*L'anecdote de supériorité Algérienne en diplomatie et en renseignement perd de sa vitesse...
تعليقا على تواجد 3 حمير بالصدفة في الطريق السيار قال احدهم : في المغرب الحرية حتى للحمير،عكس الجزائر، التي لاحرية فيها لا للبشر ولا للحمير، باستثناء الكلاب،هي التي لها الحرية الكاملة في النباح على قافلة المغرب، وهي تسير بكبرياء وخيلاء
Algériens au pied du mur..En visitant les réseaux sociaux et les Rooms de discussion en paltalk, gérés ou fréquentés pas les algériens, tout visiteur peut constater que les algériens en général, se plainent d'une part, et c'est le coté réel, de la curé d’austérité imposée par les gouvernants de leur pays et de la situation socio-économique catastrophique que connait l'Algérie.
De l'autre part, les thuriféraires du pouvoir et les engagés occasionnels parlent d'un autre ton, soit parce qu'ils sont rémunérés en "devises" pour diffuser des mensonges en hommage au pouvoir, soit parce qu'ils sont plongés de nature, au fond d'une fausse grandeur que l'Algérie n'a jamais acquit,depuis sa naissance en 1962 .Une grandeur, rappelons-le, parfumée d'arrogance et de beaucoup d'orgueil qui empreinte en général, la nature et la mentalité algérienne, toutes masses confondues.
Aujourd'hui en Algérie et depuis le limogeage du général Mohamed Médiane, alias Toufik et la révocation du rabbin de la diplomatie algérienne Ramdane Lahmamra,tout indique en Algérie que la diplomatie de la mule noire Abdelkader M'Ssahel le DRS du général Tartak, deviennent de plus en plus affaiblis par l'ingérence directe du chef-cuisinier et prince heureux de la présidence algérienne qui, dans ses prérogatives et occupation de président algérien du 2°rang, prépare les menus, tous les menus y compris les gastronomiques, à l'aide et consultation des valets de chambre, les plus proches de son frère le président mort-vivant Abdelaziz Bouteflika.
Pour crypter les cartes et brouiller les pistes vers le palais d'AlMouradia et faire préoccuper davantage l’opinion publique locale algérienne par des futilités et gagner du temps, en vue de maintenir, au maximum, le statu quo, tout le monde en Algérie et ailleurs a bien vécu ces derniers jours, des séquences théâtrales mises en scène, sous projecteurs médiatiques, par le président-second pour faire croire au peuple algérien et par son biais à l'étranger que Bouteflika exerce bien ses attributions, opérant à des remaniement dans différentes sphères et rouages de l'Etat et faire sentir à ses détracteurs algériens qu'il est encore-là et que le dicton de Mohamed Chérif M'ssaâdia, qu'il avait évoquer à son encontre, (intitulé de la dernière note du blog en date du 30/6/17).reste toujours valable et s'applique pratiquement bien à son cas.
Said Bouteflika, le conseiller-frère du président et le vrai teneur du chronomètre du compte à rebours, veille bien sur l'ordre de l'Etat, évitant une fin accidentelle du phénomène Bouteflika. Ainsi, les algériens le voyaient, appliquer dans les normes, les pseudo-prérogatives du mandat électoral de sa momie-frère Abdelaziz Bouteflika, exprimant du fait aux dingues algériens et autres la stricte nécessité qu'affiche la famille en règne de voir le verdict des présidentielles rendu par les urnes en avril 2014 atteint son terme(!)
Bouteflika prouvant le trajet d'Al Mouradia au cimetière Al Alia d'Alger
Présidence -made in Algéria-..Les dernières actions et interventions de Said Bouteflika derrière les rideaux ont permis à tout observateur de remarquer,la purge qu'il est en train de perpétrer au nom de son frère au sein de l’exécutif algérien et partout, changeant uniquement "le pion par autre, pour reconstituer le clan présidentiel qui se disloque au fils de temps par des fissures inopinées, le poussant ou presque vers le terminus inéluctable, de manière à rendre à son entourage la fiabilité, loin de toute crédibilité, dont on ne rêve jamais instaurer aux rythmes algériens.
Les changements opérés jusque-là, sont que des calmants pour tenir le souffle jusqu'au mois d'avril 2019, si son frère survivra à ce rendez-vous. Sur la photo les algériens se félicitent de voir leur pays procréait le premier président handicape au monde , qui détient, voire qu'on détient en son nom, presque tous les pouvoirs, mais lui est tout le temps-là dans sa résidence médicalisée d'Alger. Il ne va nulle part,ni en province pour faire compagne électorale,ni même à l'aéroport pour accueillir ses homologues étrangers. Il est le seul président au monde qui ne peut prononcer un discours.
Son piètre état de santé l'oblige à annuler des visites à Alger, ou auditionner plus au moins prévues. Pour ne pas avoir, à les supprimer, le protocole présidentiel algérien ne les inscrit plus au programme de visites, même si on laisse entendre aux délégations étrangères que le président trouvera un moment pour les recevoir. Quand sa forme le permet, il reçoit les hôtes étrangers, mais sa voix est inaudible sans micro il se fatigue au bout d'une courte conversation.
C'est l'inévitable état de santé de la momie Bouteflika que les médias algériens et le soins le plus souhaité par le conseiller-frère et président second de l'Algérie Said Bouteflika ne peuvent en remédier à cette situation ou tout simplement en afficher la désinformation à la mesure.
Ce n'est rien que de l'imitation. Les modes Égyptien du Maréchal Abdelfattah Ssessi qui a brûlé et jeté à la largeur du mur les suffrages de vote exprimés par ses frères musulman, mettant en conformité à sa loi de maréchal, l’élu-vainqueur derrière les barreaux et celui du président tuc Tayyip Erdogan qui opère depuis un an de la purge dans son fief, suite au putsch avorté du mois de juillet 2016. Ces deux systèmes s'avèrent bien compatibles et applicables aux cas de l'actuelle Algérie, voire adaptables à sa cadence et à son pouvoir autoritaire corro
A cet effet, pour que le pouvoir Bouteflika survivra encore, le second de la présidence algérienne doit agir et intervenir au nom de la loi de la jungle et conformément aux prescriptions du papier-chiffon (la constitution)et en faire le ménage autour de la présidence familiale en dépit de sa faiblesse en code de la route.
A mon Avis, pour être président et réussir au poste, il faut se posséder d'un bon bagage politique et pratique dans la gestion de l'Etat. Said Bouteflika n'en a pas ces qualités, mais il est contraint de se débrouiller pour s'en sortir de l'impasse où est arrivée sa famille présidentielle à cause de la maladie de son parrain frère le président au fauteuil roulant et au valet-poussoir.
Je veux dire par-là, que si cet heureux gâté de l'Algérie réussissait fort bien à chasser de son chemin, l'homme le plus fort et influents de l'Algérie, en l’occurrence "Rabb Ljazaer" pour n'utiliser que le terme que lui donnaient les algériens en son temps fort, sans parler des lièvres écartés de l’échiquier de l'FLN et autres éléments nuisibles à la famille du président, il abuse, sans merci par ses décisions flatteuses, provoquant à la dégradation de l'Etat algérien devant les yeux des larbins algériens devenus faibles face à sa férocité de président second.
A cause de cette anarchie sévissant actuellement dans tous les rouages du pouvoir algérien,, je citerai en exemple, la perte de vitesse de deux institution étatiques, les plus médiatisées en Algérie, en l'occurrence : Sa diplomatie d’Autriche et son fameux DRS, qui coupait, il y a peu de temps le souffle aux algériens,. Ces deux machines de mensonge et de propagande, qui à ne cessaient de mettre, en priorité, que les intérêts du Maroc dans leur ligne de mire.
La diplomatie algérienne est tombée dans ses ravins fallacieux, incapable d'éviter son état flagrant en dégénérescence.Le limogeage de Ramdane Lahmamra était le baromètre de colère suscitée par ses échecs face à la diplomatie Marocaine dans l'affaire du Sahara Marocain.
Le vrai et le faux présidents Boutelika, ramant pour survivre jusqu'au 2019
Un coup de brosse de plus..De son coté Jamel Ould Abbas le thuriféraire de l'FLN prépare le terrain de la présidence Algérienne à son commanditaire Said Bouteflika. Par sa dernière sortie médiatique il vient de faire un tour de chauffe pour les élections présidentielles algériennes prévues en 2019, tout en défendant le droit de Saïd Bouteflika à se porter candidat, ce qui sonne comme un avis de tempête en Algérie.
Ould Abbas n'y va pas par quatre chemins. Pour lui, le prochain président de l'Algérie ne doit être que Saïd Bouteflika ou bien son frère, le président Abdelaziz, qui en est déjà au terme de ses quatre mandats, en dépit de son incapacité flagrante à gouverner.
Le 22 juillet courant, à la chaîne-tv algérienne "El Bilad", Ould Abbes n'a pas tari d'éloges à l'égard de Saïd Bouteflika qui, selon lui, a le droit comme tout citoyen algérien de se présenter aux élections, qu'elles soient législatives ou présidentielles.
Il ajoutait en plus, sous forme de brossage envers la famille en règne en Algérie que Saïd est un homme humble. Son frère Abdelaziz lui a inculqué des valeurs qui ont fait de lui un homme droit. Il n’est pas une personne extravagante.
Perte de vitesse.! A force de miroiter les pétrodollars, les algériens n’ont pas vu le vent des idéologies éculées, leur fond de commerce sur les plans africain, arabe et international pour asseoir leur éphémère leadership, s’essouffler et disparaître définitivement; une disparition accompagnée par une chute vertigineuse des revenus de l'Etat, obérant gravement son économie et portant un sacré coup à la diplomatie des valisettes de pétrodollars.
Je ne peux compter toutes les défaites diplomatiques algériennes enregistrées depuis l'offensive de la diplomatie Marocaine, mais seulement un petit rappel non exhaustif des déroutes des responsables algériens et leurs miliciens polisario durant ce deuxième trimestre de l'année en cours :
1-Le Ministre malawien des Affaires Etrangères a annoncé le retrait de la reconnaissance de la RASD par son pays.
2- Le vice-Ministre des Affaires étrangères du Myanmar a annoncé le soutien de son pays à la position du Maroc au sujet de la question du Sahara marocain.
3- La justice panaméenne inflige un cinglant camouflet aux algériens par le biais du polisario en les déboutant de leur plainte de saisir un navire transportant une cargaison de phosphate marocain en provenance de Sahara Marocain et destinée au Canada.
4- Le Ministre angolais des Relations Extérieures s’est rendu en visite de travail au Maroc, la première depuis plus de vingt ans. Un événement qui constitue tout un symbole pour la diplomatie marocain lorsqu’on sait que l’Angola est considéré comme une «citadelle algérienne» et un soutien du Polisario.
5- Le Comité de Décolonisation de l’ONU (C24) a conclu ses travaux sur un double échec cuisant pour son président, l’Ambassadeur du Venezuela et pour l’Algérie, mettant à nu leur agenda personnel et idéologique au sujet du Sahara Marocain.
6- du 01/03 juillet 2017, à Addis Abéba, siège de l'U.A, le Maroc a marqué trois précieux points contre ses adversaires, à savoir que l’U.A s’en tient désormais à la compétence exclusive de l’ONU sur le dossier du Sahara Marocain, appelle à une solution strictement politique et expurge de son lexique toute la terminologie algéro-polisarienne hostile au Maroc.
7- Mr Moussa Fakhi, le Président de la Commission de l’Union Africaine (U.A) a ôté la peau de la Sud-Africaine Dlamini Zuma, en annonçant avoir pris note des arguments du Maroc concernant son Sahara et des efforts sérieux et crédibles que lui reconnaît la communauté internationale pour clore définitivement ce dossier.
Cette déclaration, en rupture avec le langage de l’Algérie a frappé de mutisme la presse algérienne qui a omis de relever la nouvelle position de l’U.A et préféré opter pour la désinformation.
8- Le Parlement Européen renvoie l’Algérie et son pantin polisario à leurs chères études après le rejet du projet de résolution présenté par des eurodéputés engagés, recommandant l’élargissement du mandat de la MINURSO au contrôle des Droits de l’Homme au Sahara, un projet qui invitait à mettre à exécution l’arrêt de la Cour de Justice Européenne au sujet du Sahara.Pour rappel, la proposition d’élargissement du mandat de la MINURSO avait été rejetée fin avril 2017 par le Conseil de sécurité.
A la lecture de ce qui précède, il est évident que l’ère de la domination de l'Afrique du sud et de l'Algérie sur le continent Africain a été jetée aux orties lors du dernier sommet de l’Union Africaine. Nul doute que tout un chacun est désormais conscient que c'est bien l’Algérie qui bloque le processus de résolution du dossier du Sahara Marocain et ce par manque de bon capitaine de bord qui décide et impose une quelconque ouverture et débloquer la situation en Algérie
Le bilan diplomatique algérien, qui vaut non seulement pour la période décrite en "supra" mais aussi depuis le début d’année 2017, est nul en comparaison aux victoires éclatantes et percutantes de la diplomatie silencieuse du Maroc.