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Un sale pouvoir - Page 27

  • Parlons sérieux même si est indécent avec une Algérie veuve..?

    Sérieux et indécent vous-dites. Avant de vous présenter la recette de cette femme singulière, je vous invite à faire un tour d'horizon primitif. Du plus loin que je puisse me rappeler jamais une sortie médiatique pareille n’a été marquée par autant de courage éthique et politique, (je ne dirai pas islamiste tant que je ne peux élaborer un thème hors ma compétence) que celle qui vient de cette femme algérienne d'aujourd’hui.

    Les élites politiques en Algérie sont à ramasser à la petite cuillère, tant si vrai qu’aucune idée ni programme ne viennent interpeller les algériens sur les grands et épineux problèmes de société algérienne qui alourdissent l’horizon de cette Algérie.

    En Algérie tout s’articule autour de chicaneries, de délations et de diffamations qui émanent du pouvoir, lorsqu'elles ne sont pas infantiles, fondées ou pas, ressemblent à des cours de recréations. Il est grand temps d’en siffler la fin, non pas, pour protéger ceux qui se sont rendus coupables de malversations, de détournements de fonds ou d’abus de pouvoir enregistrés par une junte que les algériens connaissent bien depuis des années de la grande souffrance, mais pour épargner le simple algérien des élucubrations d’élites politiques fondées désormais sur l’individualisme, l'orgueil et l’égoïsme.

    Les cas de loups-thuriféraires du pouvoir en l’occurrence : Ali Benflis, Mouloud Hamrouche, Amar Saidani, Ahmed Ouyahya, Boujarra Soltani, Amar Ghoul, Abderrazk Mokri et Abdelaziz Belkhamej en témoignent, pour ne parler que d'eux, mettant à part, la racaille de généraux ayant marqué des cas en braises dans la vie du peuple algérien durant la décennie noire et peu après.

    Cet état de choses laisse beaucoup à désirer et mettra en évidence l'évacuation à la marge, des principes de valeurs éthiques et politiques qui n'ont jamais été à la base de toute l'Algérie, ni son vouloir de vivre en paix avec le Maroc.

    Je ne viens pas faire ici l’inventaire des propos que jonchent les médias algériens, ni porter un jugement de valeurs sur telle ou telle affaire Algérienne. Je veux seulement épargner aux lecteurs algériens enragés, le temps à chercher les propos de diffamation et injure, qu'ils pourront adresser à la rédaction pour avoir évoqué cette rébellion médiatique les concernant.

    Si ces algériens sont atteints d'amnésie, ça ne sera pas notre cas, nous autres Marocains, car on n’a pas la mémoire courte, pour oublier si vite, les gigantesques ingérences de leur pays dans nos affaires internes .

    Avec de tels comportements, c’est la normalisation entre nos deux pays qui a craquelé, un demi-siècle durant, ce qui a fait place à la haine de tous bords et à l’aliénation de toutes espèces. 

    Les discours propagandistes des dirigeants algériens sur le Royaume du Maroc qui dominent la scène politique en Algérie est contre nature et contreproductif parce qu’ils ne dégagent que la stérilité, si non des éphémères et sans résultats.

    Le ministre algérien du tourisme s'est aventuré dernièrement dans un conseil de gouvernement pour plaider pour la nécessité de normaliser les relations avec le Maroc pour promotion de son secteur, sans pour autant, pouvoir évoquer la réouverture des frontières.

    Il a été malmené par le premier clown, étant donné qu'une telle initiative dépasse les prérogatives du gouvernement qui fait marcher que les futilités courantes et qu’un cas pareil de cette importance, revient, à mon sens, au conseil d'Etat qui a le pouvoir de trancher, du fait que le président actuel de l'Algérie est quasiment hors couverture.

    La normalisation avec l'Algérie ne peut se développer dans un pays où tout un chacun s’érige en parrain, en décideur, ni par procuration partisane, ni par simple enchantement, “Tous sont pourris”.

    les algériens devront entendre dans les profondeurs de leur société qui a du mal à se reconnaître dans des hommes politiques dignes du terme, qui n’ont plus pour vocation que de se servir sans rien servir, de se barricader dans le silence devant tous les dépassements de la famille régnante- les excès du pouvoir des quatre « Dalton Bouteflika » et ne plus parler que pour glorifier le système Bouteflika qui leur «perme» de croire à l’exception mensongère de l'Algérie.

    L’Algérie à mon sens, doit décréter une «amnésie générale» pour oublier tous les maux qu'elle a enfanté à son peuple durant les 50 ans passés et reprendre tout à zéro pour se reconstruire et savoir éviter de bien dangereuses tornades à son système en politique étrangère avec le Maroc C’est une solution parmi d’autres.

    Elle n’a pas le choix de l’équité certes ; elle a néanmoins l’avantage d’épargner si elle poursuit son entêtement et son orgueil, de bien tristes et malheureuses situations à venir avec ce Maroc fort de Mohamed VI que Dieu l’assiste. (passons à la rebelle..)     Résultat de recherche d'images

                                                                     Naïma Salhi.( Nabila Mounib d'Algérie) 

     Une rebelle algérienne signe et persiste. La présidente du parti islamiste « El Aâdl wal Bayane ». Mme Naïma Salhi, accuse, selon ses propos, le club Rotary en Algérie d’être derrière la destruction de la famille algérienne et du système éducatif en Algérie, tout en plaidant par la même occasion pour la réouverture des frontières avec le Maroc, en vue de redémarrer, même si son rêve est tardif, la construction de ce qu'elle appelle encore un «grand Maghreb arabe». Il va sans dire que c’est la seule sortie médiatique qui irrite réellement la presse algérienne, les journaux (l'Expression-Dz et le Quotidien) en particulier, à la solde de leurs chefs et décideurs du pouvoir mafieux.

    Cette zélatrice qui représente en réalité la femme algérienne ne s’est pas gênée de pervertir de façon catastrophique la réalité algérienne, en décrivant une situation socio-économique «alarmante», avec une population qui frise la mendicité et un État au bord de la banqueroute, un Etat, ou plutôt ce qui reste d'un Etat, contraint d’abandonner la subvention des produits de première nécessité et de baisser les salaires à cause de l'évaporation des pétrodollars Algérien et la fuite des capitaux en devise à l'étranger.

    Cette courageuse femme algérienne que je considérerai "femme de fer" souhaite même mener une campagne pour «amener le gouvernement algérien à rationaliser les dépenses publiques, à cesser de distribuer somptueusement la rente pour acheter la paix sociale, voire de sensibiliser davantage le peuple algérien pour surveiller les dérives de ses gouvernants».

    Poursuivant ses élucubrations", cette cheffe d’un parti, que le journaliste de l'Expression appelait d' «insignifiant» sur la scène politique algérienne, se décrit comme la nôtre gâtée "Nadia Yassine", en dépit de la censure et des multiples entraves qui seraient dressées par le pouvoir algérien contre son parti pour freiner son expansion dans tout le territoire algérien. Il se trouve même que sa formation, (Justice et manifeste) dérange ses adversaires politiques, surtout le pseudo-opposant Abderrazak Mokri chef du parti algérien Mouvement de la Société pour la Paix (MSP) devenu un des thuriféraires du pouvoir ayant eu dernièrement le statut de VIP à l'aéroport d'Alger.

    On dit qu'il faisait partie des opposants au pouvoir algérien. Il ne rate aucune occasion pour critiquer le gouvernement et le président Abdelaziz Bouteflika. Mais à l’aéroport international d’Alger, il n’a pas observé la file, avec les autres passagers, il a eu les faveurs est passé directement, escorté par des policiers. 

    Par souci de la stabilité du pays et consciente des périls qui menaceraient l’Algérie, elle a choisi de «tempérer» son discours ravageur. Prise par le délire de persécution, Il est très normal, qu'elle sera mal vue dans son pays du fait qu’elle marche à contre-courant et, surtout, qu'elle est la première femme authentique (sic) qui représente la gent féminine algérienne à la tête d’un parti politique islamiste en Algérie. 

    Pour ses clichés elle pousse l’outrecuidance jusqu’à avancer que le lobby juif «possède un siège très visible, situé dans l’endroit le plus important de la capitale algérienne, et agit librement. Ce siège est, selon elle, celui du club Rotary d’Alger qui constituerait une menace pour l’Algérie, car il œuvre pour la destruction morale de la jeunesse algérienne et pour la dévastation du système éducatif et de l’économie algérienne.

    Pour conclure, et comme c’est devenu un leitmotiv chez tous les journalistes algériens, je reprends leurs termes qu'ils ont jeté aux pieds de cette femme. à savoir ;«Tirer à boulets rouges sur son pays revient à faire preuve de lâcheté. Et lorsque l'on assume des responsabilités cela s'appelle tout simplement de la trahison. En d'autres temps les traîtres s'appelaient les harkis».

                                              Résultat de recherche d'images                                 Serait-elle de la même pâte à modeler que la Marocaine du MUR?

    A cet effet, la presse Algérienne considère le courage de cette femme algérienne, comme étant "Apostat" puisqu'elle s'est confiée au Maroc pour dénigrer l'Algérie et prêter allégeance au Roi du Maroc dit-on à Alger.

    N'importe quel observateur que se soit, constate autrement, tant qu'elle  s'exprime à volontiers, donnant en termes 'sibyllins' un message politique fort aux algériens, leur demandant de mettre autant d’ardeur à préserver leur dignité qu’à avoir des revendications de rente.  

    Aux yeux de cette femme politique, rare de son genre, la stabilité et la vraie sécurité du pays et la disparition du pouvoir actuel, sont des priorités a concrétiser sur toile. au prix, évidemment, d’énormes sacrifices à supporter encore par le peuple pour faire sortir l'Algérie, de son isolement sur le plan international et de son état désastreux d'anarchie actuel, martelait-elle.

    La voix mégaphone..« La négation des droits, les abus de force, la corruption et l’arbitraire ont provoqué un sentiment de rejet à l’égard de la chose publique et de révolte chez les plus faibles algériens». C'est pas moi qui le dit. C'est les termes de Abdelaziz Bouteflika, ou plutôt c'est ce qu'on dit en son nom, étant donné qu'il est hors connexion..

    Pour moi, je suis certain de ma capacité de comprendre les choses et dans mes facultés mentales complètes pour rappeler que depuis que le monde est monde, l’histoire témoigne qu'il n’y a jamais eu, avec un grand J, de cohabitation entre le camp du bien et le camp du mal.

    La pratique algérienne malsaine du travestissement des vérités réelles est le désir favori de la clique mafieuse en place aujourd'hui en Algérie, qui entoure la présidence algérienne depuis l'apparition de Bouteflika au palais d'ElMoradia d'Alger en avril 1999.
     
    Cette Mafia qui a pour finalité la pollution de l’atmosphère politique  du pays, usage de stratégie classique à la "Soviètique" pour l’instauration d’un climat de peur et de terreur d'une main étrangère qui proviendrait de France et du Maroc (..), en vue d’imposer sa domination, pour conquérir le beurre et l’argent du beurre.

    Et pour ce faire, la mafia politico-financière cherche désespérément à régenter l’Algérie à sa guise, à travers la "voyoucratisation" de la vie politique algérienne et la négation absolue de l’Etat.

    En défiant ainsi la souveraineté du peuple Marocain sur ses territoires du sud par des pressions diffamatoires et des chantages, appuyés par un gavage médiatique à outrance, les forces du mal, le pouvoir algérien et sa mafia, osent par esprit de haine et d'hostilité, des insultes insupportables à la générosité Marocaine et à la conscience citoyenne de tout un peuple qui  s'est trompé de cibles en soutenant l'Algérie durant sa peine de libération par d'énormes sacrifices.Bonne lecture.
     
                                                            Cordialement,Chihab25