final au Premier ministre en personne.
Trois algériennes (Nouria, Hanane et Haouaria) sont ainsi chargées d'impliquer d'influentes personnalités américaines d'origine arabe, antisionistes, dans des scandales sexuels, en prenant soin de filmer leurs ébats avec ces derniers. Badra ne laisse rien au hasard. Elle distribue les missions à deux autres algroises cette foi-ci. Salima, pour sa part, se voit confier la fonction de fournisseur attitré de stupéfiants pour l'équipe. Tandis qu'Asmae, avec quatre de ses acolytes, décroche un job dans une boite de nuit à Beyrouth fréquenté par des fonctionnaires hauts placés. Avec ses amies, elles réussissent à approcher Georges Frem (mort en 2006), député et ministre de l'Industrie au sein du gouvernement Libanais de Rafiq Hariri.
Asmae entre également en contact à Chypre avec un Israélien dénommé Berel et un Syrien, dit Marwan. Ces deux hommes la chargent avec Yakatserina Shasternick, originaire de la ville de Minsk (Biélorussie), de dénicher de jolies filles pour animer des dîners à l'Hôtel Phoenicia de Beyrouth. Un établissement réputé depuis des décennies, comme un lieu de rencontre pour des trafiquants de drogues dures, d'armes et des agents secrets du monde entier. L'autre Karima, jeune algéroise de confession hébraïque, s'occupe pour sa part de la filature d'un citoyen arabo-américain proche de l'administration Bush à Washington.
Lors de sa dernière mission, Badra devait pour sa part séduire de riches businessmen américains d'origine arabe, défenseurs avoués du processus de paix en Palestine, et vérifier si ceux-ci l'étaient effectivement. Elle est aussi arrivée à une jeune Marocaine, dont le nom n'était pas dévoilé, assistée de certaines de ses consœurs algériennes d'Europe centrale, d'Asie ou d'Afrique de l'Ouest, de collaborer avec la CIA(Centrale d'Intéllegence Américaine) dans le cadre d'opérations communes. Ou avec d'autres services secrets de pays amis d'Israël ou n'ayant pas de contacts normalisés avec l'Etat hébreu. Badra travaillera-t-elle un jour avec la division des opérations spéciales du Mossad, connue sous le nom Action, l'unité chargée des éliminations physiques de cibles arabes sensibles, des opérations paramilitaires et de sabotage ?
Certains services secrets soupçonnent en tout cas ce petit bout de femme d'avoir fait partie, alors qu'elle officiait aux Emirats Arabes Unis, du même groupe d'agents turcs et saoudiens, auteurs présumés du meurtre et de la mutilation, le 24 septembre 1980, du journaliste Salim El Laouzi, libanais pro-indépendantiste et anti-Syrien(de la revue Al Hawadeth).
Badra n'est pas dupe. Elle sait qu'elle risque sa vie avec ce métier de l'ombre dont elle a peur de ne plus pouvoir se passer. Et que ses recruteurs ne viendront pas à sa rescousse si elle tombe dans les filets de leurs ennemis. Mata Hari n'a-t-elle pas été fusillée par la France en 1917, cette nation même pour laquelle elle se disait espionne? Et, le 18 mai 1965, Kamil Amin Tabet, l'agent israélien Elie Cohen, n'a-t-il pas été pendu sur la place publique à Damas ? Et que dire des ratés de plus en plus fréquents du Mossad, sachant que, à titre d'exemple, pour la seule année 1996,les Egyptiens ont démantelé 7 réseaux d'espionnage israéliens… contre 20 pour les 15 années précédentes ? Jusqu'où Badra et ses collègues seraient-elles prêtes à aller ?
Une chose est sûre : fichées par Interpol et de nombreux services secrets à travers le monde, Badra F. et sa douzaine de collaboratrices, se sont aujourd'hui, évaporées dans la nature. Envolées vers d'autres cieux, repenties ou... en quête d'autres proies ?
Selon le quotidien Israélien «Yediot Aharonot » dans son édition normale, l’homme serait disparu dans une région en Afrique du nord et l’on s’inquiète qu’il soit kidnappé par les groupes terroristes algériens. Celui-ci aurait contacté sa famille en France avant sa disparition, leur annonçant qu’il allait bien et qu’il a été arrêté par les services de sécurité algériens et interrogé sur le but de son entrée en algérie.
Le quotidien Israélien qui n’a pas divulgué l’identité de l’homme, signalant seulement qu'il s'agit d'un ressortissant israëlien résident à Marseille en France. Dans un entretien avec sa famille, a indiqué que ce dernier avait subit des interrogatoires par les services de sécurité algériens qui l’ont soupçonné d’être un espion!.
Par ailleurs, et selon des sources bien informées, les services de sécurité algériens auraient arrêté l’espion qui détenait un faux passeport espagnol après avoir observé un visa d’entrée et de sortie d’un aéroport Israélien sur le passeport. Les agents de sécurité l’ont alors conduit dans un centre de police de l'aéroport Houari Boumediène d'Alger pour vérification d’identité et examen de situation.
D'aprés des observateurs, celui-ci fait partie d’un plan du Mossad israélien pour espionner l’Algérie et serait en mission dans le sud algérien dans une tentative d’infiltrer les groupes salafistes du GSPC devenu (AQMI) qui font l’intérêt des services de renseignement européens et arabes dans la région du Sahel. Les autorités sécuritaires algériens n’ont pas été informées de sa présence dans le sud, comme la loi l’indique pour tout étranger en visite dans ces lieux, afin de lui procurer la sécurité, notamment avec la vague de kidnapping de touristes étrangers dans cette région. La deuxième hypothèse, selon les experts, est que l’espion serait en mission dans le but de faire de nouvelles et nouveaux recrus, parmi la jeunesse algérienne cette fois-ci dans le sud algérien à Hassi Messaoud où il y a des ressortissants étrangers travaillant dans des sociétés internationales et qui pourraient détenir d’informations sur l’Algérie.
Un algérien aurait divulgué au Mossad des renseignements secrets et sensibles sur l’Algérie !
Les services secrets algériens étaient un jour en état d’alerte maximale. Selon des informations rapportées par le journal "El-Khabar", ils viennent de rouvrir le dossier portant sur le marché des MIG 29 défaillants fournis par la Russie à l’ANP, suite à la découverte par les autorités Russes d’un réseau d’espionnage israélien qui collectait des renseignements sur les armes vendues par la Russie aux pays arabes, notamment à l’Algérie.
Dans ce sens, les algériens ont demandé à leurs homologues russes spécialisés dans le contre-espionnage des renseignements sur le réseau israélien démantelé en Russie en début de 2011. Les conclusions des enquêtes menées par les services de contre-espionnage russes ont prouvé que des anomalies ont été constatées sur les MIG 29 russes fournis à l’Algérie et que le Mossad était impliqué dans cette affaire. En effet, ce réseau du Mossad était conduit par l’attaché militaire près l’ambassade d’Israël en Russie.
Dans ce sens, les services de sécurité algériens se sont interrogés sur le volume des informations relatives aux marchés d’armement conclus entre la Russie et l’Algérie, qui auraient été divulgées. Ils n’écartaient, également, pas l’intérêt que portent les services de renseignements israéliens aux projets d’armements de l'armée algérienne (ANP), notamment en ce qui concerne le renouvellement de la flotte navale militaire algérienne.
Selon les informations disponibles, l’enquête qui a levé le voile sur cette affaire et a révélé l'implication d'un employé de l'ambassade algérienne à Moscou(!). Un espion israélien, (!), a été arrêté dans un café en flagrant délit à Moscou, en compagnie d’un algérien sous les ordres de l'attaché militaire algérien auprés de la représentation diplomatique algérienne en Russie. L’enquête a révélé aussi que ce dernier a tenté d’obtenir des informations relatives aux marchés conclus avec l’Algérie, en particulier ceux qui concernent la fourniture d'avions de chasse russes Sukhoi-30 et des missiles -Pantsir.
Pour sa part, le DRS (Departement de Renseignements et de Sécurité algérien) a chargé ses experts et ses officiers pour enquêter sur le volume des informations que les services secrets israéliens auraient obtenu. Une autre enquête interne qui aurait été menée, en parallèle, par la marine algérienne a démontré qu’un pays européen a obtenu des informations relatives à des missiles fournis à l’Algérie par la Russie et que les services secrets israéliens ont obtenu via ce pays ami d'Israël, d’après les conclusions de cette enquête.Ces informations n’ont pas été commentées de sources officielles algériennes et le gouvernement algérien observait le silence absolu sur cette affaire, visiblement embarrassante pour l'algérie.
La décision prise par Houari Boumediene en 1971 concernant la nationalisation des hydrocarbures d'algérie, restera l’une des plus courageuse décision prise par ce maudit président algérien et ce suite aux négociations echouées entre la France et l’algerie. Les français étaient sûrs, qu’ils sortiront vainqueurs après les négociations, pour eux, les algériens seraient incapables de gérer à eux seuls leur pétrole pour manque de cadres spécialisés.
Cependant la partie algérienne négociait tout simplement parcequ’elle croyait qu'elle avait “des cartes ” lui donnant tous les secrets que cachait le négociant français,ces cartes ont permis au négociant algérien de faire pression sur la partie française.
Vu le milieu où il vivait, les autorités Israëliennes ont decidé de le prendre comme agent de renseignements. Alors le meilleur moyen pour en arriver, pour avoir plus de renseignements et pouvoir l'engager à son insu, «c’est la femme» qui peut faire l'affaire. Comme il était un grand charmeur, pas un charmeur de serpens, mais «un charmeur de filles», les services secrets Israëliens lui ont tendé le piège, il a été séduit par la secrétaire franco-Israëlienne (agent secret Mossad) la belle secrétaire particulière du Directeur général des affaires économiques au ministère Israëlien des AE de l’époque, depêchée spécialement de Tel-Aviv pour en exécuter la mission.
En algérie, notre algérien,malgré son haut niveau intéllectuel, s'attachait de plus en plus à sa pseudo princesse. En rentrant à paris il l'a demandée au mariage. Pour le bien percer davantage, elle lui a fait visiter un appartement de luxe situé au 16eme arrondissement, un quartier des plus chic à Paris, cet appartement a été mis à sa disposition par les services secrets Israëliens et le dingue a eté convaincu que sa maîtresse était vraiment une princesse.
En un temps record, la belle secrétaire blonde a pu séduire notre charmeur, elle a pu aussi avoir certains dossiers algériens dont Israël avait besoin pour pouvoir pénétrer en position de force dans toutes ses relations secrètes avec le pouvoir algérien, il lui remettait les dossiers clefs de l'ambassade algériennes de Paris. Dossiers remis à chaud à un autre agent Mossad affecté à l'ambassade Israëlienne à Paris, qui lui à son tour, les remettait aux autorités de son pays .
Cette relation pseudo amoureuse a continué jusqu’à la derniere minute et ce, au profit des Israëliens, étant son fiancé, la belle blonde, aprés avoir dominer totalement son chevalier, a pu s’infiltrer indirectement, par son biais, à l'ambassade algérienne³ et avoir accès aux dossiers frappés de secret d’Etat.
L’aventure continue dans les grands palaces et salons parisiens ,où elle a pu faire connaissance également de plusieurs autres personnalités algériennes et de leurs alliés politiques étrangers de renommée internationale.
Avec le temps les autorités diplomatiques algériennes à Paris commençaient à se douter,et que quelqu’un est entrain d'éparpier les dossiers -top/Secret- de l'ambassade, alors l'amant-diplomate de la blonde a eté mis sous écoute, et a été arreté pour espionage (sans savoir en premier lieu, au profit de quel pays!) et emprisonné pour quelques années en algérie, jusqu’à ce que les autorités Israëliennes eûrent arreté à leur tour un espion algérien au plateau du Golan occupé par Israël, un agent DRS affecté à l'ambassade algérienne en Syrie.
Et vu la renommée de l'amant de la pseudo-princesse de l'île de Maramara et vu sa double nationalité (Franco-Algérienne) les Israëliens ont usé de leur force profesionnele d'espionage pour faire pression sur leurs collègues Français pour sa libération et les autorités algériennes ont été obligés de l’echanger avec quelques espions algériens détenus en France. Il est relaché et rentré en France et a recommencé à zero, à refaire son métier d'avocat, il est propritaire d'un appartement respectueux à Paris au 5ème arrondissement, où il vit avec sa petite famille à ce jour, cependant son état ne lui permet plus de continuer ses activités libérales.
Il y a certes nombre de profiteurs qui gangrènent cette sale algérie. Mais dans les cercles du pouvoir, il y a des hommes qui portent encore en eux les idéaux de la mafia et qui veillent uniquement au grain au détriment de leur pays.
Cela étant prouve pour la seconde fois, à mon sens, que le pouvoir algérien de Bouteflika récidive bêtement, en soutenant un régime autoritaire déja en chute libre, aprés avoir échouer dans sa première tentative en genre, avec Maâmar Kaddafi. Et pour ne pas attirer l'attention, le journal en question a changé de «ton» contre la révolution Syrienne pour couvrir son espion sur place, a laissé entendre une autre journaliste de même quotidien. Je constate de cela, comme d'autres certainement, que les algériens (DRS et pseudo-pouvoir confondus) préfèrent le jeu, le plus facile, ils sont brillants dans ces choses-là. Mais ils ne le sont pas devant la gigantesque machine sophistiquée du Mossad qui fouille à l'intérieur des viscères de l'algérie.
Cordialement,Chihab25
¹.-Les jeune chômeurs algériens qui prennent place au pieds des murs.