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  • 1/2.- Christopher Ross,l'homme qui a fait trembler le Maroc!

      «Christopher Ross, l'homme qui a fait trembler le Maroc..! « Titre très attirant, une invention  algérienne de camouflage dénuée de tout fondement».

                            

                                                                   MM.Ban Ki-Moon et Christopher Ross

    Le pouvoir algérien mis à l'épreuve:

    L’Algérie fuit en avant dès qu’elle se sent coincée au pied du mur dans cette maudite affaire épineuse du Sahara, héritéLogo El Watane de l’ère Boumediane. Malgré son intéllegence trop avancée, ses tentatives de «leadership»  échouées dans la région et dans le monde, elle n’arrive pas à s’en sortir de l’impasse, ou plutôt, elle n’en a pas de vrais décideurs qui tranchent, après la liquidation, d'une manière ou d'une autre, et la disparition presque totale, des membres de l’état major de Boumédiane.

    Et pourtant, pour prouver qu’elle existe saine et sauve et qu’elle est toujours là, en mesure d'être à l'avant-garde dans cette affaire et dans d'autres, lever  sa voix, imposer ses diktats, elle ne cache pas son amertume envers  le peuple algérien qui marque une certaine tiédeur et un désintéressement total à ce mauvais héritage laissé du temps de la guerre froide, malgré l’arrivée au pouvoir de l'ex-enfant gâté de Boukharouba. Le peuple Algérien n'est pas intéressé, du tout, par  cette affaire qui perdure encore, d'après Mr.Ross lui-même, au moment où Bouteflika bouffe de l'air et attend la fin de ses jours, avec une conscience brisée, une conscience qui n'arrivait même pas au seuil de la prospérité qu'il a promise aux algériens, à son retour du désert et son arrivée enthousiaste à la magistrature suprême du pays.

    L’hypocrisie de la classe politique algérienne démontre que les partis engagés, les responsables de formations politiques appuyant, de façon intermittente, la position officielle du pouvoir algérien dans ce sens sont allés jusqu’à expliquer au citoyen algérien, dans le cadre de la  campagnes pour les communales du 29 novembre, que le désintéressement public constaté au dossier est du. 1)  Au pourrissement de la vie quotidienne précaire de l’algérien qui se dégrade de jour en jour. 2) Les points de vue exprimés avancent le manque de responsabilité avec négligence de l’Etat dans d’autres dossiers prioritaires internes qui concernent directement les volets politique, économique, social  et le peu de prospérité qu’attend le simple algérien du pouvoir, nonobstant le niveau «bas» de la gouvernance du locataire du palais d’ElMoradia d'Alger qui vit  en veilleuse, la fin de son ère. Une ère marquée par de nombreux échecs, tant sur le plan interne, qu’externe, provoquant la dégradation certaine de l'image de l'Algérie à l'étranger, à cause de la frivolité de la diplomatie de Morad Medelci qui met, dans son agenda, parmi ses priorités le traitement de ce dossier qui continue de peser lourd, sur le pouvoir d’achat de l’Algérien, loin de son centre d’intérêt.

    Le peu d’intérêt montré par certaines masses, qui en profitent de la faiblesse du pouvoir au royaume de «Tlemcen¹» en Algérie, s’explique par le manque de confiance en la chose politique par d’autres masses, voire par la majorité du peuple algérien. La scène politique actuelle où s'abîme le pouvoir en place en Algérie, n’attire plus personne, le sept jours de figues de Bouteflika sont expirés, même si l’indifférence persiste, il y a une volonté de la part des gouvernants de susciter leur intérêt direct, à travers de diverses manœuvres et actions de désinformations  et de mensonge contre le Maroc pour faire perdurer le problème du Sahara en leur faveurs.

    A cet effet, il y a lieu de rappeler que cette bande mafieuse en bénéficie d’un train de vie impérial, de dépenses et de résidences somptueuses, l'État s'asphyxie dans ses comptes spéciaux à l'étranger, se noie dans ses puits tarissables de pétrole et de gaz. Des salaires mirobolants, des privilèges innombrables et démesurés, ce qui fait de l'État et ses agents baignent dans le luxe incèdent, dépensent sans compter, sans rendre compte à personne de l'utilisation de l'argent public.Un État de la "gabegie" dont les dirigeants confondent souvent"le «bien public comme bien privé». L'Algérie n'est pas la Suède, disait Dahou Ould Kablia, le lèche-bottes de Bouteflika, ministre de l'intérieur. Comprendre que la Suède appartient au peuple Suédois qui contrôle, élit ou révoque ses gouvernants, tandis que l'Algérie appartient à la clique seule au pouvoir corrompu et le peuple n'a pas de mot à dire.

    Ceci n'est pas l'introduction d'un article volant, c'est la vérité des plus grands abus de l'Etat mafieux algérien qui peut commettre envers son peuple et son pays.Quand on fait l'analyse de ce qui précède, on trouve qu'une question qui se pose dans les salons privés et dans la rue.

    «Qui sont ces insiders invisibles qui s'activent pour que vive cette mafia de l'exploitation, la plus éhontée du peuple Algérien?»

    Chaque algérien connaît sûrement la réponse. A mon sens, elle est dans l'hypocrisie collective et partagée de la classe politique algérienne et de ce que les algériens appellent communément la société civile: ONGs, journalistes, médecins, avocats, intellectuels, artistes, professeurs etc. Bref, toutes ces forces qui sont responsables de l'avenir du petit algérien, jouent le rôle de la locomotive de l'émancipation du peuple algérien. Par contre ceux qui militent, soit ouvertement ou dans la clandestinité pour le changement ne sont qu'une exception, quand les autres élites sont la règle.

    Cependant, nous estimons à notre niveau au Maroc en tant qu'intéressés par le voisinage et la géographie, que la période de détourner l'opinion publique algérienne de ses problèmes internes -ses droits à la liberté, à la démocratie et aux rentes économiques et sociales-, arrive à sa fin, d’autant plus que les campagnes anti-marocaines de la politique étrangère algérienne, restent insuffisantes, voire périmées soldées de beaucoups d'échecs, pour sensibiliser ou convaincre la communauté internationale à croire davantage l’alibi du principe « d’autodétermination » d’un peuple qui existait que dans l'imagination  du maudit Boumédiane et du pouvoir algérien, qui le défendre acharnement pour sauver sa face, au détriment du bien être de son peuple. 

    Les gouvernants algériens, savent bien plus qu’autres, qu’il y a de nouveaux développements et critères survenus dans l’affaire brûlante du Sahara Marocain et qu’il faut les prendre en considération, surtout qu’il s’agit de la supervision du problème par l’ONU et pas par les conneries Africaines de l’Organisation de l'Unité Africaine (OUA) d’Edem Kodjo ou de l’Union Africaine(UA) illégale d’aujourd’hui, étant donné que tout le monde vient de constater dernièrement qu’il y a une certaine ambiance et une bonne volonté aux Nations Unies et au Conseil de Sécurité pour enterrer ce problème artificiel, créé en toutes pièces par l’Algérie autour d'un Sahara,historiquement Marocain. Ces algériens-là, n’ignorent sûrement pas que l’échec et le manque de crédibilité de certains pays, qui défendent  et accompagnent encore «ce mirage algérien» est pratiquement derrière le désintérêt de la communauté internationale de toute autre invention à présenter  éventuellement par l'Algérie dans ce dossier, ajoutant à cela aussi, la non adhésion en l’objet de la plupart des pays ayant déjà dégusté la saveur du pétrodollars algérien.

    Le pouvoir algérien assume seul toute la responsabilité.

    La manière têtue à laquelle s’attache aveuglement l’Algérie à cette affaire est largement dépassée par les faits et  par las réalités du terrain, C’est vrai, ce phénomène est devenue un cauchemar national réel dans la société algérienne qui le rejette en bloc, et c’est au pouvoir de chercher la sortie. Pour sauver la face et préserver le sang de sa figure, le pouvoir algérien doit se montrer plus crédible  et courageux plus que jamais, pour traiter  la question du Sahara Marocain à travers un débat responsable avec notre pays le Maroc, avant de passer à autres problèmes en suspend. Je dis bien le pouvoir algérien et je ne dirai pas le contraire, même si certains disent que le Maroc néglige et ne reconnaît pas les pourparlers avec les séparatistes du polisario, qui sont pratiquement guidés, à chaque round de négociations, par les algériens derrière les coulisses. La raison en répondra en clair, que si le Maroc se rend à Manhasset, c’est pour coincer, comme on dit en dialectal, le voleur au pied du mur.., le voleur identifié que tout le monde sait, c’est bien l’Algérie qui cherche, en vain,  de priver le Maroc de ses droits légitimes sur nos provinces du sud. L’Algérie est effectivement bien coincée, du fait qu'elle continue à accentuer ses abois. Si les algériens veulent vraiment sortir de l’impasse avec de moindres dégâts, il leur appartient de :

    Primo: Abandonner toutes ambitions expansionnistes, laissant le leadership échoué à part et revenir à la raison et au droit chemin en se mettant à table avec le Maroc, pour mettre fin au conflit. Secondo: Éviter de pratiquer davantage la politique d'Autriche, suivie jusque-la contre le Maroc par le régime afin de sauver l'Algérie d'autres risques incalculable avec le voisin de l'Ouest .Tersio: Se consacrer librement, loin de tout ça, à l'autre dossier que les aides de camps du palais d'ElMoradia  et du quartier Daly Brahim, viennent de créer aussi au grand sud algérien avec le Mali aprés la farce du polisario, en vue de préserver l'Algérie de la Somalisation ou de l'Afghanisation.  

    Mais, ça ne serait pas Gdim Izik cette fois-ci, la bande de Medelci, Messahel, Gaid Ahmed et Toufik et autres, en auront affaire à des organisations terroristes très féroces, musclées et bien entraînées  à leur tête le Mujao (Mouvement pour l'Unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest) qui défi l'algérie et détient l'initiative d'offensive, c'est lui qui avait revendiqué les deux attentats kamikazes perpétrés en Algérie à Tamanrasset et Ouargla et vise de sa mission, entre autre à déstabiliser l'Algérie et à même de faire obstacle à ses démarches dans la lutte contre le terrorisme, et à des occidentaux influents dans la région Sahelo-Saharienne qui ne manqueront pas d'imposer leur décisions  pour préserver , dans tous les cas, leurs propres intérêts.

    Le Maroc est à la rescousse:

     Pour débloquer la situation, Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l’assiste vient d'exprimer  sa haute sollicitude en l'objet, venant en aide aux gouvernants algériens. Le souverain leur avait proposé le moyen adéquat à la rescousse. Je reproduis à cet effet, pour rappel, l'axe significatif en la matière,  contenu dans le discours royal du 6 novembre dernier, à l’occasion du 37ème anniversaire de la marche verte, je cite :

    « Le nouvel ordre maghrébin auquel Nous avons appelé l'année dernière, devient aujourd'hui plus que jamais une nécessité impérieuse qu'il convient de transformer en une réalité effective et tangible, en vue de la construction de la maison maghrébine commune. Cela induit pour les cinq États maghrébins le devoir de s'engager à rompre avec l'immobilisme qui hypothèque l'avenir de l'Union maghrébine, et qui en fait déjà le projet d'intégration régionale le moins avancé à l'échelle du continent africain.

    Cela impose donc d'oeuvrer sincèrement et de bonne foi à la mise au point de mécanismes de solidarité, de complémentarité et d'intégration, de nature à répondre aux aspirations de nos peuples frères et à libérer leurs énergies. Ces mécanismes devraient favoriser la valorisation et l'exploitation des potentialités communes de nos peuples, ainsi que la libre circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux. Ils permettraient en outre de stimuler la croissance et la création de richesses et de garantir la sécurité collective ».Fin de citation.

    Au lieu d’accueillir le discours royal avec une bonne oreille, pour le bien futur des populations des cinq pays du Grand Maghreb, la presse algérienne était allée dans le sens inverse qu’elle empreinte toujours, pour minimiser toute initiative émanent du Maroc. Il est évident que cet axe n’allait pas au bon goût du pouvoir algérien. Il a, sans aucun doute, bouleversé ses cartes et a suscité le déchaînement des autorités algériennes. Cela a paru clair dans la réaction de la presse algérienne qui n’a pas tardé de réagir dans le négatif par la mobilisation de certaines plumes prépayées.

    Un message de routine de Bouteflika vient de tomber au palais royal à l'occasion du cinquante-septième jour de l'indépendance du Royaume du Maroc. Et dans lequel il dit ceci : «la croyance des liens très fraternels qui combinent nos deux pays frères et l'inévitabilité d'un destin commun, plus récent, vous exprime mon désir de continuer à travailler avec vous sur le resserrement des liens de fraternités  et de bon voisinage et de promouvoir une coopération fructueuse entre nos deux pays». Cela n’en changera en rien chez nous, nous simples citoyens, car nous sommes habitués à en tendre ce genre d’hypocrisie. La preuve en est là. S’assurant que le message est bien arrivé au Roi, Bouteflika chargeait, de l’autre coté, son valet de chambre,un de ses  "Bulldog" de dire autre chose et réaffirmer la position officielle de l’algérie en ce qui concerne la proposition royale sur le Grand Maghreb, sans oublier, bien sûr l’affaire Ross.C'est ainsi, le ministre délégué algérien chargé des Affaires maghrébines et africaines, dans un entretien, le 22 novembre, à un quotidien algérien qui fait généralement la tribune du pouvoir, pour faire passer des messages, a déclaré ce qui suit :

    Encore une fuite en avant: « Nous estimons que la relance effective et ordonnée de l’UMA est une nécessité. L’union doit être repensée et intégrer les changements intervenus dans la région et adapter, en conséquence, ses méthodes et outils de travail. Peut-on penser reprendre cette institution avec les bouleversements qu’a connus la région: Libye, Tunisie", s’est-il interrogé, affirmant, en outre, que la relance de cette entité régionale "doit naturellement répondre aux intérêts bien compris de toutes les parties et continuer de véhiculer en permanence l’ambition des peuples du Maghreb de réaliser l’union, voulue par les générations de la libération ».

    En ce qui concerne le dossier du Sahara il vient d’indiquer qu’il faut reconnaître que la série de rencontres informelles que M. Christopher Ross (envoyé personnel du secrétaire général de l’Onu pour le Sahara)  initiée depuis 2009, pour préparer la reprise des négociations, entre le Maroc et le Front Polisario, n’a rien donné de palpable et "les causes de ce blocage sont clairement identifiées".

    Il a rappelé que la tournée que M. Ross vient d’effectuer dans la région donnera lieu à un briefing du Conseil de sécurité, prévu le 28 novembre."Les idées que M. Ross aurait à partager, à cette occasion, avec les membres du Conseil de sécurité ne s’écarteront certainement pas du respect de la légalité internationale et du droit du peuple du Sahara  à décider librement de son sort et du statut final de son territoire, dans le cadre de l’application du principe de l’autodétermination", a-t-il ajouté.

    Liberté de presse conditionnée en algérie.

    Un Chroniqueur algérien de taille. Mr.Othmane Tazghart, rédacteur en chef de la télévision Française, « France24 », qui était, le dimanche 18 novembre 2012, parmi les invités à l’émission « Milf li Niqach » (fichier à débattre) de Medi1Tv avait déclaré, lors de l’émission, que la liberté de presse règne effectivement en Algérie.. ! Tout le monde parle de tout, on dit ce qu’on veut. Si constat est fait disait-il, il y a aussi de l’orientation qui touche certains journalistes corrompus qui courent derrière la fortune, par l’offre de spots de publicité, une  manne non négligeable privilégiée, qui n’est pas distribuée en toute égalité et qui n’est pas, non plus, à la portée des plumes qui font de la nage libre contre le courant du pouvoir,  et cela constitue l'état de censure indirecte et seul moyen de pression et de dissuasion, qui s'opère aux compte-gouttes, sous la supervision de l’autorité de tutelle.

                                  

    En ripostant à cette émission, les services secrets algériens bougeaient dans le sens de minimiser ce qui était évoqué  par les invités de la chaîne durant l'émission, à propos du régime algérien et sa politique, dans le thème «Maroc-Algérie et le Grand Maghreb».  Je ne crois pas qu'il existe un seul algérien qui ignore que cette chaîne est une tv. Internationale, pas Marocaine à cent pour cent, pour croire qui disent le contraire. Medi1TV et sa radio,comme d'autres médias privés au Maroc, agissent librement en conformité avec des normes  conçues et des cahiers de charges, arrêtés par la HACA (la Haute Autorité de la Communication Audiovisuel). Une institution Marocaine indépendante, que son genre n'éxiste pas en Algérie.

    -Quand M6 active ses télés? ça serait facile à dire sans preuves. Oui c’est vrai, cette chaîne enregistre apparemment un large suivi et une grand audition de la part  des algériens, et il est évident qu'elle soit la bête noire du régime algérien, qui a mobilisé ses sapes médiatiques pour inclure  Sa Majesté le Roi dans des conneries pareilles.

     Cet "insider" qui travaille pour le compte du DRS algérien dans un quotidien algérien, connu lui aussi par le léchage de bottes du pourvoir, contre des spots publicitaires rentables, sort son carnet de notes pour satisfaire ses commanditaires en répétant, le même scénario anti-Marocain de secours-, et s’est permis de titrer, à sa guise, son article qui s'intitule : Campagne Marocaine de dénigrement contre l’Algérie-.Je ne peux pas reproduire sa totalité, mais je résume:

     Le résumé 1: Quand M6 active ses télés ? Le roi souffle le chaud et le froid, se sont des sous-titres. Tous les moyens sont bons même les plus avilissants pour le Royaume chérifien, pour mener sa campagne de dénigrement contre l'Algérie. Le Maroc, habitué à ces manoeuvres de diversion, à chaque fois qu'il est confronté à une situation sociale désastreuse ou qu'il subit un revers dans le dossier sahraoui, a toujours fait de l'Algérie son souffre-douleur.

    Cette fois, c'est via la chaîne Medi 1 TV que Rabat réitère ses intentions, animées d'une haine viscérale vis-à-vis de l'Algérie. C'est curieusement le voisin de l'Ouest lance son offensive médiatique. Annoncé en grande pompe l’émission "Milf Linkach" s'est transformée en véritable procès et fait descendre en flammes les autorités, les forces de sécurité et l'armée algériennes..fin de citation

    Cette sale plume portant le pseudo-Nicknime "Arzloun" termine son article-chiffon en accusant l’animatrice de l’émission,, l'Algérienne Jawhara Lak-hal, d’être sur la même longueur d'ondes avec Mr. Othmane Tazghart- Un Algérien retourné, disait-il, qui s'évertuait de développer des thèses diamétralement opposées à la position officielle de son pays l'Algérie par rapport au dossier du Sahara, et soutenir la démarche autonomiste marocaine.

    Bonne lecture dans l'attente de mettre en propre  la suite de cette note.A tout de suite.Chihab25

    A suivre..