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  • 1/4.- Qui sera le prochain président algérien ?

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     

    Activité Royale

    S.M. le Roi, Amir Al Mouminine, accomplit la prière du vendredi à la mosquée Mohammed VI à M’diq

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    A l’occasion de l’avènement du mois du Ramadan 1433, la rédction du blog présente ses vœux à Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste et à l’ensemble des membres de la famille Royale. Ses vœux vont également aux lecteurs, au visiteurs et au peuple marocain.

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    Par générosité confisquée, Bouteflika éfface la dette de 13 pays africains....

    Avant de passer au vif du sujet, je dois rappeler à mes lecteurs que les algériens, les officiels surtout, se vantent de dire et redire sans occasion que l'algérie de "dignité" a sa singularité particulière, elle n'a de leçons à recevoir de personne, elle s'attèle avec assiduité à se moderniser  et construire sa démocratie à sa manière.

    Vous allez voir avec moi, à l'ouverture du deuxième épisode qui suivra de cette note, les pauvres algériens, fouillant les poubelles pour trouver de quoi manger et pas pour chercher des perles ou des truffes. Mais Mr.le président Bouteflika n'est pas dans ce monde pour sentir la souffrance des siens qui ne mangent pas à leur faim..! il est indifférent à la pauvreté de la grande majorité du peuple algérien. Et il devint du jour au lendemain, le président algérien, le plus généreux des autres, gaspillant, sans l'aval de personne, le bien public algérien, aprés avoir laissé, à son entourage, tout au long de ses trois contrats, la liberté d'en débaucher dans toute l'algérie.

    Seul un télégramme de "Sa Majesté Bouteflika" pour reprendre l'expression d'un fonctionnaire du ministère algérien des affaires étrangères, a été adressé aux différents ambassadeurs accrédités à Alger. Cette mesure fait suite à l'effacement de la dette d'Irak, l'année dernière qui fut décidée dans les mêmes conditions. Ces mesures interviennent au moment où le "Tab Jnanou, si Boutef" déploie une campagne politico-médiatique sans précèdent pour convaincre de la crédibilité des "réformes pour plus de démocratie et de transparence!".

    L’Algérie aurait effacé les dettes de 13 pays africains, ce qui représente un total de l'ordre de 2,2 milliards de dollars, à peu prés de 230 milliards de centimes qui s'ajoutent aux 216 milliards des futilités du 5 juillet 2012, soit un total de 446 milliards évaporés dans les cieux de Son Excéllence et de Sa Majesté Bouteflika. Ce n'est pas tant le geste mais la manière qui aurait surpris des diplomates en poste. Ni le conseil des ministres, ni le parlement avec ses deux écuries, n'ont été associés ni même simplement informés dans cette décision.C'est l'une des dernières initiatives spéctaculaires du temps mort de "Mon ami le président?", voire de la fin de son règne présidentiel.Concernant sa politique étrangère, Bouteflika vit encore, à sa manière, le cauchemar arabe. Une fois de plus, une fois de trop, l’Algérie se mal-distingue  dans le concert des Nations arabes. Elle reste, comme si aucun enseignement n’a été tiré de ses antécédents ratés diplomatiques, figée dans sa position par rapport aux révolutions arabes. Après avoir soutenu ses amis, du temps d'érrance, Moubarak, Ali Abdallah Saleh, puis Kadhafi, le voilà qu’il tente de secourir Bachar Al Assad et son régime. Des décisions prises en conformité avec la formule qui dit: «ومن بَعدي الطُّــوفـان - Aprés moi le Tsunami», si j'ose le traduire ainsi ».

    Ce que je crois, les facteurs du prochain Tsunami qui secouera l'algérie d'ici 2014, année des présidentielles, se rassemblent au fil du jour et l'étau se serre davantage autour du pouvoir, si l'on croit que l'algérie a déjà vévu «ses printemps», pour reprendre l'expression du ministre algérien de la jeunesse et des sports, et elle n'est  concernée que par son propre printemps " le statu quo". Un résultat électoral frauduleux, qui s'est inspiré et institué, à partir du palais d'ElMoradia d'Alger, grâce à la volonté des bandes manieuses qui l'entourent - en l'occurence, les mafias politico-militaire et financière, devant l'incapacité politique d'un peuple myope, qui souffre de nature, d'un retard mental énorme.(dix cerveaux en un).

     

                                       

    Par une modeste éxpérience pratiquement acquise, nous Marocains, nous sommes arrivés, à mieux sentir et comprendre une réalité qui échape aux algériens qui s'en vantent être les plus intéllegents que nous, voire plus que tout le monde.

    «La démocratie ne peut prospérer et grandir qu’à la lumière de la vérité, de la science et du savoir. Les faux semblants, la complaisance, le mensonge, l’ignorance, la ruse, l’hypocrisie, les intrigues et les tractations obscures, qui sont d'ailleurs les qualités du régime algérien, sont le pire ennemi de la démocratie»

    L’Algérie, un modèle et une singularité de pourriture. 

    Au début de la note précédente, nous avons appris ce que disait un ministre algérien, un lèche-bottes, sur les printemps de l'algérie. C'est vrais il y en avait ce qu'on peut appeler, des cas algériens :  les novembristes54, les octobristes88 et les janvieristes92. Mais sont-ils des héros en carton? puisque ces soulèvements populaires n'en ont rien pu apporter ou changer du système. Sauf le cas des novembristes, les vrais rebelles algériens,les garants de l'esprit d'Oued Soummam en Aures algérien, qui avec le soutien et l'aide incontestables des Tunisiens à l'Est et des Marocains à l'Ouest, sont arrivés à arracher de la France l'indépendance de l'algérie. Les autres  du genre-mode, issus de l'aprés indépendance, n'ont pu faire que de la fumée dans le ciel algérien sans  aucun résultat concret. Oui, Il n’y a pas de honte à faire la paix ; il n’y a pas de honte à se mettre au service de son peuple en butte à des difficultés pour reconstruire sa cohésion; il n’y a pas de honte également à reconnaître que le chemin idéologique, le socialisme-éxtrêmiste, que l’on a suivi en algérie depuis les putshs des : clan Ben Bella en septembre 1962, clan de Oujda en juin 1965 et des généraux-décideurs en janvier 1992, conduisait à la perte des valeurs qui fondaient le peuple algérien d'avant  juillet 1962. 

    C’est simple, je commence par les novembristes. Se sont les plus vieux, ce que j'appelle aujourd'hui les vieilles hyènes de la révolution algérienne. Ceux qui ont fait la guerre de libération déclenchée le 1er novembre 1954. Novembre est donc un mois sacré pour les algériens, voire pour ces vieilles hyènes, comme le ramadan pour le monde islamique. L’un par l’histoire, l’autre par la religion. Novembre représente les vétérans de guerre, les anciens moujahidines, les conservateurs, le temple, le capital idéologique du régime, le nationalisme et la caste des plus de 70 ans aux leviers de commande.

    Les novembristes, que je me permettrai de les appeler "les vieilles montures d'armée en retraite".  ont des rentes immenses, l’un des plus gros budgets de l’Etat algérien à chaque loi de finance. Un moyen d'équilibre,  une manière de faire taire les sales bouches ennuyeuses à l'élan du régime, agréant des monopoles commerciaux, des licences d’exploitation. Dans les grandes écoles et pour les concours d’accès universitaires ou d’emploi, la loi leur donne ou donne à leurs descendants la priorité et une «avance» de points de 25%, même s'il y en a un scandale au niveau du chiffre éxact. L'État reconnaît officiellement qu'il y est dépassement  de 10 à 15.000 faux moujahidines c'est le ministre algérien de cette race lui-même qui le confirme. Officieusement de 15 à 25.000, selon les amicales parallèles des anciens membres de l'ALNA. Un cas algérien particulier portant préjudice à la crédibilité de cette catégorie de vieilles hyènes humaines. 

    Lors des grandes compressions et des licenciements de travailleurs par milliers durant la crise économique algérienne des années 1990,"crise d'un pays producteur de gaz et de pétrole" les novembristes et leurs enfants étaient les derniers, sinon jamais, licenciés ou obligés à quitter les entreprises publiques moribondes. Combien sont-ils? Grand débat en Algérie: c’est le seul pays où le chiffre des anciens qui ont fait la guerre augmente avec le temps, au lieu de diminuer. D’où ce scandale mou algérien: celui des faux anciens combattant, et qui n’a jamais été suivi d’enquête sérieuse: le régime est assis sur cette branche justement. Un algérien, fonctionnaire de la justice osa en rendre publique les dossiers, il le payera lourdement par un harcèlement judiciaire qui dure depuis 18 ans!

    Et puis il y a les octobristes,  ceux qui ont déclanché ce qu'on appelait à l'époque «le soulèvement du pain». sont les milliers de jeunes Algériens, moyenne d’âge entre 15 et 25 ans, qui se sont soulevés le 5 octobre 1988 contre l'atrocité du régime militaire algérien. A l’époque, l’armée avait tiré sur eux, les islamistes les ont récupérés. Durant ce mois, des émeutes et des rebellions éclatent dans les principales villes de l’Algérie. Les jeunes s’attaquent aux symboles du régime, les Souk El-Fellah (grandes surfaces socialistes de grande distribution alimentaires, sur le modèle URSS), les commissariats et les sièges du parti unique, le FLN. Le régime proclame alors l’état de siège le 6 octobre 1988, tire sur la foule et un général de "hizb franca¹" prend les rênes du pays: Khaled Nezzar. Embusqué derrière un président affaibli, Chadli Benjedid presque «dégagé» et qui le sera quelques années plus tard.

    Presque 500 morts, des milliers de bléssés, de torturés, d'arrêtés et les premiers «disparus». Le traumatisme est lourd: l’armée qui dit avoir libéré le pays des Français, tire sur son peuple qui l’admirait. Les octobristes sont donc les jeunes d’octobre 88. Aujourd’hui, ils sont vieux, blessés ou consternés. Pour rappel, le régime les a indemnisé, mais sans jamais reconnaître ses torts: les jeunes d’octobre ou leurs familles sont classés sous la rubrique «accident de travail» par les services secrets algériens, qualifiés de services sociaux et indemnisés en tant que tel. Les généraux qui ont tiré sur la foule ne seront pas inquiétés ou jugés. Jamais à nos jours! c'est seule la malédiction de Dieu qui les chasse un par un: Les deux Amari, Belkheir et Nezzar encore vivant et les autres qui en suivront

    Les janvieristes eux, sont d'une autre sale pate. Se sont une poignée de généraux et de hauts officiers de l’armée algérienne qui ont poussé Chadli Ben Jdid à «démissionner»  en janvier 1992, et décidé de dissoudre le parlement islamiste issu des élections de 1991, et d’interrompre le processus électoral qui a vu les islamistes du FIS (front islamique du Salut ) se faire élire par les Algériens "post 0tobre 1988". C’est-à-dire après le printemps algérien de cette époque comme on le dit aujourd’hui.

    Qui sont-ils au juste les janvieristes? Les têtes de liste: Khaled Nezzar patron de l’armée quand l’armée a tiré sur les algériens en octobre 1988. Ensuite d’autres: Mohamed Medien, alias Toufik encore au commande du pays aujourd’hui. Larbi Belkheir, alias «le cerveau» selon l’humour algérien, décédé en janvier 2010 après avoir été éloigné comme ambassadeur au Maroc.

    Mohamed Lamari, présenté comme le chef de file de l’aile la plus anti-islamiste de l’Algérie. Il sera éloigné lui aussi après l’élection de Bouteflika. Il meurt lui aussi février 2012. On peut aussi joindre à la table du salon Abdelmalek Guenaizia, qui sera nommé vice-ministre de l’armée algérienne, puisque le ministre est un Bouteflika méfiant qui refuse qu’il existe un ministre de la défense justement, capable de le renverser. Le cercle a un nom selon la culture politique algérienne : les décideurs. Ceux qui décideront du départ de Chadli, de la décennie noire, de faire la guerre ou pas, de fabriquer un président,de le renvoyer ou de l'assassiner même!.

    Dans la culture politique algérienne donc, il existe le cercle large des ministres et autres fonctionnaires de l’Etat-écran. Puis le cercle de la Présidence et des siens. Puis le cercle des décideurs: le salon algérois, le clan, les généraux ou pas. Les Décideurs ramènent le Président qu’ils veulent et le placent avant que les algériens ne l’élisent, le cas de Bouteflika n'est pas exclu de cette méthode, contrairement au cas de feu Mohamed BOUDIAF, assassiné en "live" à Annaba à l'est d'alger.

    Janvieristes: héros du monde arabe

    Pourquoi les janvieristes sont-ils des héros pour les autres régimes arabes? A cause du manuel de la méthode: «Comment faire gâcher une démocratisation, chasser un président, discréditer des islamistes, garder le pouvoir et pousser le pays à la merde». Ce titre, parait-il, est long mais le sens manuel est court.

    Curieusement en effet, la méthode des janvieristes algériens semble être de mode aujourd’hui en Egypte: l’armée lâche le Raiss, face à la rue qui se soulève contre lui. Ensuite des islamistes récupèrent la rue et «Meidane Ettahrir» le symbole d'expression et de toute désobeissance Egyptienne, se font élire et se présentent comme les architectes de la révolution. Le conseil militaire du général Mohamed Hocine Tantaoui attend un peu, puis commence à récupérer les pans perdus du pouvoir puis se décide de dissoudre le parlement. En langage algérien: les octobristes sont récupérés par les islamistes pour chasser les novembristes mais ce sont les janvieristes qui  chassaient l'ensemble et gagnaient à la fin. L’Egypte commence par s’installer dans le casting algérien comme on aime le croire en algérie: un président sans pouvoir, Mohamed MORSI l’actuel gagnant des frères musulmans, face à une armée qui décide de tout par le bais de «décideurs à l'Egyptienne», pour qu'une révolution devienne un «accident de travail» comme en algérie, des islamistes poussés à se radicaliser pour mieux être décimés.                             


    Et si le Caire prenait le chemin d’Alger 

    Le coup d’Etat en cours en Egypte ressemble à s’y méprendre à celui de l’Algérie en 1992 et avec la même couverture internationale de l’Occident qui ne veut pas de barbus intempestifs au cœur du monde arabe. Les janvieristes Egyptiens «avancent» aussi avec le soutien tacite des classes économiques, libérales, patronales et les élites chrétiennes "Kobt" qui ont peur des islamistes qui, censés de commettre au début, quelques exactions et abus du pouvoir et c'est normal, comme nos Pjdistes au Maroc, les Ennahdawis en Tunisie et avant eux les Pjdistes Turcs.

    En Algérie, à cette époque, le coup d’Etat contre  le colonel Chadli Ben Jedid, le troisième président algérien (1979-1992) s’est accompagné par la création d’un  CNSA «Comité national pour la sauvegarde de l’Algérie», alias la vitrine civile. Dedans, ont y retrouvait les hommes du régime, des amoureux du régime, des profiteurs du régime, des idéologues du régime et des partisans sincères du sauvetage de l’Algérie. En face, les islamistes qui n'en avaient de monnaie jusque-là que les gestes et le paroles, comme les cercles de récit actuels qu'anime de temps à autre, le rescapé du FIS Cheikh Ali Belhaj qui ne fait que du bruit.

    La bipolarisation a crée deux familles politiques algériennes: les dialoguistes et les éradicateurs. La guerre civile étant déclenchée dès l’interruption du processus électoral en janvier 1992, les islamistes ayant été poussés et ayant choisi la violence, les «dialoguistes» étaient donc ceux qui prônaient le dialogue, les «éradicateurs», ceux qui prônaient la merde. L’Egypte n’en n’est pas là encore, mais en Algérie, on voyait déjà l’avenir. Aujourd’hui donc, les janviéristes algériens semblent inspirer des militaires arabes qui veulent stopper une révolution, stopper les islamistes et faire du « coup d’Etat » utilitaire, consentis et presque souhaité par la moitié de leurs populations. Un coup d’Etat « passe » quand il vise à sauver le pays des islamistes et pas à, prendre le Pouvoir. Les janvieristes algériens avaient presque inventé la formule.

    Et la Syrie aussi ?

    En Syrie, les janvieristes-Baâth sont aussi à la mode. La méthode pour gérer une guerre civile est algérienne malgré ce que l’on peut crier, scandalisé. Le mode opératoire est le même: avancer dans le déni absolu, «ce n’est pas une révolution mais du terrorisme». Terroriser les populations indécises entre les deux partis «Il n’y pas de nationalisme gris, entre le blanc et le noir», a dit Bachar El Assad durant son dernier discours. Augmenter l’indice de confusion qui tue finalement? cette question, dès qu’elle se pose, elle paralyse les initiatives et les pressions internationales.

    En Syrie, le régime vise les têtes «laïques» de la révolution et épargne presque les têtes barbues: le but est d’islamiser la révolution et donc de la «Qaïdiser» si j'ose utiliser le terme! et donc de la criminaliser et de l’isoler. Forcer les élites à choisir leurs camps, celui de la survie ou de l’exil. Faire éclater l’opposition et empêcher toute union. Créer de fausses oppositions islamistes. Punir la passivité des populations autant que les rebelles. Ne jamais reculer sur le front de la diplomatie internationale et gagner du temps et du temps:Les guerres longues usent même ceux qui les regardent.

    Continuer la fiction institutionnelle comme si de rien n’était: élections, dialogues, «multipartisme» de façade, appel à «sauver le pays» de la menace…etc. Le cas syrien rappelle étrangement à des Algériens leur guerre civile, leur éradicateur et leurs dix ans de morts et de tromperies politiques. La guerre en Syrie rappelle la méthode seulement car le casting n’est pas le même, ni les intentions. Bachar a compris l’essentiel de la méthode des janvieristes algériens: persister et continuer.


    Comment l’histoire de l’Algérie aide à comprendre celle de la région..?

    Les janvieristes algériens sont donc peut-être un modèle éfficace panarabe. Ce qu’ils ont fait il y a vingt ans et encore, est à la mode d'aujourd’hui dans le reste du monde arabe. Et c’est avec amusement que les Algériens regardent aujourd’hui l’élection d’un islamiste président de l’Egypte mais sans aucun pouvoir réel: depuis vingt ans l’Algérie est ainsi. Ses présidents sont là, mais on sait qu’ils n’ont aucun pouvoir. Sauf celui d’apparaitre et de recevoir les hommes forts et faibles du reste du monde ou de faire des discours. Le 29 juin 1992, Mohamed Boudiaf, l’un de ces présidents algériens parachuté, selon la conviction algérienne qui le désignait en diffamation, le "Hassan III", sera même assassiné en direct, à Annaba. Le suivant a démissionné, le suivant du suivant, Abdelaziz Bouteflika parle à peine et regarde partout, avec méfiance, combattant les sequelles de son  parcours de "Golf Alpha Yanki" et les charges-rides qui en découlaient sans pitié de sa vieillesse et prêt à mourir aux abords du "Bain Maure" que gêrait sa maman à Oujda.Bonne lecture.
                                              Cordialement,Chihab25
    à suivre....
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    ¹.-"Hizb franca",c'est un ensemble de sous-officiers de l'amrée Française, injectés à la dernière minute par le général De Gaules dans les rangs de l'Armée de libération algérienne pour dominer de l'intérieur la future algérie.Ils se sont donné le droit d'avancement rapide pour atteindre gratuitement le seuil de généraux dans l'armée sans passer par les obstacles de l'académie militaire de Cherchell.