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Ce que je crois - Page 58

  • Algérie : Reda Malek, un démon de moins, qu'il aille, pas au diable, mais à l'enfer..!

                                                                    Le 16 Août 2017  

                                                                          Maroc

     
                                                            Le restaurant McDonald's à Laâyoune

    La réalité parle d'elle même..Autrefois désert et aride la ville de Laâyoune est devenu havre de verdure, dotée comme beaucoup de villes Marocaines de son «Fast-food», première implantation de l'enseigne Américain dans les provinces sahariennes.

    Pour parler aux algériens, rappelons-le, il en faut toujours leur présenter un menu différent à celui de leur déformation de réalités Marocaines qu'ils présentent avec insistance à l'opinion publique locale algérienne.

    Cette fois-ci, c'est avec cette"Entrée" de menu gastronomique Marocain. Une vue générale du nouveau restaurant "McDonald's" dans la perle du Sahara Marocain, la ville de Laâyoune qui baigne, en pleine quiétude dans sa toile Marocaine.

    Cela étant, irrite certes, les polisario et leurs maîtres Algériens, qui n'ont pas tardé à demander vachement aux séparatistes de l’intérieur de boycotter, surtout à ceux qu'ils appellent " les cadres du polisario" qui se rendent chaque année, en été à Boumedas en Algérie, et y sont actuellement en stage d'harcèlement, pour ne pas dire de perfectionnement.

                           

                                                                        Marrakech, place Jamaâ L'fna  

    Une autre vue générale, une place en effervescence, l'unique  au monde du tourisme d'ailleurs. Elle fait du Maroc la 3ème destination touristique en Afrique, le pays qui attire davantage les touristes internationaux, pour sa sécurité,sa stabilité politique, et sa bonne hospitalité.

    Pourquoi la ville ocre de Marrakech, pour ne citer qu'elle, de nos autres villes impériales,   c'est en réaction à un pauvre Portugais qui aurait été chargé par initiative, parait-il, de Hassan Mermouri, le nouveau ministre algérien du tourisme, à peine nommé par Said Bouteflika, de dire et répéter ce qu'on lui dictait "cinq  "fausses" raisons pour visiter l'Algérie!" en vue de promouvoir le tourisme Algérien et encourager les dingues touristes étrangers à venir en Algérie.

    Il n’échappe à personne certes, que nos frères-ennemis algériens, ont du talon et de la capacité d'imiter tout qui bouge au Maroc, mais, contre partie, ne peuvent en aucun cas faire autant, pour  ses acquis, en l'occurrence : «Sa crédibilité, Son rayonnement Africain et international, Sa sécurité et Sa manière de lutter contre le terrorisme». A mon sens, ils seront forcement contraints de consommer ce petit menu d'exception, même s'il sera mal digéré par les théoriciens de politique anti-Marocaine. quels qu'ils soient à Boumerdas ou à Rabouni de Tindouf.

    Attention à la marche.. Ma réaction sur le limogeage de Tebboune et son remplacement par Ouyahya  à la primature Algérienne, est une des réactions qui n'en changent en rien de la donne, tant que nous Marocains nous sommes pas concernés par cette comédie à l'Algérienne.

    Mais quand même, je dois donner mon avis en l'objet, vue que la ligne de rédaction du blog censée suivre de prés tout ce qui est algérien ayant trait malencontreux à nos intérêts Marocains. Qu'il soit Zayd ou Amr, c'est la même chose. On change seulement de ticket pour épargner un peu plus de temps.

    Je ne dirais pas non plus ce qui dit la presse algérienne à ce sujet : Ali Haddad sort vainqueur et Tebboune débarqué du navire,détenant désormais le record du plus court mandat de Premier ministre, jamais enregistré. Un record qui ne fait pas honneur au régime algérien qui a érigé la servilité des hommes au rang de valeur ! 

    C'est un remaniement étrange, de "courtier aux enchères", qui mène tout observateur à s'interroger sur la logique du système (!). La Neguafa politique de l'Algérie Louisa Hannoune, la patronne du Parti des Travailleurs Algériens et opposante hypocrite de circonstances, vient de sortir du silence et préciser, je cite : "ne pas vouloir «interférer dans les prérogatives du cadavre-présidentiel» même si elle partage « l’émoi, les inquiétudes et les interrogations légitimes des citoyens que soulève ce changement ». fin de citation.            

    J'analyste de non point de vue, ce mystère algérien autrement. Sachant que ce n'est pas Abdelaziz Bouteflika qui joue à l'échiquier, à la haute magistrature Algérienne, c'est bien son frère Said qui dame les pions à sa manière. Une façon d'épierrer, bitumer et dégager les mauvais herbes du chemin qu'il compte emprunter pour y arriver en avril 2019 à la présidence de l'Algérie, sans difficultés et sans le moindre de dégât routier, même s'il en est aujourd'hui (officieusement) le vrai président, comme il était toujours au vivant de son frère Abdelaziz. 

    Pour ce qui est d'Ahmed Ouyahya, avant de se briller à l'époque du président Lyamine Zeroual, il était un simple employé de bureau dans une ambasse d'Algérie en Afrique. Aujourd'hui, et aprés plusieurs étapes,ce larbin faux Kabyle, devient l'homme du sale boulot. Avec son nouveau retour à la tête du gouvernement Algérien, démontre qu’il a fini par devenir un élément essentiel de la galaxie Bouteflika, où il a été longtemps observé avec la plus grande suspicion.

    Ce n’est pas un secret, le chef de l’État algérien, ou plutôt Said son frère, qui gère actuellement la phase, a toujours nourri une méfiance à l’égard de cette figure incontournable de la scène politique qui a servi avec le plus grand dévouement  Liamine Zeroual et à qui l’on a prêté de solides liens avec les anciens chefs du DRS, surtout avec le général Toufik personnellement.Chez nous au Maroc, on dit à ce genre de type "Lahhass L'cappa".

    Il exerce entre autres, beaucoup de métiers en tant que thuriféraire au service de la famille Bouteflika. Il est l’huissier et garde des sceaux de la famille, pour ne pas dire de la présidence. Nous avons vu, voire les lgériens ont vu ses combats et ses sorties contre  les indésirables-bannis Abdelaziz Belkhamej, Amar Saadani et autres qui ne plaisaient pas du tout au prince de la famille. Parfois il joue le rôle de sapeur pompier pour  éteindre, voir pour maîtriser, ici et là, les foyers de feu de parcours. Il est en fin de compte "un bouche-trou" et serviteur fidèle pour Said Boutaflika.

    Populairement, il est mal élu et au fort bas dans les sondages.Etant patron et chef d'entreprise de transport commun qui suce le sangs des Algérien, il doit s'attendre à une rentrée difficile. Ne parlons pas de ce qui excite les médias pro-Said, les couacs, pipolisation et opacités, mais du contenu de son action future.

    Le choix bancale de ce démon de taille, comme sauveur officiel de la face du pouvoir, n'est en définitive que de la poudre aux yeux pour démobiliser et gagner du temps.

    Certes, la société algérienne résistera tant bien que mal, mais les dégâts sont énormes, selon les analystes et élites Algériens et il n'y a aucune visibilité. C'était ainsi les ingrédients de poison de l'ère Bouteflika. On attendra autre épisode de la comédie algérienne, dont le futur réalisateur sera certainement "Aâmi Salah",(Aâmhoum Salah), le général Gaid Ahmed qui ne cesse de montrer ses muscles, limant ses lames dans l'attente de voir approcher son rôle au spectacle?. 

                                    Horst Köhler

                                                           Mr.Horst Köhler, ancien président Allemand

    Cause nationale.. Le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a annoncé, ce jour mercredi (16/8/17) à New York, la nomination de Horst Köhler, ancien Président d'Allemagne, au poste d’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara Marocain.

    Le Maroc a réagi favorablement à cette nomination de Mr; Horst Köhler, au poste de nouvel Envoyé du SG de l'ONU pour le Sahara Marocain, en remplacement de Christopher Ross. Il ne reste qu'à entériner cette proposition par le Conseil de sécurité pour être officialisée.

    Le Royaume est disposé à tourner la page de Christopher Ross qui appuyait dans tous ses actes malencontreux la thèse algérienne et collaborer objectivement pour que Mr. Kohler réussisse dans sa mission.

    On recommence donc, avec un premier rond certes, de reconnaissance et de courtoisie, dans un moment où l'Algérie qui, généralement dirige et oriente ses pions séparatistes derrière les coulisses, dans toute négociation se trouve, malgré elle,égarée dans une absence totale.

    Son état actuel ne lui permettra pas de trancher avec crédibilité et désigner le bon interlocuteur avant avril 2019.tant que l'ex-rabbin Ramdane Lahmamra est parti, la nouvelle mule noire de la diplomatie algérienne Abdelkader M'ssahel n'y peut rien apporter au dossier, en l'absence de théoriciens algériens en politique étrangère qui sont préoccupés d'autre chose plus importante que le polisario, et qui sont entrés en guerre de tranchée pour la succession du président Bouteflika et qui pourront le diriger, le cas échéant en ce dossier précisément.

    C'est-à-dire Mr. Kohler est contraint d’ouvrir le dossier et attendre, pas moins d'un an et demi pour trouver à qui parler concrètement. Il en découvrira certes avec le temps et dès ses premiers pas de négociation que les éléments du polisario ne sont qu'un moyen de liaison, pas en mesure de décider quoi qu'il en soit.(affaire à suivre).                                                                                  

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