Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ce que je crois - Page 69

  • L'Algérie s'écroule, au petit feu..!

     

                                                                              

                

        Une photo significative sur la mauvaise gouvernance actuelle en l'Algérie..!                      

    Début facultatif.. A première vue, l'information a de quoi surprendre. Mais elle émane de la très haute magistrature de l'Algérie «du locataire du palais d'ElMoradia d'Alger».Autant dire une source sûre, car ce genre d'annonce, dont l'abonnement ou le prix de l'article est conséquent, est avant tout est destiné au experts de la propagande et les investisseurs de la consommation locale en Algérie et. Les informations qui y sont publiées par la presse algérienne, toute tendance confondue,relèvent en effet de «l’intelligence  à l'Algérienne» et,à ce titre, sont passées au crible de la vérification par les sillages du DRS avant d’être diffusées!
     
    Comme un corps atteint d’une maladie dégénérative, la crise du régime algérien se poursuit devant une population médusée par tant d’affaires, ne voyant plus dans la représentation officielle de son Etat  qu’une association de malfaiteurs. Les scandales se suivent et se ressemblent, impliquant des ministres, d’anciens ministres, des officiers supérieurs et des personnalités de premier plan, cités publiquement  et impliqués.
     
    Au mieux, ils gardent leur poste et continuent à faire des affaires, au pire ils s’en vont vivre à l’étranger avec milliards en poche, ramassés sur l’argent public. Mais quel est le point commun entre tous ces hommes ? Ce sont des proches de la présidence algérienne qui les a nommés, les couvre et continue de leur faire confiance, ce qui reste inexplicable pour beaucoup d'algériens et d'autres.
     
    Les avis sont partagés ; -pour certains, «c’est le bon roi trahi par son entourage», -pour d’autres, «c’est le roi ordinaire qui n’a trouvé comme façon de rester au pouvoir que de laisser son entourage s’enrichir pour en faire des soutiens». Et à la façon dont ses proches passent leur temps à rappeler à quel point le Président est merveilleux et comment il a sauvé le pays, on pourrait valider la deuxième thèse. D’après ce qu'on voit d’ailleurs en Algérie, la situation affirme que la tête du président algérien fonctionne bien, il suit tous les dossiers (!).
     
    De quoi s’agit-il donc ? D’après un article publié jeudi dernier (5 mai 14) par l’APS, (Agence d'information officielle) on commençait à tromper l'opinion publique algérienne. Bien sûr, pas directement, mais via des agences-tribunes qui prenaient le relais, alimentant la scène par injections médiatiques téléguidées. Le contrat prévoit un seul mot d'ordre..«assurer les algériens et les alliés que tout va bien en Algérie!,tout est transparent, puis on dissimule pas le soleil par le tamis en Algérie!». Il s'agit-là d'un remaniement ministériel. dont je reviendrai au cous de la note.

    Analyse d'apprenti..dans l'attente d'assister à l'éclatement du pouvoir algérien, je me réjouis de présenter ci-après quelques impressions personnelles, impressions d’analyste apprenti, qui me paraissent convenables à l'état de mort chronique qui touche actuellement le pouvoir de l'enfant maudit soit-il d'Oujda, Ssi Bouteflika Old Mma Mansouria, la gérante du bain maure.

    Ce que je crois, l’Algérie traverse une situation non enviable "tant mieux" et meurt aux compte-gouttes, devant  l'incapacité d'un peuple loin, qu'on puisse dire, de tout intention de révolte. Pour qu'on s'en rendre compte au sens giratoire, j'invite mes lecteurs internautes à débattre ces impressions, ou du moins, à les apprécier en tant qu'observateur, quoi qu'elles en soit positives ou négatives. 

    Vous le sachez peut-être, oui bon, je dis ce que je veux...et si vous ne le savez pas, je vais vous le dire quand même, parce qu'un homme averti vaut deux et qu'une Algérie avertie vaut de la peine. Mais mes notes, voire mes convictions, malgré mon faible français, m'auront permis de conduire toute mon attention vers l'affaire algérienne aux quatre cotés de ce patelin, dit vachement, terre de "fierté et de dignité" (Jazaer Al3izza wal'karama), aux plus haut sommet de profondeurs,dans ses échecs diplomatiques face la résistance d'un Maroc têtu, dans ses défaites les plus spectaculaires, qu'elle endosse qu'elle soit (avancée, assise, debout, ou couchée), dans les milles coins du monde pour des rencontres, régionales, continentales et internationales, aussi suspectes que réalistes, aussi curieuses que rieuses.

    Parler Algérie, sous n'importe quelle tentation, hommage ou vengeance, serait un passe-temps pour tout Marocain qui souhaiterait bien voir l'éclatement effectif d'un pouvoir ennemie, qui n'a jamais manifesté le désir de se réconcilier avec soi et laisser ce grand Royaume Chérifien du Maroc évoluer tranquillement à sa guise. Cela étant ne veut pas dire, qu'à cause d'actes malencontreux de ce pouvoir autoritaire contre la stabilité du Maroc, qu'on déteste, nous Marocains, le peuple algérien (!). Non ce peuple est opprimé, incapable de se soulever pour se laver de la l'arrogante gouvernante, ou de la saleté de la supériorité mentale qu'il aurait subie durant des années  et des années depuis son accession à l'indépendance.

    Je vous citerai un bon geste, que j'ai moi même enregistré durant un de mes passages à Rabat. J'ai entendu de mes propres oreilles, un algérien, ou plutôt "un Algérienisé", visitant le mausolée Mohamed V à Rabat, qui disait à l'issue, que «Cette visite compte pour lui, l'équivalence d'une OMRA». Oui il s'exprimait avec une spiritualité remarquable, ce qui signifie que si l'Algérien se trouverait, un  jour, totalement libéré de l'enclume d'oppression Drsiste, il en dira davantage comme ça, envers le Maroc. Effectivement, en  Algérie, il y en a les gens (Tawb ou H'jarr), comme il y en a partout dans le monde .

    Cette introduction m'est dictée par l'acte offensif de la diplomatie Royale silencieuse, qui a réussi, à briser fermement le silence et l'oscillation qui régnaient depuis fort longtemps, au sein du Conseil de sécurité des Nations Unies au sujet du dossier du Sahara Marocain, prouvant au monde la légalité du droit du Maroc à parachever son intégrité territoriale. Cela étant a permis aux sages des Nations Unies, l'éjection pure et simple, par la fenêtre, de la thèse algérienne y afférente. Une antipathie chronique de nos voisins "frères-ennemis" algériens qui courent, en vain, derrière un mirage leadership, jamais atteint, malgré l’effort et l'odeur de leur petrodollars, qu'ils gaspillent  en l'objet.

         

    Le vif du sujet..D’après ce qu'on voit, de ce qu'on entend de l'Algérie à travers la presse et  les médias étrangers, le pouvoir algérien mène avec insistance une opacité médiatique (black-out) officiel mobilisant sa presse enragée, ses chaines satellitaires de télévision pour se marquer et se donner une image rose pour se cacher derrière.

    Et malgré, le simple citoyen algérien est désespéré de son pouvoir qui n’est pas sincère avec lui sur la démocratie et les libertés.C’est un pouvoir qui ne dit jamais la vérité à son peuple. Un pouvoir qui ment  et récidive , dans tous les sens..sur le développement économique, sur la situation sociale et politique et qui se distingue  trop "intelligent" par des pièces théâtrales qui dépassent les "Shakspeares". en l’occurrence : les assises spectaculairement, à haute échelle, de la justice (une justice à deux vitesses, comme il y a une citoyenneté à deux vitesses en Algérie) tendant à démontrer au peuple algérien que l'autorité de l'Etat va "franc" vers la dissuasion les corrompus, qui se sont distingués, voire  qui se sont proliférés et propagés dans son entourage d'autrefois (affaires Abdelmoumène Khalifa, autoroute Est-Ouest, et Chakib Khalil dans les deux Sonatrach ). 

    Un pouvoir qui divise au lieu de rassembler et de dénoncer une dérive. D'autant plus,le pouvoir identifie l’opposition comme source de menace pour la nation algérienne, pour avoir relevé,  que le centre de décision est occupé à ElMoradia, par d’autres que son titulaire constitutionnel. L’Etat de droit qu'aspirent les algériens à construire, à mon avis, n’est encore qu’un Etat de non-droit, où prévalent autant l’arbitraire et l’abus de pouvoir, que les diktats et les faits accomplis. La bonne gouvernance n’est toujours qu’une non-gouvernance (…), La vacance du pouvoir contraint les institutions (les écuries) de ( Abdelkader Ben Salah, Mohamed Larbi Ould Khlifa et autres..?) à se retrouver en situation de cessation d’activité, devant la confiscation de la volonté souveraine du peuple algérien.

                                      le pouvoir Algérien s'égard et ne trouve pas la sortie du tunnel

    L’Algérie est visiblement dirigée depuis 1962 par un pouvoir qui ne se soumet à aucune logique mais à des intérêts et des volontés personnels. Il n’est sincère, ni avec le peuple ni avec l’opposition ni avec le monde. Si l'entourage thuriféraire du pouvoir reconnait encore Bouteflika, la majorité du peuple algérien ne croit pas à ses intentions, en pensant que le pouvoir dans son état actuel est loin de mener l’Algérie vers la sortie du tunnel, tant qu'il refuse de se mettre à table de discussions pour y arriver au consensus avec la classe politique, très fragilisée par les coups de fouets de dressage. Car le pouvoir n'acceptera le dialogue que si de nouvelles donnes surgissent au sein même de son système. L’autre option pour la masse populaire opprimée est le recours à la rue et la mobilisation politique et syndicale s'il y en a vraiment une volonté vivante en Algérie.

    En pole adverse et devant la générosité dominante du pouvoir, pour faire taire les gueules gourmandes, on n'osera voir une partie influente au sein du pouvoir, hausser le ton, pour dire stop aux mensonges, arrêtons la médiocrité et les conneries, prenant une position sincère et franche aux côtés du peuple algérien qui souffre en silence et qui constate avec amertume que l'Etat algérien, se fond et meurt dans son ensemble aux compte-goûtes, même si pour certains le pouvoir fait partie de cette mort.

    Il  n’y a rien à espérer de ce pouvoir. Il n’est pas capable de mettre en place un plan de développement économique, similaires des Etats crédibles de son pole, ni d’améliorer les conditions sociales des Algériens. Je pense que si l’opposition, s'il y en a opposition vraie, peut imposer le changement, en choisissant le camp du peuple, exprimant mieux ses revendications, notamment le changement pacifique  du pouvoir à l'alternance  .

    On demande à Bouteflika de réviser la soi-disant constitution pour une ouverture démocratique à l'instar des voisins à l'Est et à l'Ouest de l'Algérie (le Maroc et la Tunisie). Mais éventuellement, toute révision de ce "chiffon de papier" servira, dit-on, à consacrer que la mainmise du régime sur le pouvoir. A travers cette démarche en cas de réalisation, le pouvoir créera certes, un semblant de changement et prolonge sa durée de vie. En cas de fait accompli, il serait préférable aux algériens, dépourvus de toute consultation à grande échelle, qu’il n’y ait pas de révision, étant donné que le status quo actuel est lié à l'incapacité de Bouteflika. C'est l'une des raisons du report,pas la seule, ni la moindre.

           

    Le général Gaid Ahmed Salah,symbolisant la moralité douteuse de l'armée algérienne (photo AT)

    Il y a une autre partie qui détient les ficelles,, à sa tête le prince heureux de l'Algérie et son double dans la famille, qui contrôlent discrètement le pouvoir à parti des coulisses; qui refusent tout changement qui s’ouvre sur la classe politique algérienne, l’empêchant d’exercer ses droits. Preuve en est là! c'est l'appui de l'armée du général, vice-ministre de la défense, qu'on nomme, chez les Boutef. «Aâmmi Gaid Salah» qui par sa tendresse et infection envers la famille au pouvoir, alimente la force de vivre au duo-Présidents (Said et Zakaria) pour violer tranquillement les règles du jeu, perpétrer toute sorte de sornettes et basculer la basse cour et alentours à la faveur de leur aîné Abdelaziz, dépassé par les courants à tendance destructive. 

    Le silence de l'armée a sa part de responsabilité dans cette situation défaillante. Car cette armée qui se dit vachement, "l'armée du peuple", n'est pas du tout neutre pour être digne du respect de ce peuple!. Or, les algériens, les simples algériens, remarquent que cette institution ne fait que chasser les sorcières dans les massifs, loin d'éradiquer totalement le terrorisme, par contre elle tombe dans les bras d'une mafia militaire pour  protéger le pouvoir portant n'importe quel "Képi". Cela étant constitue, pour la majorité  silencieuse du peuple algérien, une erreur fatale de position et un grave danger. 

    En relation avec cette situation stérile et selon certains services secrets étrangers,..C'est par ce trou, qu'un vent violent va souffler certes, pour assécher les nerfs du pouvoir. . Ceci pour dire que la matière est offerte pour les algériens qui souhaitent voir réaliser ce qu’affirme le titre original d'un article d’«Israël Flash»(analyse à odeur Mossade) : «Coup d’État militaire en vue pour l’Algérie …question de temps.! 

    Coup d'épée dans l'eau..Le remaniement du gouvernement algérien qui vise en premier lieu à créer un événement politique de panique, de substitution à la révision constitutionnelle réclamée. Ce lifting, qui a mis hors jeu des soi-disant ministres indésirables par l'heureux président à" l'ombre"et famille, a, selon les analystes algériens même, un sens politique qui est celui de montrer à l’opinion publique locale et internationale que Bouteflika est toujours maître du jeu, vivant mentalement pour leur assurer la succession adéquate et, accessoirement, l’avenir d'une Algérie pourrie.

    Ce remaniement, selon les observateurs a absolument un sens politique!. Même si les équilibres politiques n’ont pas été chamboulés par tous les événements qu’a connus cette première année du quatrième mandat, il fallait que l’opinion publique locale ressente que les affaires du pays sont bien gérées et prises en main par un président parrain. Et que celui-ci est à l’écoute des citoyens, qu’il entend leurs revendications et qu’il y répond.

    Un certain nombre de ministres, qui ont perdu leur poste, ont payé leur gestion trop techniciste ou trop malhabile des problèmes. Je cite seulement la ministre de la culture pour sa mauvaise gestion des attaques frontales de Louisa Hanoune, (la patronne des travailleurs).Cela a été en effet une véritable surprise. Le remaniement avait été annoncé par la presse comme imminent. Les informations faisaient état d’un blocage dû au refus du vice-ministre de la défense le général (Gaïd Ahmed Salah) qui refuse de quitter son poste et menace de claquer fortement la porte (!). Et puis, il a été oublié, jugeant qu’il n’aura lieu en faite qu’après l’adoption de la nouvelle constitution, tant souhaitée par l'élite dormante, si j'ose dire..!

    Ce remaniement constitue également une tentative pour calmer la colère de la rue, suite aux échecs répétés du gouvernement dans plusieurs secteurs  et combler ainsi le vide sur la scène et aussi pour récompenser les valets de chambre, les plus serviables. La meilleure performance est attribuée à Ramtane lamamra qui vient d'être reconduit dans son porte-feuilles devenant un département privilégié -(un Serpent à deux tête)-.

    Après quatre jours de panique, entre le lit médical, le fauteuil roulant de la présidence et la cuisine interne de la famille que supervise, bien entendu, les Cuisiniers-Chefs Said et Zakaria, il est promu ministre d'Etat? Et quel ministre-d'Etat? c'est-à-dire un «Cheval de trait, aux sabots poilus» dans un gouvernement boiteux, qui joue aux "billes" dans le coin du quartier?  Un gouvernement  partenaire, digne de passer  confortablement l’été au "Club Le Pin" et dans les plages à usage privé.

    Un Maroc invincible..Pour penser ses plaies issues de multiples échecs foudroyants de la diplomatie d'autruche, devant le professionnalisme de la diplomatie Marocaine.. Le sieur Ramtane Lamamra, le rabbin des affaires mensongères de l'Algérie cherche par tous les moyens malencontreux à faire préoccuper l'opinion publique algérienne et passer l'éponge de façon substantielle sur les défaits de sa diplomatie, surtout en ce qui concerne l'hostilité de son pays contre le Royaume du Maroc.

    Citer les  intentions ou les visées d’un ennemi ou d’un adversaire, comme l’avait fait récemment «l'APS »en commentaire victorieux de la thèse algérienne sur le Sahara que les algériens appellent "occidental", n’est pas une surprise ou une chose qui devrait susciter effarement ; bien qu’il soit bon de toujours le rappeler à certains félons abrutis algériens, l'illisibilité et la mauvaise gouvernance de leur pouvoir.

    En effet, «l'APS» est un média adverse de tout fait Marocain, que tout le monde connait bien pour avoir eu tant de prises de bec, par commentaires, flashs et dépêches dérisoires et diffamatoires au détriment de la vérité de la cause Marocaine", notamment, lors où ses journalistes ou responsables reçoivent, sous table" des offrandes pécuniaires  et avantages attractifs du palais d'ElMoradia d'Alger, -nécessité mafieuse oblige- pour faire accentuer le volume et hisser le ton contre l'ennemi Marocain

    .J'avais, à plusieurs reprises, parlé de cette presse algérienne pour ses publications d’articles anti-Marocain, en particulier en visuel. Une certaine chaîne satellitaire pirate dite "Ennahar-tv"  fait de sa spécialité  - «Attaquer et porter le maximum de préjudice au Maroc» - . Toutes les citations dont elle parle sont puisées d’articles écrits par les Drsistes et par les chroniqueurs de la presse jaune. Nous y avions parcouru et retenu, en particulier, quelques passages : 

    «Le grand drame Marocain - Maroc : situation politique interne catastrophique à la veille des échéances de septembre 2015 - La question Malienne ou l’énigmatique équation Marocaine » et la plus spectaculaire : le peuple Marocain meurt de faim (!)». Sans pour autant oser parler, ou plutôt s'approcher des vraies citation rapportées par des sites étrangers qui s'intéressent de l'affaire algérienne, dont je citerai ci-dessous les bons exemples:

    «L’Algérie en désarroi et le polisario en ordre dispersé - L’Algérie en perdition - Algérie,le peuple donnerait-il des angoisses aux militaires algériens - L'Algérie un dragon régional en papier - Algérie,un printemps arabe en cours dans les camps de Tindouf  - Déliquescence de l’Etat algérien et provocation d’Alger - La schizophrénie des généraux algériens envers le Maroc - Le Maroc en mouvement et l’Algérie dans l’inertie totale - Une belle déculottée pour la diplomatie algérienne face au Maroc - Algérie,enlèvement d’occidentaux à Tindouf par le billard à trois bandes DRS-AQMI-DGSE - Algérie,un front uni pour déjouer le plan du système - l'Etat policier en marche - L’interminable persécution policière contre le Cheikh Ali Belhaj - Reste-t-il encore de l'espoir en Algérie? - Faillites algériennes ! - L’Algérie est une république bananière» etc…. ; 

    Depuis la maladie de Bouteflika, des voix algériennes se lèvent et ne cessent d’engager des offensives pour le destituer. Ils sautent sur toutes les occasions, même un remaniement ministériel, pour dénigrer tout en poussant au désordre. Des articles de ce genre avaient été publiés, pas par coïncidence, mais pour en justifier, donnant souvent clairement la nature et les objectifs de ces titres offensifs. 

    Tout comme le MAK (Mouvement "séparatiste" Algérien pour la Kabylie), qui avait demandé à François Hollande «d’associer la cause kabyle aux intérêts de la France  et de  distinguer la Kabylie de l’Algérie» ou bien, plus grave encore, lorsque  Ferhat Mehenni avait, lors de sa visite en Israël , déclaré au Jérusalem Post  «qu’Israël tout comme la Kabylie vivent dans un environnement hostile, les deux partagent le même type de voie, sauf qu’Israël a déjà son propre état, c’est la seule différence… Israël devrait adopter comme sœur la Kabylie». 

    Il ne faut donc pas s’étonner, les médias en Algérie en servent de relais, en sautant en se moquant sur de telles occasions inespérées, aux souhaits de certains des gouvernants ; en exacerbant les choses, selon les objectifs de leurs plans sournois . Donc, «Le ver est bien dans le fruit » dit-on ! De là à y voir «Un désordre gigantesque qui va éclater le Maroc, dans peu de temps ou imminent». C’est ce que les opportunistes conspirateurs algériens espèrent et avancent sur le Maroc qui, disaient-ils, complote contre l'Algérie…

    Ils disent et répètent en parallèle, sans aucune honte que, je cite: «l’Algérie, conformément à ses principes, tient au respect de l’intégrité des Etats, à la non-ingérence, au respect des peuples, au bon voisinage, mais ne cherche querelle à quiconque!» Oubliant ou faisant le semblant, leur ingérence directe aux affaires Marocaines, par la création d'un peuple imaginaire, une affaire fantoche qu'ils défendent acharnement aux portes de nos frontières, qu'ils bafouillent inlassablement par leur terrorisme le bon voisinage avec notre pays depuis leur existence au monde, pour ne pas dire depuis l'époque de la pierrée taillée, et cherchent querelle avec le Maroc, rien qu'avec le Maroc ! Quelle hypocrisie? et quels voisins ingrats..!

    En réponse, nous leur disons haut et fort.. Qu'avant de s’y frotter, la grandeur de ce Maroc, sa politique, d'y toucher à ses valeurs sacrées, à sa stabilité et de ses services de sécurité ! que leurs inventions néfastes sur le Royaume Chérifien du Maroc, dont la dernière en date, la mobilisation indirecte de leur concitoyenne, Mme la juge de Paris, je connais pas son nom. mais elle Française d'origine Algérienne, manipulée par le DRS (les services secrets algériens), pour entacher le patron du contre-espionnage Marocain (DGST). Mr.Abdelatif Hammouchi ce qui a envenimé les relations Maroc-France toute une année. Toutes leurs inventions hostiles au Maroc, je veux dire, se dissiperont en éclats et ne convaincront personnes au Maroc et ailleurs, sauf les félons abrutis qui, après avoir respiré la fumée-pétrodollars algérienne, les écouteront et y croiront à toute connerie qui leur arrive à bord du billet vert?

    Qu'ils sachent dans ce sens que le peuple Marocain, uni en un seul homme, fidèle à ses principes ancestrales, à son attachement indéfectible à sa Monarchie enracinée dans l'histoire profonde du Maroc, une Monarchie constitutionnelle réaliste, pas celle prématurée, que réclame, en vain, l'extrémisme politique Marocain, par des voix cassées, voire bannies, représentées par le vagabondage d'un certain Ali Lamrabat, et par la déviation folklorique de Nabila Mounib, la frivole du PSU (Parti Socialiste Uni) qui danse, aux chevelures pendues à l'épaule, comme il lui plaît, dan une vaste scène politique Marocaine très calme. Ce peuple qui suit un Monarque de fièreté,(les Africains l'appellent..M6 l'Africain et dernièrement le Roi-choc) dans un Maroc pluriel. Un Maroc capable de déjouer, comme il avait déjà fait à plusieurs reprises, tous plans de haine, de déstabilisation et d'hostilité, que lui prévoient nos "frère-ennemis-Algériens". Bonne lecture.

                                                                     Cordialement,Chihab25