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  • Algérie : Les Bouteflika ont-ils essayé de piéger le général Gaïd Salah ?

                                                          

                        ambassade d'Alger à Rabat

                                                          Ambassade d'Alger à Rabat: un nid d'espions.

    Et pourtant, j'en'ai jamais eu un train de retard..Par exemple, quand je parle de la confiance en soi, c'est que je suis en train de l'expérimenter; quand j'écris sur l’ingratitude d'un voisinage perturbé, c'est que je viens de comprendre son processus en le vivant; quand je m'exprime sur une veuve Algérie, c'est que j'ai réussi à localiser les mots de maux qui nous parviennent de cette Algérie . 

    Tout ce que j'écris à ces sujets, je suis en train de le vivre ou l'ai expérimenté il y a peu, parfois l'enseignement c'est bien déroulé, d'autres fois moins bien et l'expérience se renouvellera pour que j'en sorte plus grand dans ma guerre de mots contre la folie algérienne.  
     
    -. Ainsi, un jour il m'est arrivé  de frapper à la porte de l'ambassade d'Alger à Rabat pour demander d’après un ami d'enfance, originaire de ma tribu, qui s'est converti, ou plutôt, qui s'est Algérienisé" malgré lui, par la spoliation fâcheuse du Sahara Marocain oriental par l'Algérie62, c'était aussi pour moi un ami de classe, devenu, du jour au lendemain, un haut cadre algérien, à la règle  du dicton  «Le myope dans le pays des aveugles».
     
    Malheureusement, j'en ai eu aucune réponses à ce sujet, car l'ambassade algérienne censée être au service des siens, développant en parallèle,  les liens avec ceux du pays hôte n'avait pas cette culture d’honorabilité, outre que d'espionner et porter préjudice aux intérêts du Maroc.
     
    C'était la première expérience qui m'a guidé pour découvrir davantage hypocrisie d'un pouvoir mafieux algérien qui n'est né à notre frontière que pour nous envier, nous ennuyer et nous créer des problème artificiels, dont le problème épineux du Sahara Marocain et j'ai compris alors, que la diplomatie algérienne ne rempli pas les conditions aux normes universelles pour créer de bonnes représentations jouissant de crédibilité diplomatique, surtout dans un pays, comme le Maroc, qu'elle considère vachement son ennemi potentiel de toujours. 
     
    A cet effet, j'ai tenu à tirer les choses au clair. Faut-il souligner qu'en fait, j'ai pas de comptes bancaires "suspects!", (un officiel et un officieux) pour entasser de l'argent sale qui provient souvent d'offrandes d’autrui. C'est pourquoi mes pensées partent, de ma liberté, tant que j'en ai de comptes à rendre à personne, et je n'attend l'aumône de quiconque.
     
    Je constate ainsi, avec ardeur, depuis ma tribune d'ivoire, que les algériens sont les plus sales des ingrats. Ils pratiquent une diplomatie d'autruche qui, rappelons-le, pour se camoufler, elle cache sa tête dans le sable. D'autant plus, ils maîtrisent l'hypocrisie avec toutes ses sortes, le mensonge, le fourbi et la déformation de réalités et ils souffrent en plus de maladies chroniques d'orgueil et d'arrogance.
     
    Ils se croient, entre autres, intelligents plus que tout le monde.Le fait pour eux, discréditer, et bafouiller les intérêts des autres "dupes", même les cas d'assassinats perpétrés,ici et là par le pouvoir,  sont des "principes courants de fièreté??" dans la mentalité, la pratique et les comportements de tous les dirigeants algériens ou presque qui, selon une règle générale en Algérie, ils usurpent des surnoms, (Med Mediane = Toufik)  tout en agissant sous l'anonymat. Un système qu'ils auraient hérité de la guerre d'Algérie pour ne pas êtres connus ou dévoilés, en cas de force majeure ou de découverte malveillant.
     
    Mais dans la plus part des temps, ils s'égarent, voire ils escaladent imprudemment tous le rochers qui dépassent leur capacité mentale et perdent la boussole, accusant après chaque défaite, la "main étrangère" qui, dit-on toujours, ne cesse de guetter l'Algérie. 
     
    -."Durant un colloque international consacré à la sécurité, tenu quelque part à l'extreme sud-est d'Europe, un colonel Algérien, "le plus intelligent des autres" avant de se faire emporté par du Vodka et par l'effet néfaste du tabac à chiquer (chemma) et devant un parterre de collègues du même calibre, de différentes nationalités, il manipulait entre ses doigts, une clef USB qui contenait,parait-il, des renseignements secrets militaires".
     
    Au bout d'un moment, il atteint le degrés d'ivresse avancée et perdait les bouts des ficelles, pour ne pas dire il perdait conscience. Sur le canapé en face, un faucon Marocain bien éveillé, qui observait l'assistance ait réussi à s'emparer de la clé-USB-dz aspirant, à l'insu de tout le monde, son contenu par option 'copier-coller'. Un contenu qui sera bien exploité certes, par les faucons Marocains de base, pour préparer éventuellement de bonnes balles qui toucheront, le fond du cœur de l'ennemi.
    Ca n'est pas du vol qu'on peut en imaginer, non..!, c'est tout simplement de l'intelligence à "la Marocaine" qui ne permet, en aucun cas, de perdre du temps dans de futilités, dans des cas pareils, pour réussir sa mission à l'étranger. 
     
    Et c'est ce qui fait de moi cette personne que je suis, je suis un apprenti de la politique anti-Algérienne, étant donné que je n'ai pas encore concrétisé, ni matérialisé, tout ce que je collectais auparavant de mauvais sur l'Algérie. Il me reste encore beaucoup à apprendre et à vivre avec ce voisin de mal.
     
    De plus, les enseignements d'hier que j'ai appris ne sont pas ceux de demain, alors, de temps à autre j'ose remettre en question ce que je croyais vrais hier seulement.Je doute encore parfois de moi, mais, de moins en moins, et mes doutes sont une merveilleuse façon de me dépasser, chaque fois que je vais au delà d'eux je deviens plus fort. Alors tout est divinement parfait !
     
    Il y a quelques temps j'ai eu l'envie de faire publier des petites vidéos dans lesquelles des algériens attestent leur amertume au sujet du blocage et de l'anarchie qui sévissent actuellement en Algérie. J'ai mis du temps à me lancer car j'étais pas sûr du résultat. Puis, un beau jour  ! J'ai ressenti une force nouvelle à sortir de ma zone de doute, car la plupart de mon lectorat était composée d'algériens, d'exclus sans voix, qui en trouvent refuge dans mon blog, manifestant quelques fois leur colère sur les sujets qui, croyaient-ils, portent préjudice à leur Algérie de fièreté et de dignité.
     
    Je pense que si dès le départ, j'avais été sûr de moi, de mon blog, mes écrits auraient été différents. Le fait de chercher m'a pris du temps en effet, peut-être plus de temps que pour d'autres, mais aujourd'hui, cela m'aide à distribuer des clés autour de moi, sans mes doutes, je n'aurais peut-être pas les mots justes ou les réponses justes pour développer les crimes d'un voisin ingrat qu'est l'Algérie contre la générosité Marocaine..Je disais quelque part dans mes notes, qu'il s'agissait de fils et de petits fils de milles* et de bidonvilles de l'Algérie Française d'autrefois.  
     
    Tout ce que j'ai fait jusqu'à maintenant, je l'ai fait avec du cœur, sans chercher rien d'autre que m'assurer, et par résonance cela m'a éclairé d'autres voies. Car tout doit transiter toujours par soi même. Ceci explique pourquoi certaines notes fonctionnent mieux que d'autres, c'est le but véritable qui est à prendre en compte. 
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    Le DRS-dz est à Rabat.. L'ambassade d'Alger à Rabat agit contre le courant diplomatique et contre la stabilité du Maroc.Un colonel des services extérieurs algériens auprès de l'ambassade algérienne au Maroc, avait, selon une source médiatique bien informée, reçu à son bureau, des activistes pro-séparatistes poursuivant leurs études à l’université Ibn Zohr, à Agadir.

    Alger franchit un nouveau palier dans son complot contre l’intégrité et la stabilité du Royaume du Maroc. Sauf que cette fois-ci, c’est à l’intérieur du territoire Marocain que le voisin de l'Est s'est permis de le faire. En effet, le dit colonel en poste à l’ambassade d’Alger, avait programmé de manipuler des étudiants sahraouis contre leur pays le Maroc.

    Selon la même source, ces étudiants originaires des provinces du sud poursuivent leurs études à l’université, théâtre de violents affrontements perpétrés dernièrement par  ce qu'on appelle les «séparatistes de l’intérieur». Leur rencontre avec ce haut gradé algérien porte à croire que les affrontements à l'université d'Agadir étaient orchestrés en parfaite intelligence avec des officiers algériens en poste à l’ambassade de leur pays à Rabat.

    D’après les informations recueillies par le site Marocain «le360», l’activiste «B.K» avait mené des campagnes de mobilisation parmi les étudiants pro-polisario pour manifester en signe de soutien aux personnes impliquées dans les événements de Gdeïm Izik commandité, par les services secrets algériens rappelons-le, tout comme il avait coordonné avec des séparatistes les préparatifs des actions de protestation organisées devant la Cour d’appel de Marrakech, concomitamment au déroulement des audiences du procès des étudiants pro-séparatistes, impliqués dans l’homicide volontaire de l’ex-étudiant amazigh Omar Khalek.

    Ces étudiants sont également réputés êtres des fidèles habitués de la soi-disant «université des cadres du Polisario», organisée chaque mois d’août par l'Algérie dans la wilaya algérienne de Boumerdes au profit du polisario. Un rendez-vous auquel assiste aussi régulièrement le haut gradé algérien précité.

    La rencontre du Drsiste avec les pro-séparatistes est d’autant plus dangereuse qu’elle a eu lieu au cœur du Royaume du Maroc. Elle démontre que le voisin de l’Est a violé toutes les normes diplomatiques reconnues internationalement et prouve encore une fois, l’implication des services algériens dans l’entreprise de sape menée, inlassablement, contre les intérêts supérieurs du Royaume du Maroc.

    Pour précision, ces mouvements pro-séparatistes interviennent quelques jours à peine après les événements sanglants ayant secoué le campus universitaire d’Agadir. Le recours des services algériens à la manipulation d’étudiants pour leur activisme séparatiste et d’agitation, notamment dans le contexte d’un bras de fer avec une faction estudiantine amazighe, édifie à tous points de vue sur la volonté certaine du régime algérien de semer le désordre et la panique dans le Royaume du Maroc.

    Et compte tenu de ce développement extrêmement dangereux, les autorités Marocaines doivent agir avec la plus grande fermeté et sans modération face à un voisin fou qui ne peut se permettre de jouer impunément avec la stabilité de ses voisins Marocains.

    Si cette racaille d'espions trahi la déontologie diplomatique pour espionner le Maroc, au lieu d'user de son énergie et prodiguer des soins à ses maux internes et de s'en occuper de ses oignons, la rédaction du blog en profite  de cet acte malencontreux pour rappeler au "grand dam" a ces sales espions de la ambassade algérienne que le Maroc demeure, malgré leur haine et hostilité  «Un  pays fort, une forteresse fortifiée» gardé par la vigilance de ses faucons qui, survolent et surveillent ses cieux, d'où ces sales agents Drsistes, déguisés en diplomates, n'y peuvent rien piger, tout en leur dévoilant ce que le pouvoir mafieux d'Alger cache de "concret"  aux algériens.

    Et ce n'est pas de l'espionage Marocain qu'on fait sortir un vrais secret d'Etat explosif. Non, c'est le médias Français qui en parlaient en marge de la visite à Alger de l'ex-président Français Mr.Francois Hollande en 2012, décryptant une fiche secrete de l'armée Française tombée, d'une façon ou d'une autre, en mains de la 4ème autorité en France.   

    -. Silence, on humilie tout un peuple..Au sommet de la pyramide de  l'armée algérienne se trouve un ex-caporal de l'armée Française, voire de l'Algérie Française. On le dénomme le général de corps d'armée Gaid Ahmed Salah qui ne cache pas son ambition d'être le futur président de l'Algérie après l'enterrement du cadavre de celui qu'on garde en"mort clinique"..

    Que peut-il dire ce thuriféraire du pouvoir actuel aux algériens du site nucléaire Français "B2-Namous" qui occupait prés de 6 milles Km2 dans la région frontalière avec le Maroc aux alentours de Figuig.

    A propos, ce territoire depend du sahara Marocain oriental, s'étendant sur une superficie d'un million de km2, est Marocain, spolié par l'Algérie de 1962, en vertu des fâcheux accords Franco-algériens d'Evian qui ont officialisé l'erreur Française fatale ayant permis l'indépendance à l'Algérie actuelle.

    Ce sujet me parait-il, est plus grand que la Cabeza du général Gaid Salah, il ne peut l'élaborer scientifiquement, étant très compliqué pour un ex-caporal. Mais j'essayerai de ma part de l'aborder pour prouver aux algériens qu'ils ne peuvent compter sur une racaille d’intérêts conduite par un bougre et pas sur une armée de profession.   

    -. Le 19/20 décembre 2012 la visite d'Etat effectuée à Alger par le président Français Mr. François Hollande, s’était soldée par la signature de nombreux accords de coopération économique et politique. Selon un journaliste à l’hebdomadaire français Marianne, parmi les textes paraphés par les deux délégations en présence des deux chefs d’État, un accord confidentiel a été signé loin de tout protocole et de toute présence médiatique. Par lequel la France va dépolluer un ancien site d’essais d’armes chimiques en Algérie (!) que l’armée française a utilisé jusque dans les années 1970 ». Le dit site s’appelle B2-Namous.

    L’existence de ce centre de tirs d’essais d’armes chimiques et bactériologiques avait déjà été révélée en octobre 1997 par la presse française. Mais, à l’époque, les autoroutes de l’information n’étaient pas aussi efficaces. La nouvelle n’avait provoqué aucun émoi au sein de l’opinion algérienne qui était endormie sur ses oreilles.     

    En France, elle n’avait débouché que sur l’esquisse d’un débat autour de l’utilisation des armes chimiques. Une quinzaine d’années plus tard, le retour de B2-Namous dans l’actualité a une tout autre résonance, éveillant l’intérêt pour un vieux secret d’État que ni Paris ni Alger ne souhaitent pour l’heure déclassifier.

    Aujourd’hui, l’opinion algérienne n’en revient pas : le maudit Houari Boumédiène,  affirmé, héraut de l’anti-impérialisme, champion du non-alignement, farouchement opposé à toute présence militaire étrangère dans son pays, avait sacrifié une partie du territoire Marocain qu'il occupe au profit d’une armée occidentale, qui plus est celle de l’ex-puissance de Algérie Française.

    En octobre 1997. Abdelaziz Bouteflika n’était pas encore revenu du désert, quand l’hebdomadaire français "Le Nouvel Observateur" évoque pour la première fois l’existence de B2-Namous. : "Boumédiène a fait  de Bouteflika un enfant dans le dos !"» malgré qu'il a été le compagnon de plaisir de ce dernier, et son chef de la diplomatie.

    Après sept ans de guerre, l'FLN et le gouvernement Français entament des négociations pour un cessez-le-feu et l’organisation d’un référendum d’autodétermination. Faut-il rappeler que sur incitation du Caid  Marocain Abdallah Senhouri, cet accord fut boycotté par la population locale de Tindouf en tant que population Marocaine, non concernée par ce référendum d’autodétermination ni par tout accord y afférent.

    Malheureusement, je ne peux  largement citer dans ce passage, ce qu'a engendré ce refus de crimes perpétrés à ce sujet par les algériens contre la population locale qui était constituée dans sa majorité, par la tribu R'guibat Ech'charq, connue par ارقيبات القاف.

    Mais ces accords d’Évian contenaient une annexe secrète : la France conservera durant une période de cinq ans quatre centres d’essais au Sahara Marocain oriental: Raggane et Ain Ekker, pour le nucléaire, Colomb-Béchar (futur B2-Namous) pour les armes chimiques et bactériologiques, et enfin Hamaguir (hamada du Guir) pour la balistique et les fusées spatiales.

    Faut-il rappelé dans ce sens, que ce bloc d'essais imposé par la France dans un territoire Marocain spolié, était contesté à l'époque par le Maroc, feu Sa Majesté le Roi Mohamed V que Dieu ait son âme avait protesté rigoureusement contre cet acte de violation du droit Marocain et des réglés internationales. 

    À l’échéance du délai convenu, Alger et Paris confirment officiellement la fermeture de tous les sites sahariens de l’armée française. Sauf celle de B2-Namous dans la région de Colomb-Béchar.

    Guerre froide et course aux armements incitent le général Charles de Gaulle à demander au maudit Boumédiène la prorogation de l’accord pour le maintien du centre de Beni Ounif. Contre toute attente, Boukhrouba concède une période supplémentaire de cinq ans. Il impose cependant une condition : B2-Namous sera exclusivement une affaire militaire. En d’autres termes, pas question d’y associer ou d’en informer les circuits diplomatiques, dont Bouteflika en personne.

    Un accord-cadre est secrètement signé, le 27 mai 1967, entre l’ambassadeur de France à Alger et le secrétaire général du ministère algérien de la Défense,  l'homme fort de l’armée de l'époque. Le second mensonge d’État de Boumédiène intervient cinq ans plus tard, à l’issue de l’échéance prévue par l’accord secret. En 1972, quelques mois après la nationalisation des actifs de toutes les sociétés pétrolières françaises opérant dans le secteur des hydrocarbures algériens. Il règne un climat des plus délétères entre Alger et Paris.

    À l’exigence de discrétion, Boumédiène ajoute une autre condition : Que des militaires algériens participent aux essais auxquels procède l’armée française à Oued Namous. Paris accepte que des officiers algériens sont associés («de loin» assure une note diplomatique française) aux tirs et essais opérés à B2-Namous.

    En 1977, à terme échu, l’intérêt tactique et stratégique des armes chimiques est remis en question. La multiplication d’accidents industriels et les images de la «population Vietnamienne soumise aux bombardements au napalm» ont un effet ravageur sur l’utilisation de ce type d’armement. En 1978, Paris démantèle B2-Namous aussi discrètement qu’il a réussi à en obtenir la prorogation.

    Les fuites à propos de l’accord de dépollution du site d’Oued Namous ont relancé un vieux débat en Algérie : Autre conuence de ces fuites : une extension du contentieux franco-algérien. Les organisations de la société civile algérienne luttaient pour obtenir l’indemnisation des victimes autochtones des opérations dites Gerboise ( tirs nucléaires à Reggane et Ain Ekker).

    Elles exigent désormais que ces indemnités soient élargies aux nombreux «transhumants» ayant parcouru, au cours des cinquante dernières années, les alentours du site d’Oued Namous. Et si indemnisation il y a, elle ne concernerait pas uniquement les Algériens. Les habitants de la ville Marocaine de Figuig, à moins de 30 km à vol d’oiseau du site, sont en droit d’attendre, eux aussi, des compensations pour les atteintes à la faune et à la flore de leur région du fait des essais chimiques. 

    -. C'était l’essentiel d'un secret d'Etat que la bande d'Alger cache aux algériens. Pour les obliger à braquer leur regard de ce genre de pratique, les dirigeants algériens appliquent un seul mot d'ordre pour faire peur au peuple algérien, ils persistent et signent sur "l'ingérence de la main étrangère pour déstabiliser l'Algérie".

    S'enthousiasmer de la trahison de l'autre, voire enrouler davantage toute une opinion publique qui se croit trop intelligente que toutes autres est le pole du moulin pour le pouvoir d'Alger. Une opinion publique "dupe" qui, à mon sens, est dans de sales draps, ce qui engendrera des répercussions politico-sociales, dont fera les frais tout un peuple opprimé.                                  

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    Les dessous d'un rapprochement..? C’est une alliance secrète qui est en train de se nouer entre Abderrazak Makri, le chef du principal et du plus influent parti islamiste algérien, le MSP, et le chef de l’armée algérienne, Ahmed Gaïd Salah. Depuis l’éclatement de la fameuse affaire de cocaïne 701 du port d’Oran, le puissant chef d’Etat-Major de l’armée algérienne est sur tous les fronts pour placer ses hommes et mener une opération « mains propres » destinée à limoger toutes les personnes gênantes qui ont trop profité de leur proximité avec le clan présidentiel Bouteflika pour entretenir des relations douteuses avec les milieux affairistes.

    L’interventionnisme de Ahmed Gaïd Salah a été étrangement salué par le chef de file des islamistes algériens, Abderrazak Makri, l'héritier de Mahfoud Nahnah.. Une attitude totalement inouïe de la part des islamistes algériens réputés pour leur méfiance à l’égard de l’institution militaire, notamment en raison des événements de la tragique décennie noire des années 1990.

    Cette fois-ci, Makri a opéré un revirement à 180° en lançant publiquement un appel au général Gaid Salah pour parvenir à un « règlement de la crise actuelle ». En pleine conférence de presse, Makri a assuré que des «les officiers de l'armée sont conscients des dangers que représente le statu quo actuel».

    Toute la presse algérienne a été bluffée par la position du chef du HMS (en arabe). Que s’est-il donc passé ? En réalité, selon ses informations parvenues d'Alger, le leader islamiste a rencontré depuis la fin du mois de juin plusieurs émissaires du Chef d’Etat-Major de l’Armée algérienne. Les deux hommes ont évité de se rencontrer officiellement, mais ils ont préféré s’échanger des lettres par le biais de messagers dignes de confiance. Makri a tenté de séduire le puissant général Ahmed Gaïd Salah pour, de bonne fois, le trainer au piège.

    Il lui a proposé une feuille de route où l’armée algérienne doit superviser les élections présidentielles de 2019. Le leader islamiste s’est dit prêt à annoncer sa candidature et de mobiliser son lectorat traditionnel fort de plusieurs millions d’Algériens. Si l’établishment militaire soutient cette candidature, Makri se propose de jouer le rôle de stabilisateur pour assurer une transition qui garantira  , sans dégâts,une fin de règne de Abdelaziz Bouteflika.

    Selon des informations, Makri n’a pas affirmé qu’il veut être le candidat de l’armée ou du système. Il sait pertinemment que cette option est impensable. Mais il propose d’animer la scène politique en donnant du tonus à une élection présidentielle déterminante pour l’avenir de l’Algérie.

    En contrepartie, l’institution militaire doit garantir des portefeuilles ministériels au nombre de 4 ou 5 au sein du gouvernement post-2019 à cette formation islamiste qui tente, apparemment, de se positionner sur le haut podium de la société algérienne et d’affaiblir en sorte, par ses dances de coq, le plus puissant islamiste algérien, le FIS de Abbasi Madani et Ali Belhaj, limogés politiquement par la junte d'Alger.

    Mais si Makri doit se présenter comme candidat, il devra affronter qui ? Jouera-t-il le rôle du lièvre face au Président Bouteflika ? Pas si sûr puisque rien n’a été annoncé officiellement concernant le 5e mandat. Ahmed Gaïd Salah n’a pas voulu éclairer la lanterne au chef du MSP. Il lui a juste promis un rôle clé dans la «transition» s’il adhère et soutient la démarche de l’armée. Le deal a été accepté par le leader islamiste qui rêve depuis toujours d’être l’Erdogan algérien.

    Cette initiative n’a ni été couronnée de succès ni permis à son initiateur d’engranger de substantiels gains politiques. Elle a réussi à provoquer l’effet contraire en servant d’électrochoc pour le camp d’en face, c’est-à-dire les partisans d’un cinquième mandat pour Bouteflika, qui depuis ont bien repris du poil de la bête donnent feu vert à qui de droit d'interdire la tenue des sit-in ou de protestation contre le cinquième mandat.

    Certes, depuis maintenant des mois, Old Abbes, le voyou SG du FLN, était sur la brèche en multipliant les sorties sur le terrain et les conférences de presse, en couvrant de louanges le président Bouteflika par-ci et en appelant ce dernier à briguer une autre mandature à la tête du pays, par-là.

    Mais la sortie-surprise de Abderrezak Makri qui s’affaire à brasser large et à construire un consensus autour d’une personnalité autre que Bouteflika, semble avoir fortement secoué les partisans de Bouteflika qui, sentant peut-être la menace, se sont mis à la riposte.

    Jamais la situation n’aura été aussi ambiguë en Algérie que depuis quelques mois. Les derniers rebondissements autour des déclarations du patron des islamistes du MSP ont donné lieu à plusieurs lectures auprès des diplomates en poste à Alger.  L’une d’entre elles semble particulièrement remporter leurs faveurs, suggérant une transition politique pilotée par l’armée, via Abderrazak Makri, président du Mouvement de la Société pour la Paix, qui aurait agi en concertation avec le clan présidentiel dirigé par Said Bouteflika.

    Pour quelles raisons ? Selon de bons connaisseurs de la vie politique algérienne, Saïd Bouteflika, dont les relations sont notoirement fraiches avec le général Ahmed Gaïd Salah, voulait se débarrasser de l’omnipotent chef d’état-major de l’armée et vice-ministre de la Défense, en poste depuis 14 ans.

    Le clan présidentiel cornaqué par le frère cadet d’Abdelaziz Bouteflika aurait donc voulu réussir un joli strike : faire tomber trois gros képis comme des quilles. Si les deux premières quilles le général Abdelghani Hamel et le général Menad Nouba-  se sont vites effondrées, la troisième en la personne du général Ahmed Gaïd Salah est restée solidement debout. Ayant flairé le traquenard, ce dernier a rapidement réagi en prenant l’opinion publique à témoin, à la télévision publique, balayant d’un revers de main toute intervention de l’armée dans l’agenda politique.

    Il s’est empressé par la même occasion de réitérer son allégeance et sa fidélité au président-cadavre. «Le vieux général est sur ses gardes. Il sait que Saïd Bouteflika veut son départ et fait tout pour retarder cette échéance qui est pourtant inscrite dans le temps en raison de son âge avancé-78 ans-», affirme un homme du sérail.

    En attendant, deux institutions piliers du système Bouteflika, viennent de changer de titulaires. La police et la gendarmerie passent sous la coupe de nouveaux arrivants qui en 2019 n’auront d’autres choix que de soutenir le cadavre de Abdelaziz Bouteflika, ou à défaut, soutenir l'heureux prince héritier (Said Bouteflika), faisant appliquer  le système Cubain des Castros, par une alternance clanique à l'Algérienne..? Bonne lecture.

                                                                    Cordialement,Chihab25

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    *.Circuits de maisons closes 

     Med Larbi Zitout, ex-diplomate algérien exilé à Londres, parle à ses concitoyrns algériens de la corruption, de la guerre des  clans pour la succession et de l'anarchie  en Algérie. écoutez-le.

                                
                   
     
                               
       
     
                             
     
                                
    Les thuriféraires du pouvoir de Bouteflika reprennent du poil de la bête. Ouyahya et Old Abbas, déclarations au goût  de flatterie et d'hypocrisie.