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  • (1)Bouteflika, du palais "Al Mouradia" au cimetière "Al Alia" d'Alger, sans escale..!

                                                                         Maroc
                      IMG_87461-1300x866                                                                                                                                               
                                                 De gauche à droite : Sellal et Tebboune,Ouyahya et M'ssahel
     
    Nota benne..(En ce 11 juillet 2017), un de mes chers lecteurs assidus d'Europe, me priait de laisser le maximum possible la présente note en page d'accueil du blog pour pouvoir la consulter davantage et de manière facile, étant le résumé de points de vue, voire les pensées les plus vives de l'admin du blog qui reflètent l'état moral de la rédaction précédant généralement le développement de tout fait hostile émergeant de la part de tout con algérien contre les intérêts de notre Royaume, d'une part.
     
    Et de l'autre elle récapitule la situation catastrophique stagnante du pouvoir en Algérie, à l'horizon d'une éventuelle succession, qui a trop tardé à venir, du mort-vivant président Algérien Bouteflika.
     
    A cet effet, la rédaction ne peut qu'obéir au vœux de son lectorat, tout en éveillant en parallèle, en contre-attaque, sur n'importe qu'elle situation qui en découlera  de l'attitudes haineuse de nos "frères" ennemis algériens.
     
    Sachant que ce blog est répertorié et suivi surement, pour sa ligne de rédaction anti-algérienne, par les services Drsistes du général Tartak, ici au Maroc, via l'écurie diplomatique Algérienne à Rabat et ailleurs auprès du fameux "Aâmi Salah".
    Je dis bien "Aâmhom Salah", comme se réjouissait de l’appeler, au moment d'orgasme, Said Bouteflika le n°2 du régime, puisqu'il est le général Gaid Ahmed salah, le pseudo-vice-ministre de la défense en Algérie et chef de l'armée algérienne, et c'est lui qui devient l'homme fort de l'heure de l'Algérie actuelle, qui détient pratiquement aujourd'hui les vraies clefs du destinée de l'Algérie et qui attend, avec impatience, comme nous Marocains, l'éclipse totale de l'étoile affaiblie de Bouteflika.
     
    Je ne peux m'en passer facilement sans dire un mot, et j'en profite de cette petite mise au point pour faire passer à mon lectorat ce que j'ai collecté, voire ce qui m'a retenue l'attention depuis la publication de la note ci-dessous sur "Bouteflika et ses séjours au palais d'Al mouradia et au cimetière Al Alia d'Alger". 
     
    Sur le plan national, je ne parlerai pas de la paresse, négligence et de défaillance des partis politiques, ni de l’efficacité ou non, du gouvernement Al Othmani, que je considère de transition, ni de Mohamed Zyane et de son différent avec le pénitentiaire Tamek au sujet de Zefzafi et pas non plus d'outrages et défit d'AlMahrachi face aux forces de l'ordre déployées à la fronte (hirak) d'Al Hocima.
     
    Je me trouve, en contre partie, dans l'obligation de m'orienter vers un autre milieu. vers le journaliste, pardon..!, vers le journaleux dénommé "A.Aâouni", qui vient d'un milieu rural aride, comme l'aridité du "pain sec" de Mohamed Choukri, à un autre milieu hypocrite urbain pour s'aventurier dans le journalisme,le métier qui n'est pas du sort et de ressort de son petit patelin lointain.
    Il vient du désert, là ou se trouve  les ksours de Targa, Azmour et Tazmourite, des anciens quartiers populaires de Ksar Es Souk, pour travailler chez celui qui se croit vachement le "doyen du journalisme au Maroc.
     
    Je persiste et je signe si je déclare, qu'il s'est trompé de direction, en venant faire sa carrière chez celui qui change, à sa guise malade, chaque fois qu'il se sent tabassé et giflé par la censure, le titres de sa monture, comme si il change de chemises. Sa tribune d'aujourd'hu s'arrête en catastrophe à "Alousboue Assahafi, (amputé d'une patte),", après avoir été baptisée au passé par plusieurs noms choisis du répertoire de trottoir.
    Ce que j'ai vécu et connu de lui laisse beaucoup à désirer, à savoir, il donnait les noms à ses créations comme : «Al Aândalib, Akhbar Souk, Kawakiss, ce dernier se fut censuré et enterré une fois pour toute sur ordre royal de feu Hassan II, pour avoir publié un article scandaleux titré par "Les Camelins algériens changent la frontière" et enfin par son dernier défunt Alousboue Assahafi wa Ssyassi».
     
    Je n'ai pas de comptes à régler avec lui, mais, je constate qu'il pleure encore sur ses ruines, sur le titre "Kawaliss" parait-il,. Si vous le remarqueriez, son papier-chiffon porte toujours 2 numéros, celui de l'actuel et celui d'un autre défunt, en exemple, le dernier n°940/1377 du 6/7/ 2017 . 
    D’après ce que j'ai eu comme occasions particulières de consommer de ses fourbies, le type est parait-il, malade d'orgueil, d'arrogance et têtu en plus, du genre de celui qui dit (walawTarett Ma'âza), très connu à l'échelon médiatique national par son nom patronymique "Alaoui" et qui est, à mon sens, loin du comportement honnête et fructueux d'un vrais "Alaoui" avec ses articles spectaculaires de provocation et ses vérités perdues, depuis qu'il vivait en confrontation avec Driss Basri, durant le règne du feu Hassan II .
     
    Pourquoi je commence mes pensées avec ce ton à boulets rouge, c'est simplement pour savoir de quoi et de qui arrive aux consommateurs "la saleté médiatique". Ainsi notre journaleux ,donne le cours libre, à ses idées, jetant en bloc tout un cumul de fais divers, en collationnant ses phrases, comme un robot, sans faire de virgules, de points-virgules ni de points finals pour s’arrêter. Il raconte et mélange tous les ingrédients de ce qu'il pense vrai!
     
    Dans le dernier numéro de cet hebdomadaire satirique (n°940 du 6 août 2017), il se mettait , apparemment, dans un coin sombre prés de son parrain,à l'immeuble qui abrite ce journal, quelque part à Casa, pour écrire un long détail sur un prétendu rapprochement entre le Maroc et l'Algérie, titrant de "contacts secrets" entre le ministre Mr. Nasser Boughita et la nouvelle mule noire de la diplomatie algérienne Abdelkader M'ssahel.
     
    Il a même relie ce rapprochement à ce qu'il appelait, la bonne foi du mort-vivant algérien Bouteflika, qui selon lui, pour redonner le dynamisme à une éventuelle reprise de confiance avec le Maroc, Bouteflika procéda à l'éjection de son premier ministre Sellal et de l'ex-rabbin de la diplomatie algérienne Ramdane Lahmamra qui badigeonnaient de plus les moyens malencontreux et de haine contre le Maroc.
     
    Pour moi ça ne serait uniquement que le style, suivi jusque-là, par le patron du journal pour attirer trop de lecteurs et augmenter la vente de son papier chiffon, pas plus que ça.
     
    La plaie, faut-il le rappeler, entre notre pays et l'Algérie, est trop profonde et ne peut être guérie du jour au lendemain par les thuriféraires actuels du pouvoir algérien et avec le manque d'interlocuteurs crédibles du coté algérien, tant que ceux qui sont actuellement aux commandes en Algérie, ne sont que des bouches-trous, faisant marcher les affaires courantes, constituant un groupe de gardiens occasionnels des champs du sérail, dans la perspectives de voir un jour, une autre aube qui se lèvera en Algérie.
     
    Du coté algérien. Tous les observateurs constatent que la vacance du pouvoir en Algérie est quasiment totale. Les acteurs qu'on voit ici et là, jouent de la marrée, dans le calme qui précède souvent la tempête.
    Je citerai en preuve  Abdelmajid Tebboune, le nouveau premier thuriféraire du pouvoir, Ahmed ouyahya, le chef du cabinet de Bouteflika et haut-parleur de son frère Said et Abdelkader M'ssahel, la nouvelle mule de la diplomatie d'autruche algérienne, pour ne citer qu'eux.
     
    Ces deux derniers ont fait "la une" dans un site électronique Marocain de renommée qui écrit : «Les insanités de Ouyahya et M'ssahel, un message diplomatique aux pays Subsaharien». En l'espace de deux jours (8 et 10 juillet) ces deux influents ministres du gouvernement algérien ont tenu des propos dangereux, mais qui n'ont rien à voir avec le hasard. Il s'agit visiblement d'une réaction d'Alger, face à sa perte de vitesse diplomatique devant la diplomatie Royale silencieuse, une manière de sanctionner ses partenaires africains qui l'ont trahi,selon la presse algérienne, en se ralliant davantage aux cotés du Maroc dans toutes ses thèses.
     
    -Quant à l'autre mule noire, Abdelkader M'ssahel, ministre des Affaires étrangères. Il invente à l'algérienne",des travaux inutiles d’un atelier international sur le rôle, dit-il, de la réconciliation algérienne dans la prévention et la lutte contre l’extrémisme violent et le terrorisme qui, selon l'APS, ont débuté lundi  10 juillet au Palais des nations à Alger.
    D'autant plus, après les déclarations hostiles d'Ouyahya contre les migrants, il a créé lui aussi la polémique en qualifiant leur arrivée en territoire algérien de "menace pour la sécurité"!

    Pour combler la vacance du pouvoir, une vacance visible aux myopes et faire croire aux dingues du peuple algériens que la situation étatique est bien normale en Algérie, il ramasse les petits bouts de bois morts pour faire du feu, ou du moins faire de la fumée pour aveugler les algériens, en organisant à son initiative, un atelier de " bla-bla" auquel il aurait réunit de faux fonctionnaires et faux experts dans ce domaine, ainsi que des opportunistes de tout bord, marchant sur les pas négatifs de son prédécesseur qui a échoué, dans le même sens, par toutes ses initiatives tentant à contrarier le leadership Marocain au niveau continental.

    En ce qui concerne Abdelmajid Tebboune, le nouveau Premier Ministre, impose son style et tente à tout prix de marquer sa différence avec son prédécesseur Abdelmalek Sellal. Et pour ce faire, il a décidé de liquider petit à petit les anciens membres de l’équipe de Sellal au niveau de son cabinet. Une manière de gagner du temps et donner l'impression au grand public algérien qu'avec sa désignation à la tète de la primature algérienne, les bouteilles de sérum qu'on injecte aux veines de son parrain Bouteflik fonctionnent normalement.

    Pour moi et pour tout autre observateur certes,on ne cherche pas midi à 14h dans le cas actuel de l'Algérie, tant que les gouvernants algériens ne peuvent cacher par le tamis, le soleil d'une anarchie totale qui sévisse actuellement en Algérie et que cet soleil brille uniquement pour faire perdurer le séjours,aux résidences présidentielles de Zeralda et d'Al Mouradia à Alger de l'heureux prince  de l'Algérie Said Bouteflika.

    Et je termine par le désespoir exprimé par le fils du feu président algérien Mohamed Boudiaf, assassiné par les généraux algériens en juin 1992, Mr.Nacer Boudiaf, qui disait avec amertume « je ne cherche plus qui a tué mon père». Il a annoncé qu’il renoncera à toutes ses activités en vue de faire la lumière sur ce crime, tant que le régime est le même, ça ne sert absolument à rien d’espérer de voir la vérité sur assassinat de son père éclater », a déclaré à la presse. 

    Ce fils du feu Mohamed Boudiaf, rappelons-le, est toujours resté loin des champs du sérail. Il a tant cherché la vérité sur son père, mais il s’est retrouvé tout seul. Aucun parti politique, aucune organisation, ni même les amis de son père ne sont venus à son aide et à sa rescousse. Il a fini par baisser les bras devant le régime algérien qui a tué son père.

    De toutes façons tout le monde connait qui sont les commandataires de l’assassinat de son père permettant à l'officier DRS-assassin (M'barek Boumaârafi) d'en bénéficier de toute la garantie de se trouver en toute liberté, se baladant à sa guise, devant les yeux de la famille Boudiaf, voire il serait même primé et récompensé pour son crime. Bonne lecture et à très bientôt. l'Admin.Chihab25

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                                             les ingrédients de l éphémère leadership d'Algérie.

    Introduction..Après une pause d'un mois, coïncident avec le mois sacré de Ramadan, la rédaction du blog revient à la normale.Elle reprend son ancien rythme de rédaction de notes, suivant les événements qui surgissent sur les scènes internationale, se rapportant aux agissements malencontreux des algériens contre notre pays et son intégrité territoriale.

    Les flashs du "Ce que je crois" ne sont plus indispensables, tant que le Royaume retrouve sa place normale dans le continent africain et que son rayonnement gagne davantage de terrain à travers le monde, tout en imposant sa crédibilité et sa force d'Etat dans les instances internationales.

    La rédaction consciente de l’efficacité de notre diplomatie, ne peut accompagner, d'une manière ou d'une autre, les pas talentueux de nos jeunes diplomates qui affichent une vigilance fructueuse et ne cessent de contrecarrer l'hostilité algérienne à travers les quatre coins du monde. En preuve, la nouvelle vague de nouveaux diplomates Marocains est bien sélectionnée pour en être à la hauteur de la vision royale dans ce sens. 

    De mon coté, je suivrai virtuellement ma ligne de rédaction et je ferai en parallèle de mon mieux pour atteindre les objectifs du blog, dans l'espoir de mettre à nu, selon ma capacité  et ma propre conception, tout fait de propagande algérien tentant la déformation des réalités contre les intérêts Marocains.

    Après toute cette pause de réflexion et de détente Ramadanesque, je doit en avertir mon lectorat, en lui faisant savoir, où en est la situation de la pseudo- "force régionale" qui n'est, en réalité  que dans la mentalité malade des gouvernants algériens et sur du papier peint de la propagande adverse" et malheureusement à qui nous avons affaire dans nos combats.

    Pour me distraire davantage, je me réjouis de m'adresser à mon lectorat, constitué certes, d'élites biens averties et de lecteurs assidus, marchant tous avec beaucoup de prudence dans cet espace d’araignée, qui se voit de jour en jour, envahi et miné par une presse totalement jaune, en lui disant (à mon lectorat) que je n'attend être récompensé de personne.

    Sachant que mes mains, mes pensées et mon clavier sont libres, non attachés ou exposés à domination d'une quelconque charge publicitaire qui pourrait porter atteinte à ma liberté d'expression. Je dis et je dirai ce qui me convient, pour  bien irriter davantage nos "frères" ennemis algériens.

    Pour moi, le fait d'écrire sur les défaites et échecs des algériens, est bien l'élément primordial de tous mes loisirs. Je ne fais pas d’efforts pour satisfaire les autres algériens qui fréquentent ce blog que pour m'insulter. Mais je ne peux généraliser, car il se trouve que certains d'eux viennent ici pour y connaitre la réalité qui ne se trouve pas ailleurs, chez eux je veux dire. Mes pensées commencent par ceci :

    «Le magasine français "Jeune Afrique" a consacré ces derniers jours plusieurs articles sur Said Bouteflika, le conseillers spécial et l'influent frère du président algérien Abdelaziz Bouteflika. Quoi qu'il en dise cet hebdomadaire franco-Tunisien sur l'heureux prince d'Alger, moi comme beaucoup d'autres observateurs certes, je considère Said Bouteflika comme le président actif - par procuration familiale - de l'Algérie actuelle.  

    Dans l'attente de l’effondrement total de l'Algérie du phénomène Bouteflika, je donnerais à mes lecteurs, par cette modeste note mon point de vue sur le statu quo sévissant actuellement "au rythme de compte-à-rebours", en Algérie et ce d'après ce que j'ai pu dénicher dans ce sens, d'entre-lignes du magazine Jeune Afrique et de ce que j'ai cumulé sur cette sale race que la volonté divine nous a collé géographiquement au dos.

    Je les invite, à cet effet, à user de leur temps libre pour ,au moins, se distraire et regarder, par la même fenêtre que moi, et à éventuellement en juger cet état des lieux où stagnent actuellement nos frères ennemis algériens qui, par leur presse-jaune et médias, et par engagement des agents, dont le nommé Zefzafi et la prostituée algéro-britannique citée dans la dernière note arabophone sur Al Hocima, en profitent des événement menés par les jeunes des localités du Rif Marocain pour jeter de l'huile au feu..!

    C'est la moindre des choses qu'ils ont pu faire devant une diplomatie Royale silencieuse qui fait tomber, un à un, les remparts anti-Marocains que la diplomatie d'autruche algérienne, voire l'hostilité algérienne, avait construit durant plus de cinq décennies de propagande et d'énormes gaspillage et dilapidation du fond public algérien.

    La deuxième partie de la note contiendra ce que disait un jour le doyen de toutes les haines et les hostilités algériennes "anti-Marocaines" un grand rabbin que connaissait l'Algérie en temps du parti unique FLN, même si ce dernier demeure toujours le parti unique "savac¹" qui domine l'esprit malade des algériens, ainsi que le rôle que jouera éventuellement l'armée algérienne pour assurer la transition après cette ère malade des Ait Bouteflika.

    Il s'agit d'un barbu, à l'image de Beladen, l'amant des jeunes femmes-Speckeurs de la télévision Algérienne, qui tenait, avec mains de fer, les destinées de l'Algérie lors des ères sombres du maudit Boumédiane et de Chadli, jusqu'à la révolte algérienne du pain et de liberté d'octobre 1988.Il s'appelait Mohamed Chérif Messaâdia qui prédisait en une seule phrase le règne de Bouteflika en Algérie. De cette même phrase, j'ai retiré l'intitulé de cette note.(Bouteflika, du palais d’Al-Mouradia au cimetière Al-Alia d'Alger, sans escale).

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    Très important à lire..J'en profite au passage, et j'invite mes concitoyens, de l'intérieur et de l'extérieur, à ne pas négliger la volonté divine qui nous garde, à notre insu. Elle protège notre cher pays, le Royaume Chérifien du Maroc et sa monarchie contre la traîtrise des siens en premier lieu et au second contre l'hostilité, la haine et l'envie des algériens.

    Appréciez s'il vous plait, et avec fièreté, que le Bon Dieu était, et est toujours à notre coté, déjouant 17 complots (je dis bien 17) contre feu Sa Majesté, le Roi-génie Hassan II que Dieu ait son âme .Arrêtez-vous un moment devant le diction arabe qui dit de bonne foi «اتقي شر من احسنت اليه» et vous en verrez qu'il s'applique bien aux cas de feu Hassan II.

    De même vous devez apprécier l'état d'exception que nous réserve Allah pour en résulter vous même, les sombres destins que Dieu a bien choisi pour les plus proches et infidèles de ce Monarque d'exception (Dlimi dans le cas suivant et avant lui, les généraux: Mohamed Medbouh, Hammou Amehzoune et autres complices en Juillet 1971 et Mohamed Oufkir avec ses élèves de la base aérienne de Kenitra en Août 1972). Dieu Merci, il nous tend la main du pardon et néglige jamais.!

    «Quand Boumediène et Carlos planifiaient vainement l’assassinat de Hassan II»

    Dans un ouvrage récemment paru il y a quelques jours en France sous le titre «Le monde selon Carlos», le journaliste Français Laszlo Liszkaï révèle un complot monté par le terroriste Venezuelien• et l’ancien président algérien Houari Boumédiane pour assassiner feu le roi Hassan II.

    L'information a été rapportée par Carlos lui-même, dans un livre-entretien écrit par le journaliste précité paru aux éditions Erick Bonnier. Récit.

    Le célèbre terroriste Carlos purge aujourd’hui plusieurs peines de prison à perpétuité en France pour des attentats commis dans l’Hexagone Français dans les années 70 en parallèle avec les activités et opérations suspectes des bandes «Bader Main Hoff en Allemagne et les Brigades rouges en Italie..»

    Il s’est confié en particulier à Lazlo Lizkaï, qui dans l’ouvrage il y explique un fait inconnu, le projet d’assassinat du Roi feu Hassan II.Nous sommes en 1978. Ilich Ramírez Sánchez,de son vrai nom, alias Carlos,le terroriste notoire, et Houari Boumediene, au crépuscule de sa vie, étaient alors proches. 

    Et c’est ensemble qu’ils montent un plan pour assassiner feu le Roi du Maroc par l’intermédiaire de Saleh Hijeb, patron du commissariat central d’Alger et homme de main de Boumediene. «Avec ce dernier, ancien truand et tueur à gage du régime sous la présidence de Boumediene, Carlos monte un projet pour assassiner le roi Hassan II au Maroc, raconte l’auteur qui s’est entretenu plus d’une vingtaine de fois ces derniers mois avec le terroriste, toujours en détention à la Maison centrale de Poissy, en France.

    Carlos (photo ci-dessous), explique que, je cite : «deux équipes de 4 tueurs chacune avaient été envoyées au Maroc et devaient tendre un guet-apens au Souverain. Aucune des deux équipes ne connaissait l’existence de l’autre, et chacune devait agir séparément. Carlos explique volontiers, de sa prison, que personne ne connaissait notre informateur.

    Il y avait une seule personne qui pouvait nous indiquer par quelle route le Roi allait quitter Rabat. Chaque équipe devait se placer au bord d’une des deux routes. L’informateur, le moment venu, devait nous dire si Hassan II prendrait la route rouge ou la bleue.

    C’était seulement le contact direct à Rabat, moi Carlos et Saleh Hijeb qui connaissions le nom de notre informateur, «Ahmed Dlimi», un général et homme de confiance du Roi défunt Hassan II, mort, accidentellement en 1983 à Marrakech..!» fin de citation.

                                             

    Mais la mort de Boumédiène et l’arrivée de Chadli Ben Jedid constituaient le miracle de Dieu, mettant fin à la perpétration de ce crime, puisque le nouveau venu au palais algérien d'Al Mouradia limoge toute sorte de mèche avec Carlos.

    Là encore, la Baraka d'Allah réservée à Hassan II va opérer. Peu avant l’exécution du plan, c’est Boumediene qui décède. «Le 27 décembre 1978, Carlos perd son protecteur,le très influent.Le nouveau président algérien Chadli Ben Jedid place ses fidèles dans l’administration et vire les anciens hommes de main du maudit Biumédiane, comme Ahmed Draia, directeur de la Sûreté algérienne, et son bras droit Saleh Hijeb, écrit l'auteur. Une mort et des renvois qui mettent fin à toute collaboration avec Carlos et, donc, à l’opération.

    On se rappelle des confidences de Jean Daniel, le célèbre doyen du journalisme d'élites en France, qui avait visionné en compagnie du maudit Houari Boumediène l’appel d’Hassan II à la Marche Verte en novembre 1975.

    Le journaliste avait été surpris par le déferlement de haine et de violence verbale d'un chef de l’Etat algérien, contre son homologue Marocain.Il racontait avec une certaine surprise que «Le visage de Boumediene s’est métamorphosé. Un mélange de sourire nerveux et de fureur crispait son visage. Par contre, en un moment, le Roi parle de l’Algérie sur un ton conciliant et amical. conclut-il.

    Le Président algérien lui lance, en arabe, une injure et, à ma stupeur, il avance son bras droit et délivre un magistral bras d’honneur.Tel un voyou de Bab el Oued », raconte Jean Daniel. Le projet d’assassinat d’Hassan II était donc dans la logique de Boumédiane, qui n’avait jamais pardonné au Maroc la guerre des sables de 1963 et les défaites sanglantes de l'armée Algérienne aux Amgala en février 1976.

                                                      Mise au point de parcours (1) :

                                Carlos "le Chacal" et le régime algérien voulaient-ils assassiner Hassan II?

                                               Feu Hassan II, Carlos-le Chacal et Dlimi (photos de l'époque)

    L'auteur du livre rapporte que le général Dlimi serait mort accidentellement..! C'est vrai, on le disait au Maroc et ailleurs, car on croit la version officielle relayée par les journalistes qui en gonflaient cet hypothèse.! De même pour le prétendu "suicide" pour Oufkir..! Pour les deux, je dirais personnellement qu'y sont deux morts de chiens, j'en garde mon jardin secret là-dessus.)

    Un journaliste Marocain qui alimente sa tribune par des suppositions, dont le principal chroniqueur se place en grande pompe, le connaisseur de la cuisine Marocaine, se lançait dans son TelQuel pour en faire planer le doute chez les consommateurs de ses fourbies, sur "l'implication ou non" des acteurs cités dans cette affaire..! posant des questions moches : «Le général était-il réellement au parfum comme l'assure "Le Chacal" qui n'est pas réputé pour la fiabilité de ses déclarations?  - Y avait-il une réelle implication du pouvoir d'Alger?».

    Ce journaliste-jaune qui collecte ses informations auprès d'une classe d'adolescents qui garde les murs aux bouts des ruelles,(ceux qu'on peut appeler dorénavant chez nous au Maroc, les "hitistes",comme c'est le cas en Algérie). Ce journaliste (O.K) donne lui même la réponse à ses interrogations dans une affaire que les événements dépassent le champ de ses connaissances, car, parait-il, n'a pas vécu son époque. «Impossible de trancher, les témoins de l'époque étant aujourd'hui décédés. Pour l'heure, cela reste au stade d'accusations».

    •D'autre part,l’attitude actuelle du Venezuela contre les intérêts du Maroc et contre son intégrité territoriale ne doit pas surprendre les Marocains.Le Venezuela et Cuba qui gardent encore la rouille du soi-disant communisme sauvage,étaient les ennemis farouches de feu Hassan II qui refusait à l'époque de se marier ou d'entrer en polygamie avec le clan-est, voire avec l’idéologie qui les emportaient avec orgasme.

    Les analystes politiques les mettaient avec d'autres pays frivoles, jouant le "Ché-guivarisme" dans la case de sales femmes de ménage au service de l'URSS en Amérique latine qui ne cachaient pas leur appartenance à la violence du communisme pour lequel, elles se réjouissaient à l'époque de faire publiquement le boulevard, bien maquillées, pour gagner la bénédiction de trois mousquetaires 'URSS' en l'occurrence : Nikita khrouchtchev- Leonid Brejnev et Alexis Kossyguine.

    Cuba comme  nous le savions vient tout juste de tomber dans les bras du seigneur du palais. Quant au Venezuela?, ça viendra son temps de tomber amoureuse d'un des valets de chambres du même seigneur, le moment où leur meilleure jumelle Algérienne perdra davantage de sa musculation dans les salles désertes du communisme d'autrefois.Bonne lecture.Chihab25

                                                                                                -:-

    A lire la suite en rubrique pages jointes en colonne droite -«Marche marocaine de réussite et guerre de succession en Algérie»-.

    A propos, un site de la presse jaune, qui ne donne pas de crédibilité à ce qu'il publie.(Belwadih.com) annonce déjà la mort de Bouteflika et la prise du pouvoir par l'armée,il donne même une chronologie de son trajet présidentiel.

    Dans l'attente de voir, par la volonté divine, cette mort se concrétiser et devient effective et définitive, mon lectorat trouvera dans la note n°16 en rubrique précitée, les ambitieux à la succession de Bouteflika, à leur tête et pas d'autre,le général-bougre Gaid Ahmed Salah, vice ministre de la défense et chef de l'armée algérienne.Bonne lecture.

                                                   très cordialement,Chihab25

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    ¹.- La Savac, c'est la police politique de l'ex-Shah d'Iran, Mohamed Réda Bahlawi.