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  • .Une «grossière cabale» contre le Maroc

                                                                                                                                                                                                                         PH Archive 
     
    Préambule..En 1888 Emile Zola, l'écrivain et journaliste Français écrivait un adage comme l'exemplification la plus répandue «Nul n'est censé ignorer la loi»,  que je reproduis, pour en profiter, au début de cette note, je cite : «Mon inquiétude unique devant le journalisme actuel, c'est l'état de surexcitation nerveuse dans lequel il tient la nation. Aujourd'hui quelle importance démesurée prend le moindre fait.Quand une affaire est finie,une autre commence.Les journaux ne cessent de vivre dans cette existence casse-cou.Si les sujets d'émotion manquent, ils en inventent d'autres...».fin de citation.
     
    L'exemple actuellement au Maroc, le débat houleux ouvert au sujet du droit ou non à la «retraite» des ministres et parlementaires, un sujet qui attend, dit-on, l'arbitrage du palaisJ'ajoute personnellement à cela, ce que je crois intéressant : «Quand tu fais ou tu dis quelque chose, sache que tu as contre toi ceux qui veulent faire la même chose et ceux qui veulent faire le contraire et l’immense majorité de ceux qui ne veulent rien faire. Mais quoiqu'il en soit, moi je mets toujours de la crédibilité au cœur de mes démarches et de mes notes.

    Pour les autres, je demanderai qu'ils ouvrent les malles d'espoir pour croire que rien n'est impossible.Regardons un peu autour de nous! Nous vivons malgré l'acharnement de nos ennemis, la pleine quiétude, la stabilité politique et la totale sécurité par rapport aux autres, y compris notre voisine ennemie. Seuls les avares trempés d'ingratitude qui en diront le contraire! et surtout gardons haut et fort la grandeur de notre pays sous la conduite éclairée et la clairvoyance de Sidna que Dieu l'assiste, sans compter, ni revenir aux  futilités du passé.

    Pourquoi j'évoque le mot passé?. Car il signifie un autre volet à débattre. Hier seulement le 12 Janvier 2016, un syndicaliste USFPiste disait publiquement à Mr.Benkirane durant la séance mensuelle à la chambre des conseillers, que son parti avait payé cher en soutenant la Monarchie Marocaine..! Tel que..!, sans aucune honte...
     
    Je me demande, sur quel "menton" mentait-il ce thuriféraire politique? Ce que nous connaissons, nous autres neutres.. c'est que son parti, pas tout son parti, un groupe de réprouvés politiques de l'UNSFP, composé de : Fkih Basri, les Ben Barka, Youssoufi et compagnie avait choisi d'agir politiquement en opposition, dit-on, contre le capitalisme du parti de l'Istiqlal, visant à instaurer au Maroc l'idéologie du bloc de l'Est, «le Communisme et le Socialisme de George Marché».  Pour ce qui de Bou N'âilett, Ben Hammou et les autres de la résistance et de l'Armée de libération Marocaine,qui ont refusé de rendre les armes et s'intégrer aux FAR, ils agissaient sous prétexte que l'indépendance du pays n'est pas parachevée, tant qu'il y a encore des terres spoliées par l'Espagne au nord et sud et par l'Algérie au sud-est du Royaume. Et ils en avaient tous pris, l'initiative d'une fausse tournure, dès les premières années de l'indépendance du Maroc, contre le pouvoir central du pays, prenant les risques d'une aventure perdue.
     
    En vérité ils visaient par cette attitude de rébellion à «démolir piliers et paliers» de la Monarchie Marocaine , visant directement le règne du feu Hassan II en particulier-. Cela étant était programmé avec la complicité de l'Algérie comme superviseur, avec la bénédiction l'appui financier et logistique des régimes hostiles au Maroc, en l’occurrence : Les deux Baâthiste d'Irak et de Syrie, le Naceriste d'Egypte, l'Algérien de Boumédiane et le frivole Libyen de Kaddafi. Des épisodes de sabotage avortés, depuis la guerre des sables de Ben Bella et les événements qui l'ont suivie pendant 15 ans d'harcèlement, le dernier remonte aux événements de mars 1973 qui s'est arrêté-là, aux nids d'Aghbalou N'kerdouss dans le Tafilalet et de Moulay Bouaâzza à Khénifra.
     
    Et puis après, on cherchait l'issue de sortie : Le sauve qui peut..! le retour en état bredouille après 15 à 20 ans de cavale..!, têtes basses..!, souhaitant la grâce Royale et implorant clémence et miséricorde de la patrie. Je me permets de dire ainsi, et rappeler à Messieurs ces UNFPistes rapatriés, que la mémoire populaire est toujours vivante, elle garde  encore le chaud et le froid.
     
    Peu importe, ayez de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace! Osez sans hésitation de consolider notre jeune démocratie, vivez-là, jour après jour, dans le respect des «uns et des autres» loin du Chabatisme qui, par sa nature de cyclisme et au premier rafale électoral a perdu son fief, voire a provoqué le déséquilibre politique du parti d'autrefois de Ssi Allal. 
     
    Prolifération préjudiciable...Dans cette note je m'arrêterai sur un fait particulier concernant le débordement médiatique qui sévit en ce moment dans nos provinces du sud, au Sahara plus précisément..le moment où l'Algérie marchait sur un pied sans savoir où elle poserait l’autre. Au tournant des temps, le vent balayait sa poussière diplomatique et les bouches avides de ses gouvernant mafieux engouffrent tout l’espace.

    Son metteur en scène (le fameu Ramdane Lamamra, ministre d'Etat algérien de mensonges et de conneries), le convoyeur accrédité de bêtises Drsiste hostiles à notre cause nationale, se mit à courir, à tort et à travers, espérant s’envoler d’un moment à l’autre, mais au bord de ses échecs, les pavés étaient humides et ses bras battant l’air n’ont pu le retenir que dans les "Gourbi", là où il a gaspillé l'argent public de l'Algérie. Dans sa chute il comprit qu’il était vaincu, plus dingue que son rêve et il aima, depuis, mordre davantage les doigts de notre Baskettman qui l’avait fait tomber à l'ONU, en Afrique, en Union Européenne et bientôt aux pays des abruties de la Scandinavie.

    C'est le terroriste médiatique, un autre style propagandiste que nos frères-ennemis algériens emploient, utilisant les gringalets internautes au Sahara Marocain pour faire passer des faux messages de "victoire diplomatique" en compensation des défaites foudroyantes qu'ils y endossaient ailleurs.

    Une partie de la presse électronique et des médias sociaux portant le sigle Sahraoui sont sur le banc des accusés dans nos provinces du Sud. Ils s'y positionnent comme outils de propagande et relais pour les messages du Polisario. Pis, ils constituent malheureusement, le fer de lance de ce qu'on appelle les "séparatistes de l'intérieur"dans une guerre médiatique contre le Royaume, comme l’atteste la campagne menée ces jours-ci par certains médias contre plusieurs investisseurs Marocains dans le domaine de la pêche maritime, accusés de pillage des ressources naturelles du Sud du Maroc.

    Une campagne qui accompagne les déclarations, du 17 décembre dernier d'un crieur public du polisario engagé par la maîtresse de tous à Tindouf la dénommée Khadija Hamdi, commandant DRSiste et deuxième conjoint de Abdelaziz Lmarrakchi (dit Hammati à Kelaât Seraghna et au Corcas), de qui a annoncé une initiative portant sur le lancement d’une campagne-débat visant, dit-on, à mettre un terme au "pillage des richesses naturelles du Sahara".

    A ce propos, ce perroquet bien entraîné a annoncé la création prochaine d’un observatoire chargé de poursuivre en justice tous les pays impliqués dans ce soi-disant pillage. Cette démarche visera, selon lui, toutes les entreprises actives au Sud du Maroc y compris les entreprises Américaines incitées dernièrement par le Président Américain Barack Obama.

    Les investisseurs marocains dans le secteur de la pêche font l’objet de dénigrement et de diffamation de la part de certains médias électroniques locaux. Des supports qui se sont permis de parler au nom des citoyens du Sahara Marocain. Le pire, c’est que ces sites se multiplient sans que les ministères Marocains de la Communication et de l’Intérieur ne lèvent «le petit doigt», comme disait le président de la APRH (Association de préservation des ressources halieutiques) à Dakhla lors d’une conférence sur la diplomatie parallèle dans le secteur de la pêche maritime organisée tout récemment à Casablanca.

    Même son de cloche qu'il faut faire entendre au département de Mr.Khalfi, que la création des associations, des sites électroniques et des pages web est devenue monnaie courante dans nos province du Sud et qu’il ne passe pas une semaine sans qu’une page Facebook ou autre ne soit créée. Le hic malheureusement, c’est que ces associations et ces sites se propagent d'une tendance inappropriée et œuvrent, certainement au tir à volontiers, dans la légalité de la presse numérique!.

    Ce phénomène n’a rien de nouveau et qu’il a été entamé en toute intensité incroyable il y a quelques années. Ce fut le cas pour ce qu'on appelle le WSRW  (Western Sahara Resource Watch), qui a démarré comme réseau informel de défenseurs du Sahara en Scandinavie, en Hollande et au Royaume-Uni pendant l’été de 2004, pour échanger des informations sur l'industrie pétrolière au Sahara avant de se transformer en un réseau hostile qui œuvre pour une soi-disant protection des ressources naturelles du Sahara et pour empêcher tout investissement Marocain ou étranger dans nos provinces sahariennes.

    Ce réseau ainsi que d’autres associations travaillent au sud Marocain en synergie avec le Polisario et alimentent la propagande de ce dernier. Souvent, ils véhiculent leurs assertions sous couverture de pseudo-motivations écologiques comme la préservation des ressources naturelles ou de motivations politiques comme la défense des droits de l’homme,faisant clin d’œil aux membres de la Minurso. Et de poursuivre :

    « A titre d’exemple, une association œuvrant dans le domine de l’écologie a demandé, en 2013, de mentionner le nom de Dakhla sur les boîtes de conserve de poissons en provenance de cette région, une demande qui s’est révélée très nocive aujourd’hui. Notamment après la décision de la Cour européenne sur l’accord agricole entre le Maroc et l’UE, au motif que cet accord inclut les produits en provenance des provinces du sud Marocain».

    Cela étant peut permettre à l'observateur d'estimer qu’il y a «un vide considérable», fortement exploité par le Polisario et ses relais médiatiques. Et de conclure que : « Le Maroc officiel ne dispose pas d’une stratégie médiatique claire et globale visant le long terme dans ce sens. Il est souvent réactif et non proactif. A mon sens, notre politique médiatique au niveau de la défense de la cause nationale est entachée d’improvisation et de tergiversations et cela sert plutôt les intérêts de nos ennemis algériens plus qu’autre chose. 

    Je reproduis ci-après le lien d'un modèle de blog pour vous permettre d'en tirer les contradictions. Il parait que c'est un blog, dont l'administrateur est surement Marocain, ne faisant peut-être pas partie de ce qu'on appelle là bas au Sahara Marocain, les séparatistes de l'intérieur, puisqu’il reprend les dépêches pro-Marocaines, telles quelles.
     
    Sa contradiction, c'est que la dénomination de son blog est involontairement intitulé «Le Blog du Sahara"occidental"» au lieu de dire : «du Sahara Marocain», prenant en sous-titre (un journal sur l'actualité et l'histoire du Sahara "occidental") A mon avis c'est un quelqu'un qui a créé son blog dans la vague d'imitation, ne faisant pas de différence entre "occidental et Marocain".A vous d'en juger. (le lien :http://leblogdusaharaoccidental.hautetfort.com/)

    Une grossière cabale.. Je ne peux être dégommé par quiconque pour la «dénonciation des délits anti-nationaux» que commettent ces associations et site-web et qui porte certes préjudice au soutien unitairement indéfectible du peuple Marocain à sa cause nationale. Oui je peux évidemment, comme beaucoup d'autres Marocains, réagir par le biais virtuel pour «dénoncer énergiquement toute infraction médiatique en internet et de prendre à témoin l’opinion publique nationale de l’évidente mauvaise foi de nos séparatistes de l'intérieur en rappelant de manière factuelle ce qui se passe ici et là sans pouvoir mettre terme à leurs couacs car je n'ai pas le pouvoir de Mr. Khalfi.  

    Selon ma propre conviction, les familles influentes dans la région, dont les «Khalli-h'nna, - père, fils et cousin -», respectivement personnalité vibrante au municipal, parlementaire et garde des sceaux du Cocas, qui se positionne, à mon sens, dans une case creuse (tenir le bâton du milieu), ne fait aucun signe d'intervention ou de persuasion et d'ailleurs les faits remontent au début de l'année 2015. «Alors que les faits prennent, depuis, une tournure grave, celle d’une cabale grossière».  

    La responsabilité de ces dérives médiatiques incombe à la société civile au Sahara Marocain en premier lieu, au second aux familles influentes qui défendent leurs intérêts et leurs privilèges directs, multipliant le maximum de bévues tendant à amasser tant de "Cartias de la PN", sans faire autant pour de la cause nationale, laissant cours libre et le champ vide à la mule algérienne pour se vautrer librement. Pour moi, il s’agit d’une atteinte grave au principe national de citoyenneté avec la présomption du fait accompli.  

    Néanmoins, pour nous simples observateurs, c'est aussi une grave atteinte à la liberté d'expression que connait notre pays. Il est de même de «la nature totalitaire du régime algérien et sa volonté affichée de ternir inlassablement son hostilité contre nos valeurs sacrées,  se dressant toujours en obstacle à toute ouverture pour la normalisation entre nos deux pays depuis la naissance de l'Algérie en 1962.  

    Un coup de force de ses actes infructueux pour continuer à livrer de la haine à son peuple opprimé, à sa mafia et aux prédateurs contre un pays généreux qui a payé cher en soutenant la cause de libération Algérienne. Et pourtant, le Maroc demeure vigilant et usera de tous les moyens pacifiques ou de force, pour faire barrage à toutes les manœuvres malencontreuses qui lui portent préjudice.  

    On peut imaginer d'autre part, qu'il y en a une petite entité politique algérienne qui rejette, par ailleurs, cette loi d'hostilité et de haine imposée en force au peuple algérien par un régime autoritaire qui manque de légitimité, et  qui sera suivie, sans aucun doute, d’autres complémentarités pour faire perdurer ce ton de haine contre le Maroc. Mais le pôle régnant en Algérie rejette en arbitraire la volonté de se libérer de la lourdeur de ce sale héritage laissé par le maudit Boumédiéne et continue vachement d'attirer l’attention des algériens sur la prétendue menace qui en découle de la paix avec le Maroc sur l'avenir, la stabilité et la sécurité de l'Algérie.

    Alors, que cette nouvelle année conduise à des horizons incommensurables pour nos frères-ennemis de l'est! Un petit rappel sur les progrès de la politique actuelle constructive que mène notre pays, qui doit nous permettre de lâcher avec le passé, de ce qu'on appelle vachement "les années de plomb", qui est révolu et effacé énergiquement par la nouvelle ère Monarchique, pendant que la politique aveugle algérienne qui a fait passer le temps, non seulement pour nous éloigner de la réelle fraternité,de la cohérence et de la cohabitation pacifique, mais aussi à nous détourner de nos véritables sources cosmiques, énergétiques de construction d'un voisinage serein avec nos «frère-ennemis algériens».    

    Il est intéressant, de se poser des questions, d’autant plus que la bande de Bouteflika et le régime algérien tout entier subissent, pour gagner du temps et attendre le moment propice à la succession, une reprise en main avec une pseudo-réforme de leur chiffon-papier constitutionnel, mais il est intéressant également de se poser la véritable question concernant l'avenir des relations bilatérales devant normaliser avec cette veuve-Algérie.  

    Le gouvernement algérien ne serait-il pas en train d’insérer l’état d’urgence dans le code d’austérité pour faire préoccuper davantage l'opinion publique locale et de donner plus de pouvoirs au président sans contrôle de quiconque? N’y a-t-il pas un parallèle avec les réformes de bâtir les bonnes routes d’intronisation à l'heureux de la famille et de l'Algérie et aussi conforter le sceptre de "Aâm'hom Salah, le général-bougre qui commande l'armée algérienne.     

    La grande déconnexion ?.. J'en n’ai aucune affinité avec la pagaille médiatique qui s'active dans nos provinces du sud, mais je tiens à souligner que les forums de débat en Paltalk -catégorie Sahara- étaient dans un bon moment,(2005-2010) les seules moyens à endiguer les émotions de l'opinion publique internaute sur les problèmes avec l'Algérie concernant notre intégrité territoriale, à soutenir l'internaute Marocain lorsque ses ennuis-enquêtes ont commencé -j'était parmi beaucoup d'autres à intervenir pendant des heures et des heures pour combattre les visées mensongères des services secrets algériens qui ne manquaient de charger des agents secrets d'y participer à chaque assistance et vider les débats de toute crédibilité. Ces actions internautes de notre part, montrent en tout cas, qu’il existe encore, dans l’audiovisuel informel, quelques personnes pour qui l’honneur et la liberté d’expression ont un sens.

    En visitant  les forums de discussion dans le Paltalk, le visiteur constate que les Marocains, qu'ils soient de l'intérieur ou du monde s’intègrent dans des débats stériles, voire dans des altercations verbales vides. Par contre on s'aperçoit que le coté algérien emploi ses agents pour le seul but de tenir le volume de la fréquence très élevé au profit de la thèse algérienne dans le dossier du Sahara Marocain, engageant les meilleurs perroquets du polisario pour tenir au beau fixe les couacs des services secrets algériens anti-Maroc. 

    Beaucoup d'entre nous ont de mal, et ce depuis quelques temps, à re-trouver une bonne connexion. Il existe en ce moment un vide interne au forums de discussion, une sensation de ne plus recevoir aucun guidage. Alors on se sent un peu perdus, seuls... Auparavant, la connexion était bonne, efficace, les messages étaient bien captés, les signes compris, les informations reçues, mais aujourd'hui plus rien, le néant, le vide. 

    Et depuis les Marocains sont restés sans guidance, ils sont un peu perdus, seuls..surtout ceux du monde qui en avaient la faculté d'ouvrir, à chaque soir une fenêtre pour regarder ou écouter ce qui se passe à la mère patrie, ils sont malheureusement livrés à eux même.Par contre Ssi Azalmo et moi même, nous sommes passés à autre chose, écrire nos préoccupations noir sur blanc, s'adressant aux internautes démunis en informatique, privés de ce qu’on aurait dû conserver pour soi en informations anti-algériennes  et qui ne trouvent pas de temps à gaspiller en sillonnant les rooms de débat paltalk. 

    Pour en revenir au parallèle entre les situations au Maroc et en Algérie, il est évident que le pouvoir Algérien  ne cesse de propager le trachome aux yeux de ses algériens, sans leur offrir de remède, adoptant la discrétion et la désinformation pour une communication ouverte et provocante d'un chiffon-papier à seulement regarder. Tandis que le Maroc a choisi la clarté et il est bien noté par d'autres. De ce fait, il est normal qu’il nous est de plus en plus difficile de trouver une entente ou un compromis consensuel, du moins pour l'instant, avec un régime illégitime, arrogant et menteur ou de donner des leçons de sagesse à ses dingues sujets qui l'applaudissent sous pression d'offrandes ou de peur du bourreaux et de la chaleur de ses tombeaux.  

    Mémoire et histoire..Laissez-moi relire quelques bouts de mes papiers de notes contenant ma modeste description de  la mémoire et de l'histoire : La clé de voûte d’un pays est probablement la mémoire de son peuple, nous Marocains, Dieu merci, nous gardons bien notre mémoire toujours vivante. La cohésion de ce pays est intimement liée à la qualité et à la densité de sa mémoire partagée. Beaucoup d’Algériens que je connais, réagissent par un haussement d’épaules à l’énoncé des mots «mémoire et histoire». Ils y voient une tentation passéiste et préfèrent, par arrogance ne pas regarder au rétroviseur et s’inscrire dans une vision d’avenir, cela dit, que l'Algérien souffre d'un  état surmenage  de non conscience cumulé par de fortes années de pression.Pourquoi? parce qu'il n'a pas de mémoire pour bien comprendre les valeurs d'histoire...!  

    C'est une erreur funeste pour un peuple qui se dit unilatéralement meilleurs et plus intelligent qu’autrui au monde… Il n’y a pas de projection possible vers le futur en l’absence d’un socle commun solide, fait de valeurs partagées, de la mémoire de souffrances ou de joies communes. Il n’y a pas de communauté de destin sans communauté de mémoire. L’Algérie est, certes, diverse comme beaucoup d'autres pays, mais elle présente ses caractères communs et particuliers. L’un des plus caractéristiques est son éloignement face à l’adversité. Etant donné que celle-ci révèle des gisements de solidarité, dont elle est dépourvue, que dissimule, en temps normal, le quotidien de la prédation et de la violence ordinaires, comme en témoigne l’élan de la population algérienne face à ses catastrophes.  

    On raconte que durant ces dernières années, des jeunes gens algériens sachant à peine nager se sont jetés à l’eau pour secourir d'autres personnes en perdition, mais, se sont noyés tous devant le su et regard des gardes cotes. Ces faits sont anodins dans un pays comme l'Algérie où l’égoïsme fait le trop-plein dans la mémoire populaire et le tremplin d'une bande mafieuse qui saute sur tout qui bouge. Ils font partie des nombreuses traces d’un passé oblitéré, mais qui respire encore sous le voile paresseux de l’Empire Ottoman et le linceul colonial français qui le revêtent. C’est ce passé qu’il convient aux algériens d’explorer, parce que c’est là que se trouve, non seulement la clé du mystère de leur permanence, mais aussi l’antidote à la pulsion morbide qui les entraîne vers le pire.  

    La mémoire empêchée concerne la difficulté de se souvenir d’un traumatisme. Dans l’idéal, un tel souvenir nécessite le recours à un travail de mémoire, qui passe par un travail de deuil, afin de pouvoir tendre vers une mémoire apaisée, et vers une réconciliation avec le passé. Le lien avec l'aventure impardonnable de Ben Bella qui a fait plonger son pays dans une guerre perdue avec le Maroc en 1963 (la guerre des sables) et avec le sinistre épisode de la décennie noire sont faciles à établir pour les Algériens.  

    L'une a été fabriquée et éduquée à la grande majorité algérienne pour la pousser à une hostilité permanente au Maroc, l'autre était pratiquement vécue par la société civile algérienne sous le regard vigilent d'une junte de caporaux de l'armée Gaulliste et portait l'empreinte en particulier des généraux (Mohamed Lamari,Khaled Nezzar et Athmane Tartaq). Une junte qui, au silence de la nuit et à l'insu de tous, préparait les ingrédients et les moyens d'exécution, faisant semblant de crier "Qui tue qui?.  

    Dans le cas de la mémoire manipulée, je ferai référence ici aux manipulations idéologiques de la mémoire, mobilisée par les détenteurs du pouvoir algérien pour asseoir leur domination et légitimer leur autorité. L’histoire officielle de l'Algérie est ainsi une mémoire imposée, au sens où c’est elle qui est enseignée, «apprise par cœur, et célébrée publiquement».  En Algérie, il y a en plus une dimension schizophrénique.  

    Pendant que leurs livres d’histoire et de scolarisation racontent la version apocryphe sur l'entêtement du Maroc qui l'avait poussé à agresser l'Algérie qui, à peine sortie d'une guerre de libération, et qui soigne encore ses plaies saignantes. Les thuriféraires du pouvoir hissent ce mensonge en haut et s'en chargent gratuitement de le faire circuler dans des générations pour en leur semer de la haine contre le Maroc, mensonge auquel officiellement participent également des membres de ce même régime qui est à l’origine de la fable officielle.

    La mémoire obligée interroge la notion de «devoir de mémoire», notion qui fait rappeler aux algériens en général, l’idée de dette à l’égard de ceux "Marocains" qui les ont aidé et qui étaient très généreux avec eux lors de la grande peine. Ceux-ci, s'ils étaient,"Ouled Ennass", ils auront ainsi l’obligation de se souvenir des traumatismes subis par nos aïeux, enfumés, emmurés, acculturés par la France de De Gaules à cause de l'accueil réservé, sans conditions, aux réfugiés Algériens par le Maroc. C’est le  fardeau et la dette qui pèsent toujours lourdement sur les épaules des Algériens honnêtes.   

    L’œuvre de la mémoire algérienne est évidemment dirigée vers l’oubli par effacement les traces et par injecter à l'esprit jeune algérien des fourbies. L’amnistie avec le voisin de l'ouest, considéré potentiellement l'ennemi de toujours, constitue pour le régime Algérien et le pouvoir en place une forme d’«oubli commandé et institutionnalisé». Il s’agit d'une injonction de l’État Algérien à «ne pas oublier de nuire constamment au Maroc».  

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                                                                Maroc : voyage touristique organisé. 

    Droit au soulagement..De l’Algérie à Oman, le monde arabe est en lambeaux : guerre de religion, crise du pétrole, daech .. Cette région va à catastrophe, à une seule exception : Le Maroc. Ainsi a prédit le grand quotidien généraliste britannique, L'Independent. Ayant éditorialisé au sujet de l’état du monde arabe, 5 ans après le déclenchement des révoltes du printemps arabe, L'Independent a indiqué que cette région du monde est sinistrée des effets de tourbillons impétueux, la dévastant et qui ont multiples natures.  

    C'est les guerres interreligieuses au Yémen et entre les pays du golfe et l’Iran, le délitement politique et le débordement en Algérie et en Libye, l'instabilité qui revient à la Tunisie,la crise du pétrole qui fragilise toutes les pétromonarchies et toutes les pétro-républiques, daech qui se métastase de l’Irak et la Syrie vers la Libye et le Sinaï, vers le Yémen et la péninsule arabique. Dans ce paysage dystopique, qui n'augurerait, selon le "Tabloïd britannique", que de plus de désolation encore en 2016, seul un pays semble se promettre à une meilleure destinée : C'est le Maroc  qui, en raison de son appartenance arabo-musulmane, s'y trouve en rescousse à la raison et à la défense des lieux saints de l'Islam contre les auteurs de la violence religieuse et des fanatiques.     

    L’éditorialiste de l'Independant a ainsi relevé que seul le Maroc, pouvait être finalement la face réussie du Printemps arabe. Efficace et en paix, le Maroc, est le seul dans cette région, à même de réussir une transformation aux normes universelles, à la démocratie et à l’Etat de loi et de droit.En plus de ce témoignage, je dirai même plus. La phrase de l'éditorialiste britannique réservée à l'Algérie "le délitement politique et le débordement en Algérie" ne suffira pas pour la décrire en tant que telle. Non elle est hors couverture, dépourvue de toute connexion crédible pour qu'elle retienne l'attention d'un tel ou tel chroniqueur.

    Par contre, à cause de sa sécurité incontestable, le Maroc jouit de la confiance du monde investisseur et touristique, une énième déception pour nos ennemis algériens. Pour une nouvelle fois, il vient d'être classé comme première destination touristique en Afrique. C’est la deuxième année consécutive que le royaume prend la tête du classement. Les chiffres ont été révélés par la Banque africaine de développement et cités par le site HuffPost. D'après ce classement, notre pays a accueilli 10,28 millions de touristes en 2014, mieux qu’en 2013 où il avait accueilli un peu plus de 10 millions de touristes de diverses nationalités.
     
    Nous devons bien noter que la fermeture de frontières avec l'Algérien ne fait que conforter ce secteur, étant donné que les visiteurs algériens, qui sont généralement que des fornicateurs  et de crapules (..!) ne seraient-ils pour notre pays, que des éventuels terroristes, mandatés par le général Tartaq, le nouveau patron du DRS, qui va tenter de renouer avec le style de son prédécesseur Toufik, qui, depuis juin 1994 n'a pas réussi à faire exploser même un pétard au Maroc, et ce grâce à la vigilance, à la détermination et à l’abnégation de nos faucons aux départements de MM.Ben Slimane (GR), Aâroub (FAR), Mansouri (DGED), Hammouchi (DGSN) et Lkhyame (DGST).
     

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                         Mme Margot Wallstrom,  au polisario (courage..ça vous suffi de vivre avec la force régionale..!)
     
     
    Madame Margot Wallstrom, la ministre des affaires étrangères Suédoise (photo), était plus claire que Mr.El khalif dans son interview à la Française. Elle vient, tout juste de déclarer publiquement à l’issue d’un rapport de consultation interne, relevant que la situation au Sahara Marocain diffère de celle des États que la Suède a reconnus par le passé et que le Maroc est un pays «influent sur le monde arabe et que les critères requis par le droit international pour reconnaître le Sahara "occidental" en tant d'Etat ne sont pas remplis ». Un témoignage-gifle à la figure d'Alger qui aura, selon Mr. Manar Slimi, universitaire Marocain de relations internationales et sciences politiques, un impact positif sur les autres pays Scandinaves et sur toute éventuelle décision politique qu'ils auront envers le Maroc dans son conflit avec l'Algérie.
     
    Quoiqu’il en soit, il faut que nos frères-ennemis algériens sachent d'autre part, que le monde manifeste une grande importance au Maroc et aux Marocains du fait que sa presse et les sondeurs s'intéressent davantage à ses mouvements dans une planète en ébullition. Le peuple Marocain se classe en première place des peuples les plus déterminés à défendre leur pays. Les Marocains sont également les plus disposés à se sacrifier pour leur Monarchie et leurs terres, pas par enthousiasme allumé par l'affaire du Sahara Marocain, mais par leur doctrine et leur nature. Telles sont les conclusions d’un sondage effectué par un consortium  de sondage étrangère.

    Tout le monde au Maroc est-il prêt à donner sa vie pour sa patrie? La question semble intéressante, en ces temps marqués par la montée des attaques terroristes. C’est pourquoi le Gallup International, un consortium international de chercheurs indépendants créé en 2010 à Zurich en Suisse, a conduit un sondage international dans 64 pays des 5 continents pour répondre à cette question. Une opération dont les résultats sont satisfaisants pour nous Marocains.

    C'est ainsi,les Marocains arrivent en tête des peuples prêts à se sacrifier pour leur pays. 93% des Marocains sondés ont affirmé qu’ils étaient prêts à aller au combat pour leur patrie. Cette première place au classement mondial n'est et ne sera jamais partagée, ni saluée avec les algériens qui se classent,par leur arrogance, derniers au monde. 

    De leur part, les algériens, me semble-il, sont les citoyens uniques les moins disposés à prendre les armes pour défendre leur pays, s'ils ne seront pas contraints à le faire par force, ils ne le feront pas nullement en mourant pour les autres, allusion à la famille régnante qui en profite, à la junte corrompue et aux thuriféraires politiques du pouvoir, tant que l'esprit de sacrifice d'autrefois est enterré chez eux avec les ténors talentueux de la guerre de libération et avec les vrais hommes de parole, dont le dernier était feu Hocine Ait Ahmed mort tout récemment.Bonne lecture, bonne année 2016 et à très bientôt.

                                                                   Cordialement,Chihab25