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Un sale pouvoir - Page 17

  • Maroc-Algérie : Amar Saâdani, l’homme des basses besognes..! (texte adapté)

                       

                                                                                

                                                                   

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    Vue de Sotchi..(1/11/19) Le Maroc dans l'assiette Russe de Sotchi.Pendant que les quinze du Conseil de Sécurité votaient la résolution 2494, les Russ n'ont pas voulu salir l'assiette symbole du sommet Russia-Afric. Ils se sont abstenus, préférant laisser le Sahara Marocain s'allonger confortablement dans son espace naturel le Maroc.

    C'est normal que l'Afrique du Sud, soit effrayée par le «pour» de 13 autres membres. Mains toutes propres, levées par conviction, sans pression, ni de pétrodollars ni de deux poids et deux mesures, prouvant ainsi, par honnêteté d'États siégeant au CS en ce dernier trimestre 2019, que la Marocanité du Sahara est une réalité et rien d'autre.

    Cela étant reflète les bonnes prises de positions sur la dépouille du maudit John Bolton, écarté d'un revers de main, on ne dirait pas par frivolité de  Trump, mais par gentillesse cette fois-ci. Ce qui fera inéluctablement de même, de la suspicion de l'Algérien Amar Saadani, l'homme aux basses besognes.

    Et pourtant, on constate qu'au concret, le Kremlin veille à ne pas voir entachée, à n'importe quelle circonstance que ce soit, la crédibilité fédérale de Russie. Pour cela les Russ décidaient jouer aux grands, du fait que le polisario n'a eu droit à aucune place aux avions Antonov-dz d'Alger pour y assister, ou du moins s'approcher du sommet de Sotchi (!).La séquence fera certes, froid dans le dos des Algériens obnubilés par une affaire pratiquement perdue d'un peuple ramassé de tout bord.

    Ce commando Marocain de la tribu R'guibat que le polisario évitait d'affronter. Une vidéo de 2:12 mnt offerte par FARMAROC à l'occasion de la Marche verte. La rédaction se réjouit de présenter  à son lectorat.          

                   
     
    Jeux de vilains..Que des députés se tapent dessus, au conseil de Rabat, et aux réunions de certains partis politiques, dernièrement au Mouvement populaire, ce n’est pas méchant et ce n’est point une innovation, non seulement au niveau des conseils municipaux et régionaux, mais devenue aussi une factice généralisée pour atteindre même les hémicycles qu'on voit chez nous et à travers le monde.(tiers-mondiste bien sûre).
    Cela s’est vu même dans d’autres anciennes démocraties. Est-ce un signe de bonne santé démocratique ? Bien sûr que non. Jeux de mains, jeux de vilains. C’est seulement la démonstration que la communication politique est encore au stade de l’infantilisme.

    Mais comme ces mains se sont souvent, pour ne pas dire toujours, levées pour brasser du vent et applaudir les extravagances gouvernementales, il est permis de penser qu’il serait plus sain d’utiliser les pieds pour ces jeux de vilains… donner de grands coups de pied à ces mains inutiles !

    Je commence par ces failles qui déshonorent nos parlementaires et élus locaux pour revenir au fameux Algérien Amar Saâdani qui serait poussé, voire commandité à dégoupiller en plein figure du pouvoir militaro-civil du général Algérien Gaïd (gheir) Salah une bombe à forte  puissance et déflagration au sujet du Sahara Marocain.
    Pour bien connaitre les tenants et aboutissements l'ayant poussé à appuyer sur le détonateur en ce moment précis, je me suis dit pourquoi pas aller chercher dans son CV politique et reconstituer son parcours d'ancien opportuniste et thuriféraire des Ait Bouteflika. Et voilà ce que la recherche a procréé au filet, aux petits nœuds, des faits vulgairement controversés :


    «Oui, je fais partie d’un gouvernement de bandits», a lancé un ministre à la figure d’un parlementaire le moment où ce Saadani était président de l'écurie algérienne dite "le parlement" : voilà donc l’affairisme qui s’institutionnalise. 

    Et quand un ministre de ce genre avoue son appartenance aux bandits,  la politique d'orgueil et d'arrogance généralisée devienne l'empreinte des gouvernants Algériens, alors que les escadrons de la rue parviennent à mater les 4/5 du système banni. Lorsque l’autoritarisme s’installe, l’exercice du droit se réduit à la seule factice qui gère l'illusion, c'est normal que de telles rues s'expriment  par manifestations, parfois trop agitées, comme au Soudan et en Irak. Quant à  l'Algérie, Égypte et dernièrement au Liban, ils sèment l'absence de dialogue et y continueront à récolter les ténèbres de la révolte.

    Les contestations de la rue Algérienne, seraient-elles une révolte populaire qui durera plus que celle de la libération Algérienne d'autrefois? Les  mardis et les vendredis Algériens en répondront certes, si ne seraient-ils que des hurlements poussiéreux pour tromper la faim de liberté.

    En termes de pensée politique, l’Algérie officielle ne produit plus rien que le néant absolu en crédibilité. Il n’y a que du discours édulcoré, vulgaire et primaire, discours qui se nourrit de la crise et l’entêtement. C'est du moins ce qu'on peut comprendre de la réaction du gouvernement Algérien au sujet de Saadani. De cela, on peut être un homme politique en Algérie et garder une certaine classe, même si on n’a pas une «belle gueule
    » !  Tout cela procède de cette stratégie du repoussoir pour en dégoûter le peuple Algérien de la politique et, donc, le tétaniser et démobiliser ses consciences tout au long de cinq décennies et plus.

    Un commentateur Algérien, apparemment indigné, écrivait la phase, très significative suivante qui donne lieu à des gesticulations dans la guerre de clans qui se disputent l’héritage d'un maudit parti à l'enfer (Boukharouba que la malédiction divine soit sur lui), laissant un pouvoir agonisant, poussant une nouvelle oligarchie nauséabonde à redoubler de férocité dans la dilapidation du reste de la rente, mais cette fois-ci déguisée en vert-kaki:
    «Nous sommes face à la criminalisation du patriotisme, de l’abnégation et de l'incompétence, pendant que le pouvoir parallèle fait la promotion des voleurs et des bandits de grand chemin»

    Il faut croire cependant qu’à  présent, la contestation risque de s’élargir ; car l’État Algérien est devenu un satellite de groupes informels, les institutions se délitent et la répression va, elle aussi, se durcir contre les contestations de ceux qui refuseront le fait accompli, exigeant en un seul mot d'ordre, le départ de tout le système. Pourtant, cette crise n’est que l’aboutissement d’un long et coûteux processus.


    Pair de sédition..A travers les commentaires et les manchettes des journaux, publics et privés, il n’y en a, en définitive, que pour Amar Saâdani et sa trahison selon les réactions des dupes. Le bien malheureux sénateur du très présidentiel et néanmoins membre du bureau politique du FLN est "missionné" par les mains ennemies étrangères qui guettent de loin la stabilité de l'Algérie, comme se plaisent à le relever les journalistes substituant leurs gouvernants qui, vont même jusqu’à lui infliger «la peine capitale» pour la trahison assignée et pour ses bourdes d'ex-secrétaire général du FLN, demandant de maintenir le "statu quo Algérien néfaste " de ce qu'ils se réjouissaient d'appeler "le droit à l'autodétermination"! d'un peuple rassemblé de tout bord.

    Quant à Amar Saâdani même s’il quitte le secrétariat général du parti, il n’en reste pas moins un de ses membres les plus influents dès lors qu’il continuera à siéger au bureau politique. Pour certains, l’homme n’a nullement démérité. En tous les cas, il n’a pas manqué d’audace lui qui s’est attaqué à des citadelles qu’on croyait imprenables. Et aussi à des responsables algériens dont on n’osait même pas chuchoter le nom.

    A-t-il pour autant dépassé les objectifs qui lui ont été tracés ? S’est-il pris au piège de se croire devenu, à son tour, invincible ? Faiseur de rois s’est interrogé un journaliste de la presse jaune? Ou a-t-on décelé chez lui quelques points communs avec le boucher de cocaïne ? Autant de questions auxquelles il n’est pas loisible aux curieux Algériens, pour le moment, d’y répondre.

    Selon certains observateurs, ce seraient ses sorties médiatiques et surtout ses attaques contre des  individus repaires, qui lui auraient valu sa disgrâce et qui ont fini par irriter en haut lieu à Zeralda et au palais d'AlMoradia. Bien avant, donc, les tirs sur Abdelaziz Belkhamej, l’autre cible pilonnée aux boulets rouges par cet intrépide. La preuve est le retard constaté à la réaction indécente du gouvernement au lendemain de sa sortie au sujet du Sahara Marocain, qui lui a sonné comme un désaveu!

    Amar Saâdani, a donc trahi la chose algérienne face au Maroc même si aux yeux, de ses pairs du comité central (!) n'est pas facile à digérer. Comment en serait-il autrement, lui qui se voyait occuper le siège longtemps encore, au delà même des législatives qu’il se voyait remporter largement, contre ses détracteurs. 

    Amar Saâdani est parti pour réapparaître de nouveau, habillé d'une combinaison de couleur (SM/DSS) qui dépasse naturellement la couleur Bedoui. Beaucoup vont regretter ses intrusions médiatiques qui ont fait courir les journalistes de tout bord. Le "monsieur pompier" de la politique a fait rire sans le savoir, il rigole sur les gueules des siens. Il a fini par trébucher à force de trop tirer sur la corde. Il est allé trop loin dans son "délirium", incluant dans ses bêtises les Marocains en touchant, de mauvaise foi, leur cause nationale sacrée «le Sahara Marocain».

    "L'impatience d'un homme et son humeur viennent quelquefois de ce qu'il est resté trop longtemps debout depuis son écartement de la présidence de l'FLN par l'autre charlatan Jamal Ould Abbas ; ne raisonnez point contre son humeur, mais offrez-lui un siège, même hors de l'édifice de l'hypocrisie", contredisant par-là, ce qu"avait écrit le philosophe Français Alain (Émile-Auguste).

    Il y a quelque chose d’insensé dans le pitoyable spectacle qu’offrent  les tenants de la décision d'Alger. L’impitoyable Amar Saadani tire sur tout ce qui bouge. Il entend faire la pluie et le beau temps sous le ciel dégagé d’Algérie, distribuant des fléchettes empoisonnées par-ci, des approximations vipérines par-là. L’homme se pique d’être le baromètre des luttes au sommet. Quand il s’agit d’ouvrir le feu sur n'importe qui, c’était lui qui était souvent choisi au lance-flammes.

    Il vient de récidiver après une énigmatique absence de plusieurs mois. A l’heure de la panique qui sonne comme un sanglant aveu d’échec de la politique menée depuis 20 ans par un ex-Bouteflika et ses serviteurs, cette sortie sonne comme un contrefeu pour brouiller uniquement les pistes aux manifestations de la rue Algérienne.

    Le procédé a vécu. Rappelez-vous les 19 personnalités Algériennes, devenus après que 14 femmes et hommes qui ont demandé à rencontrer Bouteflika dans son vivant. Pour faire taire ces 14 "ex!!!" de la cour et de l'arrière cour, c’est Amar Saadani qui a été envoyé par le clan leur apporter la réponse car leur appel gênait au plus haut point du clan. Abdelaziz Bouteflika n’accordant plus d’audience aux Algériens depuis qu'il a dit à Annaba en 2012 "j'nan jili tab". En ce cas, Saadani a joué le pompier de service en allumant un autre incendie !!! J'ai évoqué cette moche qualité de "pompier-fling" dans ma dernière note.

    En prêtre annonçant quelque augure, il repart encore à la charge avec le même agenda pour accuser des moujahidine d’être de simples pantins de Mohamed Mediene. Pas seulement, il s’en prend au passage même à la France qu’il accuse de n’avoir pas invité l’Algérie pour une conférence sur la Libye. La belle affaire !!! Le sieur Saadani qui investit sa fortune à Paris et y accourt pour se soigner et passer du bon temps crache dans la soupe.

    L’homme n’a pas froid aux yeux. L’opprobre, l’insulte, le mensonge et la menace ne le répugnent point. Il plonge sans retenue ses mains dans la fange pour éclabousser, croit-il le naïf, ses adversaires. C’est l’homme des basses besognes. Et il le fait bien, même trop bien parfois.
    Pire encore, il tire dans le tas puisqu’il convoque "les officiers de l’Armée française". Re-belle affaire !!! Le langage fleuri, il crâne, le propos assassin : "Il y a les officiers de la France, les moujahidines de la France, les militants de la France au sein du FLN et il y a les intellectuels de la France". 

    L'ex-patron du FLN ne donne pas encore les noms à jeter en proie à la colère populaire. Mais revient à la charge contre ceux qui ont pourtant placé son "excellence" Abdelaziz Bouteflika à la tête de l’Algérie. "Les officiers de la France sont ceux qui ont géré les périodes de transition", accuse-t-il sans sciences ni un quelconque argumentaire. Voilà comment Amar Saadani remercie les anciens tenants de la décision. Que de vanités ! Que de broutilles !

    Amar Saadani est un agitateur du bocal. La manœuvre ça le connaît, il est à bonne école, celle du FLN. L’exemple même. N’a-t-il pas côtoyé pendant de longues années ces personnes qu’il voue aujourd'hui aux gémonies sans broncher ? N’a-t-il pas mangé dans la main de ce "Rabb Dzaer déchu" ?Autres questions : qui lui a ordonné d’ouvrir le feu ainsi ? Pourquoi maintenant ? Est-ce pour jeter de la cendre aux yeux des Algériens. Pas à nous Marocains bien sûr, car nous portons tous des lunettes, non de correction mais de protection pour se protéger contres les insectes-dz?

    Mais enfin, demain, que restera-t-il du passage de cet homme à la tête de cet agenda ? De ses sorties médiatiques suspectes ?. Aura-t-il contribué, à travers des propositions de sortie de crise par exemple, à améliorer la vie des Algériens ? A résorber le chômage, à combattre la corruption et l'évasion fiscale... L’histoire de ce pays se rappellera d’un serviteur aveugle, zélé qui a fait passer ses propres intérêts et ceux de son clan devant ceux de tout un pays.

    C'était un Saadani, arrogant, suffisant, plein d'assurance qu'on avait entendu porter de bien gravissimes accusations contre plusieurs anciens responsables d'Algérie. C'est un charlatan du FLN, un rien aigri, qui présente aux algériens un grand sujet de débat pour éviter les cris détonants de coupeurs de siestes.

    Tout un chacun sait qu'en Algérie, un homme comme Amar Saadani ne se serait jamais permis des attaques aussi frontales contre le général Toufik, l'ancien patron du DRS, et l'ancien premier ministre Belkhamej ou de se permettre de lancer, de son gré une telle bombe contre la thèse Algérienne concernant le Sahara Marocain!

    Amar Saadani a été "actionné" pour tirer sur ces individus. A quelle fin et pourquoi! quand on sait que les deux hommes ont été écartés du pouvoir par le clan Bouteflika ? Cette sortie serait l'attaque de trop. Amar Saadani et ces donneurs d'ordre et de sang auraient perdu de vue qu'ils sont pas seuls au pouvoir.

    Il y aurait de profondes divergences parmi les héritiers du pouvoir, selon la presse locale jaune.Des divergences qui font que désormais le FLN n'est plus le seul "porte-parole" de la présidence, comme il le fut un certain moment. Le peu de journalistes avérés parlent de recomposition du centre du pouvoir militaro-civil. Il en veulent pour preuve les affirmations qui contredisent Amar Saâdani et que le vieux général et ses acolytes ne prennent pas à la légère les doléances de la rue du "même bord du pouvoir". Ce qui sous-entend une lutte de clans au sein même des cercles de la racaille dite armée.

    Deux éléments sont avancés. Jusqu'à récemment, Bouteflika et son clan ont réussi à neutraliser l'armée en créant une scission entre l'Etat-major et le DRS. L'affaire de l'attaque de Ain Aminass en 2016 aurait été déterminante dans l'issue de la lutte au sommet que mène Gaid Salah, son clan s'est cru tout permis. Les algériens se souviennent des outrances lancées et entendues ici ou là, l'emprisonnement de généraux, les règlements de comptes jamais vus, même en temps de  répression  "qui tue qui?" de la décennie noire des années 90 etc. Voire même les attaques contre le premier investisseur privé, i'ssaâd Rabrab (Chaâbi de l'Algérie) pour l'intimider.

    Dans le désordre, une espèce de lutte feutrée a vu le jour aussi au sein du clan sur qui va remplacer Bouteflika au palais d'El Mouradia. Abdelhamid Tebboune, ancien premier ministre du royaume de Tlemcen qui prend de plus en plus de place dans l'échiquier politico-médiatique, poussé, parait-il,  derrière les coulisses par son ami de "chemma et de cigarettes", l'homme fort actuel de l'Algérie.


    L'armée et les services entièrement remaniés et rodés observaient sans mot dire. Qui ne dit mot consent, pourrait-on dire. Que non ! La tournure des événements aurait commencé à agacer les généraux Gaid Salah et ses conseillers Chengriha et Bounoua. C'est dans ce contexte que s'inscrit la  réaction de l’exécutif Bedoui qui s'est positionnée à l'opposée de Saâdani.

    En vrai, cette charge turbulente qui accompagne Saâdani dans son va-et-vient pose plus de questions qu'elle n'en résout. Elle souligne, au passage, une cristallisation dangereuse du pouvoir au sein de l'armée, comme s'était hier au royaume de Tlemcen de Bouteflika et ses acolytes.

    Faut-il rappeler outre Ould Abbès, deux noms Mourad Medelci (conseil constitutionnel), Abdelkader Bensalah (le président intérimaire actuel) à la tête de deux institutions stratégiques, sont natifs de ce royaume de Tlemcen, pour ne pas dire qu'ils sont d'origine Marocaine. Sans oublier les nombreux ministres, walis et autres huiles qui, à la faveur des quatre mandats de Bouteflika ont tenu ou tiennent encore les postes les plus sensibles du pouvoir.

    Alors que la crise envahissait le pays, était-il nécessaire de remettre au centre des préoccupations actuelles des Algériens une présidentielle contestée pour le 12 décembre prochain? Pour ajouter du mystère, le désormais ex-Sg du FLN vient de se fendre d'une déclaration énigmatique : "remuant les plaies Algéro-Algériennes" Quel spectacle! Quelle désolation !

    Il est normal et de préférence même de rappeler à Saâdani et à ceux qui l'ont engagé que nous autres simples Marocains, pas si simples à l'instar  de la simplicité des siens de Souk Ahras, de Tamanrasset ou d'El Bayedh, auxquels faisait allusion. Nous sommes pas dupes à ce point, pour y croire, à la première sortie, n'importe quoi et de n'importe qui, particulièrement de nos ennemis algérois, pour ne pas dire de nos frères Algériens opprimés.

    Non Messieurs les dingues..(!) nous avons notre sixième sens, qui nous en procure la conscience fraîche pour ne pas oublier en se rappelant vivement. Hier seulement, quand Si Saâdani était cireur de bottes aux Ait Bouteflika pour s'approcher davantage de Mma Mansouria et de ses fils ingrats, dont le maudit Boutefrika, avait adresser des propos diffamatoires touchant à la souveraineté de ce même Sahara qu'il vient de Marocaniser.

    Aujourd'hui il vient jouer à la marrée avec "L'Mrarka!" (terme-dz) et taper au dos de la mule Algérienne pour qu'elle bouge, en prenant ces M'rarka de simples dupes qui vont facilement avaler l'appât et plonger dans la sale boue de ses maîtres. Comment voulez-vous qu'on y croit à ce genre d'hypocrites qui cherchent à tromper les Marocain par ce geste mafieux, mais en réalité ils ne trompent qu'eux-mêmes sans en avoir conscience. Le dicton Marocain insiste pour qu'on lui dise,  que vous les Algériens du dernier temps, vous vous étés bien sûr les (10 en 1 cervelle) loin d'en gaver les couleuvres de l'Atlas que nous sommes. (العب ابا قدام داركم)
    Que les commanditaires de ce Saadani sachent qu'il n’est jamais trop tard pour bien faire, dit la sagesse populaire, notre Bourita mène une diplomatie silencieuse de main de fer, mais dans des gants de velours pour bien contrer l'inimitié de nos ennemis.


    En parcourant ce fâcheux parcours de Amar Saâdani qui soulève trop d'interrogations, je crois que le lecteur aura bien la conscience tranquille, en s'assurant que la rédaction du blog ait côtoyé, en quelque sorte, la réalité de cet homme et n'en - créé rien de rien - pour le salir gratuitement. 

    A mon sens, la preuve en est à coté du silence du département Bourita dans ce sens, le moment où, faut-il souligner, nous constatons avec satisfaction que ce même Bourita censé capter et corriger toutes les futilités diplomatiques, ne se donnait même pas la peine de regarder à ce genre de flashs officieux. Au contraire, il est allé ponctuellement, bosser très loin avec le grands, pour y fortifier et conforter en quelques sortes, les intérêts du Maroc, et ce par une cervelle constructive d'un Marocain, pas de dix, une cervelle que nous portons tous depuis la nuit des temps.

    La sortie suspecte de Saadani est un cas de mille autres qui se trament intérieurement par les hommes du pouvoir, leurs thuriféraires et leurs enfants gâtés dans différents domaines pour, le bien des uns et le mal des autres, surtout en politique. Ce symptôme infecte généralement toutes les dictatures qui s'attirent les meilleurs profits à leurs faveurs.

    Pour le cas de l'Algérie, qui paiera le prix de l’amnésie ayant endommagé la machine à procréer l'élite la plus crédible qui devait poser les bases de l'État démocratique de lois et de droits?. Une interrogation qui devrait normalement en prospecter les lieux de malheurs et d'en prodiguer les remèdes adéquats à cet engin structurel de malheur Algérien, mis en panne de force, depuis le putsch,  du 19/6/1965 perpétré, sur chars, par le chien le plus féroce de l'Algérie, le maudit Boukharouba et son gamin Bouteflika que la malédiction divine soit sur les deux, pas contre la frivolité de Ben Bella uniquement, mais contre la légitimité du GPRA, dont les membres et partisans (personnalités nationales) ont vécu l'écartement, soit par assassinat, soit par exil.

    Dans le meilleurs de cas, c'est le peuple Algérien qui payera sûrement, pas moi ni mon lectorat qui nous en sommes pas concernés par cette bavure. C'est à eux, les Algériens d'aujourd'hui, qui en sont contraints de supporter les frais, et les conséquences pour avoir négligé les merdes du système. A mon sens, pour apaiser la lourdeur des charges, ils devront en principe continuer à taper en colère, sur  n'importe-quel instrument culinaire, comme les casseroles pour faire sortir le sanglier, à crier au voleur contre ce Gaïd Salah qui ait créé plus de problèmes que n'en a réglé, en ravivant ce désordre et pagaille, qui n'ont pas lieu d'êtres. A moins que l'armée Algérienne se soulèvera de son intérieur, remettant les pendules à l'heure pour en finir avec cette mascarade.! Bonne lecture.
                                                                         Cordialement, Chihab25 

    (Je vous invite à jeter un coup d’œil, en pages jointes sur un article en arabe paru dans "AlgériaTimes"  traitant, entre autres, le même sujet que celui de Amar Saâdani intitulé :
    مغربية الصحراء بين الحَرْكِي وحفدة فرنسا بالجزائر)
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    Mustapha Bouchachi, avocat Algérien. Un opposant calme, sûr de lui, c'est l'équivalent de dix sales têtes Algéroises! Le seul qui peut renverser la donne de (10 en 1 cervelle).Écouter la façon de parler, dont il se servi au devant des marcheurs.