Maroc-Algérie : Le général Said Chenqriha règle ses comptes en faisant le ménage au sein de sa racaille militaire...!
Introduction..Nous n'allons pas vivre le suspense et le cauchemar covid19 trop longtemps. Nous sommes conscients de sortir indemnes du confinement après l'expiration des délais imposés par la circonstance tendant à éviter la propagation du coronavirus, tout en respectant les règles d'hygiène, de sécurité sanitaire et les mesures préventives prises par les autorités compétentes, faisant ainsi preuve de responsabilité et de patriotisme louables redonnant de l'espoir.
Nous devons faire preuve d'approche participative, laissant aux autorités l'opportunité de traiter les conséquences de cette crise et de relever les défits qu'elle pose.
En attendant la levée de rideaux et le mouvoir d'interdiction annonçant le déconfinement total, j'invite le lectorat à regarder ce qui se trame là-bas en Algérie.
Une Algérie prise de panique, entre marteau et enclume, souffrant en plus des séquelles et retombées du coronavirus, d'une guerre de clans qui s'annonce cruciale au sein d'une armée qui, faut-il rappeler, se vante être la première en Afrique du nord et qu'elle n'a d'ennemi au monde que l'armée Royale Marocaine qui l'avait giflée à maintes reprises.
Cette glorieuse armée Royale que la rédaction du blog l'avait saluée virtuellement au début de la dernière note pour son 64ème anniversaire. Fiers et heureux de le faire et refaire davantage jusqu'à mille ans pour sa vigilance de mise en ligne de mire et de dissuasion une racaille Algérienne de déséquilibrés.
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Du sale linge..Dans le cadre d'une guerre entre le reste du clan de l'ex-général Gaid Salah mort de crise cardiaque (?) et le général Said Chengriha, l'énième pion et esclave des Emiratis, dit-on en Algérie, le ministère algérien de la Défense a annoncé que Chengriha, le vice ministre de la défense avait été nommé aussi commandant de l'armée de l'air et ce dans le cadre de la refonte de positions que connait l'armée Algérienne depuis plusieurs semaines.
En fait, l'ex-général Gaïd Salah serait assassiné, dit-on en Algérie par empoisonnement, si on croît une conviction locale accusant son second le général Chengriha devenu l'homme fort. Tous ceux qui sont apparentés ou comptés du clan de Gaid Salah sont en train d'êtres molestés. On leur coupait les angles, ou tout simple sont renvoyés pour une raison ou pour une autre.
Est-ce de cette manière d'ironie qui, même les équipes de foot de quartier n'osent opérer en leurs seins, peut-on changer la donne en se basant sur une racaille constituée de ce qu'on sait (!). Chengriha veut-il se préparer pour éventuellement ouvrir les portes de l'enfer et s'attaquer à une armée Marocaine professionnelle, que lui et ses acolytes militaires connaissent bien ses capacités de bien frapper et même déformer les gueules le cas échéant.
C'est vraiment du rêve éveillé. Selon les normes militaires, pour gagner une bataille, pas toute une guerre, il en faut consolider d'abord les rangs ou du moins de longs mois de planification pour avoir un bon commandant de bord qui y arriverait à confronter tactiquement et vaincre par combativité professionnelle n'importe quel l'ennemi.
Selon les experts, cela n'est pas le cas de la racaille dite armée Algérienne qui par le limogeage et l'exclusion elle se déchire davantage les tenues de combat et se perd dans les couloirs de divisions et d'interposition.
Est-ce que les algériens qui se vantent, par orgueil et par effet de tabac à chiquer, êtres les meilleurs au monde avec une telle armée de (pd) et d’ânes peuvent-ils se venger des fils et des petits-fils du général Driss Ben Omar, le lion de la guerre des sables?.Personne ne pourra l’affirmer certes, tant que la guerre contre un Maroc fort en particulier ne sera nullement pas une guerre aux dessins animés qu'on présente aux salles de jeux d'Alkasba ou de Bab El Oued à Alger.
Mieux dire racaille..L'institution militaire Algérienne si j'ose la désigner ainsi engage dans ses rangs et dérives un grand nombre cumulant d'officiers supérieurs (généraux et colonels) qui bouffent eux-seuls une grande partie du budget de l'État et trop de faveurs,privilèges et octroi d'indus avantage, pas pour proprement se militariser au moment venu, mais pour s'enfuir lâchement des faucons de l'armée Royale.
Les cas de Gaid Salah et de ce Chengriha dans les batailles d'Amgala et de mont Ouarqziz au Sahara Marocain qui en témoignent, ne laissant à quiconque la marge d'en douter ou d'essuyer les larmes versées par Boumediane après les défaites flagrantes endossées par son armée. Boumediane, faut-il noter se trouvait à l'époque en simulation avec la fausse force de Faraoune cité au saint Coran, qui croyait aveuglement à l'efficacité de cordes de ses sorciers devant le bâton de Sidna Moussa.
Et depuis l'Algérie essaye de panser ses plaies mentales par pleurer sur les tombes de ce que les Algériens appelaient les "martyrs" de la guerre d'Algérie et prennent en symbole le faux chiffre de - million et demi - de morts inventé accidentellement par l'autre maudit Jamal Abdenacer !
Sans que le pouvoir Algérien abandonne en parallèle les dépôts de pillage dans les opérations d'armement fictifs, dont le tiers va aux comptes bancaires des dirigeants en Europe, l'autre tiers aux ministres et cadres de l'État, en finançant généreusement des mercenaires de tout bord, regroupés en réfugiés non identifies et détenus dans les camps de la hamada de Tindouf.
Le dernier tiers de la solde est destiné à la distribution d'offrandes et à l'achat de faveurs des États corrompus à travers le monde qui formaient un clan anti-Maroc, défendant au détriment de la raison la thèse Algérienne contre les intérêts Marocains et reconnaissent la création bâtard d'un front imaginaire dit polisario.
On rigole pas..L'important qui pousse à commenter la situation dramatique déséquilibrée où se trouve l'Algérie actuelle ce ne sont pas les généraux ou les officiers supérieurs de l'armée Algérienne, mais l’inexistence de bonne volonté au sein des militaires qui déciderait de passer le relais à des capacités crédibles de la génération civile tout en s'éloignant des vieillards militaires qui ont emmené le pays à l’abîme plongée.
Les spécialistes de la chose militaire constatent que le contraire est le cas de l'Algérie où les militaires sous les ordres des deux déserteurs de batailles d'Amgala (Gaid-Chengriha) se mangent sans pitié et n'ont en jamais de confiance entre eux. Tout le monde est inquiet passible de trahison, l'un se méfie de l'autre. Tout général ou colonel en activité ne pourra garantir si à la fin de sa journée rentrera ou pas sain et sauf chez lui à cause des pâtes qu'il en a au ventre craignant la conduite en prison. Et à la fin chacun d'eux craint l'enfer et la guerre des toilettes en distraction distrayante.
Ainsi, la guerre des clans entre mafieux déclarés au sein de l'armée Algérienne par le général Chengriha, le pédéraste, assassin présumé de général Gaid Salah emporté sans préavis par la volonté divine continue.
La vague des limogeages, arrestations et les départs forcés à la retraite des généraux hérités de son prédécesseur, Chengriha, ce chancre, lâche, rancunier et -Khanez-Lbitane- comme disent les Algériens ne se comptent plus ces derniers temps dans le clan de Gaid Salah. Son tour, lui qui croyait être le pape du pays sous peu, son élimination physique serait imminente et surprendra tout le monde disait un Algérien en commentaires comme celle de son parrain Gaid Salah qui lui aussi dans son vivant se croyait invincible et éternel. Rappelez-vous bien de ces lignes écrites aujourd'hui et nous verrons.."Qui vivra verra!".
Le régime algérien se protège aux dépens du peuple, la preuve en est depuis 58 ans ce peuple ressemble aux mules..il laboure sans se donner le goût de déguster la récolte de Boukhrouba à ce nouveau Bouqlusha (Tebboune). C'est vrais on se contente de vloir une aubaine à investir le peuple comme précisé au populaire.. " f'louss Alla'bbane yeddi'hom Zaâtout", tant que Chengriha et ses acolytes militaires considèrent que "Leur système mafieux est bien l'équivalent de toute l'Algérie".
Que des éloges..Profitant de cette description humiliant Chengriha et sa junte qui reprend la même cadence d'hostilité envers le Maroc au même élan de son soi-disant président imposé et de ses bannis prédécesseurs. J'essayerais ci-après de tourner autour du domaine militaire. Un domaine qui m'est étrange, mais ma pratique hiérarchique et ma carrière de paramilitaire en réserve m'avait appris, en quelque sorte, quelques unes de ses notions.
Tourner autour ça ne veut pas dire imiter ou évoquer n'importe quoi autour d'une institution aussi sensible qui pratiquement nous rafraîchit toujours les esprits, giflant fort les ennemis du Royaume, en particulier nos voisins de l'Est qui ont unilatéralement choisi l'hostilité, rien que l'hostilité envers notre pays le Maroc.
Des points lumineux et positifs sur le développements progressif de notre Armée Royale nécessitent, à mon sens un arrêt d'évaluation approximative arrosée d'honneur et de fièreté, à savoir :
Selon un ancien ambassadeur du Maroc auprès des Nations Unies : «Nous avions humilié l'Algérie à Hassi Beida et à Tinjoub durant la guerre des sables d'octobre 1963». Si cette guerre nous a montré les leçons à tirer des pièges de l'éducation, alors la guerre d'Amgala a conduit à extraire d'autres leçons des pièges de confiance exagérés de part l'Algérie, d'autant plus que Amgala est à environ 380 km de la frontière algérienne.
Le quotidien Algérien "Al-Watan Al Ane" a dépoussiéré une partie des archives militaires Algérienne et réinstallé l'une des gloires les plus importantes du soldat Marocain, qui constitue encore et toujours un fantôme poursuivant farouchement l'Algérie qui a récemment commencé à battre des tambours et à acheter voracement diverses armes que même le soldat Algérien n'est en mesure d'y manipuler correctement.
Si la guerre est généralement une destruction et massacre, les avantages de la guerre de sable que les Forces armées royales ont menée contre l'armée algérienne en 1963 et la guerre des Amgala en 1976, ils ont notamment permis au Maroc d'évaluer les performances de l'institution militaire d'une manière cohérente avec le rôle de maintien du Maroc sur le trône des forces aux niveaux régional et continental.
Les batailles des sables et d'Amgala sont les deux occasions où l'armée Marocaine affrontait directement son adversaire algérien durant lesquelles l'Algérie a subi un revers difficile qu'elle n'oubliera jamais en raison, selon les observateurs, de sa perte flagrante de terrain issue de ces affrontements. Une perte qui, ni le fort soutien apporté à l'Algérie par l'Alliance socialiste du clan de l'Est de la guerre froide et de l'Égypte Nacerite en 1963, ni l'arrogance fumée de l'argent pétrodollars l'ont pu garantir l'évocation.
Ces guerres ont fait heureusement du Maroc le bon élève attirant des enseignements en se concentrant sur le renforcement de cinq piliers militaires : Le premier pilier est lié à la nécessité de sécuriser la vitesse d'intervention de chaque de ses unités militaire, compte tenu de la force de ce facteur pour sauver les unités attaquées par l'armée adverse algérienne.
Quant au deuxième pilier, il s'est concentré sur le renforcement de ses capacités dans le domaine des communications, sachant qu'à l'époque le Maroc ne disposait pas de réseau de communication solide pour maîtriser toutes les informations, et à la fois se débarrasser des fausses informations et signaux des différentes unités ennemies.
Le troisième pilier était centré sur la formation de l'équipe de parachutistes, car le potentiel du jeune Maroc à l'époque ne lui permettait pas de former une armée à cent pour cent professionnelle. N'oublions pas que le Maroc n'a créé la marine Royale qu'en 1960, à peu prés quatre ans de l'indépendance.
Par conséquent, il était nécessaire que la division des parachutistes soit créée en raison de ces rôles militaires décisifs dans les batailles. Cependant, cette question nécessite l'invocation d'un quatrième pilier, à savoir la création de formations blindées qui se distinguent, selon le regretté Sa Majesté le Roi feu Hassan II, par une figure particulière de manœuvre et de combat ensemble.
Le cinquième pilier que le Maroc a tiré de la guerre des sables est la création de groupes de forces mixtes dotés de moyens solides et rapides capables d'agir seuls par rapport à d'autres groupes.(zellaqa - Ouhoud en exemples).
Cependant, ces piliers restent sans esprit à moins qu'ils ne soient également soutenus par un plafond social, car la guerre des sables a fait des morts, des blessés et des veuves, ce qui a conduit Sa Majesté le Roi feu Hassan II à l'époque à établir le premier noyau d'intérêt social pour aider les familles endeuillées et régler les problèmes sociaux de veuves et d'orphelins des FAR.
Et si la guerre des sables a démontré les leçons à tirer, alors la guerre d'Amgala a conduit le Maroc à tirer les leçons des pièges de non confiance tendus par l'Algérie, d'autant plus que Amghal est à environ 380 km de la frontière algérienne (A vol d'oiseau).
La plupart des officiers supérieurs des Forces armées royales ont combattu au Vietnam, en Indochine et en Europe, dans des terres et plaines boisées, et n'ont pas fait autant dans des vastes déserts et plaines, ce qui a mis l'armée Marocaine devant une nouvelle tactique qui n'avait pas été pratiquée par eux auparavant, ainsi que la manœuvre anti-mines initiée par l'armée Algérienne appuyée de son polisario.
A cette époque la Libye a réveillé le démon par allumer la première étincelle de contre-tactique perçant les frontières Marocaines du côté de l'Algérie, et plus tard du côté de la Mauritanie, c'est que ce travail a conduit Sa Majesté le Roi feu Hassan II à une réflexion fœtale pour construire le mur de défense sécurisant les rassemblements urbains et les installations économiques au Sahara Marocain. Une tactique qui a étranglé l'Algérie et limité les mouvements de son polisario.
La seconde réflexion a eu lieu à une occasion en 1980 pour dire que le Maroc est devenu le maître militaire incontesté du terrain dans son Sahara. Cette année a marqué le point de départ pour consolider les acquis ayant conduit au contrôle total du Sahara Marocain par l'armer Royale cédant une zone tampon sous le contrôle de la Minurso des Nations Unies.
Culminant en 1984, la Libye a annoncé le gel de son soutien au Polisario et à l'Algérie dans leur combat contre le Maroc après avoir compris que tout l'argent qu'elle avait dépensé en guerre d'épuisement du Maroc n'avait produit aucun résultat, ce qui a ensuite amené l'Algérie à baisser les mains exigeant un cessez-le-feu général en 1991. après que les Forces armées royales furent fermer hermétiquement tous les ports d'où pourraient infiltrer les unités anti-Marocaines, d’Algérie et de polisario.
De plus, l'un des avantages tirés des deux guerres menées contre l'Algérie a permis au Maroc de renouveler sa conscience avec la nécessité d'améliorer ses performances aériennes pour surveiller l'immensité du désert Marocain par l'acquisition de nouveaux avions militaires, non pas pour écraser l'Algérie au cas où elle se chauffe la tête, mais pour se procurer d'une uniforme aérienne adaptable au leadership d'un Maroc fort dans la région.
Mais pour s'acquérir d'un arsenal d'avions de reconnaissance et de transport de troupes servant aux mouvements rapides, il en a fallu garantir des levés aériens assurant le mouvement des forces terrestres dans le but de poursuivre les unités ennemies algériennes et du Polisario et pour se faire le Colonel Ghoujdami répondait présent à l'appel.
Parallèlement à tout cela, des aéroports militaires ont été créés à Laâyoune et Inezgane (puis à Dakhla après sa récupération en 1979), car ces aéroports ont joué un rôle important au niveau logistique et militaire, en particulier après qu'une décision a été prise de faire d'Agadir un quartier général du Commandement du Sud pour gérer de prés les opérations militaires au Sahara Marocain et ailleurs.
Un autre avantage tiré de ces guerres est que les équipes de génie militaire Marocaines ont acquis une grande expérience dans les ceintures, les radars, les appareils électroniques, les dispositifs de défense nécessaires et la capacité de gérer des dizaines de milliers de troupes en coordination harmonieuse.
Preuve que la première ceinture sur laquelle on a commencé à travailler était le mur adjacent à l'Algérie du côté de Zag sur une longueur de 600 km s'étendant vers Smara. D'autres tronçons ont commencé à se construire en août 1980 et ont pris fin le 14 mai 1981 coïncidant à l'anniversaire de l'armée royale.(Allah irahmek Al Hassan athani).
D'un autre volet..Certains Algériens de l'étranger accusent leur président-imposé dit Tebboune pour avoir importé le coronavirus aux Algériens.(explication). A la mi-mars 2020, 50 avions en provenance de France, Espagne et Italie ont atterri sur l aéroport d Alger, tous des avions porteurs du virus corona avec probabilité très élevés ...et tout le monde est rentré chez lui librement sans contrôle, ni isolement, ni mise en quarantaine. Ce qui fait sûrement que l'apprenti-président Algérien a importé le coronavirus à travers les vols d'avions et les bateaux de transport de voyageurs.
Lorsqu'il y aura un état de droit, une justice libre et indépendante, les généraux corrompus du Haut commandement militaire d'Alger seront accusés de négligence criminelle pour avoir laissé acheminer des milliers d'Algériens d'Espagne, de France et d'Italie avec une probabilité élevée de porter le virus, sans application de mise en quarantaine.
Un état démocratique géré par des compétences n'aurait jamais permis cela...une simple isolation mise en quarantaine de 15 jours aurai suffi d'éliminer toute source de propagation du coronavirus.
Aux Algériens .... le coronavirus peut facilement être exploité par les dirigeants d'Alger et ses engagés des figures politiques contre la renaissance du mouvement du hirak malgré les abois de détresse et les appels à l'unité exprimés par les voix cassées des exilés Algériens à l'étranger.
Définition remarquable..Je termine enfin par une conclusion d'expertise évaluant la politique d'autruche de concurrence et de leadership du pouvoir d'Algérie au sujet de l'intégralité territoriale du Maroc, parue récemment au journal Français "Le Monde", écrite parait-il par un spécialiste du Maghreb.
Le journaliste résume en quelques sorte, les divergences entre le Maroc et l'Algérie en un petit paragraphe de quelques mots : «Le Maroc mène une révolution pour se faire un grand pôle industriel en Afrique du nord par contre l'Algérie n'a de soucis que le polisario».
Et moi je dirais aux Algériens, le fait de créer un front de mercenaires chez eux, ça les suffira énormément, car ils ne peuvent pas avoir le beur et l'argent de beur. Le Maroc est sorti définitivement de la zone d'altercations autour de la Marocanité ou pas de son Sahara.
Si Bougadoum, chante tout seul en tenue de sale parade, et revoit sa facture avec le "Lesotho", (qu'est-ce que peut-il ajouter au nuage Algérien un petit point noir au ventre de l'Afrique du sud) en le repoussant à nouveau à aboyer de au rythme de la thèse Algérienne contre le Maroc..c'est son problème. Ça n'en changera rien de la donne. Le dossier du Sahara qu'il considère vachement "occidental!" pour nous Marocains est clos une fois pour toute. Le Maroc passe à la consolidation de ses infrastructures et de son leadership loin des futilités (السخافات) Algériennes.
Cordialement,Chihab25