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Maroc-Algérie :Les thuriféraires, opportunistes et rentiers..

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La comparaison Algéro-Nippone

Le temps de noter..Visiblement, mes deux dernières notes sur la saleté de la gauche Marocaine et de la frivolité Pdjiste n’ont pas été du goût de certains lecteurs, voire de visiteurs Marocains au blog. C’est à eux que j’ai jugé utile de m’adresser directement cette fois-ci. ‘’Eux’’,qui se sont emportés par le vent du dernier rassemblement de la rose à Oujda. Ce sont ces thuriféraires de tous horizons de traîtrise qui ont érigé un mur, ou plutôt une sorte de ‘’méfiance’’ entre les Marocains, que nous sommes et les Algériens.

Quitte à inscrire la longévité de leur mauvais comportement au palmarès du pays en porte-à-faux avec l’air du temps de l’alternance au pouvoir, le temps des mandats électifs limités dans la durée, le temps d’un renouvellement dynamique, fécond et salutaire des élites dirigeantes, à l'ombre de ce qu'on appelle accidentellement au Maroc " le printemps arabe de 2011" qui nous a livré un troupeau de loups barbus, frappé aux oreilles de l'étiquette du Docteur El Khatib.

D'autre part, à des ingrats de l'autre coté que je m’adresse ici. Ceux qui me font le reproche de m’occuper de ce qui ne me regarde pas. Ils m’accusent de parler depuis au nom de la "Mokhabarat" de mon pays,de veilleur de nuit du Makhzen à son palais, se croient légitimement fondés à me disqualifier du droit de participation , en virtuel, à tout débat national.

Je n’éprouve aucune gêne et aucune honte à exprimer mon point de vue sur le vécu d'un pays ingrat (Algérie) qui me considère "ennemi internaute féroce". Oui, je le suis et je le dis à voix haute, je suis chez moi, dans mon petit jardin secret ! Et il l’est plus que jamais !  Aucun de ces laudateurs ne peut m’interdire mon droit de citoyen à l’expression et mon droit de simple observateur à donner son point de vue, dans le respect de la loi et dans le respect des principes déontologiques.

Ils se reconnaîtront un à un, je n’insulte pas, je ne porte pas atteinte à l’honneur de personne! je récite seulement ce que mon pays à vécu de troubles lors de la myopie de certains des nôtres qui les a mis  au service  de l'Algérie pour démolir sa grandeur continentale.

Tels des juges suprêmes es-nationalisme et es-citoyenneté exemplaires, ces laudateurs me renvoient en permanence à ma localisation virtuelle. À ceux-là, j’oppose un fait et rien qu’un fait : je ne quitterai jamais mon claver ni ce monde virtuel pour les harceler et les vexer tant que je peux .

Ils le savent. J’ai été poussé, au départ par le plaisir d'écrire, de faire des conférences anti-algériennes en paltalk, de convoiter et accompagner l'évolution de cet espace bleu,  par ceux-là même qui poussent aujourd'hui au rapprochement avec une ingratitude séculaire qui fait son nid en Algérie  et font tout pour l’acter.

C’est avec la mort dans l’âme algérienne que je me suis résigné à sortir de quelque part du Maroc qui m’a enfanté, éduqué et formé pour mettre à nu la trahison de quiconque, qui oserait frapper les portails du palais royal, même avec des petits boulets en pisé. 

Hier c'était la gauche Marocaine qui souhaitait l'éradication du Maroc de ce qu'elle appelait "l'autoritarisme du feu Hassan II", aujourd'hui, un Harami Eddine qui nous sort du cendre de la faculté Dhar El Mehraz de Fes, originaire certainement d'un des bidons-villes du coin et nous apprend que "C'est la Monarchie Marocaine", qui bloque la rotation économique et sociale  et l'évolution politique du pays.

Sachant que cette même Monarchie qu'il critique lui a déroulé le tapis rouge pour accéder à l’hémicycle (le parlement) pour y bavarder sous sa coupole, laquelle il n'aurait observé auparavant que de loin, si non qu'aux cartes postales.

La contagion rentière et le nombre de primes qu'il entasse, sous son étiquette politique, le poussant à négliger ou à faire le semblant de nier que les grands chantiers d'infrastructure de base ouverts à travers tout le territoire sont le fruit de cette Monarchie, dont le principal acteur n'est que Sa Majesté le Roi et personne d'autre des thuriféraires politiques.

Le drapeau-chiffon..J’ai été face à un dilemme : Me soumettre ou me démettre. Sans la moindre hésitation, je n'ai fait aucun choix de ce deux verbes. Mon choix est dicté par le sens de l’honneur. Je me suis regardé dans un miroir et je me suis rappelé du souhait spirituel de bravoure entonné, durant toute mon enfance, par mon géniteur et mon chéri de père, qui tendait ses paumes vers le ciel m'exprimant le désir de voir, avant de faire ses adieux, que le bon Dieu pliera le drapeau-chiffon de l'Algérie, ou selon ses propres termes (Allah yatwi Rayet Ljazaer).

En prenant congé du cimetière de ‘’La bas prés de la barrière entourée de truffes’’ où mon père repose depuis 1988, je lui ai fait un dernier serment, une manière de le rassurer et l’assurer que je serai fidèle à son testament de foi, du moins par mes écrits dans le virtuel. Les yeux fixés sur la terre qui abrite mon père et la gorge serrée par l’émotion, j’ai engagé un ultime dialogue avec mon père : "dors tranquille ya haj......?.. Je ne serai pas à l’image de nos opportunistes et les autres connards que tu connais bien, qui guettent les occasions opportunes pour sauter sur n'importe quelle proie rentière.

Détermination opposée..À ceux qui me rappellent, à chacune de mes chroniques, que je vis hors limite de la raison, à ceux qui me contestent le droit d’exercer mon double droit d’expression comme citoyen et observateur, je leur oppose ma détermination. Leurs attaques ne me perturbent aucunement. Je continuerai à apporter ma modeste contribution aux débats de mon pays car, à la différence de nombre de laudateurs, je n’ai pas de pays de rechange.

Je continuerai à m’exprimer sur le devenir et sur l’avenir de mon pays, face à l'entêtement d'un frère-ennemi que la géographique nous impose à l'Est. C'est sous les cieux de ce grand Royaume Chérifien que mes enfants et les millions de Marocains et de Marocaines de leur génération conçoivent leur avenir.

Aux opportunistes et aux thuriféraires,  je leur promets de continuer à écrire. Je ne suis pas obligé de résider ailleurs pour jouir du droit d’expression, droit constitutionnel sacro-saint s’il en est. Les Marocains, où qu’ils se trouvent, ne sont pas obligés d’y résider pour ouvrir droit à l’expression et dire comment ils conçoivent  «مغرب العزة والكرامة » en  cette ère Royale «Mohamadia»,et quels en sont les fondamentaux, loin du faux slogan de Bouteflika , "Jazaer R'faâ Rassak Abba " .

Ma lettre d’aujourd’hui est destinée à la bande d’opportunistes, de rentiers, de laudateurs, de thuriféraires qui ont constitué et réussi une atmosphère de "bla-bla" pour faire pencher, chacun à son profit, la balance de privilèges. Mes propos sont destinés à mes détracteurs’’. Vous vous reconnaissez le peuple et le peuple vous connait, un par un, et connait vos manœuvres et vos pratiques. Aux yeux des Marocains, tout est devenu plus clair que jamais, les prochaines étapes d'échéances électorales en jugeront et les verdicts tomberont certes.

Revenons au grenier.. Dans ce grenier il y en a trois couffins qui contiennent respectivement : -L'anarchie-dz  à cause du sigle de l'Etat-FLN et les origines de la méfiance., -L'opportunisme au séquelles et plaies engendrées par une trahison d'autrefois et -Le tressage d'un parti islamawiste qui tombe subitement du plafond se distinguant "provisoirement au premier rang" au champ politique national.

Je raconterai ci-après, à Ssi Abderrahmane Youssoufi la situation désastreuse où se trouve son Algérie. Cette Algérie qui, rappelons-le, dans un certain temps, l'avait hébergé et financé pour porter atteinte à  son pays. Ce Ssi Abderrahmane,  qui serait encore dans ses pleines capacités mentale et physique pour visualiser son rétroviseur et revoir la fin anarchique de l'oppresseur Algérien qui le manipulait avec sa bande de "Maghreb Echou 3oub".En lui disant que la junte d'Alger, à laquelle il avait adressé, à partir d'Oujda, son appel de tolérance et de fraternité impose toujours sa perfection au peuple Algérien et affiche sa haine et son hostilité au Maroc.

Un ami à moi qui vient juste d'entrer d'Algérie me racontait des choses bizards. Ce que les algériens refusent de voir en face ou d'en croire, c'est qu'en Algérie, le système de gouvernance n’est pas sain, les conditions nécessaires pour une bonne gouvernance inexistantes.Les visions sont multiples mais un seul constat : l’Algérie souffre d'un malaise, d’une paralysie institutionnelle, d'une saleté incontestable de son pouvoir corrompu, et de l'anarchie totale. Tout ce désordre, que les algériens ignorent ou se font le semblant d'ignorer  a perdu, à leur insu leur  pseudo-identité, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur.                      

Le sigle FLN..Il y a quelque chose de triste dans ce qu’il est advenu, ce que les vielles hyènes de l'Algérie considèrent "du prestigieux sigle FLN" en Algérie. Les clans, pourvus d’ambitions mafieuses manifestées, ont flairé, en pleine guerre interne, l’avantage tactique à tirer de l’appropriation exclusive du sigle FLN. Ils firent du Front qui associait toutes les sensibilités de bougres et de voyous, un parti… unique qui commandait l’intolérance de toute autre vision que celle de ses ex-propriétaires. Ils firent du libellé de la pseudo solidarité algérienne, l’instrument de l’exclusion autoritaire.

On  leur rappelant leur histoire, les Algériens n'ignorent pas certes les manœuvres et affrontements qui ont marqué l’été 1962, au lendemain des fâcheux accords d’Évian entre les armées de frontières rentrant de Tunisie et le clan d'Oujda, aboutissant à la confirmation du coup de force du clan d'Oujda conduit par le couple Ben Bella et le maudit Boumédiane avec leur gamin et lèche-bottes Bouteflika.

Ben Bella, entré à Alger avec l’état-major quelques jours plus tôt, est désigné président de l’Exécutif et adopte sa charte, instituant le socialisme et le parti unique, comme programme. Il proclame ce qui sera le véritable programme du FLN-appareil jusqu’à aujourd’hui : “La démocratie est un luxe que l’Algérie ne peut pas se permettre.”Mal lui en prit. Son règne durera moins de trois ans. Parce qu’en matière de dictature, ce n’est pas le parti qui contrôle le pouvoir ; c’est le pouvoir qui contrôle le parti.

Après le coup d’État du 19 juin 1965, comme pour se mettre en conformité avec sa fonction réelle, le FLN adopta ce statut d’appareil jusque dans sa structure : c’est l’appareil du parti qui organise l’activité politique : il sert surtout à empêcher l’intrusion dans les institutions de l'Etat les Algériens qui n’ont pas fait preuve d’obéissance et  de leur adhésion au système de pouvoir.

Une fonction de police politique sans arme entre discrètement en fonction, dont l'exécution est confiée à l'ex-DRS, dirigé respectivement par Abdelhafid Boussouf,le maudit-créateur, le colonel Kasdi Merbah, et les généraux Smaine Lamari et Mohamed Mediane, alias Toufik, un département transformé après, par la racaille de Bouteflika en DSS (Département des Services Secrets) sous le commandement du  bourreau de la décennie noire des années 90, le général Athmane Tartak.

La nécessité d’adapter les hommes et le mode d’action aux nécessités conjoncturelles de maintien du système installé par le couple Ben Bella-Boumediene et entretenu par leurs successeurs, toutes sortes de subterfuges ont été testés pour l’adaptation du personnel et du mode d’action de l’appareil.

Et cet appareil, qu’on affuble de l’abréviation sacrée de FLN a été dans toutes sortes de combines qu’illustrent les péripéties de “la justice de la nuit et de l'enlèvement”, jusqu’à l’actuel bafouillage animé par le bureau politique, contraint à voir à chaque mois un nouveau locataire et autres clans des milliardaires dominés par Ali Haddad et un certain Issad Rabrab…

Paradoxalement, c’est sous le régime qui a introduit une réforme constitutionnelle protégeant les symboles de la famille en règne du royaume de Tlemcen, que la dispute autour de l’instrumentalisation de l’un de ces signes connaît une grossière et irrépressible surenchère par l'achat de la paix sociale, tout en distribuant "à flot" les offrandes à tout algérien affichant sa fidélité au président d'honneur du FLN, le cadavre momifie à la résidence présidentielle de Zeralda d'Alger.

On ne dira pas en Algérie qu’il est temps de cesser de compromettre le sigle FLN dans les affrontements autour de la rente : il peut encore, par le biais du nouveau thuriféraire Moad Bouchareb rendre trop de services au clan présidentiel pour que l’appel soit écouté. Les Algériens pourraient alors répondre par un ricanement à la Taflikienne.

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                                                           Ouyahya, le premier ministre algérien

Les origines de la méfiance..La méfiance du pouvoir algérien vis-à-vis des postures Marocaines trouve également racine dans un événement datant de plus de quatorze ans ayant affecté durablement la vision des dirigeants algériens concernant les dirigeants Marocains.

En mars 2005 s’est déroulé à Alger le sommet de la Ligue arabe, auquel a pris part Sa Majesté le Roi Mohamed VI.Mr. A propos, Mr.Mohamed Cheikh Byadiallah, alors ministre de la santé faisant partie de la délégation qui accompagnait le Souverain, refusait de recevoir  à Alger son grand-frère du polisario, lui imposant la ville de Laâyoune s'il en aura envie de le rencontrer. Une attitude d'homme d'Etat loin de tout soupçon..

La venue du souverain à Alger avait marqué le début d’un rapprochement entre l’Algérie et le Maroc, le ministre des Affaires étrangères de l’époque, Abdelaziz Belkhamej, ayant parlé de «dégel» et qualifié la rencontre entre Bouteflika et le Roi de «conviviale». Le Souverain, a l'heure de ses habitudes, était même sorti par voiture dans les rues d’Alger afin de saluer les foules qui l'acclamaient volontairement par des vivats jamais enregistrés, même pour Bouteflika.

Les échanges s’étaient tellement bien déroulés qu’un déplacement du chef du gouvernement de l’époque, Ahmed Ouyahia déjà, avait été fermement programmé pour le mois de juin de la même année 2005. L’idée était de normaliser les relations bilatérales tendues, explique un haut responsable Algérien à TSA, qui indiquait que la visite d’Ouyahia devait notamment être ponctuée par une audience au Palais royal, selon le programme officiel validé par le gouvernement Marocain de l'époque.

Quelques jours à peine avant la visite prévue, le 16 juin 2005, une dépêche de l’agence officielle Marocaine MAP citant le ministère des Affaires étrangères Marocain affirme que la visite « envisagée s’avère, pour le moment, inopportune ».

«Les prises de position affichées, au dernier moment, par les autorités algériennes étaient en nette contradiction avec les objectifs de normalisation bilatérale, de rapprochement entre les deux peuples et de relance effective de ce qu'on appelle  «l’Union du Maghreb Arabe » Et c'était normal de s'attendre à une telle réaction infructueuse des «Dix en Une cervelle».

L’annonce provoquait la stupéfaction des dirigeants algériens, qui dépêchaient l’ambassadeur d’Algérie à Rabat afin d'infirmer ou de confirmer la dépêche, relate le haut responsable algérien interrogé par TSA. La diplomatie Marocaine confirme sans fournir d’explication à cette sortie médiatique, et l’Algérie décide d’annuler la visite avec beaucoup d'amertume.

«C’est une décision politiquement étrange et diplomatiquement maladroite», affirmera quelques jours plus tard Abdelaziz Belkhamej, devenu entre-temps ministre d’État, représentant personnel de Bouteflika. « Nous ne comprenons pas cette façon de faire de nos frères Marocains qui consiste à annuler de façon unilatérale une visite convenue bilatéralement », avait ajout, faisant remarquer que l’Algérie avait décidé de normaliser les relations bilatérales (!) Apparemment ce ne sont que des paroles  hypocrites d'un loups barbu algérien.

Quatorze ans plus tard ou presque, le Maroc n’a toujours pas donné à ce jour la moindre explication concernant l’annulation de la visite programmée et fixée, laissant ainsi pour les dirigeants algériens un sentiment de doute et de malaise durable quant aux intentions y afférent de la partie Marocaine.

                                                

Le faux-Socialiste.. Mr.Abdelouahed Radi en tant que parrain et analyste de la gauche Marocaine.  Il devint l'opportuniste qui a su comment en profiter de la stupidité de ses camardes de l'UNFP, Ssi abderrahmane et sa bande d'Alger.

C'est le pur capitaliste qui possède des centaines d'hectares hérités du colon, l'ami d'autrefois de son père? Pour garder la même cadence de privilèges et de conforts, il lui a fallu se déguiser, pour des circonstances camouflées, en faux-Socialiste, tout en préservant le confort qui est du droit au fils d'un Caid de L'isti'âemar.

Quand le ventre se fait le plein, il appelle la cervelle à chanter, comme en dit le dicton Marocain. C'est dans cet aspect que Ssi Radi s'est donné le droit de dicter. Ainsi, dans une interview  à l’hebdomadaire "Jeune Afrique" il laissait entendre, entre autres, que : «Le Maroc a toujours besoin d’une monarchie parlementaire régulatrice». allant dans le même sens du trio du mal de l’extrême gauche -  Mounib la dame  aux gans de velours, voire la dame aux moustaches - Ben Amrou l'avocat de toute frivolité et Benjeloune Andaloussi le syndicaliste qui vivait de la boue patronale.

Si la constitution Marocaine que les Marocains prennent en référence aujourd'hui, nous donne même le droit de rêver librement. Ssi Radi rêvait avec ce trio d'ultra-intelligents qui représente que les exclus politiques.Il est le plus malin d'eux car il tapait sur le cordon qui retient les tympans de certains politiciens qui convoi-tisent, à chaque nouvelle étape, le degrés de chaleur agitateur de la rue.Un rêve qui ne se réalisera jamais au vivant  de Ssi Radi ni de celui de ses pairs opportunistes.

Sachant que la «Monarchie constitutionnelle» appliquée par le régime actuel est la seule garante de toute autre transition future, tant que Ssi Radi et ses semblables incitent, à chaque échéance législative, les intentions de vote à marcher, pieds nus, sur des cactus huilées par des "Tajines de viande d'agneau" et dans certains des cas sur "le billet bleu", dit-on, pour les plus démunis pour garder de l'avance sur ses adversaires qui s'activaient, en vain, pour changer la donne au fief Radi à Sidi Slimane.

Est-ce  avec ce comportement corrompu qui viole aux gens, tout droit d'expression et de choix électoral libre, qu'on passe à la vitesse supérieure menant à changer le régime de gouvernance du «constitutionnel au parlementaire?». Je le pense pas, et ce doyen des parlementaires de Sidi Slimane le sait bien plus que d'autre. Il sait davantage que la majorité d'électeurs (+70%) n'est pas mûre ni en mesure de préserver ses droits civiques. Mais il en profite aussi de la stupidité de son douar qui en prend encore de la "dépendance", sa confession tribale pour prier là où il voit le fils du Caid Radi d'autrefois.

Parlant aussi du retour  du Maroc à l’Union africaine, la crise gouvernementale de Benkirane, le leadership au sein de l’USFP, évolution démocratique du royaume…Mr. Radi passe en revue les grands dossiers et rembobine plus d’un demi-siècle de carrière.

Faut-il souligner en la politique, Abdelouahed Radi s’y est lancé avant même la création du Parlement, en 1963. Depuis cette date, il a été constamment réélu député de son fief de Sidi Slimane, où son père était caïd du temps du protectorat. Il a donc vécu les dix législatures de la vie politique Marocaine avec toutes ses péripéties et a côtoyé les grands moments de turbulence dans lesquels son parti de la rose s'est érigé pendant des décennies, en acteur-instigateur principal de troubles et de haine contre la Monarchie Marocaine de feu Hassan II. Mais il savait comment se peint la figure pour s'en sortir indemne à chaque coup de filet d'Oufkir ou de Driss Basri.

Pour se montrer en homme d'Etat et pas un prétendant de pouvoir ou de privilèges,  il jouait à la marrée le jeu de "deux poids et deux mesures". Un œil sur ses camarades d'opposition et un autre sur les sons de tambour qui sortent de l'ex-résidence du Résident Français au quartiers de ministères à Rabat pour choisir le ton et la note musicale qui convenait à sa voix.Il était ministre et parlementaire à vie.

 Il en tirait la poil de la pâte en souplesse et disait dans son interview avec un ton de gouvernant que le retrait du Maroc de l’OUA avait résulté d’un complot financé par des ennemis de notre intégrité territoriale. Un complot que nous étions à deux doigts de déjouer, mais les circonstances ont joué en notre défaveur. D’ailleurs, le sommet de novembre 1984 devait initialement se tenir à Conakry, mais le décès de Sékou Touré et la période trouble que traversait alors la Guinée ont conduit à son déplacement à Addis-Abeba.

Et d'ajouter..Je faisais effectivement partie de la délégation conduite par feu Ahmed Réda Guédira dans la capitale éthiopienne. Après que le conseiller royal a lu le message de Hassan II annonçant le retrait du Maroc, nous sommes directement rentrés à Fès pour rendre compte au roi. À la fin de la réunion, Hassan II m’a retenu et m’a demandé de retourner illico à Addis-Abeba pour transmettre des messages à plusieurs chefs d’État. S'agissant,parait-il, de messages secrets qu'il  ne pouvait divulguer et si bien sur on croit ses mémoires, il les porterait avec lui dans sa tombe.

Le scandale inédit.. des médias Marocains ont rallié les voix qui dénoncent «le double visage et l’hypocrisie» d’un certain nombre de politiques islamawistes au Maroc, notamment ceux du PJDParmi ces grandes gueules du parti, la députée voilée La «Amina Eau-d'yeux»  qui a été apparemment photographié, à sa sortie du cabaret, en train de danser les cheveux en l’air non loin du Moulin Rouge à Paris.

Voilà ce que pense la rédaction du blog de ce fait divers néanmoins hautement politique et instructif :[« Le voile a finalement été levé, voire jeté à la largeur du mur des champs Elysées, sur la photo de la parlementaire du (PJD)  dansant dans le quartier chaud de Paris qui abrite le célèbre cabaret du Moulin Rouge et autres bars et boîtes de nuits.

La députée du PJD aux yeux carrés et à langue trop tranchante,est bel et bien celle d'un parti qui ne cesse de rappeler à qui veut l’entendre son “référentiel religieux” et “l’attachement” de ses dirigeants aux préceptes d’Ibn Taymia, a ainsi été vue dans ce quartier que peu de personnes osent dire avoir visité lors d’un de leurs séjours dans la ville des lumières.

La question est de savoir à qui devons-nous désormais avoir affaire, est-ce à la députée qui danse en un moment d’extase dans ce quartier parisien que fréquentent les jeunes à la recherche de la débauche et de la nudité surtout lorsqu’on s’est habitué à ses discours et à ses leçons de matière politique, de jurisprudence et de religion?

Ou bien, devons-nous traiter avec la parlementaire Eau-d'yeux qui a pris l’habitude de se rendre à l’étranger aux frais du contribuable marocain ? Ou encore avec la militante d’un parti Marocain dont les dirigeants ont jeté leurs masques religieux pour porter ceux de l’hypocrisie et de tressage.

Nous ne savons plus à qui on a affaire.Nous ne sommes pas sous le choc ou surpris tant que les dirigeants du PJD nous ont déjà gâtés de situations similaires dont Choubani et ses aventures avec Benkhaldoune répudiée à la recherche d'un autre amant, Yatim et sa fiancée à Paris!, Ben hamad et l'fqiha Nejjar à la plage d'Al Mansouria et la liste est encore longue jusqu’à ce qu’ Amina Maelainine à la langue longue nous révèle ses deux visages. Sans trop ennuyer le lecteur, nous lui laisserons la liberté de méditer sur la photo de la députée islamawiste pudique au Maroc et dansante et impudique à Paris.

Merci pour ce cadeau de fin d’année au peuple Marocain, sachez que nous soutenons les libertés individuelles et la modération dans la pensée et les attitudes, mais que nous ne serons jamais complaisants envers les hypocrites qui usent de la tromperie et du leurre, car Dieu a dit à leur sujet dans Sourate Al Baqara :“Et quand on leur dit: Ne semez pas la corruption sur la terre, ils disent: Au contraire nous ne sommes que des réformateurs. Certes, ce sont eux les véritables corrupteurs, mais ils ne s’en rendent pas compte”.

Ce n’est peut-être pas à tort que la majorité récuse le qualificatif de « grande muette ». Parfois, elle sait se montrer plus loquace et plus présente sur la scène médiatique que des entités dont la vocation première est de communiquer.

Depuis le début de ce scandale Pjdiste, les réseaux sociaux et d’autres canaux, en parlent, expliquent, dénoncent et mettent en garde, au moment où, paradoxalement, les partis politiques, notamment ceux de la majorité, se murent dans le silence.

C'est vrais, il s'agit là de la cuisine interne Pjdiste, mais cela n'exclus pas la solidarité, de la coalition, pour ne pas dire l'hypocrisie politique, de la majorité qui, parait-il, affectée davantage par ce comportement malencontreux d'une des membres de la locomotive qui la conduite.Une locomotive qui remis sur le devant de la scène politique le discours paradoxal et ambivalent du PJD et enclenché le débat autour de l’habit comme son symbole référentiel idéologique

Mais aujourd’hui, cette affaire a dévoilé la politique du PJD. Du moins, elle  a divisé ses leaders. En effet, le parti est scindé en deux blocs. Le premier, qui défend la députée, a d'abord invoqué la théorie de complot, avant de recourir à d’autres arguments, soulignant notamment que le voile n’a aucun lien avec les référentiels du parti et renvoyant l’affaire dans le camp de la vie privée. Alors que le second clan crie au scandale et dénonce le double discours des leaders du parti. Quoi qu’il en soit, cette affaire de voile a dévoilé le vrais visage des loups barbus du PJDBonne lecture.

                                                          Cordialement,Chihab25

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