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  • 2/2.- Le mystère des origines de Bouteflika

    Suite et fin.

    La citation monsengère du jour: Un Jiar (peintre à rouleau, un lèche-bottes), le ministre algérien de la Jeunesse et des sports disait : "Nous, notre printemps, on l’a fait en 1954, 1962 et en 1988 *. L’Algérie n’a de leçons à recevoir de personne, elle a toujours réglé ses problèmes toute seule et elle s’attèle aujourd’hui à se moderniser et construire des institutions démocratiques" 

    Se moderniser et construire quoi avec du blabla?  construire un avenir mirage par le gaspillage du fond public. Lapider 2 milliards de dollars(  plus de 200 milliards de centimes) pour des futilités, dites festivités cinquantenaires, le moment où le peuple algérien vit une crise économique interne et ne mange pas à sa faim, c'est la façon de se moderniser et constuire à l'algérienne des intitutions démocratques.. Le chiffre est astronomique, c'est une enveloppe budgétaire d'infrastructures de base, pour construire l'équivalent de 20 barrages de retenue et d'irrigation..! Gaspiller une somme pareille que pour célébrer une fête, c'est trouver n'importe quel alibi pour dévaliser l'algérie à ciel ouvert et se mouiller le maillot, selon des sources succinctes de la présidence algérienne, de sa primatie et de son ministère des moujahidines, l'amicale des vieilles hyènes de l'algérie, rapportées par la presse locale algérienne, dite indépendante.

    Fêter ce 05 juillet 2012  de cette manière pour inculquer aux nouvelles générations, dit-on, l’esprit de la grandeur de l'algérie!,  c'est archifaux, étant donné que c'est la  fête  la plus infructueuse  pour le simple «hitiste algérien(**)» qui préfère se jeter à la mer au lieu de vivre une vie de chien sans maître, un chien érrant dans une prairie pleine de loups. Il parait que chaque département ministériel aurait bénéficié d’un budget spécial pour le gaspiller librement sans contrôle, un virement qui s’ajoute aux fonds de fonctionnement ordinaires sans tendance de donner les comptes à quiconque!. Tandis que la majorité du peuple algérien crève de faim.Il n’y a pas de caisse spécifique en algérie», explique un responsable indigné des Finances. Une "caisse spécifique", l'équivalent de la notre de compensation.

    Tout pouvoir sans contrôle, comme celui de l'algérie, rend fou. Alors qu'en algérie les malades cancéreux meurent par centaines, faute de médicament et de radiothérapie, que des millions d'algeriens vivent en dessous du seuil de pauvreté, que des millions sont au chômage, que les rues sont inondées de détritus,que l'hygiène est déplorable,que les hôpitaux se sont transformés en mouroir, le pouvoir pharaonique algérien, lui s'amuse avec l'argent  public en organisant des feux d'artifices et des galas à sidi Frej et ailleurs dans les salons de la capitale Alger  et dans tous les édifices administatifs de la république  à travers le pays.., en jetant par la fenêtre des milliards de dinars. Que la malédiction de Dieu et de la pauvre veuve algérienne, à  charges lourdes, continuent de frapper le pouvoir corrompu algérien.

                                                        

                          Les relations Algéro-Marocaines court-circuitées depuis toujours et n'ont jamais été au beau-fixe.   

    En hypocrisie politique, Hommage à Ahmed Ben Bella à Rabat

    De l'autre coté Marocain : Dans le cadre d'une flatterie éhontée, un hommage  aurait été rendu, quelque part, à Rabat, au premier président de l’Algérie indépendante,  Ahmed Ben Bella, à l’occasion de ce qu'on appelait, le cinquantième anniversaire de l'indépendance algérienne, voire de naufrages politiques algériens. 

    Initié par Abderrahman El-Youssoufi, ami du maudit-défunt, un des chiens Unfpistes Marocains ayant initié et préparé avec lui la guerre des sables de 1963... Malheureusement  certaines de nos vieilles hyènes Marocaines sont  apparues dans cet évènement, impliquant ainsi à ce jeu hypocrite, le Haut Commissariat aux anciens résistants marocains de Mustapha El Ktiri. L'hommage s’est déroulé en présence d'une délégation algérienne venue assister à cette fin, de certaines figures politiques et syndicales marocaines et de représentants d’ambassades accréditées à Rabat, faisant timidement ainsi le semblant de se rappeler de l'esprit maghrébin de Tanger 1958.

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    Le lieu de naissance du Président algérien est un curieux tabou. (Les raisons ) :

     Abdelaziz Bouteflika est né à Oujda, au Maroc, ville d’un pays à la fois frère et ennemi. Oujda est une ville marocaine, frontalière de l’Algérie, à quelques 15 km de Maghnia, une ville algérienne qui lui fait face tout en lui tournant le dos. Cette cité est connue pour ses hôtels vidés après la fermeture des frontières avec l'algérie en 1994, ses comptoirs pour les contrebandiers et par son histoire très algérienne.

    Oujda est en effet l’une des rares villes étrangères qui a donné son nom à une équipe qui s'est emparé du pouvoir en Algérie en 1962 et qui l’a repris en 1999. On y retrouve donc des psychotropes algériens, de l'essence par milliers de litres, les "hallaba", les fameux passeurs de carburant algériens, des proches d’algériens, des restes de l’histoire de la guerre de Libération algérienne et même la maison où a grandi le Président algérien Abdelaziz Bouteflika.  
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      Pour l’étranger humble et curieux qui veut comprendre, voici un rappel de l’histoire locale. Durant la période de la guerre d'indépendance de nos voisin de l'Est est née l'ALNA, Armée de libération nationale Algérienne. Mal équipée, cette organisation va au fur et à mesure se moderniser. Avec le temps, et pour mieux préserver ses forces et son avenir politique, elle se divise en deux: un front interne qui sera disséminé par la France de 1954 à 1959 et deux fronts externes, des armées de frontières, en Tunisie à l’Est et au Maroc à l’Ouest.
    Dans ce dernier pays le Maroc, la capitale de l’armée algérienne de maquis  de l’époque était Oujda, du 1er novembre 1954 au 19 mars 1962, date de cesser le feu. C’est ce qui donnera le nom de «clan de Oujda» à l’une de ses deux filières guerrières d’indépendance. Celle du Général Boussouf, père des «Renseignements Généraux» algériens et des polices politiques, qui naîtront plus tard sur son héritage. Celle de Ben Bella le premier Président algérien et celle de Houari Boumediene, l’auteur du premier coup d’Etat militaire algérien du 19 juin 1962.                        
     
    A Oujda naissent, grandissent, se nourrissent et s’entraînent donc, des officiers algériens, presque tous originaires du Maroc (voir dans ce blog, une note précédente en l'objet), qui seront par la suite célèbres, illustres et puissants. Pour faire simple, à l’indépendance de l'algérie en 1962, la France s’en va et se pose la question de savoir qui va prendre le pouvoir: les rescapés du front interne malmenés et désarmés ou les puissants colonels des armées de frontières, mieux équipés, plus organisés et plus puissants? Une guerre fratricide en décidera. Et pour dissimuler les divergences internes qui surgissaient à l'improviste et désorienter son opinion publique locale algérienne, le fameux président-adjudant Ahmed Ben Bella créa la guerre des sables en octobre 1963 avec la complicité des chiens érrants Marocains, les Unfpistes (les Barkaoui et les Basraoui) et avec l'Egyptien Jamal Abdenaceur.(!) qui voulait exporter sa révolution au Maroc pour se beîgner librement aux larges de l'Océan Atlantique aprés avoir conquis les plages du Yemen¹ au niveau de la mer rouge et du golf d'Aden.

    C’est la fameuse crise algérienne de l'été 1962 qui opposait le GPRA de Youssef Ben Khadda, (le gouvernement provisoire algérien) qui vient d'entrer  d'éxil à un État-major fortement armé. Le 4 septembre 1962, Ahmed Ben Bella (dit-on, natif de Maghnia, juste en face de Oujda), en doublure de Houari Boumediene, entre finalement en conquérant à Alger. C’est le fameux clan de Oujda qui sort vainqueur avec une petite singularité, qui devient majeure aprés! : Mohamed Boukharouba, son vrais nom, alias Houari Boumediene est un Chaoui, issu d'un groupe ethnique berbère des Monts des Aurès à l’est algérien, mais sa famille idéologique était de l’ouest, de Oujda,  découvert et vite appelé par Ben Bella qui le nomma à la tête du ministère algérien de la défence.
                                  
    Le clan de cette ville marocaine est donc puissant, fort et souverain à l’indépendance et même 50 ans après celle-ci. En face, selon les algéro-sceptiques, il existe un clan kabyle, composé par le Patron des patrons du  DRS (Direction de renseignements et de sécurité), le Général Mohamed Médiène, alias "Toufik", dont les origines sont bien de la petite ville d'Ahfir dans la région d'Oujda et par Ahmed Ouyahya, l'ex-courtier de la diplomatie algérienne en Afrique, l’actuel Premier ministre de Bouteflika, ainsi qu'un clan chaouï supposé être affaiblit par la «démission prémiditée» du colonel Lyamine Zeroual, un ex-déchu, Président-général de l’Algérie durant les années 1990. Selon le mythe, la présidence est plus ou moins cyclique et tournante entre ces familles. En tout cas, c'est Bouteflika qui est à la tête du pays, depuis qu'il répondait «présent» en 1999 à l'algérie des généraux, aprés tant d'années d'errance aux pays du Golf arabic, jouant ainsi le jeu de "Pocker" de l'agenda-DRS de ce que les algériens appelaient «hizb frança».


                                                    
                    Une armada de 48+2 femmes généraux algériens:Exilés,    morts,retraités,déchus,suspendus,rayés des rangs, ou encore en service.Bouteflika  fait ses adieux par la nommination encore de 10 nouveaux généraux-majors!!!!(en vrac 60 en tout)

    Le Clan de Oujda II

    Il existe un clan numéro 2 de Oujda. C’est ce que pensent, disent et affirment des, ou les Algériens amateurs de l’explication tribale. Bouteflika est en effet né à Oujda, c’est un enfant spirituel de Boumediene et l’un des officiers gatés,alias «Kada la Pointe», au grade de capitaine, qui a attendu la libération de son pays pour prendre le pouvoir en 1962 à la tête du ministère des affaires étrangères, aprés l'assassinat de Abdelkader Khemisti, le jeune ministre des AE de l'époque, 27 ans, jusqu'au décés du maudit Houari Boumédiène en décembre 1978. A noter que les grades et les galons ont été distribués à l'aube de l'indépendance, en vrac et par paillace.

    Le clan de Oujda II n’est cependant pas composé aujourd'hui d’officiers supérieurs putschistes, mais de ministres, de très hauts cadres et de conseillers ou préfets. Jusqu’à une récente date, la moitié du gouvernement  algérien et les deux tiers des corps des préfets étaient prétendument né à M’sirda, un hameau de légende dans la région de Tlemcen, lieu d'origine présumée de la famille Bouteflika, tout près de la frontière marocaine. «Le Royaume-républicain de Tlemcen», disent les acerbes algériens.

    L’ex-puissant ministre de l’Intérieur, le colonel Nourredine Yazid Zerhouni, actuellement ministre d'État sans portefeuilles, selon la légende algérienne, est né à Tunis, mais il passé sa jeunesse à Meknès, à Moulay Idriss Zerhoune, son petit patelin d'origine et à Fès au Maroc, tout en étant aussi originaire de Tlemcen. L’actuel ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a vu le jour à Tlemcen, tandis que l’ancien ministre algérien du pétrole, Chakib Khellil est né à Oujda et est lui-aussi originaire de Tlemcen. De quoi accréditer la thèse de l’existence d’un Olympe algérien "  The Kingdom for Tlemcen". Le clan de Oujda compte aussi dans ses rangs des membres du pouvoir algérien ayant des liens avec la région: le Directeur général de la police, le ministre de la Justice, celui du Travail ou encore ceux de la Santé, de l'Investissement ou de l'Intérieur.                           

    Régionalisme bis?

    Du coup, si l’Algérie compte à présent 48 préfectures, dites  les wilayas, on y parle encore, parfois avec sérieux ou parfois pour s’amuser, de la réalité de seulement six wilayas. Celles dites historiques de l’époque de la guerre d’indépendance. A savoir, Est, Ouest, Sud, Algérois et Centre, etc... citées  par coïncidence en conformité avec la partition de l'algérie, préconisée par la note précédente de la rédaction du blog du 17 juin 2012. 

    Cette géographie, symbolique désormais, pèse encore dans les alliances, les parentés, les manuels d’histoire, les reconnaissances, les nominations, la politique et les choix pour la pseudo Assemblée nationale populaire, le parlement avec ses deux chambres. Le tabou pèse aussi sur les choix d’investissements et ceux des hommes d’affaires. Cela n’a pas donné une bonne régionalisation en gouvernance, mais un bon régionalisme en politique.Il existe cependant une singularité algérienne. Le régionalisme d’un clan au pouvoir ne rapporte généralement rien à la région d’origine. C’est un régionalisme à sens unique, (expliquera un sociologue ). La région sert de tremplin, mais dès que le bonhomme est à Alger, il refusera plus que les autres de recevoir les gens de sa région, pour bien marquer son indépendance et son esprit anti-régionaliste. Les pourvoyeurs de fonds de la première campagne électorale de Bouteflika en 1999, à l’ouest, en savent beaucoup de choses là-dessus.

    Mais où est né Bouteflika?

    Cette question est sans réponse sur le site officiel de la Présidence algérienne. Le  blogueur-internaute y lit: «Né le 2 mars 1937, Abdelaziz Bouteflika milite très tôt pour la «cause nationale²» tel que!. Mais où? "Au Maroc, selon les témoins. A Tlemcen, selon la version semi-officielle algérienne"Un câble émis le 19 août 2005 par l’ambassade américaine à Alger et révélé par Wikileaks révèle que Bouteflika a clairement expliqué à une délégation des États-Unis qu’il est né à Oujda, au Maroc. Ce pays où son père a trouvé refuge, aprés avoir vécu la misère et été rejeté par son pays, l'algérie sous domination Française, et où certains algériens s’en rappellent même aujourd’hui, selon des journaux algériens évoquant «un jeune garçon toujours élégant, poli et charmeur, mais qui a du sang plus que rouge que le normal, comme le rouge Marocain».

    Le tabou est devenu amusant et revient dans l’actualité lors des cycliques polémiques sur la marocanité des dirigeants algériens officiellement les plus anti-marocains. Il y a quelques mois, le maudit soit-il, Ahmed Ben Bella, l’un des présidents algériens a révélé sa marocanité lors d’un long entretien avec l’envoyé spécial de l’hebdomadaire Jeune Afrique. «Même si je suis né en Algérie, même si j’y ai vécu, même si j’ai été le chef de la révolution algérienne, ma mère et mon père étaient tous deux marocains» , a-t-il dit.

    C’est «le pavé dans la mare identitaire», titre l’un des chroniqueurs du journal algérien "El Watan". Le sujet est en effet souvent de retour quand l’Algérie a mal, quand l'algérie s’ennui, quant elle hésite à ouvrir les frontières avec le Maroc ou se cherche des Algériens plus Algériens que les Algériens.

    Pourquoi en reparler aujourd’hui?

    Parce que Bouteflika a mal à la tête justement. Un Président qui souffre de la frontière, de l'isolement dans son pays. Le 23 janvier 2012, notre tout frais ministre des Affaires étrangères et de la coopération, le Pjdiste Mr.Saâdeddine El Othmani, débarque à Alger pour un premier pas de bonne volonté après l’élection et la nomination du gouvernement Ben Kirane. Bouteflika était heureux et, en infraction par rapport aux usages protocolaires, il reçoit notre ministre , le politicien et pas le diplomate, pendant trois heures et l’invite même à déjeuner. De quoi ont discuté les deux hommes? Selon les confidences de Mr.Saâdeddine El Othmani aux journalistes marocains qui l'interpelaient à ce sujet, Bouteflika lui a demandé des nouvelles de gens qu’il a connu là-bas au Maroc...? Je suppose à «Bab Sidi Abdelouahab à Oujda et aux corniches de Skhirat de Rabat et d'Ain Diab de Casablanca» et lui a apparu comme nostalgique. Oujda est une ville où il «n’est pas né,...officiellement!», mais qui lui manque officieusement, voire terriblement.
     
                                                        
     
              Bouteflika coïncé entre le marteau et l'enclume avec un regard désespéré.

    Pourquoi cache-t-il qu’il est né à Oujda?

    Parce que. Les réponses sont du domaine de la psychologie, celle de l’individu ou des foules. Du domaine de la politique et de la pureté de la naissance «nationale», aussi. D’abord dans le cadre de l’ultranationalisme, on est tel que (Marocain, Algérien ou Maghrebin tout court) par généalogie et la nationalité impose la condition du lieu de naissance et celle de la nationalité des géniteurs, du père et la mère qui en fassent la procréation.

    Ensuite, il s’agit d’histoires personnelles au plus haut sommet de l’Etat: le Maroc est un frère ennemi assis sur ses bases historiques et sur ses authenticités qui remontent à l'enthiquité. Cela  me donnera l'occasion de m'adresser aux algériens à la veille de leur «05 juillet» qui ne marque pas  le 50ème anniversaire de l'indépendance, mais les 50 ans de naufrages politiques. A ceux qui malheureusement ont dégusté la saveur et la pureté de l'eau Marocaine, respiré son air saine, ou tout simplement ont vu le jour quelque part sur sa propre terre généreuse :

    «« On ne peut pas à la fois fermer les frontières, nous faire, ou en subir deux ou trois guerres de sables, nous tourner le dos pendant que nous vous tendons les mains, nous accuser vachement de monarchisme par vos hyènes-révolutionnaires vieillies et nous supposer une adversité constante «tout en étant né au Maroc». Nous  vous avouons , nous simples citoyens, que vous êtes les meilleurs, puisque vous êtes bien arrivés à commander et commanditer farouchement le peuple le plus dingue du monde!  On attendant, nous vous appliquons ce que signifie l'anécdote:
                                                           «  اتَّقِ شرَّ مَن أحْسنتَ إليه  »

     Pour  Si Bouteflika parait-il, cela gène un peu, la pureté du nationalisme de souche, alimente la bouche de ses adversaires politiques nés en Algérie, suppose une sorte de trahison passive à la naissance ou une tiédeur du nationalisme génétique. On ne sait pas. On ne sait plus. L’essentiel est donc dans la manie: cacher être né à Oujda, au Maroc. C’est un droit souverain et rare que celui de pouvoir changer de lieu de naissance, même 75 ans après les faits. Bonne lecture.

                                                                Cordialement,Chihab25

    A suivre...

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    (*).-Pour plaire au palais d'El Moradia d'Alger, il a sauté 1992, l'année du complot électoral contre le FIS, ce qui laisse beaucoup à désirer.

    **.- C"est le jeune-chomeur qui plaque quotidiennement son dos contre le mur aprés avoir échoué dans ses tentatives de trouver un boulot.

    ¹.- Une autre histoire Nacerite qui nous concerne pas(guerre ouverte contre le Roi Faycel de l'Arabie Saoudite qui soutenait le roi Yemenite déchu Mohamed ElBadr).
    ².- Une des éxigeances pour accéder à la présidence, lui il n'en a pas.