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Un sale pouvoir - Page 18

  • Maroc-Algérie : Le calvaire Algérien..!

                                                                                       

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    La vérité se déchaîne, parait-il..(17/10/19).Feu Hocine Ait Ahmed, une personnalité nationale Algérienne, un homme d'opposition, pas des moindres qui faisait, en quelque sorte, le doyen des nationalistes Algériens. Il était le plus brillant des cinq leaders de la révolution de libération de l'Algérie, ex-président fondateur du parti Kabyle FFS (Front de Forces Socialistes).

    Ses positions de chef historique de la révolution Algérienne étaient franches et très sévères envers la politique que menaient les tenants du pouvoir dans son pays, ce que lui a coûté les peines d'exil durant presque toute sa trajectoire post-indépendance. Répondant, dans son vivant, à une journaliste Algérienne qui lui demandait : «ce qu'il pensait du problème du Sahara "occidental"!.. Il lui répond en homme politique sûr de lui «Demandez-le à ceux qui l'ont créé!».

    On peut lire de cette réponse significative que les Algériens savaient plus que d'autres, que le problème du Sahara Marocain est créé en toutes pièces par le maudit Boumédiane et la complicité de son gamin Boutefrika, comme le dénommait feu Hassan II.

    Pendant plus de cinq décennies, l'Algérie soutenait ce qu'elle enfantait de relations d’adultère (je m'excuse du terme) le faisant adopter par une junte qui le gardait, sans pour autant, savoir pour quelle raison, puis remis, à son co-créateur pour l'élever et modeler aux maisons closes du pouvoir Algérien, prenant l'habitude à surmédiatiser le soutien  de son pouvoir à l'autodétermination d'un peuple mirage qui n'existait qu'aux couloirs de sa cervelle avant de se faire prendre par l'incapacité physique et mentale.

    Je fais cette petite introduction croyant que cette affaire de Sahara commence à plier bagages, pour éventuellement sortir du sale drap du palais d'AlMoradia d'Alger, du moins, ce qu'on peut lire de ce qui suivra ci-dessous.

    Car en Algérie, "enfin" les langues commencent à se délier à propos de la question du Sahara Marocain et ce grâce aux manifestations de la rue ayant chassé les plus grands sangliers du système Taflikien, et poussé d'autres à s'exprimer d'une façon ou d'une autre, en l'absence du sérail dissuasif, devant lequel en étaient contraints de se plier.

    Hier c'était Azzeddine Mihoubi, chef de parti RND qui étalait dans son linge électoral pour la mascarade du 12/12/19 en Algérie, la carte complète du Royaume avec son Sahara, tournant ainsi, le dos au mirage Algérien de Tindouf. 

    Aujourd'hui voilà, une autre figure, la plus problématique cette fois, qui sortait subitement de la zone grise pour y parler franc (!) du problème du Sahara, un sujet sensible, intouchable au système, surtout en cette période d'acharnement et des incarcérations multiples pour corruption, pour les uns et pour rien pour les autres.

    Avant ces deux sorties, commanditées certes? Sabri Bougadoum ministre aux propagandes étrangères aurait délibérément évité de parler "polisario", contrairement à l'accoutumée, lors de ses discussions avec le secrétaire d'État Espagnol aux affaires étrangères, en visite de travail à Alger. Sachant que sa machine à mensonges ne fonctionne pas avec les grands, surtout avec l'autorité référence coloniale du Sahara, pas comme le Lesotho et autres, faciles à percer par duperie. 

    Ainsi, Bougadoum, selon l'APS, ignorait inhabituellement, le polisario pour citer nommément devant son hôte Espagnole la situation au Sahel, en Libye, au Moyen Orient ainsi que les questions de migration et de lutte  contre le terrorisme, ce qui irrite justement le polisario qui vient de comprendre de ce geste inhabituel de l'Algérie officielle, qu'il n'est plus la priorité d'Alger et encore moins pour les organisations mercenaires Espagnoles, payées généreusement par le pétrodinars Algérien, pour faire du bruit au Maroc.

    Quoi qu'il en soit, même si en politique, il n'y a pas de fumée sans feu. Ces gestes qui sont à prendre avec des pincettes, n'en changeront en rien de la méfiance Marocaine envers l'hypocrisie Algérienne qui, pratiquement en avait prouvé le contraire, dans de pareils cas d'appel à l'évidence et à la raison.

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    Attention, hypocrisie raffinée..Il s'agit d'Amar Saâdani, ancien président du parlement,  secrétaire général du parti au pouvoir FLN. Pas le FlLN d'autrefois, de Mohamed Kheider, Hocine Ait Ahmed et de Mohamed Boudiaf, président assassiné pour sa franchise, appelant à mettre à ce propos, ce FLN au musée pour éviter, disait-il, aux arrivistes de piller ses principes et d'entacher son idéologie, croyant s'inscrivaient au continuum de ce qu'on appelle là-bas, "pacte d'oued Soummam54".

    Dans une interview à TSA, le site Algérien d'information et de tout-vent, Amar Saâdani disait tout sur l'Algérie et sur le Sahara Marocain : Cet ex-drabki du groupe folklorique populaire de Abdallah Menaei d'Oued Souf à l'est Algérien a affirmé sans détour que «le Sahara est Marocain et rien d'autre» et qu’il était temps d’arrêter de gaspiller l’argent du contribuable algérien en soutenant les séparatistes du Polisario.

    La rédaction du blog a choisi pour ses lecteurs ce qui nous concerne de cette sortie médiatique inédite, attendant celui qui dira mieux encore..? Nous devons d'abord authentifier son tout récent CV politique pour y croire ou pas, ce qu'il vient de lancer, parallèlement, au sujet du Sahara Marocain et de relations entre Maroc-Algérie en général.

    Il est dépourvu de sincérité et de crédibilité, d'autant plus, n'est pas la personnalité académique digne d'écoute et de respect. Son métier d'ex-batteur de tambour décrit bien son parcours. Pour essuyer son image de jongleur et d'attirer plus d'attentions, il se lança en politique dans un monde à nativité mentale de dupes, se faisant fort brillant en bla-bla de façon remarquée. 

    Par son tout-vent s'est vu, y a pas longtemps, prendre place prés du four d'AlMoradia, jouant le rôle de convoyeur et fer de lance de l'ère Bouteflika, qui l'engageait, en pompier permanent de service qui, au lieu d'éteindre les feux, il les font propager davantage, suivant l'ordre que lui établi Saïd Bouteflika, le conseiller du président, teneur des sceaux de la reine, substituant en cache dans toutes les affaires de l'État, son frère président momifié depuis son AVC.

    En contre partie, incapable intellectuellement, de mettre en ordre d'importance et d'actualité, les sujets d'interview, d'une telle particularité, ce qui laisserait croire une proximité de traces des services secrets algériens, même si affaiblis par l’incarcération de leurs généraux Toufik et Tartak et apparemment par une substitution militaire, de force, inappropriée. Cela étant ne serait, à mon sens, qu'une de leurs bavures, prise à l'insu de tous, dictée par la conjoncture actuelle, tendant à bouleverser le ton et désorienter l'opinion publique Algérienne des "lives" d'exilés Algériens en Europe, qui font forte pression sur la rue Algérienne en ébullition, déterminée d'aller au bout, ce qui pèse et pèsera davantage, en chape de plomb sur tout le système.

    Ainsi, le doute est bien établi, surtout si on croit un général Algérien à la retraite (Abdelaziz Mjahed) qui le qualifie "d'instrument de la bande", et c'est Bouteflika qui l'avait imposé en 2002 à la tête du parlement (ANP) pour réguler le législatif comme bon lui semble. C'est son instrumentalisation, me semble-t-il, qui le sous-tend la raison pour y revenir sur les lieux du crime et monter une autre aventure de la bande.

    Normalement le gouvernement Algérien n'attendrait pas à se faire des gants pour réagir à ses propos  Sûrement par opacité d'enrouler  l'opinion publique locale, elle en sortira certes, par réaction, de berger à la bergère, et y cherchera ensuite dans ses archives de dissuasion le moyen de le coincer quelque part dans ses affaires immobilières pour avoir casser le bâton d'obéissance en ce temps de crise.

    En preuve, il y a pas eu de commentaires de la part de la presse inféodée au pouvoir Algérien, à part le site "Algérie7" qui osait accuser  l'intéressé de trahison et de compromissions avec les services Marocains ? L'Expression-dz disait de son côté que Saadani a trahi le pseudo-serment de novembre,  inventant que la presse Marocaine que les journalistes algériens qualifiaient souvent de "presse du roi ou du Makhzen!" savourait la trahison de Saadani.(sic).

    Faisant écho particulièrement, à l'appel à l'ordre de Nacer Bourita à Salaheddine Mezouar, ou plutôt à ce qu'elle considère, de limogeage de ce dernier, après son ingérence involontaire dans la chose Algérienne, soldée par sa démission. Sachant que plusieurs initiatives pareilles de la part du Maroc n'aient été pas bienvenues, ni prises favorablement en compte par ces «dix en une cervelle». qui selon ma propre conviction, ne sont aptes qu'aux attitudes de haine et d'hostilité gratuites envers le Maroc au lieu d'en prendre conscience du problématique de leur créature de Tindouf, dont les principaux maudits meneurs sont divinement mis à l'écart, l'un mort, l'autre momifié.

    Cela me rappelle enfin, le dicton attribué au fkih. - «Est-ce vrais Al'fkih, en lisant Sourat Yacine, face du chien férocement aboyant,on le calme? Oui disait-il, mais prévoyant surprise, il en faut tenir une pierre en main..!» Cela dit que nous les attendrons toujours au tournant, s'ils se trompent de calcul et payeront cher les frais de répercussions.

    C'est finis les rires jaunâtres et les étreintes suspectes, entre frères antagonistes, dites souvent de courtoisie, durant les rencontres formelles et informelles de routine. Il y a donc nécessité impérative de méfiance qu'il faut engager envers cette sortie spectaculaire qu'il faut prendre par les gants de boueux, tant que les pincettes n'y arriveront pas sûrement.

    Pour rappel ce Amar Saadani, par sa nature de tambourin, il préfère nager contre les courants du gouvernement Algérien. En tant que secrétaire général du parti FLN au pouvoir il avait boudé en 2016 les funérailles de Mohamed Abdelaziz L'Marrakchi, refusant de se mettre aux sacoches de la délégation officielle du gouvernement Algérie se rendant à Tindouf pour rendre dernier hommage à ce mercenaire Marocain, président de la pseudo-rasd.

    Même avant en 2015, profitant de son poste de SG de premier parti politique à grande influence sur les dupes en Algérie, il a demandé à l'Algérie de lâcher le polisario et de normaliser les relations avec le Royaume du Maroc, mais il a été humilié par la presse Algérienne pro-pouvoir. Et depuis, ne changeait pas de cape de serviteur et fidèle aux ordres lui parvenant, de  dessus et dessous table, restant ferme sur ses positions controversées pour récidiver a n'importe quel moment.

    Mais cette fois-ci, il se permettait d'enfoncer le bouchon très loin, haussant le ton par reconnaître publiquement la «Marocanité du Sahara», comme pour dire que la nature Algérienne a horreur du vide, il doit y avoir toujours de quoi polémiquer et créer le confus.

    Hier il faisait danser les hommes et les femmes sur le rythme de sa troupe folklorique, aujourd'hui, il fait secouer ces mêmes hommes et  femmes, mais en duplicité politique pro ou opposée à la ligne politique du clan militaro-civil actuel.

    Pour nous, on ignore complètement à la rédaction du blog s'il agissait ainsi, de bonne ou mauvaise foi ou se fût chargé par d'autres!, Une interrogation laissée aux lecteurs d'en analyser et d'en trouver l'expression adéquate.

    Quant à moi, je termine par une seule conviction.. C'est que l'Algérie sous Bouteflika qui n'était, plus ou moins naguère admise aux rangs d'États, est actuellement sous le régime militaro-civil de Gaid Salah, n'est pas seulement une force régionale, comme on le prétendait vachement, mais une force qui n'a uniquement que des bonnets d'âne.D'ailleurs ce vieux général au commande, n'épilogue pas là-dessus,il le saura plutôt. Sauf que si ces abrutis d'Algériens ne se chamaillent pour le chasser, étant que l'effondrement de l’égoïsme excessif ! et de R'faa Rassak abba! est vécu depuis l'ère corrompue de Bouteflika.

    Question : Par le passé, vous aviez exprimé  un avis différent concernant la question du Sahara occidental. Vous le maintenez ? Réponse : «En vérité, je considère que « le Sahara est Marocain sans enchères». Il a été enlevé au Maroc au congrès de Berlin. Aussi, je pense que l’Algérie a versé pendant cinquante ans des sommes faramineuses à ce qui est appelé le Polisario et cette organisation n’a rien fait et n’est pas parvenue à sortir de l’impasse.

    La relation entre l’Algérie et le Maroc est plus grande que cette question. Je pense que la conjoncture est favorable car il y a l’élection d’un nouveau président et le changement de système en Tunisie, l’Algérie se dirige vers une élection et un changement de système, la Libye aussi vit une transformation.

    Tout cela peut concourir à relancer l’unité maghrébine comme l’ont voulue les vétérans du FLN et de tous les partis nationalistes, du Maroc, d’Algérie, de Tunisie et de toute l’Afrique du Nord.

    Je pense que la question du Sahara doit prendre fin et que l’Algérie et le Maroc doivent ouvrir leurs frontières et normaliser leurs relations. L’argent versé au Polisario, avec lequel ses membres se baladent depuis cinquante ans dans les hôtels de luxe, doit revenir à Souk Ahras, El Bayadh, Tamanrasset et autres villes. C’est mon avis, même s’il doit déplaire à certains».

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    Un Roi et une fierté..Tout d'abord c’est avec liesse et fierté que les Marocains, ceux qui s'intéressent à la politique, qui suivent avec assiduité les redressements que SIDNA ne cesse d'opter à chaque occasion au niveau local, pour déceler et corriger les failles des corps législatif, exécutif et plus encore, l'orientation de la société civile vers la consolidation de ses droits civiques, dans le cadre d'une approche basée sur l'équilibre entre le maintien de l'ordre public et le respect des droits de l'homme.
     
    Dans ce domaine, l'institution sécuritaire (Gendarmerie Royale et Sûreté Nationale) est impliquée dans la coordination interne et externe, préservant pratiquement les droits de l'homme, loin d'allégations et de soupçons calomnieux d'Algérie via son polisario et ses acolytes étrangers.
     
    Saluant, la poursuite silencieuse de la diplomatie Royale faisant rappeler à l'ordre les pays tombés, par ignorance, dans les gouffres de l'hypocrisie Algérienne autour du Sahara Marocain, nous nous réjouissons, du leadership Royal faisant d'amples empreintes Marocaines au continent Africain et aussi là-bas en Amérique latine. Le Cuba, l'Uruguay et la Bolivie suivront certes, par orientation du maître et intelligence de son commis portant toujours ses dossiers sous bras.
     
    Le dicton Marocain assure qu' «avec souplesse, se mangera l'aubergine», c'est-à-dire, jusqu'à la fois, la cause nationale progresse et gagne davantage du terrain, en visibilité et en crédibilité, par ses vérités éprouvées et que l'Algérie n'aura plus, du pain sur la planche, ni la possibilité de se faire encore de calomnies soutenant le mirage de Tindouf. D'autant plus qu'elle est réduite à vendre les bijoux de famille pour confronter ses crises.
     
    Rappelant que la volonté constructive du Maroc ait décidé d'aller de l'avant, faisant tomber les remparts ennemis. Car c'est fini de duper le monde, l'avenir en jugera, par revirements négatifs qui en affaibliront, le jonglage Algérien contre la légalité internationales. Qu'ils se rendront à l'évidence ou pas et troquer l'entêtement pour la raison, ça nous est totalement égale. 
     
    Au fur et à mesure, avec l'attention Royale, le Royaume aile forcément, vers la consolidation démocratique et construction fructueuse pour atteindre, les rangs les plus développés au tiers monde, sans pour autant se préoccuper des harcèlements hostiles d'une Algérie au bord de l'effondrement.
     
    Toute réforme n'est pas étrange à nous, ici au Maroc on est jamais mort, au contraire, on s'y trouve constamment éveillés par les coups de sifflet du Méchouar, avec un esprit optimiste de voir concrétiser les plans révolutionnaires, en politique et en développement, surtout aux segments de jeunes en particulier, que le Souverain s'y mis à impulser la formation et d'acter sa haute sollicitude, par feuilles de route bien précises, pour un Maroc en mouvement.
     
    N'oubliant  pas en parallèle, le désir Royal à mettre en oeuvre des mesures concrètes valorisant davantage le rôle de la femme Marocaine dans la vie publique.La preuve en est-là, éblouissante même. «C'est pour la première fois dans l'histoire de la femme Marocaine qu'elle ait le droit d’accéder au corps d'agents d'autorité du ministère de l'intérieur». Un acquis de parité jamais enregistré au Maroc post-indépendance, faisant de la femme Marocaine, fière d'elle même, face à ses pairs-femmes Algériennes. Ce droit requis à la Marocanité, suscitait évidemment des remous et clins d'œil chez le masculin en Algérie, le pays d'arrogance et d'orgueil, où il n'y a pas eu de Wali, Gouverneur ou encore moins de Caida,femmes.
     
    Nous apprécions avec ferveur, les instructions, directives et orientations Royales, tendant à faire plus d'ordre dans l'ordre. Ces Marocains, que nous sommes, nous nous préparons, entre autres, à fêter la marche verte, ajoutant du fait, une énième raclé au pouvoir Algérien et à ses acolytes, qui en ce moment, ne savent plus, comment s'en sortir du pétrin, ni sur quel pied danser
     
    A vrais dire, cette marche blanche constructive que mène la Royaume sous la clairvoyance de SIDNA, ne laissant rien à désirer aux observateurs et détracteurs de l'étranger, du genre d'Éric Laurent et sa maîtresse de chantage, qui doivent rendre les comptes aux instigateurs Algériens, qui l'auraient engagé en vain, pour porter atteinte au leadership Royal contre l'autorisation de vente en Algérie de son livre polémique "Le Roi disait-il,prédateur".
     
    A vos places.. A la rédaction, nous ne nous faisons pas de politique gratuite, mais nous portons, en quelque sorte, peu d'intérêt à l'exécutif dans sa nouvelle mouture, tant attendue par les opportunistes politiciens qui s'attendaient à la chasser aux sorcières, même si cela nous dépasse et n'entre pas en ligne de rédaction du blog, dépourvue de droit d'y émettre ce genre de réserve. Notre souhait est de voir de l'efficacité convoiter l'élan Royal qui par réformes Royales, qui ne cesse donner aux Marocains droit à l'expression dans le cadre de lois.
     
    Notre modeste charge, à ce effet, se situerait autour d'une description spectaculaire, qui nous fait constater l'immobilisme, le plus flagrant du champs politique national, résumant les intentions de chantage, des uns et des autres, mettant en exergue l'état infructueux de réticence, de bousculade et d’inefficacité des politiciens, à savoir :
    (Au PPS, problème est Benabdallah, dit-on - Au MP, bien mâcher l'hypocrisie - Au PJD, adolescence reculée, fauteuils et maîtresses - RNI, garder cadencé et briller - UC, s'adapter au rythme - USFP, divergence, critique réprimandant - ISTIQ,  danser au foyer - SYNDICATS, plus de revenus - TECHNO, bien gérer la donne. SOCIÉTÉ, yeux vers grand chantier Royal d'infrastructures).
     
    En surcroît délabrent, la gourmandise politicienne se bousculait aux abords de la primature barbue, même avec une négativité affichée au fond de la toile, ils y sont tous (les politiciens) dépourvus de toute véridicité pour bien accompagner la volonté Royale, ce faisant leur imposerait la refonte et le rajeunissement.
     
    En tout cas, nous comptons sur les aiguilleurs qui forment l’équivalent à l'ombre, et font parfaitement l'affaire,veillant à ce que le navire n'ira pas aux zones de turbulence pour se faire couler, et qu'il accostera, dans toutes circonstances, aux normes de navigation, aux bons quais. 
     
    Laissant de côtés, nos ennemis de l'est qui ont fort mauvaise réputation, stagner au fond de leur haine et hostilité. Tant que nos locomotives marchent et y arrivent ponctuellement à destination, au temps où le pouvoir Algérien fût appelé de son intérieur par slogans instantanés de la rue, l'appelant à se mettre à l'évidence, voire à dégager et de ne plus rester inutilement cramponné aux principes inhérents d'entêtement "ça passe ou ça casse" pour une affaire de polisario; ne concernant pas le peuple, tant que le principe enthousiaste d'autodétermination d'autrefois est abîmé avec le mur de Berlin en 89.Bonne continuation.

                                                                           Chihab25