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Algérie : un été de catastrophes, de cocaine, charlatanisme et de choléra..!

                                                                                      

                                                          

                         sahara

                    Note mise à jour le 23/9/18

Arrêt sur images...Les choses se précipitent, se compliquent et s'intriguent encore en Algérie. On est contraint à la rédaction de faire tomber, après seulement une semaine, une nouvelle note sur  l'été de catastrophes en Algérie et ce dans le but de satisfaire, «crédibilité oblige», mon lectorat assidu.

Faut-il souligner à cet effet, que personne n’octroie d'indemnités à la rédaction du blog ou lui fait de l’aumône. Moi en tant qu'Admin, j'ai personnellement refusé d'être soumis à la merci du publicitaire, y compris ceux qui sont toujours en état d’ébriété haineuse, à qui le blog s'était conçu dès le départ, pour leur en tirer dessus. Le lecteur avéré remarquera que toutes les devantures du blog sont propres et ne contiennent aucune saleté publicitaire qui gène.

J'ai du plaisir à écrire concrètement dans tous les sens pour dénicher davantage et exposer, à ciel ouvert, les cas d'infériorité, d'ingratitude et de trahison de nos frères ennemis algériens, que la volonté divine nous a collé, je ne dirai pas au dos, mais  à coté.

Le stupide de nos autres Marocains, qui s'interrogera vachement.. "Pourquoi se déchaîner ainsi, contre des supposés-frères?". Pour n'importe quelle stupidité, je dirai, qu'ils nous détestent, pas tous bien sûr, et nous envient pour rien, que pour la grandeur de notre pays le Royaume Chérifien du Maroc et pour le leadership acquis par sa Monarchie ancestrale.

C'est pourquoi s’être dans sa peau, fier de sa Marocanité, pas pour tenir le diable de sa queue, mais pour ne pas faire de lamentations sur les ruines d'une fraternité révolue. C'est plus clair, les problèmes avec l"Algérie sont arrivés au stade insupportable, à travers diverses étapes d'entêtement adverses ayant mis à nu la volonté de mauvaise foi des Algériens.

Ecrire gratuitement depuis plus d'une décennie (12 ans), c'est possible,car je ne supporte, en abonnement, rien au sponsor, étant donné que le blog est sponsorisé - gratis - par le «Hautetfort», sauf qu'au début  staff le affichait, pour un temps limité, de petits spots publicitaires au haut de la devanture d'accueil. Je crois c'était pour compenser les premiers pas. Dans la foulée concurrentielle internaute, le sponsor Hautetfort, n'est qu'une plate-forme de blogging qui permet à tout utilisateur de créer, animer et héberger son weblog                                               

                                 Regardons tout de même ces photos signifiantes.               

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La première ci-dessus démontre l'état d’ébriété avancée de la racaille militaire algérienne avec laquelle, le général Gaid Salah, chef de l'armée compte abattre le Maroc, ne cessant. pas à se faire des musculations et des démonstrations de "force" aux portes de nos frontière, pas seulement, pour provoquer nos faucons des FAR, mais pour faire croire aux dingues de l'Algérie que c'est l'unique "force régionale" qui peut être exister.

L'état d’ébriété avancée de ces corbeaux de l'armée Algérienne qu'on voit sur la photo, démontre qu'au lieu de se tenir debout, en éléments militaire bien éveillés , ils auraient été mis au contraire, en plein ébats alcoolisés, livrés à des convoitises dans de nuits rougeâtres bien arrosées.

Des pots de Vodka et de fortes doses de cocaine seraient certes, derrière  cette honte qui entache désormais, la gueule du capo-général Gaid Salah,considéré jusque-là, "l'homme idéal du genre" dans de cas pareils avec ses complices,les plus intimes, du haut rang de l'Etat d'Algérie, à l'images de ses pairs octogénaires : Chengriha, Tebboune et autres thuriféraires comme Ouyahya, Hadda, Ghol et bien sûr, le président en cache Said Bouteflika.

 

                                                                                                                                                                                                                       IMG_87461-1300x866

La seconde que vous voyez là-dessus, affiche le contraire. Pour se défouler, se moquer et humilier le coté adverse algérien, le photographe ayant fait la prise aurait osé de coller à l'image une enseigne non conforme à l'état. Pour moi ce genre de personnes sont les vrais algériens d'autrefois, que nous connaissions à travers tous les temps.C'est la qualité d'un monde à part, se trouvant quelque part, au sud, à l'est et à l'ouest de l'Algérie profonde, pas au nord.

Ce monde qui connait et respectait les règles de l'hospitalité, boudait d'une façon ou d'une autre, l'attitude du pouvoir d'Alger pour son ingratitude, sa haine et son hostilité envers la générosité des Marocains qui accueillant, à bras ouverts, les réfugiés algériens pendant la sale guerre de l'Algérie. Ils se contentent ainsi, de se mettre en groupes décontractés, autour de parties d'échiquier local, allongés sur du sable propre, dans une agglomération de proximité propre,en simples montagnards également propres.

Imitant le comportement de Marocains dont l’hospitalité recouvre une forme de générosité de l’esprit, où se développent l’attachement aux valeurs, le sens du respect voisinage et l’acceptation de l’autre. Après avoir était débarrassée des charges du quotidien, cette petite communauté se disperse en pêle-mêle, pour rigoler et passer du temps devant le portail du quartier à l'instar des Marocains du sud et sud-est du Royaume. C'est dans cet esprit d'honorabilité que ces hommes respectent la valeur d'autrui et la générosité du voisin.

Nous aussi nous avons nos notables du même genre. Le visiteur à l'oriental Marocain ne pourra faire de distinction entre les tribus Marocaines de l'est et les algériens de l'ouest Algérien, surtout ceux des wilayas de Naâma et de Sidi Bel Abbes. Ils sont tous sommés et exhortés par la nature de vivre de la même manière traditionnelle. Je n'exclue pas les populations de Colomb-Béchar et sa région, qui sont "minorisées" par injection suspecte d'autres masses du Tell algérien, tant qu'elles sont Marocaines sans équivoque, gardant encore mêmes coutumes et traditions que leurs concitoyens au Maroc.

C'est la réalité que l'Algérie, malheureusement, a tout de même tenue à verser dans la polémique par ses fâcheuses empreintes hostiles au Maroc. La guerre des sables et ses vaines tentatives de percer l'intégrité territoriale nationale, par l'affaire du Sahara Marocain en témoignent?.  

Hmimid Ben Bella, par faiblesse politique, était trempé aux dents dans le nationalisme fallacieux d'Egypte d'Abd Nacer, qui cherchait, en vain, où poser patte, pour pulvériser les Marocains pas ses idées subversives, et éradiquer la Monarchie Marocaine, qui croyait si simple, comme au Yémen.

Pour le maudit Boukharouba, il avait excès d'esprit expansionniste, pour arriver, coûte que coûte, à respirer gratuitement de l'air Atlantique. Mais les deux étaient mal perfectionnés et perdaient devant l'intelligence et le génie du feu Hassan II que Dieu ait sont âme.

       
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La troisième..Le régime algérien veut à tout prix un candidat kabyle à la prochaine élection présidentielle qui s’approche à grand pas. Un candidat qui jouera le rôle de lièvre mais surtout qui fera croire à l’opinion internationale que la Kabylie est une région algérienne comme toutes les autres. Le pouvoir sait bien que les Kabyles ne voteront pas et lors des élections, cette région se distinguera des autres régions par son boycott général et massif.

Vu que le Dr. psychiatre Saïd Sadi fondateur du parti Kabyle RCD (Rassemblement pour la Culture  et la Démocratie) hésite de se porter candidat, les décideurs font tout pour persuader Saâd Rebrab (l'équivalent au Maroc de Miloud Chaâbi) de se présenter à la prochaine présidentielle algérienne, un homme très estimé en Kabylie. D’ailleurs, 

Reste seulement à savoir si Rabrab acceptera de jouer le rôle de lièvre car le résultat de cette pseudo-élection est connu déjà par tout le monde. Soit c’est Bouterflika qui sera réélu avec un score à la soviétique, soit ça sera son frère ou l’un  du clan d’Oujda au cas où l'armée n'envisagera pas comploter pour redresser la situation à sa faveur.

En tout cas, quoi qu’il en soit, on pluche trop de patate ces jours-ci, pour cuisiner les cent plats pour l'étape d'avril prochain. Sachant que les Kabyles ne voteront ni pour «Amr ni pour Zaid». Le Kabyle là où il se trouve, reste fidèle à la cause de la Grande Kabylie que défend  le MAK que préside Mr.Ferhat Ait Said Mehenni, rejetant tout ce qui émane d’Alger.

                                           Résultat de recherche d'images pour "l'armée marocaine"                                           

La quatrième est la meilleure, concerne la fièreté des Marocains.Un rapport international a révélé que le Maroc a avancé dans le classement des meilleures armées du monde. Ainsi, l’armée Marocaine occupe actuellement la 55ème place du classement sur 136 pays tandis qu’elle était 57ème en 2017 sur 126. Les FAR qui se modernisent silencieusement, puisent toute leur force dans la diversité du matériel, le plus sophistiqué, dont elles disposent, ainsi que leur effectif. 

Un classement des plus grandes puissances militaires de la région MENA, publié en février 2018 par le site américain spécialisé Global Fire Power (GFP), avait révélé que le Maroc figure dans le top 10 des armées les plus puissantes de la région.

Avec un budget de défense, que tout Marocain préfère ne pas divulguer, l'armée Royale Marocaine, baptisée au nom d'une Monarchie ancestrale,enracinée dans l'histoire lointaine, est une glorieuse armée digne du nom, qui ne cesse de se proliférer davantage sous l'égide Royale, dans un Royaume Chérifien haut et fort occupait la 8ème position au niveau de la région Moyen Orient et Nord Afrique, devançant la racaille Algérienne dite ANP.

Une raille-armée, rappelons-le, qui endossait opérationnellement sur terrain, plusieurs défaites de batailles devant les FAR qui bataillaient contre toutes ses flots hostiles (la guerre des sables, les Amgala, les Warkziz et d'autres en témoignent).

Et pourtant, on nous crève les tympans par des musculations fallacieuses aux portes de nos frontières, amplifiées par les dances de coq d'un ex-caporal de France, devenu du jour au lendemain, le général Gaid Ahmed Salah qui, dans un vide d'élites, conduit ce qui reste de la junte qui s'accaparait depuis 1962 du destinée de tout un peuple dans un veuf pays dit l'Algérie .


                                                      Image illustrative de l’article Saoura                                                                       

La cinquième est la plus lourde, au point de vue étatique, elle évoque l'état du Maroc qui réclame la restitution  de ses territoires spoliés par l'Algérie dans une opération suspecte de passe d'armes entre la France du général De Gaules qui contrainte de céder et l'Algérie des bandits qui dérobe à ciel ouvert.

Je crois qu'il serait préférable d'élaborer en ce temps mort qui prévaut en Algérie, le sujet crucial concernant la vraie affaire de discorde existant entre le Royaume du Maroc et l'Algérie de bandits, en l'occurrence la restitution des territoires Marocains du Sahara oriental du Maroc. Évoquer  le sujet, même de très loin, est le symptôme de vertige le plus douloureux qui fait trop mal aux cœurs des algériens, leur provoquant trop d'ires.

Malheureusement, la France par le biais de ce qu'on appelle les "accords d'Evian" a appliqué le dicton disant  « Pour que voleur cesse, on lui donne les clefs». Les algériens aux commandes s'enfuient en avant pour ne pas parler du sujet qu"ils considéraient indiscutable par ce qu'ils appellent - l’intangibilité de frontières héritées - Une recommandation située quelque part dans la charte de l'ex-OUA.Une charte qu'il a fallu prendre en vrai chiffon de papier, si "sentence exige" en appliquer le terme.

Pour enterrer, en quelque sorte, ce problème majeur avec le Maroc, l'Algérie créa les surprises et le mal trouva son origine.La première c'était la guerre des sables en octobre 1963, commanditée par Abdenacer d'Egypte, exécutée aveuglement par l'Adjudant Maroco-Algérien Ahmed Ben Bella, attaquant à la surprise de tout le monde des innocents Mokhaznis à Hassi Beida et Tinjoub dans la province d'Ouarzazat. La seconde, est la plus pire, fut l'actuelle affaire du Sahara Marocain occidental, créée artificiellement en toutes pièces, par le maudit Boukharouba avec la complicité de Kaddafi, que la malédiction divine soit toujours sur les deux.

Se sont le deux vrais problèmes constituant la matière grasse de toutes les tensions, qui montent et remontent, avec l'Algérie, depuis sa naissance césarienne à nos cotés en 1962.Et puisque c'est toujours le cas, je me réjouis de regarder au rétroviseur et chercher les symptômes-virus qui remueront davantage les plaies des gouvernants algériens et ce dans l'attente de ce qu'enfantera la guerre des clans autour de la succession de Bouteflika.

Le litige est piquant, de part et d'autre. Le ton en a pris trop d'espace pour toujours monter en flèche, d’un ou de plusieurs crans, entre le Maroc et l’Algérie sur le sujet frontalier, surtout après le sortie fracassante en 2013 de Abdehamid Chabat, l'ex-secrétaire général du parti Marocain de l’Istiqlal, demandant à l’Algérie de restituer au Maroc les territoires formant la totalité du Sahara oriental du Maroc, se trouvent actuellement sous sa spoliation.

Annexées de force par la France coloniale à son département d’Algérie dans les premières années du 19ème siècle écoulé. Pour Colomb-Béchar et Saoura en 1903 et dans les années 50 pour Tindouf en 1953 malgré les contestations exprimées par les tribus locales et le soulèvement du Caid Marocain Abdallah Senhouri et ses guerriers-pairs Marocains de l'époque.  

Lorsque le Maroc a obtenu son indépendance en 1956, il a sur le champs, réclamé à la France de lui restituer ses terres se trouvant en Algérie Française. La France était d’accord sur le principe, mais à condition que le Maroc observe une neutralité via-à-vis de la révolution algérienne, chassant les Fellaga algériens de son sol, ce que le Roi  feu Mohamed V avait solennellement refusé d'en parler, considérant, de bonne foi, cette fâcheuse condition Française «Un coup de poignard au dos de la révolution algérienne».

En effet le Maroc servait de base de repli à cette résistance, accueillant généreusement les réfugiés algériens qui étaient approximativement au nombre de 3 à 4 millions d’âmes. Le Maroc avait préféré conclure un accord avec Mr.Ferhat Abbas, président du Gouvernement Provisoire Algérien, dans la perspective de régler  fraternellement le problème de frontières après le départ des Français.

Chiffon de papier dites-vous?..Un accord est signé à cet effet par le deux parties le 6 juillet 1961 à Rabat, considéré après par les fils d'ex-milles Français d'autrefois de l'Algérie indépendante, "comme nul et non avenu", suite au complot contre la légitimité du GPRA et ses personnalités historiques, opéré dans le cadre de lutte interne pour le pouvoir, par le groupe d'Oujda, issu des armées de frontières, conduit par Ben Bella et Boukharouba. Ce dernier considérait l'accord y afférent comme "Chiffon de papier" (sic) agissant contre le courant de la raison?.

Malheureusement, après l’indépendance de l’Algérie, en 1962. On se trouvait devant une bande d'une ingratitude hors normes. Du fait que le "Pieux du M'sid" qui n'était que le Roi Mohamed V, le monarque respectueux, digne d'éloges aux yeux du monde nationaliste arabe de l'époque, fut enroulé en souplesse, par une duperie incroyable de la part de receleurs de sa M'hadra, trop généreuse envers les Algériens (école Coranique), lesquels étaient souvent ses hôtes les bienvenus au palais Royal du Mechouar à Rabat.

Plus pire aussitôt, MM.Ferhat Abbas et Benyoussef Ben Khadda ont été châtiment écartés pour les efforts louables qu'ils ont faites pour l'Algérie et y sont remplacés par des salauds : Ahmed Ben Bella L'Marrakchi et ses supports du groupe d'Oujda qui parallèlement ont refusé de reconnaître l’accord passé entre le Maroc et le GPRA de Ferhat Abbas et console au détriment des accords d'Evian, chose qui a provoqué l’ire des Marocains.

Par malheurs, les cris aux voleurs, les pleurs et lamentations des populations locales de territoires en question, n’ont pas trouvé d'ouïes, se voyant obligées de passer leur malheureux destin à la merci des algériens. Le dicton disait dans ce sens que : «Le voleur est gagnant, même s'il vendait à bas prix». C'est le  cas de nos ennemis algériens qui se réjouissaient de la stérilité de la situation et y sont toujours en fuite vers le sommet de la roche pour ne pas aborder le sujet avec de bonne foi.

Légitimité incontournable..C’est le début des relations tumultueuses de voisinages entre les deux pays qui durent jusqu’à aujourd’hui. Les tensions entre les deux pays avaient atteint leur apogée et se sont soldées par la guerre du Sable en 1963. Une guerre qui n’a rien résolu, puisque le problème reste entier et les Algériens le savent bien, puisque cette question représente pour eux une carte qu’ils jouent en sous-marin pour alimenter et perpétuer les tensions au sujet actuel du Sahara Marocain occidental.

Le fait en réalité est qu'à cela s’ajoute le timing qui est tout sauf anodin, ce Chabat choisissait pour animer ses meetings les sujets alarmants, pas pour réactiver une revendication latente du Maroc, mais pour conquérir les seuils partisans les plus profonds de son parti et taper sur le codon le plus coûté à l'oriental Marocain.En parallèle,il a même essayer de jouer sur les même mots avec la Mauritanie.

Faut-il souligner qu'l y a désormais une unanimité au sein de la société Marocaine considérant l’Algérie comme un pays hostile. C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre la déclaration de Chabat ou de quiconque.

Toujours est-il que la réponse à Chabat ne s’est pas faite attendre du côté algérien.C’est Amar Belani, actuel ambassadeur d'Algérie à Bruxelles, ex-porte-parole des Affaires étrangères, connu par ses diatribes envers le Maroc qui s’en est chargé. Dans un langage menaçant et peu diplomatique, il s’en défend, rappellons-le, en disant que le Maroc et l’Algérie avaient signé le 15 juin 1972 à Rabat une convention sur la tracée des frontières qui, d’après lui, avait fait l’objet d’un enregistrement auprès du SG des Nations unies.

Cet accord a bel et bien existé oui, mais ce que ce fameux courtier de la diplomatie d'autruche algérienne a oublié de préciser est que cette convention prévoyait la renonciation par l’Algérie à toute revendication sur le Sahara Marocain occidental et de lever la main du dessus de son dossier. Une telle contrepartie que l’Algérie n’a jamais respectée sur les deux dossiers Sahariens.

On ignore également si cet enregistrement a réellement été effectué auprès du secrétariat général des Nations unies comme le prétendait l'Algérie. Mais cela est sans importance pour nous Marocains, rétorquons qu’une telle convention n’a aucune valeur puisqu’elle n’a jamais été ratifiée par la parlement Marocain. Ce qui lui fait dire que d’un point de vue de droit international ces territoires sont toujours Marocains.

Le soleil ne se lèvera que de l'Ouest.. Ca vous plaira ou pas, vous autres algériens, loin du titre choisi par Bernard Bajolet, ancien ambassadeur de France à Alger,«Le  soleil se lève plus à l'Est».

D’ailleurs beaucoup de Marocains des provinces de Figuig et de Tafilalet, disposent toujours des titres de propriété de leurs biens situés dans ces territoires et que les Zaouia existant là-bas, ne cachent toujours pas leur appartenance à la spiritualité Chérifienne du Maroc Et ce malgré la déportation de leurs chefs vers la capital Alger. Le cas de descendants de Sid M'hamed Ben Bouziane de Kenadsa en témoigne.

Et en parallèle, à l'autre coté, malgré les pressions psychiques et repressions de l'occupant algérien que peut leur afficher cette imposition alternative, beaucoup de familles, surtout dans l'Oued Saoura gardent encore des dahirs Chérifiens des Sultans du Maroc désignant leurs ancêtres dans de postes de notabilité et d'autorité, comme en exemple : «Cheikhs de Zaouia, Caids, collecteurs de Tartib (taxes) et même gouverneurs dans certains cas particuliers».

Vu que cette réalité, faisant grain de sel aux gorges de gouvernants Algériens, qui ne pourront cacher leur amertume et gêne qui en découlaient de cet état. Ils  ne cessent  en vain, de chercher par n'importe quel moyen, d'éliminer toutes traces de la Marocanité de ces territoires qui gardent toujours les empreints d'appartenance au Maroc, telles que :« traditions, habitations, habillements et cuisine et même les Moussems dopés de la spiritualité Marocaine».     

                                   

                                                                                                                          

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La catastrophe d'armée.. l’obscure affaire de cocaïne 701 qui a valu des limogeages exprès de généraux et hauts fonctionnaires de l'Etat et qui est même allée jusqu'au champs religieux a-t-elle vraiment provoqué une réaction en chaîne au sommet des structures de l’armée ? Les changements à la tête des «organes dits de force» n’occultent pas la réalité socio-politique d’un pays où la population abandonnée vit dans la psychose d’une épidémie de choléra.

Si le mouvement à la tête des commandements de l’armée est d’une ampleur vieillesse inédite, rien de neuf en termes de profils : les remplaçants sont souvent les adjoints des remplacés. Au bal des généraux, les valseurs appartiennent à la même classe d’âge avec le maintien de ce qui reste des ex-sous-officiers de l'armée Française.

Des généraux sexagénaires remplacent des septuagénaires sous les auspices indéchiffrables d’un «chef suprême des armées» mutique octogénaire, médiatiquement ingambe, mais dont la prolixité se résume à des sermons convenus devant des parterres télévisés de galonnés impassibles, dernière en date son nouveau déplacement éclair à Colomb-Béchar, à la 3ème région militaire de Chengriha pour remettre des armes a la bande de guerrillas du polisario.

Les généraux et la dance à 3 temps..Ces changements, pour gérontocratiques qu’ils paraissent, sont en principe lourds de sens politique : les chefs de régions militaires, des services secrets font partie de droit du Conclave des généraux faiseurs de présidents, Nul n’ignore le rôle capital de cette assemblée, informelle mais décisive, de chefs militaires qui décidaient ou entérinent la désignation d’un chef d’Etat en l'occurrence les ex-caporaux de France, les généraux  : larbi Belkheir, Khaled Nezzar, Mohamed lamari, Smail Lamari et Mohamed Mediane, alias Toufik et autres agissant, en complice, derrière les coulisses .

Des observateurs avertis notent que ces mouvements ont été opérés de manière plutôt cavalière, comme s’ils ne concernaient que des hauts fonctionnaires déplaçables sans préavis. Ces tombereaux de nominations et mises à la retraite prématurée montrent, a bel et bien de sa superbe et confirme que le centre de gravité du pouvoir s’est déplacé entre les mains d'un duo composé de Said Bouteflika et d'un vieux con dit Ahmed Gaid Salah et personne d'autre du sérail qu'on peut imaginer.

En effet, on apprend à Alger, de sources proches de ce dernier, que les nouveaux promus, précisément à la gendarmerie ou à la direction centrale militaires, n’ont pas vraiment eu le temps de s’investir dans les nouvelles missions : ils ont été éjectés et remplacés sans autre forme de procès après seulement quelques semaines de fonction.

L’on comprend bien qu’il est attendu que les nouveaux impétrants fassent preuve de reconnaissance à leurs sponsors (Said et Gaïd) qu’ils répondent sans états d’âme à leurs exigences. Mais quid des motifs qui ont présidé aux mises à l’écart ?

Cocaïne 701..les regards se tournent vers le scandale déclencheur incarné par Kamel Cheikhi dit « le boucher », homme d’affaire multicartes et importateur d’une cargaison de viande congelée brésilienne dans laquelle était dissimulée 701 kilos de stupéfiants, découverte le 29 mai dernier au port d'Oran au nord-ouest de l'Algérie.

Les circonstances qui entourent l’éclosion de cette affaire baptisée "Cocainguet", restent peu claires. On a clairement fait comprendre à l’opinion algérienne, par le biais de la presse "dite indépendante", que la police et la gendarmerie ont été écartées de l’opération car leurs chefs, le général Abdelghani Hamel de la police qui, di-on, se préparait pour remplacer Bouteflika et le général Menad Nouba de la gendarmerie, qui le soutenait sous table? – seraient impliqués dans le trafic.Les services secrets de l’armée et les unités de marine ont pris en charge la mise sous séquestre de la cocaïne, l’arrestation de Kamel Cheikhi et de quelques uns de ses comparses.

Des noms de députées FLN et RND impliquées dans l’affaire, ont circulé par d’inhabituelles indiscrétions d’une presse très contrôlée et généralement frileuse, mais l’on sait maintenant en Algérie que les accusations portées à leur encontre sont très graves «corruption et perception d’avantages indus»Par ces médias, l’opinion publique algérienne apprenait que  "Le Boucher", très introduit dans les cénacles militaires, filmait, à leur insu tous les visiteurs du soir qu’il recevait dans son bureau, pour preuves accablantes en cas de force majeure.

Ces enregistrements vidéo montrent un défilé d’officiers, de fils de généraux, de hauts magistrats et hauts fonctionnaires, dont le fils du wali d'Alger et de certains de ses parapluies au ministère de l'intérieur.

Probablement pour toutes ces raisons et d’autres dont, sans doute au premier chef, la volonté de raccourcir la bride sur l’armée dans un contexte de tension croissante à la veille du choix important de l'étape d'avril prochain.

L’illusion d'un 5ème mandat.. L'enjeu principal réside dans le renouvellement ou non du mandat de Bouteflika. Et c’est bien à ce niveau qu’entrent en collision les intérêts concurrents des clans, notamment ceux qui sont proches de Said et ceux dont les noms sont attachés à des hiérarques aujourd’hui disparus ou écartés des centres de décision.

L’incertitude est le paramètre majeur qui caractérise la situation générale de l’Algérie depuis de trop nombreuses années, voire depuis son accession à l'indépendance en 1962. Cette incertitude, qui pèse comme une hypothèque sur les décisions d’acteurs internes et étrangers, va s’aggraver au fil de la persistance de l’atonie économique et de politiques publiques erratiques.

La réduction des revenus externes, l’évaporation progressive des réserves de change, le gonflement de très inefficaces dépenses publiques, surtout l'enveloppe incontrôlable que consomme l'FLN, le parti du pouvoir, qui corrompe tout le monde qui bouge en Algérie pour se tenir debout sous prétexte "paix sociale exige", ce qui alimente une crise socio-politique en gestation.

Face à la montée de périls que tous pressentent, il n’y a pas de réponse convaincante de la part d’un exécutif discrédité; composé de charlatans, sans influence sur le réel, sans dispositions adéquates pour gérer l’inexorable dégradation de la position externe de l'Algérie.Sauf la priorité de toutes les priorités - haine et hostilité -  qu'ils s'en vantent d'afficher contre le Maroc.

La poursuite de cette fuite en avant du pouvoir algérien dans des replâtrages hasardeux présentés comme des alternatives techniques raisonnables confine au charlatanisme amplifié par des sorties médiatiques commanditées d'en haut contre la vérité  persistante interne.

Je ne plaisanterais pas devant une vérité qui annonce toutes le couleurs. Pour la mise en scène de cet épisode, le choix est tombé sur les plus rapprochés du pouvoir. Du coté de l'exécutif, des ministres-valets de chambre du chef du sérail Said Bouteflika.

Du coté partisan les opportunistes, comme: Jamal Old Abbas, L'kadab Bouguettaya, Abdelaziz Belkhamej de l'écurie FLN - Amara Ben Younes, chef du MPA, - Le chef-affairistes Ali Haddad, l'ami de cimetière du prince heureux de l'Algérie. et d'autres qui brossent  le cheval boiteux des Ait Bouteflika avec enthousiasme particulier.

Assuré d’une totale impunité, ce régime grotesque de bannis, ne recule devant aucune absurdité. Ainsi, ce grand malade, régulièrement transporté en urgence et à grands frais dans les meilleurs hôpitaux de la planète, est sommé par ses supporters de se représenter pour une autre connerie, un cinquième mandat.

Le choléra au cœur du pouvoir..Tout à leurs affaires de recyclage et de blanchiment, les décideurs de l’ombre, le groupe militaro-affairiste autour des principaux chefs de l’armée et de la police politique, ne prêtent qu’un intérêt très relatif aux réalités vécues par la population algérienne.

La psychose du choléra, née essentiellement de l’incapacité à réagir des autorités algériennes, au premier chef  de la saleté qui disait avec enthousiasme, je cite :  «Si la prof universitaire d'Ouargla est morte de morsure de scorpion, c'est qu'elle a provoqué le scorpion..sic!». Cela dit qu'il n'y a ni personne convenable ni lieu approprié pour user du diction. Et c'est aussi, un indicateur probant de la nature de l’autorité algérienne dans toutes ses composantes. Que ce soit en termes d’absence criarde de politique de prévention en Algérie de "fièreté et de dignité et de R'faâ Rassak abba" de Bouteflika dans son vivant.

L'esprit d'El Mouradia..Ces derniers jours (au sens d’il était toutes les fois pour les sans foi, ni loi !) , comme si ses guignols et ses cadres moustachus ne suffisaient plus, le pouvoir algérien de la cocaïne semble se plaire à se donner en spectacle tragi-comique grandeur nature, avec comme toile de fond une maladie revenue des six pieds sous terre de la misère.

Algériens et Algériennes applaudissez «l’esprit El Mouradia» et admirez : Le choléra sévit, le directeur du pseudo-institut Pasteur Algérien que nous décrivons ailleurs, croit faire preuve de « courage politique » en le déclarant, le ministre de la Salté algérien, Pr en médecine à ses heures gagnées, promet d’éradiquer l’épidémie «en 48 heures», son ministère assure qu'il n’a tenu de tels propos, en plus il re-assure que Bouteflika lui a demandé de combattre la maladie le plus vite?.

Pire encore, pour étayer ses propos, il dit que Bouteflika est régulièrement au téléphone avec lui et qu’il «suit?» la situation de près. Entre temps, Bouteflika est en Suisse où il se fait coacher pour un speech de cinq minutes à tout casser, le Wali de Blida évite de s’approcher d’une malade «enfermée» à l'hôpital de Boufarik, de peur d’être contaminé par le choléra, il lui regardait à travers les barreaux…On accuse la fontaine de Sidi Lekbir dans la wilaya de Blida.

Les citoyens boivent de son eau et se filment pour mettre le pouvoir d'Alger nu devant ses mensonges. La direction de la Saleté de Tipaza dément son ministère de tutelle et déclare l’eau de la fontaine "Sidi Lekbir" saine de toute infection. Le régime algérien ne sait plus où se donner de la tête. Il accuse la pastèque. Deuxième gifle des citoyens, ils se filment entrain de manger des pastèques. Le pouvoir s’affole ! Le ministre de l’ Environnement sort ses gants lui aussi pour accuser les fruits et les légumes.

Le ministre de l’Agriculture, en contre partie, fait la moue et dit que ses fruits et ses légumes n’y sont pour rien. Du populisme environnemental au populisme sécuritaire, la ministre de l’environnement et ses employés se font des selfies en étant entrain de faire le ménage.

Au nom du civisme, tout le monde reprend derrière Ould Abbès le refrain de «l’incivisme» et, pour couronner le tout, la gendarmerie algérienne arrête des dizaines d’agriculteurs et de commerçant ruinés, du fait de la gestion catastrophique de l’épidémie, le pouvoir algérien trouve qu’ils sont bons à l’arrestation pour apaiser les tensions populaires.

Les «officiels» distribuent les accusations aux citoyens. Mais, personne parmi eux ne fait la moindre allusion à la moindre possibilité d'irruption des eaux usées dans des réseaux de distribution de l’eau potable dans la wilaya contaminées qui demandent à être refaits. Personne parmi eux ne parle non plus de la mise à mort du secteur de la saleté publique algérienne, en cours depuis des années.

Les algériens l’auraient compris, le pouvoir algérien n’aime pas aborder les sujets qui fâchent…surtout pas au plus fort de ses opérations de rééquilibrage clanique destinées à lui faire passer les crises politico-socio-économiques qui durent depuis un certain moment… Par ailleurs, populisme financier oblige, le pouvoir algérien reprend la planche à billets et prépare un projet de pains sur la planche conforme au simulacre de la prochaine mascarade présidentielle.

Quant au peuple algérien, on se contente de lui coller le rôle du coupable. C’est le moindre mal… C’est dire que « l’ esprit El Mouradia », pour reprendre une formule qui met le pouvoir algérien en place dans tous ses états. Les citoyens algériens sont priés de faire attention au danger de contamination que représente cet esprit de mafia.                                                    

Loin de là..Au boulevard Ghendi à Casablaca, dans un café de luxe, j'ai eu l'occasion de coutoyer d'autres algériens  pas comme ceux d'échiquier. Assis au nombre de 4 autour d'une table bien préparée, dans un coin calme, loin d'épidémie de choléra, ou du moins, loin de brosser en faveurs du pouvoir d'Alger, ces hôtes algériens viennent, parai-il, de l'Ouest d'Algérie.

Ils parlaient sans réserves, on dirait qu'ils sont venus que pour se purger, ils ne cachaient pas à cet effet, la grande amertume au sujet de la situation chaotique où se trouve l'Algérie qui sévisse, selon eux, depuis l'arrivée au pouvoir des Ait Bouteflika, auxquels tous les algériens ou presque, s'en doutent de leur Algérienité, refusant en quelque sorte, de leur approuver la citoyenneté algérienne à part entière.

En écoutant le verdict qu'ils ont rendu contre leur pays, ainsi que les chefs d'accusation et les plaidoiries de défense, je constituais une idée, voire une conclusion sur les décombres catastrophiques les immondices actuelles en Algérie à cause de la vacance du pouvoir et du statu quo ambiant pour dire que :

-. L’été algérien s’achève ainsi comme il a commencé dans le statu-quo délétère de la répression et de la mauvaise gestion, d’une incompétence vertigineuse et la corruption, clef de voûte du système. La seule avancée pratique enregistrée au cours de ces saisons infernales est la mise à nu définitive du système issu du putsch de janvier 1992. Outre ses clientèles, la dictature n’a plus aucune audience et ses professions de foi sonnent creux.

Derrière les devantures qui ne trompent plus personne en Algérie et ailleurs, la dictature militaro-policière poursuit la mise d’une stratégie de démoralisation par la mise au pas de la scène politique. Les institutions ne sont plus qu’un leurre épuisé seulement destiné à rendre inaudibles toutes les voix libres et autonomes, à faire le vide en interdisant l’indispensable, l’urgente, émergence de nouvelles élites pour que le roi des rats de la cuisine présidentielle, le Sir Said Bouteflika puisse vandaliser davantage dans les sphères du pouvoir jusqu'à nouvel ordre .

Le régime stérile et impotent, en coma clinique, ne tient que par la violence et le soutien de ses sponsors étrangers associés dans les réseaux de commissionnements indifférents aux drames que vit la population algérienne, surtout dans le sud Algérien, où la valse (danse à 3 temps) des généraux est exécutée sur fond de concurrence exacerbée entre oligarques.

L’intégration d’une partie du régime dans les structures internationales du crime organisé via ses créations (Mokhtar Bel Mokhtar pour le Sahel et le polisario pour le Maroc), alternative aux captations rentières, tandis que la population algérienne opprimée est confrontée au choléra, signe sa nature réelle et dit le cauchemar du peuple algérien. Le système de pouvoir liberticide militaro-affairiste est exclusivement organisé autour de la prédation et de la captation des rentes, c’est là l'unique vérité que les dirigeants algériens cachent dans une vitrine brisée ,perméable à tout œil nu, n'assurant pas d'étencheité »».   

Ma conclusion..C'était la conclusion que j'ai pu développé sur la situation de l'Algérie. Mais en parallèle, Je ressens un manque d'honnêteté, si je laisserais passer les retombées des crimes du pouvoir algériens commis contre notre Chérifien Royaume du Maroc depuis que l'oligarchie militaro-financière du pouvoir est née à nos cotés en 1962, voire depuis la sale guerre de libération de l'Algérie.

C'est-à-dire depuis les accords d'Evian qui ont bafouillé le sort du Sahara Marocain oriental, suivis par une guerre des sables déclenchée par l'Algérie en 1963 pour officialiser sa spoliation et bien sûr, le problème actuel de notre intégrité territoriale, et ce à cause de haine et d'hostilité que nous affichent les fils des mille français d'autrefois (¹)

Le traitement des divergences avec Algérie font couler beaucoup d’encre et suscite la polémique et on trouve, sur ce sujet, plusieurs interrogations soulevées par les observateurs sur cette situation stérile entre les deux pays. Sachant que depuis la nuit des temps, les Marocains sont pour l’homme une manière courageuse de manifester sa volonté de surmonter l’adversité et d’avoir une vie meilleure préservant sa crédibilité.

Tandis que les dirigeants Algériens sont peut-être, pour un autre contexte qui leur convient : «Le bâtard conteste et déteste le pur sang, et désire assimiler tous à Oulad  Lah'ram!».

Dans l'attente que l'Algérie et sa sale junte aillent à l'enfer où campe le maudit Boukharouba, j'aimerais qu'elle n'oubliera jamais ce que disaient les sages du monde : « Il ne suffit pas de prendre un fusil pour devenir le maître légitime d’un pays, mais il faut songer gagner la bonté de ses âmes». Même si cela est vrais pour les bonnes volontés, il ne peut s'appliquer, en aucun cas, aux gouvernants d'Alger qui ne cessent de bafouiller les intérêts du Maroc auxquels j'adresse quelques flèches :

- Vous qui dirigez l’Algérie en sous-main devez comprendre que les Marocains dignes ont compris vos véritables enjeux politiques et que leur silence généreux n’est point ignorance de vos réalités ou soumission mais que souverain mépris. 

- Vous avez et sans succès, usé et abusé de tous les stratagèmes pour barrer la route à la progression d'un Royaume uni derrière sa Monarchie ancestrale. 

Vous avez même réussi la prouesse d’hypothéquer l’avenir d’algériens qui ne sont pas encore nés, mais vous les avez jumelé prématurément avec des mercenaires de tout bord à Tindouf pour atteindre, en vains, la cote Marocaine de l'atlantique.

 Vous avez déclenché l’un des conflits internes des plus meurtriers de cette fin de siècle. en complotant contre la démocratie instaurée par feu Chadli Ben Jdid et contre la raison, tout court. Vous avez sacrifié des figures illustres qui ont façonné l’histoire de votre pays feu Mohamed Boudiaf en témoigne et déterré la crédibilité politiques, pour sauver vos privilèges politico-rentiers.Bonne lecture

                                                                 Cordialement,Chihab25

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(¹). maisons closes de l'Algérie Françaises 

Zitout, l'opposant Algérien à Londres dans une de ses sorties médiatiques en 2004.

                                          
 
 
Rachid NEGGAZ, (à droite) ex-candidat contre Bouteflika en 2014. Opposant féroce et bête noire du pouvoir. Il est chassé partout il est même exposé à tout moment aux risques d'enlèvement.Tandis que Chakib Khalil, (à gauche) ex-ministre de l'énergie, l'argentier de la famille Bouteflika. Trempé aux dents dans de grosses affaires de corruption (Sonatrach 1 et 2) demandé pour jugement par des tribunaux Italiens.
                                                                                                                                                                                             
 

              

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La chaine-tv «ARTE» diffusait un portrait de Saïd Bouteflika qui dit-on, au reportage qu'il serait le prochain président de l’Algérie».Le lien : https://www.youtube.com/watch?v=nfYeVa-63×0                                            

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