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Ce que je crois - Page 80

  • Algérie : On se sent pas trop géné par les adieux de Bouteflika.

                                   

    Abdallah Menaïe, ci-dessus à gauche, chef de la troupe, rassure les algériens, par son esprit d'humour.. "Je l'ai bien élevé..n’ayez pas peur", dit-il.A droite Amar Saâïdani, le nouveau danseur du FLN. Je reviendrai là-dessus au cours de cette note.

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    Arrêt facultatif..Avant de passer au vif de la note, mes lecteurs me permettrons sûrement d'ouvrir deux parenthèses pour leur dire qu': un sale Algérien m'avait envoyé un message plein de termes injurieux et diffamatoires m'accusant entre autre, «de souffler chaud et froid, en traitant les affaires algériennes, qui disait-il ne me concernent, ni de prés ni de loin, que je me mêle, voire je me plante le nez dans le linge d’autrui, que je ne connais pas leur Algérie de "fièreté et de dignité"» qui je l'emmerde quand même, pour m'avoir donné l'occasion de parler  de nouveau de la sale cuisine Algérienne.

    Çà ne m'étonnerait nullement pas quand un algérien saute le mur pour me dire ceci... Je ne le suis pas, mais si je l'étais, je n'en aurais pas honte et cela ne me dérangerait pas le moins du monde de savoir ce que les autres algériens pensent de moi et de mon blog qui les gène. Ça me conforte au contraire  et me fait comprendre aussi que mes écrits ennuyeux sont très suivis tant par les officiels, que par les officieux Algériens, sur même pied d'égalité. Cela m'encouragerai davantage de passer la plupart de mon temps qu'internaute à dénicher les points faibles et la saleté de leurs gouvernants pour les exposer à ciel ouvert, du moins en virtuel.

    Si la Mecque était au Sud/Sud/Est..D'autant plus, il ne m'honorerait pas vraiment de connaitre l'Algérie, ce pays ingrat qui ne prend en devise "officielle" que de la haine contre la générosité de mon pays le Maroc, qui a ouvert ses bras, aux moments difficiles, à la révolution  Algérienne. O combien je regrettais vivement et je le suis encore, de voir la direction de la Mecque et des lieux saints passer par cette contrée d'hypocrisie . Dommage, la volonté divine oblige, choisissant cette géographie naturelle qui nous contraint d’accomplir nos prières vers cette direction. Je me réjouis d'exprimer mon souhait de revoir la boussole se décale d'un ou deux crans vers le -Sud/Sud/Est- au degré 160 vers l'ex-Habasha ou vers le Yémen, terres de la reine de Saba?, pour que nous nous orienterons plus vers cette sale terre de salaud-pris.

    Il est clair à l’œil nu, que la junte de Ben Aknoune et le pouvoir Algérien en général se trompent en estimant que ce Grand Royaume Chérifien Marocain doit se conduire en conformité avec leurs propres intérêts, ce qui n’a pas été tout au long des années qui ont suivi leur indépendance et ne peut jamais être, même d'ici mille an. Cette malheureuse Algérie souffre d’un seul "complexe chronique" qui la rend prisonnière, incapable d'en passer l'effet de ses échecs dans toutes ses tentatives malencontreuses contre la spécificité de notre pays, surtout, en termes militaires, à ce qu'ils ont encaissé de gifles durant la guerre des sables en 1963 et durant les deux Amgala en 1976 au sud Marocain, sans parler évidemment ou compter les régression successives de leur diplomatie de rente,

    Par contre la clairvoyance Royale, fait de la notre, une diplomatie silencieuse, structurante et plus efficace, répondant au standard international à tous les niveaux, surtout dans l'affaire de notre intégrité territoriale, dont la réalité s’éclaircit de plus en plus aux pays et ONGs internationales aveugles et gagne davantage et à pas sûrs les stands de la communauté internationale, et en politique étrangère nationale en général, dont la dernière en date, la récente sortie Royale sur les droits de migrants au Maroc. Une initiative courageuse de solidarité humaine saluée par, la plupart des pays amis Africains, par les instances internationales des droits de l'homme et par le SG des Nations Unies Mr.Ban Ki Moon. en personne, une initiative qui sera sûrement couronnée par d'autres.

    Nos ennemis Algériens de tradition, je veux dire les gouvernants Algériens, ajouteront à leur surprise,  le coté humanitaire de Sa Majesté Le Roi que Dieu l’assiste concrétisé par l'installation de l’hôpital militaire Marocain de campagne à Bamako au Mali d'une part, et d'autre part, la visite Royale prévue à ce pays frère et ami du Maroc, par laquelle le Souverain -Allah Ihafdhou- participera à l’investiture officielle du nouveau président Malien Mr.Ibrahim Boubacar Keita. Une présence qui a beaucoup de symboles politiques dans le cadre de la coopération Maroco-Sud/Sud-, marquera, pour la paix et la stabilité du Mali, les efforts concrets et silencieux conçus par notre pays, à coté de la France de François Hollande, pour le redressement et la mise "en vertical" du navire Malien qui, à cause de la négligence, voire de la visible complicité de son voisin du nord l'Algérie,  il a coulé pendant 18 mois, vivant une grave crise turbulente à causes des frappes du terrorisme Algérien, déguisé en créatures-DRS,  Mujao-Mokhtar BelMokhtar et autres soi-disant opposants Salafistes Jihadistes Algériens.

    Égoïsme Algérien..Les Algériens par leur mentalité d'égoïsme, désirent en vain créer pour eux, un leadership dans la région, refusant au Maroc son droit en l'objet et  de considérer que le Maroc, par sa situation géographique stratégique, sa puissance sécuritaire et sa stabilité politique, est l’ancre importante de cette architecture méditerranéenne. Lorsqu'ils passent les bornes, comme dans le cas de leur intervention aveugle dans notre intégrité territoriale, par la création et la collecte de reconnaissances d'une fantoche Rasd au Sahara Marocain, ils ont trouvé et y trouveront toujours la vigilance Marocaine en face. En plus ils se trompent s'ils tentent se venger ou porter atteinte à notre quiétude..! Ça serait un faux rêve, aux yeux ouverts, qu'ils n'atteindront jamais, tant qu'il y est sur terre, une âme Marocaine qui respire.

    D'autant plus, le pouvoir Algérien, voire les décideurs algériens ne montrent pas de la compréhension par rapport à la main Marocaine tendue, je dis bien tendue, pas par faiblesse, non! Mais pour une réconciliation pure et simple. Ils ignorent que le monde, tout le monde, regarde d'œil de respect et de considération à cette tolérance de la part du Maroc, et salut le courage  et les démarches entreprises en l'objet par Sa Majesté le Roi que Dieu le glorifie, étant un Gouvernant crédible au poids de ses paroles et ses actes.

    Le Maroc toujours debout..Je dirai en substance à ce connard Algérien, par son biais à tous les frivoles de l'Algérie, quels qu'ils soient : "Nous Marocains, nous sommes et resterons vigilants et «debout», nous le disons par soulagement, et vous le disiez, par esprit de rigolade, à chaque débordement ou à chaque cauchemar. Nous resterons éveillés tout le temps pour pulvériser en insecticides -DVP- l’insupportable odeur de haine qui nous parvienne de votre mauvais voisinage. Mais vous, vous en finisserez, un jour tôt ou tard, par vous mettre à genoux devant la solidité et la ferme détermination de l'ennemi potentiel qui, selon vos termes, vous guette à votre Ouest.Vos échecs dans toutes vos tentatives vaines l'en témoignent.

    Sachez que les Marocains paierons de leurs vies, comme nos ancêtres, la défense de nos principes  et valeurs sacrés en une devise : «Dieu-Patrie-Roi» qui est chère à moi, à mon peuple et à ma patrie. La honte et la malédiction divine tomberont sur ceux en Algérie, qui ont trahi leurs convictions, manqué à leurs propres paroles et se sont tournés vers la doctrine de force, de fraude, de trahison et d'hypocrisie contre le Maroc et même contre les leurs. Je désigne du doigt parmi les "ceux de l'Algérie", Ssi Bouteflika, le fils adoptif d'Oujda qui, selon ce qu'on croit, aurait demandé à Sidna, à leur première rencontre en 1999, de lui laisser un peu de temps pour prendre les choses en main, avant de discuter  de la réconciliation Algéro-Marocaine. Presque 15 ans déjà passés au pouvoir, sans qu'il puisse prendre en main les choses souveraines d'un État qu'il avait promit de redresser. 

    La main Marocaine qui gifle.. Le Peuple Marocain, sous l'égide et la conduite éclairée de son Souverain restera toujours vigilant, face à vos idées destructives qui s'étendent à notre frontière,  et ne nous devons pas se laisser provoquer, par vos ambitions expansionniste dans nos provinces de sud y compris la détermination de tout le peuple Marocain à  récupérer son Sahara Marocain oriental spolié, qui reviendra un jour à sa mère patrie. Nous défendrons fermement à n'importe quel prix et son relâche nos valeurs sacrées. Nous continuerons en parallèle à construire la vraie démocratie constitutionnelle, pour une vie digne et meilleure, avec notre propre main qui, par nature n'arrive pas à applaudir toute seule, mais elle gifle toute sale figure, contrairement à vos autres qui se vantent pratiquer la démocratie de vitrine,  incitant de force, le peuple Algérien à se taire, et qui ont d'une façon insensée et douteuse mené l'Algérie dans le gouffre.

     Actes spectaculaires de dernière heure..Il est évident que les Algériens ne croiront surtout pas aux coups de "balais et de filet" que vient de faire Bouteflika à l'exécutif Sella1.! L'observateur constate que le coup de balais qui a emporté la majorité des adeptes du royaume de Tlemcen, en occurrence Abdelaziz Belkhadem de son fauteuil FLN, Morad Medelci des Affaires étrangères, Dahou Old Kablia de l'intérieur et Nour dine Yazid Zerhouni de la buvette présidentielle, dont les validités sont périmées, même avant le Val-De-Grâce, est pris pour les jeter à la décharge de l'histoire. Par contre, le seul promu ministre dans ce duplicata, c'est le Wali de Tlemcen, le gérant des biens et businessmen de Bouteflika.

    A propos, ce Wali a laissé derrière lui une panique touchant les automobilistes Algériens..Lutte contre la contrebande fait flamber les pots-de-vin à l'Ouest Algérien. Des heures d'attente aux stations-service, de la discrimination envers les propriétaires de grosses voitures et des trafiquants qui s’enrichissent... Les premières victimes de la lutte contre la contrebande du carburant, ce ne sont pas les Marocains-Oujdi, ni les barons de part et d'autre, mais les  Algériens riverains des frontières. L'envoyé d'un journal Algérien à la frontière Marocaine décrit la situation en paragraphes significatives : «C'est faux de dire le trafic a disparu! Les hallabas ont simplement changé d'habit. Selon lui, les trafiquants ont changé aussi leurs véhicules «suspects» (Renault 21, 25, Expert, Mercedes, Peugeot 405, etc.) par des voitures de type Hyunday Accent, Renault Logan, Clio. «Soit tous les autres modèles existants de part et d'autre, en Algérie et au Maroc».

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    Les Algériens ne se tromperont guère de constater que les nouveaux venus chez "Bou Mermita" selon le terme de Khaoul Taleb Ibrahimi, pour constituer et renforcer "Sellal2", ne sont que des figurants, appelés, pour la circonstance, à jouer le rôle de coordinateurs et de grands électeurs à la présidentielle 2014, avec  bien sûr l'appui du nouveau valet de chambre de la famille Bouteflika, le "Drabki et danseur  FLNiste", dans la perspective de réussir le choix du locataire du palais d'ElMoradia et ses décideurs en cache.  A mon sens, il n'y aura pas sûrement, de vrai changement, le statu quo perdurera davantage et pèsera encore plus, tant que Old Mma Mansouria, le lauréat du bain maure d'Oujda est encore en vie.

    Selon des sources N'Gadies généralement bien informées d’au-delà de Zouj Bghal, Boutelika ne s'arrêtera pas à ce remaniement, les prochains jours seront marqués par un autre mouvement dans le corps des walis pour combler la vacance de son Royaume de Tlemcen, Cette opération sera suivie par le corps diplomatique, ainsi qu'au niveau de la justice. «Il ne reste plus aux nouveaux grands figurants que de finaliser avec Bouteflika», pour boucler la phase de préparation et du ramassage d'ingrédients nécessaires à la compagne d'appui au candidat Taflikienn à la présidentielle de 2014. Je ne crois pas, mes lecteurs non plus, aux développements dilatés des universitaires et analystes qui surgissent en abondance, partout après ces deux coups Taflikiens.

    Nos observateurs analystes Marocains s'accordent à dire que l’actualité politique en Algérie a été bien bousculée"brutalement"avec ce remaniement et s'interrogent : A quoi obéissent ces changements?  Ils se sont parvenus à le mettre en une seule évidence se justifiant, par trois raisons. 1-d’abord son retour remarquable au devant de la scène comme réplique à ceux qui demandent le respect de la Constitution et l’application du fameux article 88 ; 2-il entend prouver qu’il est bien aux commandes et que sa maladie n’est pas susceptible de l’éloigner des affaires de l’État; 3-renforcer la position de son Sellal qui souhaitait vivement ce remaniement, lui qui avait hérité d’une équipe qu’il n’avait pas choisie.

    Quoi qu'il en soit, ce remaniement ne prend pas en considération aucune conjoncture qui exige une vision plus claire dans le domaine de la gouvernance de l'Algérie, déjà meurtrie par son système politique. Sellal2 est incapable de créer un environnement adéquat, pouvant conduire à un développement humain durable en Algérie ; il est aussi incapable d’améliorer l’efficacité de ses activités et de subvenir aux besoins des Algériens.

    Le problème en Algérie est plus profond, aucun gouvernement en Algérie n'a remplit ses fonctions. La prédominance de l’institution présidentielle dans le système politique algérien a fait que la marge de manœuvre des autres institutions du système est limitée. Les conseillers du Président et son cabinet constituent un gouvernement parallèle à l'ombre, agissant sans qu’il y ait une clarification de leurs compétences par rapport à l’institution de Sellal et ses prédécesseurs.

    Cela incitera évidemment les Algériens à ne pas croire cette nouvelle pièce théâtrale qui veut dire aux adversaires de Bouteflika, le retour de Boutefika en force, même sur sa chaise médicale, lui qui avouait, il y a quelque temps à Setif, qu'il fait partie de ceux qui sont finis, "Tab Jnanhoum", nous n'inventons rien, ce sont ses termes. Son récent "frottement", non pas affrontement avec le DRS , si on croit l'opposant Algérien Mohamed Larbi Zitout,  démontre qu'il est encore capable, ou faisant le semblant, de rendre la monnaie au général Toufik et à  tous ceux de la junte militaire qui chassaient à l'ombre, en son absence de maladie, ses proches à leur tête son quinquagénaire petit frère Saïd, qui parait-il, se prépare et se frotte les mains pour prendre éventuellement en charge, au mois d'avril prochain, les consignes de la magistrature suprême de l'Algérie du frère-président sortant, qui selon les bulletins de santé qu'ils  l'accompagnent, ne survivra pas longtemps pour atteindre ce rendez-vous.

    Même si je saurai d'avance que tout appel aux Algériens émanent du Maroc s'évapore entre "Zouj Bghal et Aâqid Loutfi", et dans l'intérêt suprême de nos deux peuples, de ce qu'on appelle le grand Maghreb, au nom de la fraternité et le voisinage, j'exhorte le peuple Algérien à garder l'espoir. L'Histoire ne s'arrête pas aux sales bottes de la junte de Ben Aknoune ou de celle de Daly Brahim d'Alger,ou au fauteuil roulant d'ElMoradia, ni avec la répression, ni avec le crime. C'est une nouvelle étape à franchir et malheureusement pour vous, cinq ans difficiles de plus. Il est possible qu'ils vous écraseront davantage, mais l'avenir appartiendra bien aux droits de l'homme, à la liberté de circuler et d'expression.                                                                        

                                                                               Je reprends la saleté Algérienne..

     

    Par curiosité personnelle, je connais sur l'Algérie pas mal de choses, ce que ce "con algérien" et ses assimilés ne savent pas. Je ne soufflerai, ni chaud ni froid, en leur parlant cette fois-ci de leur idéal parti unique qui tient leur souffle depuis le congrès de la Soummam en 1954, les aidant en 2ème page, à connaitre en l'absence de la bonne gouvernance, comment dilapider davantage le fond public Algériens en cinq leçons..! Mais avant cela, je les invite à chercher où se trouve leur souveraineté et leur dignité par laquelle ils nous crèvent les tympans tout le temps..?

    Il n'échappe à quiconque, que les loups et les hyènes  FLNistes occupent sauvagement le champ politique Algérien et détruisent l’Algérie au petit feu. Choisir un Drabki-danseur de la troupe folklorique d'Abdallah Menaï d'Oued Souf , à la tête d'un parti qui gouverne l'Algérie depuis 1962, c'est plus que ridicule. Cela étant prouve que dans ce rassemblement d'opportunistes, je ne dirai pas dans toute l'Algérie, il n'y a pas d'hommes propres et crédibles. A la connaissance de tous es Algériens ce Saâïdani, avait dérobé 3000 milliards de dinars Algériens du fond d'aide agricole tout en bénéficiant de l'immunité d'impunité.

    Le voilà, avec un clin d’œil insistant de Said Bouteflika, qui émerge de nouveau sur les couches de son frère Bouteflika le président... il monte facilement au créneau FLN, malgré l'opposition et le recours du clan Belayat, le Chabat Algérien. C’est ainsi, les Algériens pourraient voir, pourquoi pas, à la prochaine étape, les corrompus  du poids lourd, amnistiés et promus par le mort vivant au fauteuil roulant, à l'images de : Chekib Khalil ou Abdelmoumen Khalifa, présidents, à tours de rôle, de la république Algérienne en 2019 ou 2024.

    C’est un avant-goût qui introduit en fait de manière franche et claire l’opinion des experts algériens de renommée mondiale quant à la manière avec laquelle est gérée l’Algérie depuis 1962. Ces spécialistes qui se sont exprimés dans un reportage consacré à la problématique de la gouvernance en Algérie, réalisé par une certaine Fondation algérienne pour l’action citoyenne, s’accordent à dire que l'Algérie “va mal, elle est malade et n’est pas bien gouvernée”.      

    Ainsi, on constate que les Algériens savent comment s'exprimer quand ils bénéficient et dégustent librement leur droit d’expression hors frontière, alors qu’une épaisse chape de plomb entoure le futur agenda politique, notamment celui de Bouteflika qui n’a pas encore révélé son souhait à briguer ou non, une autre période de cauchemar, à faire vivre aux algériens. Le nouveau patron du FLN, Amar Saïdani, élu récemment au poste de secrétaire général du FLN en remplacement de Abdelaziz Belkhadem, inaugure les micros de la presse et de la télévision Algérienne, pas par sa Derbouka ou par son style de danse cette fois-ci, puisqu'il a été ordonné de casser le tabou et demande le soutien à Bouteflika, pour un 4ème mandat à la tête de l’État Algérien.

    Amar Saidani, 63 ans, dans sa première déclaration à la presse, aurait expliqué qu’Abdelaziz Bouteflika a amplement démontré, «son incomparable compétence à diriger le pays». L’actuel président n’est pas vraiment chaud pour rempiler pour un autre mandat,, tout en laissant libre accès aux autres candidats, le président pourrait se porter candidat  à un quatrième mandat dans le cas où les algériens le lui demandaient avec insistance si les algérien prennent comme référence les révélations d’un conseiller à la présidence qui aurait souhaité garder l’anonymat.
    Même si la question du soutien de Bouteflika au palais d'ElMoadia n’a pas été débattue officiellement par les FLNistes. Dans les coulisses le choix est fait, tout le monde est d’accord pour soutenir l’actuel président et le vrai  patron du FLN afin de rester à la tête de l’État pour un 4ème mandat et pourquoi à vie, comme c'était le cas de Bourguiba enTunisie avant le 7 novembre 1987, qui était malade d'Alzheimer et s'attachait encore aux petites ficelles du pouvoir-.

    Le geste de Saïdani  confirme l’annonce  des parlementaires du FLN en janvier dernier, qui ont  déclaré que « le président Bouteflika reste le président du FLN et sera également son candidat unique pour les élections présidentielles de 2014 ». Outre le soutien porté par le FLN à Bouteflika , des voix thuriféraires commencent d'affluer au Bureau politique de Saidani venant  appuyer les appels à soutenir Bouteflika.

    Quel scénario pour avril 2014 ? ..Le choix du président de la République algérienne n’a jamais été une affaire d’électeurs. L’actuel a refusé en 1994 le poste du président de l'Algérie sans la garantie de l’armée. Actuellement, la succession, parait-il, est ouverte et plusieurs postulants attendent le temps opportun et peut-être la garantie pour annoncer leurs candidatures. Le rêve des Fislamistes, malheureusement pour Ali Belhaj, l’ennuyeux de mosquées, s’évapore avec les événements actuels de l’Égypte et les problèmes de la Tunisie.

    Le pseudo camp démocratique est démocrate dans le discours officiels, mais en pratique il se comporte de la même manière que le camp de dictature. Il est incapable de présenter un candidat valable. Quant aux partis du pouvoir, ne sont que les appareils de mobilisation au profit du candidat du pouvoir en place. «Ils veulent imposer une période de transition pendant laquelle rien ne doit changer.» A défaut d’un quatrième mandat, ils veulent la prorogation du mandat actuel de deux années supplémentaires à l’occasion de la révision constitutionnelle, qui instituerait le poste de vice-président. Devant cette situation, il est difficile d’imaginer un scénario.

    Les derniers adieux de Boutef.. .La prolongation de l’incertitude alarme plus d’un et suscite plus que jamais le doute sur la capacité de Bouteflika à recouvrer sa santé. Cette situation démontre clairement la crise politique et institutionnelle. La maladie du Président a bloqué tout le pays ; des ambassadeurs attendent un rendez-vous pour une visite d’adieu, d’autres pour présenter les lettres de créance, pas de conseils de ministres depuis des mois, les soi-disant institutions et les lois sont paralysées., et le pays tourne dans le vide, sans Président avec tous les problèmes et blocages.

    Si la frontière est effectivement fermée, la contrebande de carburant et de médicaments périmés algériens sont bloqués par nos gardes-frontières, la rumeur circule encore, s'infiltre avec le vent et fait son plein à Oujda laissant entendre qu' en Algérie : «On murmure au palais d'ElMoradia, les valets de chambre de Bouteflika se sont rassurés de la grave immobilité de leur patron, que sa fin est cruciale et inévitable, ses actes précipités signifient qu'il ramasse ses affaires pour non retour. Il vit ses derniers souffles, il aurait même commandé son cercueil en cèdre, car il se sent au bout du compte à rebours, qui préconise dans de pareil cas, qu'il quittera, d'ici peu, son fauteuil roulant pour aller se joindre à son idéal parrain d'autrefois, le maudit Boumediane et se griller ensemble à l'enfer. Même son entourage le plus proche serait dans l’embarras, discutant discrètement dans les coulisses, du "quel genre de funérailles" faut-il lui préparer en tant que chef d’État de calibre particulier?.

    C'est trop pour les Algériens de voir encore aux commandes un président périmé physiquement, ils s'en fichent de ce qu'il mijote sous l'effet des somnifères, à Alger on s'en tamponne le coquillard. Il n'attendent de lui qu'une chose : qu'il dégage .. et vite. Il leur en restera, à ce moment-là, que reprendre et répéter «La volonté de vivre» mettant à jour, pour les tyrans d'Alger, le poème immortel Tunisien  de feu Abou Kacem Chebbi  اذا الشعب يوما اراد الحياة ؛ فلابد ان يستجيب آلقدر٠ , et dénoncer, haut et fort, les affres du pouvoir autoritaire Algérien pour que la vie chez eux, continuera "dignement". Bonne lecture.

                                                                                               Cordialement,Chihab25