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  • Algérie : Adieu à l’égoïsme-dz, faisant de l'Algérie «force régionale, de dignité, de prospérité et de r'faâe rassak ab'ba de Boutef».

                               

    Une constante..C'est vrais, il n'y avait pas d'Algérie. Preuve à l'appui. Visualiser le lien et écouter les Algériens parlaient d'eux-même et les Français en témoignenthttps://www.youtube.com/watch?v=mrMzMqUuvcg 

                                                                                               

                                      Résultat de recherche d'images pour "la plus grande mosquée d'algérie"

                     Les  failles d'un nouveau tyran 

    Innovations en copier-Coller-dz. (15/5/19). Boutefrika rapportait d'Oujda l'idée d'imiter même son ombre correspondant à sa taille de 150 centimètres.Il voulait être au niveau politique, intellectuel et même de taille du général Charles De Gaules, mais il a fini comme Mugabe.

    Après son écartement ayant duré plus que 20 ans d’errance et depuis qu'il ait réussi de s'accaparer des rênes de l'Algérie en 1999, il imitait trois constats du Maroc à l'insu de l'opinion publique locale Algérienne .

    A propos, c'est l'opinion publique la plus dingue du monde, prête à croire n'importe quoi sans savoir ou pour autant sans faire de distinction si ce n'importe quoi émanant du cabinet de l'ange pieux ou du celui du diable rouge.

    Bouteflika en profitait de la frivolité de tout un peuple égaré entre les sale bottes" et enfonçait ses clous rouillés au fond de "Cabesa" ouvertes à tout vent. Il commençait l'étalage de son savoir-faire, à montrer aux Algériens ses innovations de paille. Il volait le droit d'auteur en «copier/coller» d'abord l'initiative Royale ayant créée le "panier de Ramadan" que la Fondation Mohamed V pour la solidarité en avait pris l'habitude d'offrir aux familles Marocaines les plus démunies.

    Mais le couffin de Bouteflika fût confronté par l'imposition aux pauvres Algériens l'acquisition obligatoire d'un bout de papier que le donateur appelle "certificat de pauvreté", comme il est mentionné dans cette-même note. 

    Médiatique.D'autre part, pour concurrencer le champ médiatique Marocain, il se réjouissait et lançait des chaines-tv publiques et privées pour diminuer l'audience algérienne au Medi1 (TV et radio) et aussi des autres publiques. (les huit TVM et 2M en plus de celles de Nini, d'El Ghorfi et de Lahlou). Mais les Algériens ont vite constaté que Bouteflika projetait par cette infructueuse idée d'attirer les éloges en sa faveurs par les Chaines,particulièrement d'Ennaha baptisée par les Algériens avérés en  "Qanate Al isthma" et par El Bilad et les 4 chourouq.

    Religieuse..Mais la grande catastrophe que les Algériens n'ont jamais pu digérer, quand l’intelligence du nain s'orientait vert le religieux. Il lança, aux frais du trésorier de la vache pétrolière la Sonatrach un marché d'adjudication pour construire une grande mosquée dans la boue d'Al Harrach à Alger et défier la Mosquée Hassan II et imiter les causerais religieuses AlHassania. Mais la société Algérienne, me parait-il, ne croyait pas à cette faille. n'étant pas non plus, en mesure d'accompagner la frivolité d'un président qui, lui même, n'accomplie pas son devoir religieux au quotidien, d'autant plus, que la majorité des familles algéroises se montrerait dans l'incapacité d'abandonner une de ses constantes quotidiennes se rapportant au "vin de table " à chaque repas familial.

    Inutilité d'une mosquée Algéroise ..Le projet de la grande mosquée d’Alger a été finalisé. Or, la méga construction qui à coûté 2 milliards de dollars à l’Algérie risque de ne jamais être inaugurée. L’initiateur du projet, l’ex président Abdelaziz Bouteflika a quitté les siens trop tôt, il y a un mois, écartant toute capacité d'accomplir, au moins une seule prière dans cette grande écurie et le nouveau patron du pays, le chef d’état major préfère le sabre refusant d'abandonner son habitude d'allaitement alcoolique, surtout qu'il est diabétique. En effet, la grande mosquée sera transformée en prison classée où les prisonniers auront droit tous à des tapis dans leurs cellules.

     Le plus rigollot, c'est qu'un communiqué de l'administration de l'armée et de ses têtes de mules vient de tomber, disant que «la grande mosquée d’Alger sera désormais la grande prison d’Alger». Cette réaffections qui a surpris grand monde va permettre au général major de multiplier les arrestations, dont la dernière concerne le cuisinier du général pour avoir oublié d'ajouter suffisamment de sel dans la "soupe aux champignons du général".

    “Cet édifice est trop grand pour une mosquée, ce serait un gâchis. Avec une superficie de 20 000 m² elle peut accueillir jusqu’à 500 000 prisonniers, tous entassés comme dans un camp de concentration. Comme ça les prisonniers pourront prier pour leur remise en liberté” estime le porte-parole de l'armée. “Le minaret servira aux exécutions en jetant les condamnés d’en haut” prévoit-il. Selon la revue El jeich, la grande prison d’Alger portera le titre du plus grand camp du monde derrière Guantanamo. Un record qui va redonner le sourire au général Gaid Salah, affecté par le jeûne.

    Pire encore le procureur de Blida est trop ennuyé par cette campagne d'assainissement et de règlement de compte que mène ce Gaid Salah et ses service sécurité.  Après les Cinq ibliss et la Reine-Sorcière de blanche Neige, etc….le tribunal militaire de Blida poursuit ses convocations de personnages réels ou fictifs, sous l’adage « j’arrête celui qui me plait ».

    L’armée, nouvelle dictature du pays, compte foutre tous les pions de Boutef en taule pour placer les siens et fixer en dalles ses pieds dans toutes sorties du pouvoir. Une sale figure du clan Bouteflika vient de recevoir sa convocation "VIP", il s’agit du clown du cirque Boutef : Abdelmalek Sellal, en la qualité de témoin satirique.

    Selon la presse jaune locale, les plus fiables en mensonges, Sellal ne risque pas gros, il risque drôle. Malgré ses implications directes dans plusieurs affaires de corruption, en plus de l’affaire de sa fille, il comparaît devant le procureur pour témoigner de ses blagues. 

    Le procureur a besoin de quelqu’un pour le distraire, pour l’amuser, jusqu'au rire aux éclats. L’humour est une thérapie, dit-on aux couloirs du tribunal de Blida
    Pour se divertir, le procureur avait le choix entre Sellal et le diable, il a opté pour Sellal.                                                                         

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