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Séquences et séquelles du printemps arabe(*)


                                              Le facteur décisif ..  

                      Selon l'ancien ministre libyen en charge de la diaspora à Washington- Des mercenaires du polisario figurent parmi les marchands de la mort qui se sont infiltrés en Libye pour y semer la terreur et faire plier la révolution libyenne.Confirmation faite également par Le  président et porte-parole du CNTL (conseil national de transition en Libye), l'ancien ministre de la justice, Mustapha Abdejalil Boujaj, indiquant que parmi les mercenaires qui se sont infiltrés en Libye figurent  malheureusement des mercenaires du polisario". L'ancien responsable de Libye à Washington s'est dit "profondément désappointé et attristé face à l'hypocrisie des mercenaires du polisario qui prennent part à une telle entreprise vicieuse et destructrice, eux qui se présentent pourtant comme des combattants de la liberté.

                      Nous avons appris comme d'autres, que le pouvoir algérien envoyait des éléments armés pour participer aux crimes commis contre les  Libyens  qui se soulèvent contre le régime sanguinaire et corrompu de Kaddafou. Ces éléments ont été identifiés à l'ouest de la Libye, notamment dans la ville de Zaouia oû certains éléments algériens armés ont été arrêtés, comme l'ont indiqué aux médias des témoins oculaires; confirmant d'autre part, l'implication du régime Algérien dans le conflit Libyen. Des pilotes Algériens sont  entrés en action dans l'armée de l'air de Kaddafi depuis le début, certains d'eux sont même capturés quelque part en Libye, et  y sont entre les mains des insurgés. Ces témoins indiquaient également que des avions-cargo FAA (Forces Air Algérie) transporteurs de troupes, participent activement au transport et au débarquement de mercenaires, malgré le démenti du palais d'El Moradiah d'Alger.

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                      Les mouvances politiquo-islamawistes au Maroc qui sont derrière certaines manifestations infantiles à Casablanca, ne sont pas de notre genre!, le discours royal du 9 mars 2011 a coupé court.C'est fini. Ceux qui tiennent, selon leur propre agenda, à manifester davantage aprés, ne communiquent pas sur la même longueur d'ondes des préoccupations des jeunes de 20 février. Les Marocains n’ont jamais adhéré aux pratiques barbares de l'islamisme extrémiste ou l'islamophobie, et aux appels gratuits à la républication du Royaume, tant attendue par Nadia Yassine, et les voyous adeptes de son papa, et du djihad planétaire échoué.

                    Tel est le diagnostic qu'on peut tirer de la polémique dont vit un certain nombre d'acteurs politiques-obscurantistes au Maroc. Contrairement à cela, Mr Abdel Ilah Ben Kiran, président du PJD, invité de Hamid Berrada dans son émission "MaisEncore?" de 2M, le 14 janvier 2011,  faisant allusion au 20 février du Maroc, a appelé les Marocains  d'être conscients et à préserver "l'exception du Maroc" de la vague de protestations qui secoue le monde arabe, indiquant que la monarchie est le seul garant de la stabilité du Maroc.

                      Un sit-in transformé en Marche non autorisée » par les autorités, le« sit-in » (n'ayant pas besoin d'autorisation) selon les organisateurs. Mais c’est en tout cas la première manifestation organisée devant la Wilaya de Casablanca que la police a dispersée depuis le début du mouvement de protestation au Maroc, le 20 février dernier. Cela signifie-t-il que les autorités ont décidé de changer de ton après le discours du 9 mars dernier ? Tout porte à le croire car avant ce 13 mars, les autorités elles-mêmes parlaient toujours de « marches » non autorisées qu’elles laissaient pourtant se dérouler.

 Et le 20 mars ?

                      Si telle semble être la nouvelle donne, il devient alors légitime de s’inquiéter sur les prochaines manifestations à venir, notamment le remake prévu du 20 février, à savoir le 20 mars prochain. Car le Mouvement des jeunes du 20 février, derrière eux la mouvance "l'Aâd wal Ihssane" (Justice et bienfaisance) non reconnue par les autorités et"Nahj Dimokrati" (Voie dimocratique) qui regroupe les extrémistes et les exclus de leurs partis de gauche, n’entend pas desserrer l’étau et compte maintenir la pression pour la concrétisation, du jour au lendemain, des réformes annoncées(!).

                       C’est dire que la fameuse « exception marocaine » sera de nouveau mise à l’épreuve. Les violences de ce dimanche 13 mars, en tout cas laissent penser que les autorités sont à bout de la patience exemplaire dont elles ont fait preuve depuis l’arrivée au Maroc du vent de révolte qui secoue le monde arabe. Mais cette patience doit encore être la meilleure résolution à adopter. Sinon, « l’exception marocaine » sera un vieux souvenir alors qu'un grand cap semble avoir été franchi le 9 mars dernier avec les nouvelles orientations annoncées par Sa Majesté le Roi.

                     De quelle exception peut-on parler ? L'exception du Maroc ,ou plutôt  "l'excellence  et la particularité Marocaines" dans le monde arabo-islamique réside dans la forte stabilité sociale et l'unanimité autour de la Monarchie qui distinguent le Royaume, Cette stabilité est due au fait que la Monarchie, qui bénéficie d'une adhésion totale des différentes catégories et couches de la société, représente pour les Marocains le "garant de la stabilité du pays".D'autres facteurs sous-tendent également l'exception marocaine, dont la stabilité sociale, grâce aux réformes politiques, et au développement économique qu'a connu le Royaume lors des dix dernières années.

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                      Coup sur coup, deux dictateurs arabes, Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak, sont emportés par les vagues de révoltes populaires, et bientôt Khaddafi et Ali Abdallah Salah. Ce n'est qu'un début.  Souvenons-nous : à la fin de 2010, il y a seulement deux mois, en Tunisie comme en Égypte, les deux dictateurs en place paraissaient solidement installés au pouvoir et se croyaient inexpugnables. Ils en ont pourtant été chassés début 2011 avec une relative facilité et selon le même scénario.Dans chacun des deux pays, une partie de la jeunesse s’est soulevée, mains nues. Elle a entraîné derrière elle une grande partie de la population, ainsi que, nolens volens, les structures politiques et s’est donné pour objectif improbable la chute du tyran. Elle ne s’est pas arrêtée avant de l’obtenir.Ce "bis repetita" conduit à se poser la question : les peuples ont-ils,mais sans s’en rendre compte, trouvé la recette magique qui leur permet de se débarrasser de leurs dictateurs?
 
                     Je crains que non, et je rappelle qu’il y a un an le grand peuple iranien, qui a pourtant l’expérience de la révolution (9 février 1979), s’est soulevé en masse mais sans résultat contre Khamenei et les ayat sataniques d'Iran, qui soutiennent Ahmadi Najad, le " Hamid Chabat" de Téhéran. ce tandem maléfique qui le soumet à sa dictature.Il a fait preuve de bravoure, a encouru des sacrifices,est revenu plusieurs semaines de suite à la charge. Le monde entier a vibré et soutenu le mouvement.Mais ce fut l’échec : la dictature iranienne est toujours en place.Pourquoi les Iraniens  et les Algériens ont-ils échoué alors que les Tunisiens et les Égyptiens, eux, trouvaient le succès?La réponse simple, porte un nom : "l’armée".
 
                      Un soulèvement populaire peut prévaloir contre la police et les services de sécurité d’une dictature.Il ne peut pas gagner s’il a contre lui, en plus, l’armée.En Iran, le pouvoir a bénéficié de la fidélité affichée et active de ses forces armées, tandis qu’en Tunisie et en Égypte elles refusaient de se placer du côté de la répression. D’emblée, elles se sont déclarées neutres ou favorables à la cause des insurgés, dont les demandes ont été considérées« légitimes». Entre officiers et soldats chargés de l’ordre et jeunes en soulèvement, on a vu naître et grandir une forme de fraternisation. Dès lors, le sort de la dictature était scellé.
 
                     De ce constat se dégage une loi qui permettra, peut-être, de répondre à la question : Après la Tunisie et l’Égypte, qui? Quelle est la dictature la plus fragile et qui risque de s’effondrer sous les coups de boutoir de sa population? Simple, évidente, la réponse est : celle qui, face à un fort soulèvement populaire, ne pourra pas compter sur la fidélité de ses forces armées et ne disposera pas de leur soutien actif. Fort bien. Mais est-il possible d’avancer un ou des noms? S’agissant de dictatures de Libye, d'Algérie, de Yamen, et de Syrie,  ou encore des pétro-monarchistes de Saltanat d'Oman, du Bahreïne, et de Qatar "le maudit parental"?. On peut spéculer, faire des pronostics, mais on ne peut jamais savoir d’avance et avec certitude comment se comporteront l’armée et ses chefs en cas de soulèvement populaire bien déterminé! .Sauf dans le reste des pays dirigés par un parti communiste–comme la Chine, Viêt Nam, Corée du Nord, Cuba –, où l’armée est directement contrôlée par le Parti.
 
                      Sous les dictatures, chaque pays est un cas particulier, comme l’ont déjà montré les exemples de la Tunisie et de l’Égypte. En Tunisie,l’armée était hors du pouvoir et elle le demeure, tandis qu’en Égypte elle l’exerçait avec Moubarak et en hérite après avoir présidé à son départ.Leurs commandements respectifs ont estimé, pour des motifs différents, qu’ils ne pouvaient pas prêter main-forte au dictateur et qu’il n’y avait pas intérêt à le maintenir en place.  


                     Cela étant dit, il convient, au prochain soulèvement sérieux contre une dictature arabe, de regarder d’abord du côté de l’armée et de se poser, d’emblée, la question clé : de quel côté de la balance mettra-t-elle son poids? Dès qu’on peut le deviner ou le prévoir, on saura si le dictateur restera en place ou si prévaudront les forces du changement. Dans le cas de l'Algérie qui nous intéresse de tout ça, on peut imaginer que même si  Bouteflika partira bredouille, sous pression de la rue, l'armée ne lâchera jamais la lest, et nous aurons toujours affaire à cette sale junte de sous-officiers Gaullistes.(Je dis bien des sous-officiers Gaullistes, car j'ai toute leur histoire, que je ne peux développer maintenant, pour la raison de temps et d'espace!! Mais je reviendrai ultérieurement à leur sujet pour prouver aux Algériens qu'ils sont commandés, par des ex-sergents et caporaux de l'armée Française? même pas par des officiers subalternes? et par un président qui par la complicité de Boukharouba, alias Commandant Slimane, a volé le grade de capitaine, le moment où la distribution  de grades en vrac, par l'FLN, battait son plein!).

                     En attendant d’y voir plus clair, tout ce qu’on peut dire sans risque de se tromper est que nous sommes en face d’une situation qui n’a rien à voir avec ce qui se passe en Tunisie. Dans ce petit pays de surface du Maghreb, une société homogène du point de vue confessionnel, une large classe moyenne, un niveau d’éducation, d’émancipation de la femme et d’ouverture sur le monde extérieur sans exemple dans le monde arabe rendent la transition démocratique possible, si non certaine.

                      Pour l’Égypte, avec ses 85 millions d’habitants que compte le pays, un taux d’analphabétisme avoisinant les 50 %, une pauvreté extrême côtoyant une mince couche de nantis qui accaparent les richesses du pays, une armée affairiste qui détient le pouvoir de fait depuis le coup d'État de  Jamal Abdenasser en 1952, et un État en faillite qui a abandonné la société aux islamistes tout en leur interdisant, à eux comme à tous les partis d’opposition, la moindre expression politique, où la démocratie est un horizon improbable.

                      Sale moment pour l'Algérie, faut-il le préciser qu'elle s'en tirera nullement pas indemne - tôt ou tard - de la vague de protestations populaires qui s'accentuent chez elle de jour en jour ? Depuis presque un demi siècle, la non paix avec le Maroc a été la pièce angulaire de sa politique intransigeante. Sous la poignet de fer d'une junte militaire laissée au hasard  en Algérie par le général Charles de Gaules à la veille de l'indépendance en 1962(C'est le préambule de l'histoire de cette junte, dont je faisais signe plus haut). L'Algérie a résisté à  de fortes secousses terroristes internes interminables, à des liquidations physiques au pluriel ,à deux coups d'État avortés, au début de règne de Ben Bella et de Boumédiane par les colonels "Chaâban, Mohamed ou Lhaj, et Tahar Zbiri", aux ratés sans nombre de beaucoup de réformes abandonnées à mi-chemin, d’un pseudo «processus de paix et de réconciliation nationale» sans objet. 

                    En complotant contre le processus électoral en 1992, l'Algérie a ouvert le champ au  déversement de sang imposé par la force de vengeance, a fermé à maintes reprises la frontière avec le Maroc, ce que ne lui pas permit de réussir, voire réorganiser et de réorienter en vain, sa politique de déstabiliser notre pays : (en octobre 1963, en avril 1968,en  juillet 1972, en mars 1973, en juin 1994, et en novembre 2010 à Gdim Izik dans le sahara Marocain)..Des dates noires sur le registre d'un mauvais voisinage que le bon Dieu nous a collé au dos ! Que Bouteflika et sa junte au pouvoir n’aient pas su en tirer toutes les conséquences politiques et stratégiques, n’est pas la faute à ses prédécesseurs, les présidents :Chadli Ben Jdid limogé, par menace de liquidation physique, et Mohamed Boudiaf, l'espoir de l'Algérie, assassiné au grand jour!..

                      Après les révoltes populaires qui ont embrasé la verdure de la Tunisie et les bords du Nil et poussé les deux tyrans à la démission. l'Algérie est appelée à modifier substantiellement ses données géostratégiques avec le Maroc.Car vu la situation actuelle, cette Algérie se trouve malgré elle, au croisée de chemins. A son Ouest un Maroc fort par  sa stabilité et par son autosuffisance, qui pour se sécuriser davantage, il sera contraint de renforcer la surveillance de sa frontière avec l'Algérie pour bloquer pratiquement toutes les activités de contrebande, de part et d'autre! Les Algériens seront privés à ce moment-là de beaucoup de choses y compris ce qu'ils appelaient vachement le "cannabis", ce phénomène de nature , dont 'ils se contentent de coller sa production qu'au dos du Maroc.Par contre ils le produisent eux même à Adrar au sud de la Saoura Marocaine spoliée.

                      A leur frontière-Est une nouvelle Tunisie qui a perdu du jour au lendemain toutes ses potentialités économiques et sociales, elle ne peut fournir rien à l'Algérie, sauf ses malaises et ses réfugies Tunisiens, étant donné qu'elle ne se tiendra debout, comme elle était avant la chute de Ben Ali, qu'après d'ici-là une décennie au moins!.  Alors, que peut--il faire le palais d'ElMoradiah et ses charlatans pour débloquer cette situation ? qui s'ajoutera sûrement à la précarité du peuple Algérien opprimé, et déjà déprimé ?.Par contre, le dernier Marocain de chez nous.. dira à haute voix :"Lhamdou Lillah,ركن بيتي حجر، سقف بيتي حديد، أهطلي  ياسماء، واضربي بالحجر؟"

                       Tous les observateurs ont la conviction que l'Algérie va mal. son avenir est en danger, celui de sa population risque d’être irrémédiablement compromis. Un demi-siècle après son indépendance qui était censée fonder un État Algérien social et démocratique, souverain, dans le cadre des principes de la guerre de libération. l’Algérie est aujourd’hui rongée par le despotisme, la corruption, l’injustice, la misère et le désespoir.

                      La racine principale du mal est connue par son peuple lui même: la confiscation du pouvoir et des richesses du pays par une poignée de généraux. Le bilan du régime en place n’est plus à faire : étouffement des libertés, exclusion politique, instrumentalisation du droit, régression économique, dislocation sociale et crise identitaire. Même sur le plan sécuritaire la situation demeure précaire, contrairement au discours officiel du pouvoir. Les événements tragiques que continue de connaître le pays est vécu quotidiennement, hélas, de façon sanglante, à cause d'un ratissage  de gamins, toujours inefficace, d'une armée qui manque de professionnalisme et d'offensivement, une armée de "hitistes" très, voire trop fatiguée. Jusqu’à quand  ces pauvres Algériens continueront à compter leurs morts, dans des faux barrages, leurs disparus par milliers, leurs jeunes rejetés par la mer, leurs suicidés par immolation, leurs jeunes diplômés exclus et sans avenir, leurs milliards dilapidés par un tas de voleurs, et par une mauvaise gouvernance ?

                     La situation que vit actuellement l'Algérie est une fatalité imposée par un pouvoir corrompu. que le brillant recteur  Dany_us et ses parrains de la DRS cherchent de cacher par des prêche en Paltalk. Aujourd’hui tous les peuples du monde prennent leur destin en main et se libèrent de la dictature. Les algériens peuvent-ils en faire de même, s'ils en auront vraiment la volonté?.Une question qui reste en suspens!!

                    Nous simples internautes, nous avons appris des informations concordantes de plusieurs sources fiables indiquant, pour que le feu ne tiendra pas la cabane de Bouteflika..., En plus de l'implication discrète de l'ANPA (Armée Nationale Populaire Algérienne), en Libye, la machine diplomatique Algérienne, sous la direction de Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, œuvre de toutes ses forces pour convaincre les partenaires occidentaux du pouvoir algérien et exercer des pressions sur eux afin de continuer à soutenir Kadhafi et son régime. Dans ce cadre et au niveau européen, Amar Benjama, ambassadeur auprès du Royaume de Belgique et du Grand Duché du Luxembourg, chef de mission près des Communautés européennes et représentant auprès de l'OTAN, et Belkacem Belgaid, ministre conseiller chargé des affaires politiques bilatérales avec l'UE(Union Européenne) et l'OTAN(Organisation du Traité de l'Atlantique du Nord), s'activent dans une large et intense campagne de l"obbying" auprès des institutions, des diplomates et des fonctionnaires européens, -chèques à blanc en main- en vue de les convaincre de soutenir Kadhafi et de donner une chance à son  Saïf, car, prétendent-ils, il n'y aurait d'autre alternative en Libye que « le chaos et l'obscurantisme islamiste ».

                    Il est à noter que cette action diplomatique coïncide avec la publication d'un communiqué dit  «d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique» s'adressant au peuple libyen et indiquant que : « Nous venons vous défendre contre les despotes » ; cette déclaration, elle-même, est à mettre en perspective avec un des interventions spectaculaires de Kaddafi,  prétendant pour que, ce sont les adeptes de Ben Laden qui sont derrière le chaos et la subversion en Libye, pour tromper et exciter l'occident à lui venir en aide(!) Les Algériens sont d'ailleurs habitués à entendre ce genre de  faux communiqués issus des officines du DRS.

                    D'autres sources ont indiqué que si des avions algériens ont participé au transport de mercenaires africains et du polisario vers la Libye, c'est exactement ce qu'a fait le pouvoir Algérien, il y a quelques années, en transportant du Somalie, des mercenaires et des soldats africains pour se battre aux côtés de l'armée Algérienne contre ses adversaires de la résistance armée du GSPCA(Groupe de Salut,de la Prédication  et du Combat Algérien).transformée par la suite en AQMI(AlQaïda au Maghreb Islamique).

                      Par ailleurs, des sources bien informées ont révélé que le pouvoir Algérien a envoyé des éléments de sa DRS qui travaillent en ce moment sur le territoire Tunisien, et a accueilli en Algérie un grand nombre d'agents du président déchu Benali, notamment des membres de la garde républicaine. C'est le colonel Jamal Bouzghaia, officier du DRS et conseiller à la sécurité de Bouteflika, qui gère le dossier Tunisien, sous la direction du général-major Rachid Laâlali, alias, "Attafi", chef du renseignement extérieur. Il  cependant est clair que le pouvoir algérien, qui tremble en constatant la chute de ses alliés dans la région, l'un après l'autre, est en train de mettre en œuvre des plans pour réorganiser ces forces de répression, dans le but de porter des coups aux révolutions populaires locales.

                      Les Tunisiens et les Égyptiens ont  enfin exprimé leur aspirations et leurs craintes, ils se déclarent « optimistes » face à l’avenir. Mais, de manière générale, on voit que la majorité des Algériens se décline malheureusement devant les manifestations hebdomadaires qui continuent de ponctuer leur quotidien à l'initiative de l'opposition Algérienne.Ce que je crois,  le charlatan Abdelaziz Belkhadem, le ministre d'État à la présidence, représentant personnel de Bouteflika, et président du FLN, qui prenait en main une opération de distribution d'argent, pour avorter les manifestations de la rue, aurait bien réussi à propager l'effet de "la carotte et du bâton" dans la société Algérienne, pour que le peuple Algérien restera enfermé, voire endormi, loin de ce cauchemar arabe.

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                     Je ne peux conclure cet article sans faire un regard sur la dernière "faveurs" de la politique constructive de la 'État de loi et de droit que mène Sidna avec des grands pas solides. C'est ainsi, et comme nous le savons tous, Sa Majesté le Roi Mohamed VI, que Dieu l'assiste, a réitéré, mercredi 9 mars 2011 dans un discours à la nation, la détermination royale et son ferme engagement à donner une forte impulsion à la dynamique réformatrice profonde en cours, et dont le dispositif constitutionnel démocratique constitue le socle et la quintessence. J'aurai l'occasion d'y revenir dans un prochain article bien détaillé.Étant donné que le sujet va créer un profond débat national. En attendant, je reproduis en urgence le témoignage ci-aprés. Bachir Ben yahmed, le directeur de l'hebdomadaire  Jeune Afrique titrait dans sa dernière chronique. Mohammed VI, l'Anticipateur: "En annonçant une réforme de la Constitution, le 10 mars, le souverain marocain a pris tout le monde par surprise. Et a consolidé son trône avec lucidité. C'est le début d'une marche blanche".

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Le Conseil National des Droits de l'Homme(CNDH)

                     M.Driss ElYazami, et M.Mohammed Sebbar, sont nommés  respectivement  par  SM le roi, Président et Secrétaire général du Conseil du Conseil National des droits de l'Homme (CNDH) , créé en remplacement de CCDH (Conseil Consultatif de Droits de l'Homme)que présidait M Ahmed Herzni. Ces nominations interviennent suite à la promulgation du nouveau Dahir érigeant le Conseil - jusqu'ici institution consultative - en Conseil national des droits de l'Homme, conformément aux standards internationaux en la matière.

                     Le CNDH se distingue notamment par les mécanismes régionaux de défense et de protection des droits de l'Homme, qu'il adopte tant dans son organisation que dans l'exercice de ses compétences. L'extrême importance que revêtent ces mécanismes régionaux en tant que dispositifs de proximité dédiés à la protection et à la promotion des droits des citoyens dans toutes les régions du royaume, ainsi que le rôle fondamental qu'ils auront à jouer pour permettre au nouveau conseil d'assumer pleinement ses missions.

                      Le nouveau Dahir vise par ailleurs à consolider l'autonomie du Conseil et à élargir ses prérogatives dans les domaines de la protection et de la promotion des droits de l'Homme dans leur globalité. Il tend aussi à renforcer son pluralisme, tout en adoptant, pour le choix des membres du CNDH, les principes de l'expertise et de la spécialisation dans les domaines ayant trait aux droits de l'homme, à la citoyenneté agissante et des justes causes de la nation.  et à concrétiser ainsi la volonté royale de continuer à consolider les acquis que le Maroc a réalisés en vue de raffermir l'État de droit et le progrès démocratique, et de conforter la position pionnière du Royaume au niveau régional, ainsi que le rôle qui est le sien dans ce domaine, à l'échelle internationale.  Bonne lecture.

                                                                 Cordialement,Chihab25

 

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  (*) Le texte n'est pas du genre classique de Montesquieu ou de Victor Hugo, et que si la rédaction ne maitrise pas bien la  langue Français!!, elle fait quand même passer se messages, malgré la modestie. Procédant continuellement à la mise au point textuelle, grammaticale, et à la correction de frappe. Acceptez les excuses de la rédaction.

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