Algérie : L'Algérie perd contre le Maroc et gagne un Ban Ki moon..!
La caricature : Hollande à Boutefika, parue dans Le Parisien..
Introduction..Dans cette intervention je ne parlerai pas de Ban Ki-moon de façon abusive ou brutale, étant donné que les Marocains se sont bien exprimés, officiellement par la tenue de la session extraordinaire du Parlement, officieusement, par la grande marche populaire millionième de l'Unité pour le Sahara Marocain à Rabat et enfin par la manifestation gigantesque des trois régions du sud Marocain,organisée devant le siège de la Minurso à Laâyoune, Cependant, je m'arrêterai sur quelques retouches rendant plus claire les cotés obscures de cette déviation à 360 degrés de Mr.Ban Ki-moon. Je le ferais pas de même au sujet du cash-cash que jouent les services secrets algériens -version Tartak- dans le sud-est algérien avec leur création terroriste
Je consacrerai ma note aux volets négligés, voire non débattus par les chroniqueurs, ni évoqués par les médias en l'occurrence les défaites de l'Algérie dans sa diplomatie d'autruche contre les intérêts du Maroc aux échelons régional et international et j'évoquerai ensuite, quelques passages sur la politique et la situation en général en Algérie..! Sachant que je ne suis pas journaliste,ni chroniqueur ou analyste,mais je suis amateur, fortement intéressé par la défense de la cause nationale, comme tout autre Marocain, passionné de tirer, virtuellement, à bout portant, sur l'ennemi de mon pays, qui n'est qu'un sale pouvoir Algérien.
D'autre part, en ce premier passage d'introduction, je me félicite tout d'abord, comme tout autre Marocain, des visites d'amitié et d’extase qu’effectue actuellement SIDNA, en grande pompe en Europe avec sa flexibilité généreuse avec nos concitoyens du monde qui exprimaient le désire de se photographier avec. Laissant,derrière lui en toute sécurité, son pays marcher comme sur«des roulettes», baignent dans une stabilité politique unique de son genre dans le calme et sécurité, grâce en premier lieu, à la clairvoyance du Souverain, transformant le pays en Etat de loi et de droit par des réformes politiques bien acquises à la Marocaine. En second lieu, grâce à nos aigles et faucons de frontières, à la vigilance remarquable de nos autres forces de sécurité (Sécurité Nationale, et Gendarmerie Royale, toutes unités confondues, là où il y a pas de pigeons).
D'autant plus que nous ne disposons pas de police politique, coupant le souffle au citoyen, comme c'est le cas chez les Algériens qui nous envient et nous gainent pour cela et pour la grandeur de ce Grand Royaume Chérifien du Maroc. Nous les voyons s'acharner davantage pour nous porter beaucoup plus de préjudices.
Il a fallu aux algériens de faire un arrêt responsable de réflexion pour comprendre que ce Maroc, dont ils embêtent est plus fort que leur Algérie, en gouvernance, en politique et diplomatique et veille bien à encadrer ses intérêts. Il a passé de la défensive à l'offensive. Cela étant, me permet de dire qu'il est plus fort même que l'Union Européenne.
En preuve, dernièrement le tribunal de l'Europe avait politisé la libre échange agricole, rejetant à tort, l'accord passé sur l'agriculture entre le Royaume du Maroc et l'UE, sous prétexte, que cet accord ne représente pas de l’innocence, tant qu'il couvre les produits du Sahara Marocain, que les juges Européens considèrent, vachement, en territoire contesté par l'Algérie pour ne pas dire par le polisario.
Le Maroc a vite riposté de manière très sévère en rampant tout contact avec les instances de l'Union. Après une semaine de tractations et de panique à l'échelle de l'Europe. Mme Frédérica Mogherini, la ministre-députée Européenne chargée de la politique étrangère de l'Union, est venue au Maroc pour lui donner ses explications et ses assurances. Puis elle vient juste d'ajouter, clairement, que le Maroc est un partenaire clé dans le voisinage sud, en réponse à la lettre que lui avait adressée un groupe de députés européens sur la nécessité pour l'UE de renforcer ses relations avec le Royaume du Maroc.
Contrairement à cette clarté, Ban Ki Moon n'a pas bien calculé l'espace entre ses pas et se fait tomber facilement aux pièges du rabbin de la diplomatie Algérienne (Lamamra) agissant frivolement de cette façon, à la fin de son mandat, touchant l'intégrité territoriale du Maroc. Cela étant a provoqué le démantèlement de la Munirso et l’expulsion par le Maroc de son personnel civil, dont la mission était arrêtée à la préparation d'un référendum dépassé pour les causes qu'on connait.
On s'exprimer librement-.Un certain Abdelatif Belkayem, algérien indigné, écrit dans son journal électronique préféré que, je cite :«Si les responsables de notre pays l'Algérie se sont intéressés du citoyen algérien comme ils le font pour le polisario, l'Algérie deviendra un Etat normal comme la Suède. Mais ils rêvent de victoire contre le Maroc, considérant que les déclarations récentes de Ban Ki Moon au sujet du Sahara "occidental" , est une défaite et une belle gifle au Maroc qui le voyaient eux, unilatéralement, par l’œil magique «plus isolé que jamais dans la scène internationale, face à une écrasante victoire de ce qu'on appelle le peuple Sahraoui. Malheureusement, c'est l'invention à l'Algérienne, des paroles mortes qui ne demandent pas seulement le rire normal, mais un rire hystérique»..
-.Un autre Massinissa Massi disait de son coté : «Quand Bouteflika se fait soigner chez son maître Holland et divulgue les secrets d'état à l'hôpital de Val de Grâce, en convoquant le chef de l'armée Kaid Ahmed et son premier ministre Sellal (le Faqaqirr) dans cet hôpital, l'Algérie n'a plus de souveraineté, Mr Lamamra vous êtes en position de faiblesse face à un Maroc malin, fort dans ses positions, vous n'en pouvez point, laissez-le gérer ses oignons. Le Maroc progresse, transformé en un seul grand chantier, là où tu posera les pieds tu trouvera la poussière des travaux et ce grâce à son monarque qui sait comment marquer la bonne performance et comment manger l'épaule de l’agneau. Tandis que l'Algérie régresse et ne se redresse jamais tant que le royaume de Tlemcen domine, à cause de vous et à la brosse que vous portez avec vos pairs, pour décrocher le niveau de ministre d'Etat que vous ne méritez d'en pocher dans un gouvernement pourri.(!)».
Etre diplomate de carrière à l'échelle mondiale nécessite de hautes qualités que vous n'en possédez point, cette diplomatie n'a pas de comparaison à faire avec celle de - l'école de jeux de carte de l'UA d'Adis Abéba - dont vous êtes le lauréat. C'est trop fort pour quelqu'un de votre genre. Vous êtes faibles également face à cette Europe arrogante, néocolonialiste, parce que l'Algérie est livrée à la mafia à un clan marocain venu d'Oujda et vous avez fermé le pays à toute espoir de liberté, de développement, de démocratie.
L'Algérie est millénaires, la démocratie fait partie de son peuple amazighe libre depuis des millénaires, et vous les traîtres de France vous avez tué cette démocratie qui est dans les gènes du peuple algérien. Cinquante-trois ans sont déjà passés depuis l’indépendance du pays et l’Algérie est toujours malade, incapable de se développer comme nos voisins proches ou éloignés (Turquie, Espagne, Maroc, Malaisie, Emirats).Numide millénaires depuis des millénaires réveilles-toi pour une révolte saine. Bouteflika et son clan ont choisi d'arrimer l'Algérie qui n'a rien à voir avec l'Orient arabe à ce dernier. Dégagez et revenez à vos parrains au Maroc c'est ce que le peuple demande pour sauver l'Algérie des prédations étrangères.Vous nous en merdez avec cette synthèse bannie de tous les temps par laquelle vous nous faite peur.fin de citation.
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Ban Ki Moon se déchaîne..On ne peut ignorer cette réalité accablante stipulant aussi, que : C'est l'Algérie qui est en effet isolée dans sa légitimité internationale vantée, détestée par les siens et que la fameuse mise en scène de Ban Ki moon,de la pièce théâtrale conjointement écrite par les auteurs : Ramdane Lamamra et Othmane Tartak devant la stupidité du général-bougre Gaid Ahmed Salah,le chef de l'armée et chef d'état major. Cette mise en scène Ban ki-moonienne je veux dire, n'aura certes, aucun effet sur le dossier et ne ramènera aucune valeur ajoutée à la question du Sahara aux Nations Unies..
Le parie de l'Algérie sur le corps de l'ONU et sur son "Ban Ki moon" est un parie perdu, tout le contraire du parie du Maroc qui sait très bien que les Nations Unies ne sont pas Ban Ki-moon ni d'autres états déchets de l'écume siégeant à l'ONU. Le Maroc mise silencieusement sur les Etats forts, comme: les Etats-Unis, la France, l'Espagne, la Grande-Bretagne, la Russie, la Chine, les pays arabes du Golf et l'Arabie Saoudite en particulier et sur ses Marocains juifs d'Isarël qui ont des liens de parenté influents sur les leurs en USA et au Canada. Tout ce monde, rappelons-le, regarde du mauvais œil la politique étrangère de l'Algérie depuis son accession à l'indépendance. par rapport à la crédibilité du Royaume du Maroc, devenu effectivement par la clairvoyance de son Souverain une vraie Force régionale, livrant son savoir faire en coopération sécuritaire et son commerce à l'Europe, sans oublier évidemment de visualiser et optimiser l’entraide Sud/Sud .
L'heure du raisonnement à l'ONU..Oui, nous simples citoyens Marocains, nous envisageons que dans le courant de cette affaire et à l'horizon de la tenue de la prochaine session d'avril du Conseil de Sécurité de l'ONU sur le Sahara, nos concitoyens Américains juifs, lesquels ne cessent de soutenir leur pays d'origine le Maroc et nos autres pays amis, surtout le pays frère, le Royaume de l'Arabie Saoudite sont très probable mobilisés, volontairement et y sont, chacun en ce qui le concerne, opérationnels, ici et là, pour soutenir la raison contre le malice de l'Algérie et son "Bokimone" durant les jours qui viennent.
Ainsi, la fermeture de la porte par le Maroc à Ban Ki moon, est en fait plus forte et plus audacieuse. Si le Maroc a ainsi fait cette réaction de sorte, c'est qu'il sait qu'il est fort et que son dos est bien protégé. Une attitude dont ne jouit pas l'Algérie qui guête du troupeau la chèvre la plus maigre. et met sa pendaison entre les mains d'un nouveau corrompu, un pion à ajouter à la longue liste de corrompus de l'Algérie, à la Bankimoonie de la Corée du Sud.
La gifle vantée de l'Algérie est en fait une gifle à la grande partie de sa figure. Le Sahara est Marocain et encore, je répète que Ban ki moon en tant que tel, malgré la mobilisation orchestrée, ces jours-ci par son secrétariat contre le Maroc n'aura aucun effet sur la donne et son rapport y afférent mettra fin à son périple aux documents-archives des Nations Unies à New York, pour ne pas dire à un autre endroit, (Water-Close quelque part) , même si des milliers du genre de ce Ban ki moon arriveront en série en Algérie pour y assister Lamamra dans cette affaire..
L'hypocrisies à l'Algérienne!..La question du Sahara "occidental" n'a jamais bénéficie du consensus du front nationale en Algérie et c'est pas un secret. Tout le monde connaît la position des parties politiques en l'objet, dont le parti des travailleurs de Louisa Hanoune et l'FFS ( Front des Forces Socialistes Kabyle) du feu Hocine Ait Ahmed.
Il n'est pas surprenant pour nous Marocains, si les contradictions en font rage en Algérie officielle. Tout récemment, le monde entier vient d'apprendre un changement spectaculaire dans la position de l'FLN, le parti au pouvoir dans cette l'affaire. Ainsi Amar Saâdani, son secrétaire général a surpris ses pairs et a fait exploser une bombe au seuil de sa porte, sans calculer les conséquences qui peuvent en découler localement. Sachant qu'il ne fait que répéter à voix haute ce que veut dire au peuple algérien et aux autres étrangers le prince gâté de l'Algérie, qui lui souffle, sous table, les orientations qu'il compte prendre en politique générale en Algérie en substitution à son frère-président, et ce pour jauger la réaction de l'opinion publique locale algérienne, soufflant par conséquent aux algériens la présence physique et mentale de son frère sur la scène.
Le Drabki de l'Algérie est allé plus loin, il a pris l'initiative de parler solennellement en son nom et officieusement de celui de son parrain, qui n'est que l'héritier de la couronne du royaume de Tlemcen, tout en s'alignant aux positions des intellectuels nationaux algériens hostiles à la position officielle algérienne sur le Sahara Marocain, laissant entendre, je cite : "le soutien au polisario a trop duré" et ce n'est pas tout, il ne croit pas initialement à cette question appelée le Sahara "occidental" faisant, disait-il, la priorité des priorités de Lamamra aux affaires étrangères de l'Algérie en dépit des autres soucis fondamentaux des algériens qui considèrent que celle-ci a épuisé péniblement les épaules du pays. Effectivement la majorité du peuple algérien n'y croit pas du tout à ce faux problème artificiel que défendent les teneurs du pouvoir en Algérie contre le Maroc, au détriment de l'union mauresque, seule à faire disparaître toutes les convergences et remettra l'Algérie sur ses bonnes railles.
Le Sahara Marocain, C'est le Maroc et vice-versa..En toute état de cause, le Maroc est plus fort que l'Algérie jusqu'à présent. Aujourd'hui si le Sahara est bien Marocain dans toutes ses régions,«l'Algérie elle, dans toutes ses danses spectaculaires, n'a gagné qu'une poupée dite "Ban Ki moon"».
En preuve, le communiqué du cabinet Royal du 23 courant, évoquant l'entretien téléphonique de Sa Majesté le Roi avec Mr.John Kerry, le secrétait d'Etat Américain aux affaires étrangères en témoigne.Le Secrétaire d'Etat Américain, rappelons-le, affirme que la position de son pays sur le Sahara Marocain reste inchangée, comme cela a été conclu auparavant, en novembre 2013, entre le Souverain et le Président Américain Mr. Barack Obama sur la Marocanité du Sahara et sur la crédibilité du plan Marocain y afférent, ajoutant que nos deux pays, le Maroc et les Etats Unis d'Amérique continueront à se concerter en l'objet jusqu'à la résolution définitive de ce problème régional
D'autant plus, je ne peux rien ajouter à ce qui a été dit, analysé, développé largement en exclusivité à la chaîne-tv mauresque Medi1-tv le soir du 22 mars 2016 dans une émission spéciale consacrée à la présumée attaque du site gazier - Khribichat- de Ain Salah dans l'extrême sud de l'Algérie et sur le problème-Algéro-Marocain sur le Sahara.
Nos experts en études stratégiques, militaires et en science politique ( tels que MM : Taj Eddine Houssaini, Khalid Chagraoui, Tarik Attlati, Moussaoui Ajlaoui, Abderrahim Manar Slim et Aderrahman Mekkaoui qui intervenait de Paris. Ces proviseurs, ont bien débattu et dévoilé le secret caché preuves à l'appui, analysant des enregistrements téléphoniques, échangés, de part et d'autres, comme pièces à conviction. A propos, ces enregistrements, que le réalisateur et la régie de l'émission,ont bien su comment les en procurer, sont à mon point de vue, fournis par une oreille sensiblement professionnelle (..), mettant l'armée algérienne en avant garde de l’événement, dévoilant son implication directe dans ce coup fomenté du théâtre algérien anti-terroriste.
Les riches révélations par les intervenants, soi par les invités au plateau, soi par TPH en 'live' de Paris, ont démontré et confirmé l'accord secret entre les services secrets algériens et le chef-terroriste Algérien Mokhtar Belmokhtar sur les modalités et le plan d'exécution préméditée de cette attaque, incitant ce dernier à épargner l'Algérie de ses attaques et se concentrer sur les intérêts du Maroc au Sahara.
L'Armée Algérienne dite ANP,connue par ses énormes bavures et qui se rapproche un peu plus de la criminalité humaine, elle n'était pas hors du jeu dans cette sale comédie algérienne. Gaid Ahmed Salah, le général-chef de cette institution aurait recommandé à ses subordonnés, les chefs des huit régions militaires que compte l'Algérie, de se mobiliser davantage contre l'ennemi Marocain,tout en les mettant au service du général Tartak, l'ex-bourreau de la décennie noire des années 90. Ainsi le général Said Chengriha,chef de la 3e région de Colomb-Béchar sud-ouest,dont Tindouf s'est contenté de parler ouvertement devant un parterre de généraux-cartoon que toutes ses orientations futures seront virées vers l'ennemi brutal de l'Algérie.révélant la perception profonde des Algériens à l’égard du Maroc, en qualifiant explicitement le Maroc d’ «ennemi» des Sahraouis et aussi et surtout de l’Algérie.
Spécial Wikileaks..Seulement, il me paraissait important de citer un document de Wikileaks qui révèle un secret écrasant : les généraux de l'Algérie ont convenu discrètement avec leur terroriste Belmokhtar d'attaquer le Maroc. Le site WikiLeaks, dont la spécialité est de déverser davantage de documents confidentiels, a révélé dans une publication datée du, 17 Mars, 2016, un accord secret entre les autorités algériennes et le chef d'AQMI en Algérie (al-Qaïda au Maghreb islamique), Mokhtar Belmokhtar, dit le borgne, invitant ce dernier à éviter des attaques à l'intérieur du territoire algérien et se concentrer uniquement sur les intérêts Marocains cibles au Sahara.
Le site révèle aussi le contenu d'un e-mail de l'ancienne secrétaire d'Etat Américaine Mme Hillary Clinton, qui contient plus de trente mille message envoyés et réceptionnés dans la période entre 2010 et 2014. Selon une lettre publiée par le site, Hillary Clinton aurait reçu le 17 Janvier, 2013,une lettre confidentielle de Mr. Cindy Blomintall, un ancien conseiller de son mari Bill Clinton et ancien proche de Hillary. Son message était intitulé: «Un autre des rapports de renseignement français sur la crise des otages en Algérie», à la hauteur de la prise d'otages dans le complexe de gaz Tiguentourine, au sud-est de l’Algérie, perpétrée par «les signataires de sang», dirigé par l'Algérien Mokhtar Belmokhtar.
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Corruption et impunité.. Les algériens et observateurs étrangers sont sur la même longueur d'ondes, ils remarquaient que depuis la venue de Amar Saâdani, le lauréat de la troupe folklorique du maestro Abdallah Mena3i d'Oued Souf, et sa reconduite à la tête du parti de l'FLN, les sorties médiatiques téléguidées de ce dernier sont souvent mises en application ordonnée. Dernièrement il avait fait entendre que Chakib Khalil, l'ex-ministre de l'énergie, qui se trouvait en cavale à l'étranger, l'ami intime de Abdelaziz Bouteflika et ordonnateur de la famille, n'était que victime des soupçons pesants fabriqués en toutes pièces par le général Mohamed Lamine Médiene , alias Toufik l'ex-patron du DRS qui a été limogé en vengeance parait-il, sur ordre dit-on, du mort-vivant président.
Ça y est c'est fait!, chose dite, chose faite, à peu prés d'un mois de préparation. Le voilà, ce grand corrupteur-corrompu de toute l'histoire de l'Algérie est de retour triomphal à son fief. L’indignation est grande en Algérie. La colère est nationale. L'Américain, comme on l’appelle avec beaucoup de mépris, qui a pillé le pays, est revenu en passant par le salon d’honneur de l’aéroport d’Oran. La photo du Wali d'Oran qui l'accueillait, bras ouverts, est cité lui aussi dans le scandale des deux Sonatrach, ce qui a suscité un énorme buzz sur les réseaux sociaux algériens.Cet ex-ministre algérien de l'énergie, un sujet fidèle du royaume de Tlemcen de Ssi Bouteflika, est revenu chez soi, avec la possibilité de bénéficier du soutien présidentiel pour poursuive en justice et attaquer pour diffamation l'ex-homme fort de l'Algérie.
Insultes, critiques acerbes, commentaires enragés, rares sont les événements qui ont suscité autant l’exaspération des Algériens. Chakib Khelil est devenu l’homme le plus haï du pays. Il cristallise, à lui-seul, toutes les frustrations nées de la nature profondément injuste du régime algérien. Certaines thèses soutiennent que l'Américain est rentré au pays pour succéder à Abdelaziz Bouteflika. D’autres analyses affirment qu’il reprendra son poste de ministre ou s’imposera comme le conseiller le plus influent de la résidence présidentielle de Zeralda et au Palais d’El-Mouradia,le cas échéant, aux côtés de son ami Saïd Bouteflika. Donc il est rentré en Algérie en toute impunité, sans rendre compte à personne.
Et ce n'est pas tout, pour plaire parait-il au revenant, l'heureux gâté du pouvoir vient tout juste de décider d'éjecter, le général Toufik de la résidence fonctionnelle, sise au quartier - club des pins à Alger - qu'il occupait durant toute sa carrière et ses beaux jours de merveilles en tant qu'homme fort.Un cadeau de retour et de bienvenue pour l'Américain Chakib, c'est du moins ce qu'on puisse lui offrir actuellement en Algérie, comme dédommagements et intérêts, en action spéciale de générosité de la part de la famille présidentielle pour faire recouvrer sa considération. et l'inciter à être au service du mal.
Toute cette mascarade se fait au su et vu d'une presse jetable, incapable de dire toute la vérité au peuple algérien. Une presse soumise à la menace du prince, effrayée, vivant l'effroi, la peur et de la fureur de règlement de comptes et éventuellement de peines capitales.Les médias, publics et les pseudo-privés, sont juste le fer de lance du système, un organe de propagande, qui oriente et désoriente l'opinion publique locale, selon le carnets de bord du pouvoir, portant uniquement le fanion de la lutte anti-terroriste et l'hostilité au Maroc.
L'Algérie ne sait plus où elle va..? Un président malade et muet, une économie mal en point… L’Algérie navigue à vue et son boussole! Ses voisins,dont le Maroc surveillent de près l’évolution de ce pays incontournable dans son jeu de lutte présumée antiterroriste.
Abdelaziz Bouteflika, qui a célébré ses 79 ans le 2 mars, ne se déplace plus en Algérie ni ailleurs, n’assiste à aucune réunion à l’étranger. Il délègue souvent les présidents des deux chambres du Parlement, Abdelkader Bensalah et Larbi Ould Khelifa, ou le Premier ministre Abdelmalek Sellal, pour le représenter dans les forums internationaux. Victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) en avril 2013, le chef de l’Etat algérien est assis sur un fauteuil roulant, ne prend plus la parole en public comme d'autrefois au début de son accès au pouvoir en 1999 à cause d’une extinction de voix. Il ne s’adresse à ses invités, principalement étrangers, qu’avec l’assistance d’un petit micro spécialement adapté à sa voix cassée.
Bouteflika ne travaille plus au palais présidentiel d’El Mouradia sur les hauteurs d’Alger. Son bureau, voire son séjours, est désormais installé à la résidence d’Etat de la forêt de Zéralda, à 26 km à l’ouest d’Alger, sur la côte méditerranéenne où il bénéficie d’une assistance médicale permanente.. Même le grand appartement d’El Biar, dit-on à Alger est déserté par Bouteflika et sa famille.
Il n'accorde pas d’audiences aux Algériens. En novembre 2015, des personnalités comme l’ex-ministre de la Culture Khalida Toumi et le romancier Rachid Boujedra avec 17 autres (les 19) ont demandé à le rencontrer pour s’assurer de sa capacité, physique et mentale de diriger le pays. La demande est restée lettre morte. Le président se confie souvent au diplomate Lakhdar Brahimi, ex-ministre algérien aux affaires étrangères et envoyé spécial de l’ONU pour la Syrie. Ce malheureux diplomate algérien est chargé, dans ses derniers jours de dire et déclarer devant les projecteurs de presse et les caméras que : « Bouteflika va bien !».Le caricaturiste Français du journal le Parisien, ne parlait pas du vide,comme le montre la gravure en haut de la note.
Billah Aâlikoum..?, Dans quel autre pays au monde un président «triomphalement» réélu pour un 4e mandat avec 81 % des voix (en 2014) pourrait ne jamais apparaître en public, ne jamais prendre position claire dans les affaires fondamentales du pays, ne jamais faire entendre la tonalité de sa voix ? Ainsi va la vie en Algérie où en «l’absence» prolongée de ce phénomène Abdelaziz Bouteflika, malade et vieillissant : « Le pouvoir est exercé de manière opaque, sans que l'on sache en Algérie, par qui?. Très probablement par Said,le frère gâté de Abdelaziz Bouteflika, et conseiller à la présidence, soutenu vraisemblablement par les thuriféraires, en l'occurrence : Ahmed Ouyahya qui l'on prend de chef du cabinet familial, par le garde des sceaux et garant de la famille Bouteflika, le vieux soldat du monde, chef de l'armée Algérienne, appelé par le clan présidentiel "Aâmi Salah.?"(Aâmhoum Salah, je veux dire)» et enfin pas les deux gérants d'écurie : Abdelkader Ben Salah et Mohamed Larbi Old Khlifa, les bergers de ce qu'on appelle, l’Assemblée Nationale Populaire (le parlement).
Par un petit cercle d’opportunistes fortunés, qui trustent désormais le monde des affaires. «La transparence n’a jamais été le fort de l’Algérie, mais là, on atteint des sommets dans la stupidité de l'élite», soupire un Algérois indigné, très inquiet face au danger d’une succession mal gérée. Jusqu’à présent la population algérienne était partagée entre résignation et respect pour le vieux chef de l'Etat algérien. Les mouvements de protestation étaient — plus ou moins — circonscrits. Mais la donne sociale est en train de se changer vers le pire pour devenir catastrophique à l'horizon de l'année suivante, si non au cours des mois à venir.
Cependant, la diplomatie Algérienne endosse échec après échec, rien que les défaites dans le dossier du Sahara Marocain. Le Maroc est arrivé à l'utilisation de ses camions-balais pour effacer toutes les traces algériennes qui lui sont hostiles à travers la planète. ce qui en fait à l'Algérie force d'emprunter toujours la pire voie de l’entêtement pour en arriver à entacher davantage ce grand Royaume Chérifien du Maroc, qui devient de plus en plus, pour elle, la bête noire imbattable dans tous les stades. Une politique dégueulasse, vaine déjà suivie, soit par le rabbin de la diplomatie algérienne ou par son nouveau pair, le général-Tartak,spécialiste de la torture et de la décapitation du peuple.
En ces moments très difficiles pour les algériens crédibles, survivre devient le rêve de tous les algériens d'autrefois, encore vivants. J’aimais beaucoup lire ce qu'écrivaient les algériens sur les réseaux sociaux, pour en constituer une vraie idée sur le quotidien de l'algérien, étant donné que tous leurs posts sont drôles. Ils écrivent ce qu'ils ne pouvaient pas dire «ouvertement»par crainte de la police politique algérienne, ressemblant à celle de l'ex-Yougoslavie du Maréchal Titou.et d'Europe de l'Est d'autrefois.
Telles sont des bouteilles jetées à la mer avant un naufrage évident de l'Algérie! On y lit son profond désarroi dans les sorties médiatiques de Ramtane Lamamra. Or, Cette Algérie déguste avec amertume les ressentiments causés par le rejet par la communauté internationale de toutes ses avancées contre le Maroc dans le dossier du Sahara, dernière en date la position claire du Conseil de Sécurité Onusien dans sa récente réunion informelle, rappelant Ban Ki Moon à l'ordre, suite à son dérapage dans l'affaire du Sahara, dont la sauvegarde de la neutralité de l'ONU est obligatoire en dépit de la visite éclaire à Alger du représentant permanent de l'Angola à l'ONU qui préside périodiquement le Conseil (..). Mais ce fameux charlatan Ramdane Lamamra récidive et récidive encore, ne sachant sur quel pied danser. On le voyait continuer ses aboies sans aucune lucidité, face à l'isolement diplomatique de son pays à cette haute échelle.
Là-dessus est arrivée la baisse du prix du pétrole qui s’est conjuguée à la flambée des importations et de la consommation de carburant, laquelle réduit les quantités exportables, flambée qui s’explique par la distribution massive d’argent pour éviter un «printemps algérien». Au prix actuel du baril, l'Algérie ne pourra plus payer ses importations dans deux ou trois ans. Bref, le flou économique s’ajoute au flou politique et à l'anarchie qui fait rage au pays.
Attention au feu.. La vague de l’islamisme radical avec des groupes comme Daech et AQMI de Belmokhtar soutient clairement les arguments des Occidentaux qui ne souhaitent en aucun cas déstabiliser davantage une Afrique du nord déjà mal en point. Par ailleurs, la déliquescence de la Libye et l'insécurité qui ravage 7500 kms de frontière au sud-est Algérien viennent aussi jeter du l'huile au feu et nous donner un autre argument, quant à la nécessité de consolider la souveraineté de notre pays et de renforcer le contrôle des nos frontières pour parer à toutes éventualités pouvant en découler de l'insouciance algérienne.
Le général-tigre de corps d'armée Mr.Bouchaib Aâroub, l'élève du feu-général Driss Ben Omar, le faucon de la guerre des sables-63, est toujours-là, bien éveillé pour rendre éventuellement la monnaie, par gifles, à qui de droit, voir étourdir d'un seul coup de point, soi ce Aâmhoum Salah et griser sa racaille, ou anéantir ce Borgne et ses lieutenants sauvages (..) Si jamais, Oui..je dis bien Si jamais..!, on entend le moindre bruit de bottes venant briser le silence à nos frontières.
Nécessité oblige, de temps à autre, il faut taper sur les cordons qui font mal à l'oreille algérienne et rappeler que les échos douloureux pour certains, de la victoire de nos Forces Armées Royales, dans leur première sortie contre la frivolité et l'ingratitude de l'Algérie de Ben Bella, baptisée à ce qu'on appelle la «guerre des sables 1963», sont toujours présents avec intensité, pour ceux qui sont contraints, par nature haineuse de se rappeler de ce drame Algéro-Egyptien.
Faute à la guerre froide, à la ruée excessive du "pseudo nationalisme arabe" d'un certain Bakbachi du Sa'eid Misr. Le Maroc de feu Hassan II à l'époque n'était pas si facile à conquérir par Abdenaceur et subir le même sort du Yémen du roi Mohamed El Badr. Il est évident ainsi, que les gens disparaissent en silence dans la foulée du temps.Quant à l'histoire reste vivante, - elle est toujours là - pour qu'elle apprenne des leçons aux génération futures.Mais l'Algérie, malheureusement, n'a pas de générations vivantes qui postulent à ce genre de réflexion.
Et attention, gare à quiconque..!, un train peut cacher un autre, comme le dit l'anecdote Française..? A ne pas négliger surtout, que nous Marocains, nous nous réjouissons d'acclamer volontairement et de nature..«Vive le Roi et vive les FAR» qui nous garantissent, la paix et la quiétude.Contrairement à nos frères-ennemis algériens qui vivent dans l'amertume, le cauchemard et l’inquiétude, incertains de leur avenir,ni de celui de leurs enfants, sous le règne d'un pouvoir mafieux de nature.
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Le jihadisme à l’Algérienne.., Qui est celui qu'on appelle le "borgne"?. Je confierai ci-après, à mes lecteurs ce que je connais sur ce type pour en avoir une idée sur ce phénomène algérien ayant fait ces jours-ci "La une" dans l'actualité algérienne au sujet du terrorisme. Il s'appelle Mokhtar Bel Mokhtar, alias (laâwar), le "borgne", il est encore vivant, sa mort était auparavant qu'une fausse confirmation USA.Il sillonne à sa guise toute l'Algérie, avec la possibilité de pointer ses cibles avec une grande précision. C’est une réalité que cache le pouvoir algérien et une certitude que le général-bougre Gaid Salah n'y peut la démentir.
Les pro-Mokhtar Belmokhtar, le parrain du "Sahelstan", le considèrent en «Beladen Algérien». Le Borgne est toujours le roi de l'esquive. Il déménage, il change d'habitudes, c'est vrai il a perdu au fil du temps, un à un, ses lieutenants, mais il court toujours, s'appuyant sur sa maîtrise des chemins de délivrance et sur les défauts de son ennemi, le militaire qu'il croie n'avoir pas de stratégie de lutte contre, ce que, lui et ses compagnons appellent, la rébellion.
Depuis sa fuite du Mali, au plus fort de l'opération Serval début 2013, ce pseudo-jihadiste Algérien, le plus recherché du Sahel, aurait fait du Sud-Ouest libyen son fief - dans l'absence totale des services de renseignements algériens qui n'arrivent pas à le mettre hors état de nuire, lui qui faisait partie, à un moment donné de sa propre création. Son savoir faire lui permettait de s’appuyer sur sa parfaite connaissance du terrain, des points faibles de stratégie de ses concitoyens militaires, de ses amis d’autrefois au service nationale (service militaire obligatoire en Algérie).
Personne ne sait réellement ce qu'il fait, où il est, ce qu'il pense et à combien se chiffre le nombre de ses combattants. Tout récemment on faisait le semblant à Alger de l'accuser du coup fomenté du Khribichat d'Ain Salah. Mais, comme pour tout ce qui touche ce Belmokhtar, le conditionnel est de mise. Cela ne signifie pas qu'il est passé en bouc émissaire. Ce n'est pas son genre, même si les frappes françaises dans la région lui ont fait mal.
Il est de toutes les prises d'otages ou presque, et de tous les coups d'éclat, comme l'attaque de la caserne militaire de Lemgheity, dans l'extrême nord-est de la Mauritanie (17 militaires tués). À cette époque, Belmokhtar est déjà une cible prioritaire pour les États-Unis. Mille opportunités se seraient présentées aux militaires Américains et Maliens, mais jamais l'ordre de le neutraliser ne fut donné.
La suite est plus connue. La multiplication des prises d'otages. La conquête du Nord-Mali en 2012. La prise de Gao avec ses alliés du MUJAO (Mouvement pour l'Unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest), qu'un de ses anciens lieutenants à fondé. Ses déboires avec la direction d'AQMI, qui apprécie peu son autonomie, ainsi qu'avec son rival dans la zone, Abou Zeid . Sa destitution en octobre 2012 et la création, deux mois plus tard, d'un nouveau groupe, ″les Signataires par le sang″.
Pas que l'opacité..Chemin faisant, la vérité que cachent les gouvernants et que les simples citoyens algériens doivent connaitre, c'est que cette compagne médiatique en faveur de l’armée algérienne est tracée en ligne droite faisant perdurer l'opacité, de détourner l’opinion publique sur une des questions essentielles que devrait poser chaque algérien : l'Algérie, a-t'elle vraiment réussie sa guerre contre le Maroc ?
La réponse, est bien : Non.. Bien au contraire ! car chaque opération militaire est malmenée par l'armée. Le "sauve qui peut" domine l'esprit du militaire pour revenir chez soi "sain et sauf", avec faux bilan à l'appui..! De même, les médias algériens n’ont aucun moyen de vérifier les communiqués du ministère de la défense algérienne. Leurs sources d’informations sont contrôlées. Il y a une grande opacité qui règne sur les affaires relevant de la sécurité. En effet, ces informations ne peuvent être diffusées sans l’amont de la tour de contrôle militaire de Ben Aknoune et de celle du nouveau DRS de Tartak.
Cela étant, prouve que le pouvoir algérien est plus que malade que son président. Dommage, nous regrettons au Maroc que cette veuve Algérie est devenue stérile, pas en mesures de procréer encore, des hommes d'Etat crédibles, dignes de confiance, murs en politique d'Etat, pour mieux gérer et conduire l'Algérie vers des horizons prometteurs de démocratie, rendant à l'Algérien sa dignité et sa liberté.
Pour l’instant, il ne faut pas que les algériens attendent un changement de la part de cette institution, des mains aventureuses qui sont emparées du pouvoir politique et militaire laissé à l’abandon par son titulaire constitutionnel et en disposent à leur guise». en l’occurrence, d'un côté, le dominant de vitrine, n'est qu'un général-bougre, téléguidé par un petit tyran,formé dans les attractions du bassin du bain maure Marocain à Oujda. De l'autre un autre général, dit Tartak, que les algériens dénomment le "Bourreau" des années quatre vingt dix.
Alors ceux qui jouent en ce moment sur la fibre "nationaliste et patriotique" pour vendre aux algériens les mérites d’une armée de psychopathes,de toxicomanes" doivent, impérativement, regarder le sommet de la pyramide de leur armée et se demander, si les généraux algériens, voire le reste de la racaille Française, font ça dans l’intérêt de l’Algérie ou, entre autres, de leurs comptes bancaires ? La réponse, encore une fois, est claire…Par ailleurs, depuis cette dernière attaque terroriste, les médias algériens essaient de conditionner le peuple algérien dans un état de guerre contre le Maroc en premier lieu, contre le terrorisme, lui disent-ils. Et l’empêcher de réfléchir loin des raccourcis et des questions passionnelles, qui entravent par défaut toute pensée critique.
On n'est devant une Algérie effondrée, à l'image de l'état de santé de son président qui continue de se cramponner à son fauteuil roulant ! L’Algérie fait partie d’un groupe de pays qui subissent de plein fouet la chute des cours des hydrocarbures sur le marché mondial. Une chute qui fait courir à ce pays le risque immédiat d’une explosion sociale à l’horizon 2017, selon les anciens chefs du gouvernement algérien, Benbitour, Hamrouch et le nouveau opposant farouche du régime Ali Ben Fliss. Le seul qui ose parler haut et fort Ali Belhaj, l'adjoint du président du FIS dissous. regardez cette vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=B6-k6C4cZWY#t=74.Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25