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Ce que je crois - Page 63

  • Algérie : Un voisinage amère, faute à géographie..!

     

                                                                                                   Maroc

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                             Photo polémique publiée par Manuel Valls chef du gouv.Français à son retour d'Alger

    Introduction.. Je ne peux aller tout droit au vif du sujet, sans dire que les conséquences politiques crées par la tempête de Ban Ki-Moon, et les fourbies algériennes qui l’accompagnaient auront bien au Conseil de Sécurité Onusien, en cette période cruciale, un impact défavorable à l'Algérie.

    Il est fort probable que le rapport de routine de Ban Ki-Moon portera, certes, une plaidoirie de défense pour l’acquitter de son forfait de Tindouf. Le compte à rebours a bien commencé à haute échelle et la raison doit surgir pour mettre à sac tous les alibis de la politique d'autruche de Randane Lamamra, le grand rabbin de la politique étrangère de l'Algérie.

    Pour ce qui est de la survie de la Minurso, ses composantes, et de son retour à la normale, je ne serai pas obligé de rappeler que le sort de cette mission Onusienne est soumis actuellement au grand débat à l'ONU.Ce que je constate de la déclaration d'un ancien chef de la Minurso au Sahara Marocain(Christos Tsatsoulie) qui commentait la décision du Maroc de suspendre son aide financière volontaire à la Minurso s'élevant à (3 milliards de dollars) que cette dernière est finie en représailles de l’agression verbale commise par le SG de l’ONU,Ben Ki-Moon à l'encontre de notre pays.

    S'agissant d'une question de souveraineté Marocaine, personne n'a le droit  de faire pression, de quelque nature qu'elle soit, pour trancher. En principe, c'est au Maroc d'en décider, et surtout c'est à SIDNA de trancher.  

    Ce qui est sûr cette foi-ci, c'est que les jeux embêtants de l’Algérie sont cerclés beaucoup plus que jamais,car les quinze du Conseil de sécurité, les cinq permanents en particulier, malgré quelques voix cassées pro-algériennes, sont conscients de leur responsabilité, déterminés au volte-face mettant terme au chantage, de part et d'autre,  qui bloque toute résolution de l'ONU, depuis plus de dix ans,. C'est au moins, pas pour les beaux de Omar Hilal, notre représentant permanent à New York, mais pour sauver leur crédibilité et  sauver la face de l'ONU (A suivre..)

    Dans l'attente de voir plus clair la pièce théâtrale qui se joue actuellement à Alger, dont le thème reste autour de la succession du mort-vivant, au-quelle s'ajoute le "retour triomphale" à Alger de Chakib Khalil, le corrupteur-corrompu.

    La teneur de la note sera cette fois-ci est très particulière, pas comme les précédentes, elle portera, comme vous allez voir ci-dessous, des banalités à l'Algérienne et dévoilera certes aux lecteurs, le vrai visage d'une Algérie, cette veuve perdue dans ses angoisses. Là où les  fameux slogans creux de Bouteflika «l'Algérie de fièreté, et de dignité - R'faâ Rassak Abba...» ont perdu de la tonalité.

    Les banalités..Dans toutes les éditions, ou presque, de la presse algérienne, le pouvoir d'Alger dénonce dans ses chroniques le conflit qui oppose le Maroc à Ban KI-Moon, le secrétaire général de l’ONU, considérant que Rabat ne recule devant rien, tout en  appréciant ses déviations enregistrées parallèlement à Alger, comme à Tindouf , saluant «la pseudo victoire et le "zaïmisme" de la diplomatie Algérienne dans cette affaire». 

    À l’appui de ces dires, les chroniqueurs d'Alger égrènent une liste de conneries à ce sujet que je ne peux citer toutes dans ce petit espace. Ce qui est en revanche étonnant, c'est d'épierrer davantage la seule issue de mensonge suivie jusque-là par le Rabbin des affaires étrangères d'Alger, qui pour se soulager, il crie victoire à son peuple " Sahraoui de Tindouf", ce qui est objectivement le contraire de la réalité.

    N'étant pas spécialiste-chroniqueur en politique étrangère ou en diplomatie internationale, tant je suis simple observateur, fidèle aux principes et aux notions impérissables de crédibilité de mon pays, je crois que le coup de filet qu'a subi Ban Ki-Moon et sa Minurso n'est qu'une des rares gifles politiques infligées à l'ONU par un pays pacifiste, membre de l'ONU et non permanent au Conseil de Sécurité. C'est une première, jamais enregistrée dans l'histoire des Nations Unies depuis sa création en 1945.

    Ce grand Royaume Chérifien du Maroc qui fait peur aux vindicatifs, leur mettant du piment piquant à la gorge, n'a jamais cessé de soutenir la paix au monde, par ses casques bleus depuis le Congo 1960, fidèle à ses principes, et à la morale politique internationale, ne permettra, en aucun cas, à quiconque de bafouiller sa dignité ou traîner par terre ses valeurs sacrées qu’il a toujours incarnées.

    Or, ce genre de comportement d'Etat crédible est étranger à tout concept de "Zaïmisme algérien",(leadership) si j'ose dire !  Aussi, ce Zaïmisme trop médiatisé enfantant à l'esprit dingue algérien, que du bluff face à la grandeur naturelle du Maroc, est beaucoup plus interne, adaptable au parti de ceux-ci, depuis leur création récente, à nos cotés, en 1962, voire depuis leur sale révolution de 1954. 

    Cette révolution, auquelle on fait trop d'éloges en Algérie ⌊...⌋ fût générée en ingratitude à la générosité Marocaine. Une ingratitude incarnée par toute une bande d’escrocs politico-militaires qui s'est emparée du pouvoir d'Algérie dès les premiers jours de l'indépendance. Depuis l'Adjudant Ahmed Ben Bella à ce Bouteflika, passant par le maudit Boukharouba, alias Houari Boumédiane. 

    Après que les algériens crédibles du temps du GPRA et la révolution ont disparus, voire se sont fait écartés du pouvoir, le comportement des officiels algériens qui ont suivi, officialisent, par pratique, cette ingratitude de manière excessive. Ils ont jeté à la largueur du mur, les bienfaits du Maroc et les sacrifices subies par le peuple Marocain pour soutenir l'Algérie dans sa peine et sa souffrance de libération durant plus de 8 ans. Hé oui.. plus de huit ans jour pour jour, avec trop de caprices.

    Ce n'est pas surprenant de voir un tel comportement d'un bâtard. C'est comme c’était la récompense faite à l'ingénieur Italien «Sanimar», après avoir construit le palais à César à Rome au 11° siècle. fût jeté de la hauteur de c palais pour qu'il ne puisse jamais reproduire la même architecture.

    Pour confirmer cette attitude,l'adjudant Ben Bella, rappelons-le, avait créé pour des raisons internes d'autorité, une guerre avec le Maroc en octobre 1963, baptisée "Guerre des sables". Tandis que Boukharouba lui, avait d'autres ambitions expansionnistes,il souhaitait respirer pleinement l'air de l’océan atlantique. Pour qui il créa l'affaire du Sahara, après une décennie d'entrainement au palais d'El Moradia sur les meilleurs méthodes d'hypocrisie et d'hostilité à appliquer contre le Maroc. Ce Maroc chez qui il avait perdu son permis de conduire. (cherchez quelque part la note qui parle de son histoire avec le cafetier de Nador).

    Généraux en vrac..Les autres présidents, qui se sont succédé au pouvoir, ayant meublé la vitrine algéroise,n'étaient que des roues de secours et des marionnettes aptes à toute manipulation de la junte, qui généralement faisait leur choix sur ses normes garantissant la continuité. Sauf feu Mohamed Boudiaf. rappelé  du Maroc (de Kénitra) pour redresser la situation politique au pays et ils l'ont assassiné pour avoir porté les mêmes caractères du Marocain, on lui donnant le surnom de Hassan III,,. Pratiquement cette armée est devenue une proie facile à dévorer par ce contingent espion de l'armée Française.Aucun Algérien n'a le droit de nier cette réalité.

    Ces généraux ne perdaient l'effet de leur cadre d'origine et le comportement de sous-officiers pour en bénéficier des circonstances.Ils savaient bien qu'ils ont été sélectionnés de la catégorie "des Franco-algériens", à confession musulmane, en activité dans l'armée de l'Algérie Française pour mission spéciale. En effet,la junte qu'ils formaient était injectée, à un moment donné, dans les rangs de l'Armée de Libération Algérienne, en la qualité d'agents des services secrets Français, en vu de percer les rangs de la rébellion "fellaga" et suivre de prêt  l'évolution des choses pour éventuellement paralyser la révolution.

    Ces assujettis à la trahison se sont autoproclamés par la suite en "généraux" suite à des promotion d'intégration (galons en vrac et échelonnement aux grades. Pas moins d'officiers supérieurs, commandant et plus). Ceux-ci, se mettaient derrière les coulisses, prenant le pouvoir et commandaient confortablement l'Algérie indépendante, au détriment de ceux qui ont bataillé pour l'indépendance. Une substitution spoliée à coup de force, qui n'a généré à l'Algérie que les maux, soit avec le Maroc, soit avec le peuple lui-même. (La décennie noire des années 90 en témoigne) La chaîne-tv Maghrebine Medi1 était à l'heure, hier soir ( 17/4/16) .Elle a diffusé une émission spéciale consacrée au Groupe Islamiste Armé(le GIA) et à  l'assassinat des moines Français de Tibhirine en Algérie. Pour ceux qui l'ont ratée, elle sera rediffusée le mercredi 20 courant à 23h, heure d'été du Maroc.

    Cette junte militaire est transformée plus vite en mafia professionnelle. Vu qu'elle porte la nationalité Française dans sa totalité actuellement binationale . Elle importait l'imitation en se mettant à marcher sur les traces des brigades terroristes Européennes, à l'image des «pied-noir d'Aléria» en Corse, «Baader Meinhoff» d'Allemagne et les «brigades rouges» d'Italie des années sombres 60 et 70 du siècle écoulé.

    Elle projetait ses projets sur fond de "carotte et bâton", elle balisait ses repaires sur fondements solides pour bien gérer, et pour parer à toute éventualité,. Elle rejetait en bloc les mouvements d'octobre 1988, soldée par la réforme courageuse du président Chadli Ben Jdid, prescrivant l'assistance participative du peuple pour démocratiser le pays, se libérer du joug du parti unique et passer pacifiquement au pluralisme, vers la consolidation de l'état de loi et de droit. Le complot électorale du 11 janvier 1992 contre la victoire des urnes, ayant provoqué la dissolution du FIS, en justifiait bien la détermination de l'armée de garder le pouvoir, à n'importe quel prix. Même au prix commettant des crimes contre l'humanité.

    Pour contourner la situation, les experts de la junte baptisés populairement en "Janvieristes", avaient arrêté par nécessité de survie, des feuilles de route pour sauvegarder l’existence. Des cahiers de charges sectoriels se sont mis à l'exécution en l'occurrence : - Création de groupes terroristes pour ce qu'on appelait la bas : "Qui-tue-Qui ?»- Assassinats en bloc - Enlèvement planifiés - Disparitions forcées. Des sales opérations perpétrées en dix ans, ont été soldées par plus de 250 milles morts et 20 milles disparus à ce jour.

    Un voisinage amer.. D’autre part, l'expérience de voisinage avec l'Algérie nous a permis, nous Marocains de bien connaitre l'algérien. Les Marocains frontaliers en connaissent trop sur son comportement. Ce n'est pas de la méchanceté ou de maladie dont il souffre le personnage algérien, non! c'est de sa nature qui l'accompagne depuis la naissance avec des symptômes, tout à fait particuliers, tels que : l'orgueil, l'arrogance, la supériorité, la trahison et le désir d'indigner l'autre avec égoïsme. Une référence intégrée à la mentalité de tout un peuple dingue qui applaudisse aux thuriféraires pour rien.

    Ajoutons à cela, qu'il ne s'agit pas de simple qualification. Cela fait de lui un être humain toujours exposé à être facilement dominé par le plus malin d'entre eux. C'est sur ce cordon que les gouvernants algériens tapent énormément et avec violence pour influencer l'opinion publique locale et l'anesthésier pour qu'elle perde connaissance et s'éloigner de toute tentative de prétendre au pouvoir en lui hissant un slogan pourri qui laisse entendre que "l'Algérie est exposée, à tout moment, à l'ingérence étrangère".

                                                                                                                        -=-

    Abus de confiance délibéré..Si je persiste et signe sur ce qualificatif, c'est qu'on a des preuves accablantes à ce sujet. Et je ne parle pas du vide, puisque les Marocains,les initiateurs de la conférence de Tanger58 sur le Grand Maghreb, qui ont coutoyé leurs pairs algériens, censés êtres hommes de confiance, ont enregistré dès l'aube de l'indépendance du Maroc des cas de trahison capitale de ces derniers qui, mordaient et son pitié, la main Marocaine qui leur a été tendue. Le palais était la première victime de ces comportements malencontreux.

    En preuves : 1-Mohamed Maâmri, connu par fkih Maâmri, un algérien "Messaliste¹", réfugié au Maroc et qui a gagné la confiance de la famille royale pour être au poste de chambellan de Sa Majesté le Roi feu Mohamed V, aurait pris tous les secrets du palais pour les mettre au service du GPRA(Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne) et ses services secrets en échange, parait-il, d'une réconciliation calme avec la révolution.

                                                         

                                  Mohamed Maâmri, le 2° de droite  à gauche à la Mosquée -Ahl Fes- au Mechouar à Rabat

    2-Ali Kafi, un des présidents-jetons de l'Algérie qui était affecté, par sympathie, durant la révolution algérienne aux affaires étrangères du Maroc. Celui-ci qui par abus de confiance, a réussi  à l'insu des fonctionnaires de ce ministère, de s'enquérir d'importants documents concernant le Sahara Marocain oriental, y compris le fameux traité-référence du 1er juillet 1961, passé avec Ferhat Abbas, président du Gouvernement Provisoir A de la Révolution Algérienne en exil à Tunis sur la frontières, en les remettant au clan d'Oujda qui prenait le pouvoir

    3-Ahmed Ben Bella, malgré son origine Marocaine (de Sidi Rahal-Marrakech) il a trahi la générosité  et le soutien du gouvernement et du peuple Marocain à la cause Algérienne en déclarant la guerre au Maroc. Sans citer beaucoup d'autres algéro-Marocains qui prenaient de hautes responsabilités au sommet de la pyramide de l'Etat Algérien.

                                                      

                                                           Regardez la contradiction : Une baise-main hypocrite

    Forfait du clan d'Oujda?..Nous avons vu en fait, que Bouteflika, dans son vivant, lui porteur d'un bon bagage de symptômes de l'intelligence Marocaine, avait eu de l'opportunité durant sa première tournée présidentielle de séjours à travers le pays, pour vomir ce qu'il a bouffé en famille de la générosité Marocaine, (Oujdie précisément) et insulter le Maroc et diffamer la main Marocaine qui lui a été tendue à son jeune âge de scolarisation, le moment où sa mère (Mansouria) gérait un bain maure aux alentours de Bab Sid Abdelwahab à Oujda en l'absence d'un père feignant qui vend du figues-barbarie.

    Dans une étape de sa tournée dès son arrivée au pouvoir en 1999, il animait un meeting dans une salle comble évoquant avec un ton, tantôt de moquerie, tantôt de sarcasme, faisant parfois des clins d’œil et parfois par jets de pierres directs. Il refusait en parallèle de considérer l'Algérie comme étant obstacle pour le redémarrage de la locomotive du Grand Maghreb, accusant à cet effet, le Maroc de faire circuler et divulguer cette logique, qui pour lui est inacceptable. Et puis il a monté d'un cran sur le podium de la déformation des choses pour dire aux dingues qui l'applaudissaient sans cesse que c'est l'Algérie qui aidait le Maroc à conquérir son indépendance. Notez bien que  devant ce Maroc de 56 dont il parlait, lui et son Algérie n'existaient pas d'ailleurs.

    Et ça n'est pas tout... S’adressant indirectement aux Marocains, pas en tant que président d'Etat, mais à mon avis, il se manifestait en tant qu'autre chose que, par respect au lecteur, je n'oserai dire plus ? Apparemment il tenait dans son cœur de mauvais souvenirs d'Oujda ce qui a  fait de lui un grand menteur de son temps. «Ils. Connaissent..?», acclamait-il, allusion aux Marocains, que "c'est l’Algérie qui appuyait le Maroc par des documents pour consolider son indépendance! au détriment, au dos et au compte du peuple algériens" (tel que). Cela prouve qu'il jouait sur les mots pour plaire à ses parrains de la junte qui l'ont fait sortir de sa pénible errance  dans le désert en l'appelant à présider!.

    Pas seulement Bouteflika qui montait cette ponte. Il y a eu avant lui  un certain Houari Boumediane qui portait toutes les qualités de l'hypocrisie, malade de supériorité et de haine. C'est normal de porter ce genre d'adjectif d'une race vindicative de la Chaouia à l’extrême Centre-Est de l''Algérie, dont il est originaire. Ce maudit président algérien tapait souvent et fort sur une pseudo masculinité de l'être humain algérien plus que personne d'autre. Profitant de ses longs discours enthousiasmés, il semait dans toute assistance, les mauvais grains sélectionnes de haine et d''hostilité contre le Maroc pour conforter localement ses recettes et gagner, tout autour, un consensus national, projetant sa tentative fâcheuse d'enterrer le contentieux qui l'opposait au Maroc au sujet Sahara Marocain Oriental.( Colomb Béchar,Kénadsa Tindouf , adrar, les Ksour de Touate et toutes les vallées de la Saoura).

    En ajoutant la femelle à l’éléphant, il créa le problème artificiel du Sahara Marocain dit " occidental" et commence à  distribuer et commercialiser ses idées expansionnistes d'autodétermination d'un peuple Sahraoui imaginaire qu'il créait conjointement, en toutes pièces, avec le général Franco d'Espagne dans ses derniers jours de dictature. N'en parlons pas de l'intérieur de l'Algérie, puisque la police politique était très active pour coudre les bouches qui diront le contraire, et anéantir éventuellement les poches de résistance internes.

    A l'extérieur ce Boukharouba (c'est son vrai nom), trouvait les champs libyens très fertiles pour conquérir l'esprit de Kaddafi et l'appréhender. Par contre il échouait ailleurs. Je citerai en exemple : Mokhtar Old Daddah président de la Mauritanie qu'il croyait fragile à traîner dans la boue, dévoilait dans ses mémoires le contraire «J'ai pas cédé à Boumediane» - Quant à Saddam Hossain pour l’Irak, l'homme fort du moyen orient, lui jetait son rejet catégorique à la figure «Je vais pas trahir mon frère et ami Hassan II». Par contre Hafid Assad président de la Syrie était pour ce nouveau jeu pour rafraîchir sa soif contre le Maroc!!, Il ouvrant pour la circonstance, ses centres d'entrainement militaires pour les nouveaux venus, en compensation, après avoir été déçu au passé du faible rendement de la bande du Fkif Basri contre la Monarchie de Hassan II qui constituait, pour lui et pour les adhérents et sympathisants du clan communiste de l'Est, la bête noire imbattable.

    Les deux stars de la veuve Algérie,(Boukh/Boutef) se sont rendu compte tous les deux qu'il fallait présenter leurs allocutions à Colomb-Béchar. C'est ainsi que Colomb-Béchar, la ville Marocaine spoliée est devenue leur fief de propagande anti-Marocaine..  (Boumediane en 1974 -Bouteflika en 1999) là où le Maroc censé être à l'écoute. Parler devant des populations sensiblement soumises à la surveillance discrète par la "Savak algérienne²", à l'interrogation pour leur Marocanité et pour les liens de parenté qu'elles entretiennent encore avec les leurs au Maroc, d'une part.

    De l'autre, faire éventuellement apaiser les sentiments de colère de ces populations limitrophes de Tindouf qui se sentent, d'une manière ou d'une autre, exposées à des amortissements gratuits émis par les séquelles de cette création polichinelle, auxquels étaient contraintes de confronter au quotidien.(présence gênante des éléments polisario, dérangement et tapage nocturne).                                                                                                       

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                                           Bouteflika, hors couverture, livide et regard hébété.( photo polémique agrandie)

    Top secret. Pourquoi ce Bouteflika, dans son vivant, se déchaînait-il farouchement contre les Marocains ? Pas sûrement à causes des échecs de son pays dans le dossier du Sahara Marocain, dont il était membre créateur. Ce que nous avons appris du radio trottoir d'Oujda, c'est qu'il est très déçu de la période vécue au Maroc avec toutes ses caprices.

    a).-Là, même si je me trompe pas de la vertu stipulant : «Rappelez vos morts au bon» Je serai contraint de sillonner autour de ce qu'aucune personne de ses pairs n'osera dire ouvertement. Un gars d'Oujda répétait, nommément, à maintes reprises dans différentes room de discussion en Paltalk-catégorie Sahara-, un (AEK32) que celui qu'on appelait à l'époque à Oujda "L'Motshou", n'était pas un enfant normal par ses comportements suspects.

    Selon les Oujdis de sa génération qui l'ont coutoyé de prêt, il se comportait en efféminé,(khountha) présentant les symptômes  de l'hermaphrodisme (c'est-à-dire présence normale et fonctionnelle des deux sexes dans le même individu). 
    En respectant mes lecteurs, je ne peux m'élargir dans ce sens pour dire autre chose ou énoncer le mot. Ce n'est pas de l'injure ou diffamation envers celui-ci, mais certainement ça serait la réalité qu'on cache aux Algériens qui l'ont accepté président.

    b).-Les curieux aux Maroc qui meublent le 5° peloton, ont pu extraire de cette option que les relations qui unissaient auparavant Bouteflika et Boumédiane n'étaient pas innocentes. Elles auraient été, des relations très intimes, depuis la base arrière de l'ALA (Armée de Libération Algérienne) à Nador. Après l'indépendance de l'Algérie en 62 et le complot du 19 juin 65 conduit par Boumédiane contre Ben Bella, alors son ministre à la défense, ils se sont retrouvés à nouveau.

    Mais cette fois-ci avec de grandes prérogatives.. Boukharouba à la présidence et Bouteflika aux affaires étrangères, avec beaucoup de dollars et de cigares, sans compter le nombre de bouteilles, pour ne pas dire de barils  de «Vodka» déversés, à tort et à travers, et de combien de cartons-cigares de la Havane sont parties en fumée, tout au long des nuits rouges inescomptables, durant lesquelles, l'Algérien peut-il imaginer, au moment d'orgasme, que peut-il se passer entre deux hommes aux relations intimement flagrantes, dépassant la relation d'hommes d'Etat (...).

    D'autant plus, il y a trois ou quatre ans, on a constaté dans les forums de discussion en Paltalk - qu'un agent DRS, déguisé en habits de crédible, se fait passé en opposant acharné au régime algérien en Europe, faisait le semblant de critiquer sévèrement l'ère-Boumendiane, disait entre autres, que le maudit Houari Boumédiane n'avait pas la mainmise, ni la domination  sur son gamin gâté. Une fois disait-il, Bouteflika a déserté et disparu pendant un mois en sa qualité de ministre aux affaires étrangères.

    Les investigations du secrétariat particulier de la présidence et la sécurité rapprochée de Boumédiane ont révélé que le fugitif est bien localisé et trouvé au Maroc. Il se baladait en voiture décapotable avec - des adolescents des deux sexes - entre les corniches de Rabat et de Ain Diab à Casablanca. Qui serait derrière la motivation dégueulasse de Bouteflika pour se déchaîner contre les Marocains?

    Main étrangère cruelle..Enfin, laissez-moi jeter un peu de sel à la gorge de ces algériens que le bon Dieu nous a malheureusement au dos. Il a fallu à Lamamra et à son écurie du plateau Al'annasser d'Alger de parcourir un autre trajet épineux, à l"intérieur qu'à l'extérieur, pour arriver à surmonter l'effet d'échecs que leur provoque, ici et là, la diplomatie Royale silencieuse; d'accepter aussi la perte de temps algérien engendrée par la frivolité et les faux calculs de toute une carrière mafieuse de leur diplomatie, depuis les années diplomatiques du mort-vivant, pour ne pas dire depuis l'assassinat de Abdelkader Kh'misti, le jeune diplomate algérien en sa phase prometteuse.

    Si l’Algérie traverse ses périodes de crise et de pagaille, le Maroc par contre progresse en dépit de la haine, l'hostilité et l'ingérence directe de l'Algérie dans ses affaires.La mafia d'Alger ferait mieux de lire et méditer, le faux pamphlet s’intitulant. .-.R'faâ Rassak abba,la patrie est pour tous.-. Et je leur dirai en plus, pour remuer davantage la plaie, ce qu'ils ne veulent pas entendre. «Leur chiffon-papier (Constitution) selon l’expression de Boukharouba,» exclut les binationaux des postes de responsabilités au sein de l’État. Mais, tant que la loi est souple chez eux, on se permet de la manipuler à tout genre, - au su et vu d'un peuple opprimé - pour permettre au pouvoir de nommer qui il voulait.C'est cette anarchie qui pousse les jeunes algériens à se jeter en mer  retenant les autres dans la merde.

    Nouveau jeu rigollot..Du coté officiel, les dirigeants d'Alger sont à pied d'oeuvre pour commercialiser une autre pièce théâtrale de la comédie algérienne.Il s'agit d'exporter à l'étranger une fausse image de sécurité interne. Ils croient, de cette façon, que le monde est dingue plus que leur stupidité. Ils sont en train de jouer un scénario, préparé par les plus intelligents de la politique interne de l'Algérie.Scénario  qui vise à tremper l'opinion publique étrangère, et  fait croire, à "la main étrangère!" que l'Algérie de "fièreté et de dignité" est vraiment stabilité jouissant d'une sécurité incroyable, dont il faut tenir compte, et cela revient à la sortie indemne du pays du danger terroriste.

    C'est pourquoi, les autorité d'Alger sont très généreuses et reçoivent les invités de l'Etat, pas dans les établissements sectoriels du gouvernement, mais aux cafés et aux espaces populaires dans divers quartiers de la capitale Alger. C'est une première au monde, à "l'Algérienne". Pour matérialiser cette option sur terrain, Mr. Manuel Valls, premier ministre Français, son ministre aux affaires étrangères et le ministre de l'intérieur de Tunisie étaient les premiers chanceux à en profiter de cette faveur. 

    L'invention astronomique importée de la planète de Mars, (l'ingérence de la main étrangère) ne fait pas défaut aux jeux des gouvernants. Malheureusement, par stupidité les algériens, en croient facilement aux sorcières et fuient leur pays, craignant un avenir incertain. Un ancien ambassadeur d’Algérie à Paris (SAG), a jeté un pavé dans la marre, en révélant qu’en 1992, la France avait recensé 5 000 cadres supérieurs algériens ayant la double nationalité algéro-française. Mr. Paule Quilès, alors ministre de l’Intérieur français, l'a confié de son coté.

    Aujourd’hui, certainement le nombre s’est multiplié à la hausse. Les petits et moyens algériens sont éliminées de cette faveur, ils ne peuvent la prétendre à cause de la précarité qui touche une forte catégorie. C'est ainsi, que le simple algérien mange en substance et attend la mort.La constitutionnalisation des règles du jeu est une ruse qui ne trompe personne en Algérie, comme ailleurs.

    Pour être une force régionale, il en faut à tous les guignols algériens, «les gouvernants, les teneurs de ficelles derrière les coulisses, les thuriféraires du clan présidentiel, ceux de la caserne Ben Aâknoune et les charlatans politiques», de se mobiliser davantage et à nouveau pour consulter la meilleure voyante de Barbess à Paris, pour se procurer d'ordonnance magique, leur permettant de sortir de l'impasse où se trouve l'Algérie. Mais mettre à genoux un Maroc têtu et fort plus que la force elle même, n'est pas si simple comme ils peuvent en imaginer à Alger.

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                                       Le service médical offert aux patients algériens (équipement fourni par Sonatrach))

    Conclusion..L'Algérie est actuellement en arrêt technique au milieu d'un centre de foyers sismiques à magnitude élevée. Elle coule au compte-gouttes perdant sa valeur de jour en jour.Elle n'en a pas de capitaine de bord, qualifié, bien perfectionné, capable à la redémarrer et la mettre sur de bonnes railles.

    L'anarchie règne, partout en grande pompe.Il y en a pas d'Etat proprement dit, l'Etat dont les thuriféraires dingues se vantaient, est remplacé par une bande d’escrocs . Il y a un peuple certes, mais ce peuple est divisé entre les modestes courants politiques. Pas d'opposition active, à part quelques voix timides (un coq de la maison, non ponctuel qui vibre à chaque instant pour du grain - et une  poule coquine, faisant du bruit sans œufs, qui aurait de l'influence sur des hommes!) Des voix évidemment, incapables de faire sortir le sanglier de son terrier, et qui s'arrêtent ponctuellement à chaque lever du soleil.

    L'armée qui dit-on fait peur au Maroc, constituant la notion qui fait rêver les stupides de l'Algérie, est mal au point, dégoûtée par de longues années de ratissage infructueuses, paniquée sans pouvoir, ni superviser, ni préserver es frontières  devant le danger terroriste qui la menace de la Libye. Cela étant sous la mauvaise conduite d'un vieux bouc, en l'absence de son pseudo-chef suprême (constitutionnellement), qui se trouve,malgré lui, dans de mauvais draps. Concrétisant ainsi, l'anecdote populaire disant «un troupeau guidé par un bouc, passera la nuit au barbelé»

    C'est vrai, l'histoire est toujours vivante certes, et l'enterrement de la carcasse de Bouteflika permettra sûrement aux curieux algériens de tisser des anecdotes autour de la vie privée de celui qui leur racontait, à un moment d'impulse et d'insouciance le cas de "Ssi Abdallah et le colon Français³"  et y vont certainement «aller chier librement» là où ils veulent en Algérie, après Bouteflika, matérialisant ainsi, son fameux slogan  "R'faâ Rassek Abba, lwatane liljamia"...Ce que vous voyez en cette photo, c'est malheureusement un des segments du résultat infructueux de la mauvaise gouvernance d'un pays hautain, ravagé de corruptions et qui fait de sa devise :« Chauvinisme-Orgueil-Ingratitude».

    A part ça, la défaite de l'Algérie cette fois-ci à l'ONU est incontournable, sa position fâcheuse contre le Maroc dans le dossier du Sahara Marocain, n'est pas comme avant., elle est affaiblie et devenue un «coup d’épée à l'eau». Par conséquent, Ramdane Lamamra et ses aides de camp de propagande sont arrivés au pied du mur, car le jeu à la 4° commission censé maintenir le cap au profit de l'Algérie, est désormais mis en quarantaine et le fait de pleurer davantage ou lamenter au nom du polisario n'aura aucun effet particulier sur les futures recommandations du Conseil de Sécurité.Bonne lecture.

                                                                                          Cordialement,Chihab25

     

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    1-Sympathisant au premier mouvement algérien de rébellion de Messali Lhaj. Un mouvement politique dissous par les recommandations d'Oued Soumam54, traçant la feuille de route à la révolution du 1er novembre 1954..

     2-La Savak c'est la police politique et le DRS-bras de fer du Shah d'Iran Mohamed Rédha Bahlawi.

    3-Selon le conte de Bouteflika durant sa tournée de séjours..‹Un algérien travaillait dans une ferme de colon Français est allé au wc ouvert sous la vigne. Le colon lâchait le chien pour le chasser..Le type se plaignait auprès de la révolution. Quelqu'un lui disait :" t'en fais pas, attends l’indépendance et vas te chier  là-où tu voudra!›.