Maroc-Algérie : Le temps où les Algériens tendaient la main au Maroc pour demander l’aumône..!
l'ingratitude des dirigeants Algériens
Tout d'abord..Je ne peux en substituer aux Algériens dans les doléances qu'ils manifestent, même si parfois, pour me soulager, je griffonnais, en quelque sorte, sur les charges des vendredis, poussant là-dessus, des signes d'orfraie, tenant à équidistance de la mythologie grecque..(le porteur de mauvaises nouvelles est toujours tenu responsable). Et je n'aurais pas besoin de toutes les peines du monde pour suivre la désinformation et la démagogie de l'APS Algérienne, que je considère plus que téméraire qu'aucun autre organe Algérien d'information. On veillera, certes, de suivre ses conneries, pas comme du lait sur le feu, mais comme du bitume sur les braises..
Concernant le problème de frontières, je vais pas raconter de "fil en aiguille", tant que c'est la vérité qui parle d'elle même, contrairement à ce que les Algériens, en croient à la machination de leurs maudits ex-présidents Ben Bella et Boukharouba qui jetaient, les engagements du GPRA envers le Royaume du Maroc à ce sujet et depuis, les gouvernants jouaient et jouent encore aux grains de sable, s'enfuyant en avant.
La rédaction du blog préfère reculer, dans le temps jusqu'aux années cinquante du siècle écoulé, pour dénicher les failles entachant la position de l’Algérie dans ses relations avec le Maroc, en particulier le problème de frontières, constituant la pierre angulaire de tous les maux avec les Algériens. Un différent, faut-il noter, imposé par le fâcheux accord d'Evian officialisant unilatéralement le tracé actuel des frontières Algéro-Marocaines.
Un mécanisme ayant créé, malheureusement à notre coté, une Algérie indépendante déréglée, avec une élite bourrée d'orgueilleux, qui se fut dominée, dès le départ, par le complotisme qu'a subi la légitimité du GPRA, (Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne) juste après le cessez-le-feu "sin qua non" du 19 mars 1962, décrété par De Gaules, préconisant l'armistice entre Français et Algériens.
C'est dans ce syndrome que je veux bien user de mon mieux, pour localiser et recadrer le degré de fuite en avant de ces ingrats, enfantés par le clan d'Oujda qui, depuis qu'il a écarté les personnalités nationales Algériennes dignes de foi, s'en prenait à tout vent pour s'accaparer,à l'arraché, du pouvoir en 1962.
Mais au cours d'un peu de temps, tout ce sale clan disparaissait, au petit feu, pour y aller à l'enfer, au destin inévitable, voire au déterminisme, pour rendre les comptes devant le créateur de l'univers, en l'occurrence les 3 maudits B (Ben Bella-Boumediane-Bouteflika).
Cela pourrait évidemment créer une onde de choc qui peut préjudicier et froisser les envies de tous les algériens qui dorment, en duplicité, dans les bras de Morphée et pouvant paraître aux plus dingues d'eux, comme ingérence dans l'histoire fabriquée de l’Algérie. Tout observateur constaterait, à cet effet,que les Algériens n'ont aucune conviction personnelle, puisqu'ils tiennent farouchement,à nous faire avaler ce qu'ils nous ont volé.
Sachant que les mauvaises fois des Algériens ont clairement exprimé le refus de toute immixtion dans l'accord d'Evian, ou plutôt, revoir l'intangibilité de frontières héritées de France De Gaules, ni de changer le tracée actuel tenu par le système. Jetant à bas le raisonnement du sujet, ils ne manquaient, en plus, de concrétiser cette idée, tout en propulsant les voies de divergence pour matérialiser sur terrain le maintient du statu quo post-Evian.
Une situation d'anomalie ou plutôt d'anormalité stérile, devenue insupportable au fils de temps, au détriment des intérêts du Maroc concernant ses territoires Marocains, amputés par la France pour l'Algérie française, voire officialisés par spoliation à la faveurs d'Alger par les fâcheux textes d'Evian..
D'autant plus qu'avec l'autre problème artificiel du Sahara Marocain, oscillant aux officines de l'ONU, les intérêts du Maroc sont dans la plus part du tempos, exposés aux maux de tout venant, devant la volonté Marocaine de bonne foi, qui faut-il rappeler, s'agrippait et s'agripperait davantage au règlement, à l"amiable, de ces deux dossiers épineux qui ne font que brouiller la vision commune de bon avenir, d'une veuve-Algérie, tombée aux gouffres de mauvais gouvernants et d'un homme qui est le Maroc, dont sa crédibilité constitue l'une de ses principes d'Etat.
A noter en ce sens que, «tant que ces litiges persistent et perdurent», les relations entre Maroc et Algérie ne sauront jamais de bonnes issues, ou de ton d'apaisement, malgré les bonnes fois, des uns et des autres, même, éventuellement, aux ères futures, qu'elles soient, de règne de Hassan III du côté Marocain ou de tout autre ingrat de l'autre côté Algérien.
Hostilités mal tournées..En fait, ces trois arrogants en particulier, se sont aventuré, chacun en ce qui le concerne, allant jusqu'à créer frivolement, la guerre des sables en 1963 et l'épineux problème du Sahara Marocain dix ans après, pour affaiblir la grandeur de la Monarchie Marocaine et pousser, par la suite, le Maroc à une autre guerre d'usure.
D'autre part, profitant de la circonstance, le système Algérien s'interrogeait avec intimité, pourquoi pas ouvrir une fenêtre sur l'Atlantique; pour se baigner librement et liquider gratuitement les minerais de fer de Ghar Jbilat de Tindouf. Minerais, rappelons-le, sis au Sahara Marocain Oriental spolié par l'Algérie.
Cette histoire est connue de tout le monde, mais nous la répétons de bon gré, pour ne jamais oublier, car le Maroc, avec cette Algérie dépourvue de toute crédibilité, avait vécu trop de problèmes et continue avec, d'en avoir encore plus, surtout avec ses gouvernants d'origine Marocaine ou encore avec ceux qu'ayant vécu au Maroc et bu de ses eaux durant leurs peines.
Dieu merci, ce régime Algérien paie la note aujourd'hui par beaucoup de -fil à retordre- pour son hostilité et son ingratitude contre les bienfaits du Maroc.Et payera encore pour l'affaire du Sahara Marocain, jusqu'à ce que les braises de contestations, qui s'accentuent davantage et n’affaiblissent point, atteindront le sommet du système pour brûler toute la bande y compris le convoyeur de prison, le général Gaid Salah et son équipe de l'ombre.
Demander de l'aide au Maroc pendant la guerre d'Algérie, c'était une humiliation flagrante pour certains thuriféraires Algériens d'aujourd'hui. Ces ingrats issus des milles d'autrefois, portaient dans leur fond, une mentalité de supériorité, visant à humilier le voisin, à minimiser sa valeur, voire à porter préjudice au grand maximum, à la grandeur du pays qui les a accueilli, à bras ouverts, le Maroc, durant la guerre d'Algérie.
Il y a aussi la volonté des autorités militaires qui veulent faire en sorte, que l'acharnement de leurs gouvernants contre le Maroc, tel quel est, puisse s’appliquer aussi par les casernes, d’où l'incitation à la vengeance est de mise et doit être l'objectif à atteindre en cas de confrontations avec l'armée Marocaine.
Cela signifie du point de vue des experts, que l'Algérie se tient à équidistance entre éventuellement de bonne entente avec ses voisins Marocains et le fait dans le respect de la fraternité qui doit présider toujours aux relations avec eux.
Pour ce faire, les gouvernants Algériens s'enchaînaient, un après l'autre, pour certains des bouches-trou, et pour les plus enragés, garder le ton d'hostilité et augmenter le volume de haine au grand degré, contre tout ce qui est Marocain et y continuer avec des aspirations profondes pour instaurer et apprendre aux générations algériennes futures des mauvais chapitres de l’histoire de l’Algérie, prenant le Maroc en ennemi potentiel de toujours..
Ferhat Abbas s'inclinait devant le Roi Mohamed V
Arrêt sur image..Un proverbe arabe célèbre dit «Méfie-toi de celui à qui tu as rendu service». Dans le cas de l'Algérie, ce proverbe s’inscrira autrement ..«Méfie-toi de celui que tu as soutenu» étant que le proverbe n’a jamais été aussi vrai au vu de l’acharnement des dirigeants algériens contre le Maroc. Ainsi au lieu d’être les premiers à céder au Maroc son œuvre de récupération de son Sahara Oriental, comme lui l’a fait quand la France voulait détacher le grand sud Algérien pour créer deux états, les dirigeants algériens ont décidé d’engager une sorte de guerre non déclarée à la générosité du Maroc qui les a soutenu durant leurs peines..
Ce qui est irraisonnable, c'est quand le président du GPRA Mr. Ferhat Abbas venait solliciter l'aide du Maroc, le maudit Boukharouba et son gamin Bouteflika qui se sont accaparé, a l'arraché du pouvoir, étaient en train d'errer et de jouer aux cartes (Ronda et pocker) dans les cafés maures de Nador et d'Oujda.A savoir :
Le 1er janvier 1959, Ferhat Abbas venu à Rabat demander l'aide du Roi Mohamed V contre l'occupant français. La photo ci-dessus montre l’accueil chaleureux qui lui a été réservé par le souverain, tandis qu'au fond, Moulay Hassan debout, alors Prince héritier, observe la séquence.
Lors de cette visite, Sa Majesté le Roi feu Mohamed V assura son hôte et par son biais, le GPRA, alors tout juste créé en exil (Le Caire), du soutien ferme du Maroc au peuple algérien pour son indépendance.
Cette prise de vue est extraite d'une vidéo, partagée sur Twitter y a pas longtemps, on y voit clairement l’illustre hôte algérien s'inclinait devant le Roi, alors que son peuple souffrait encore sous occupation française, à contrario du Maroc qui a acquis son indépendance en 1956. Trouvant les voies ouvertes, les membres du GPRA avaient après multiplié les visites au Maroc, dans le cadre du soutien Marocain qui avait été crucial à la libération du peuple algérien du joug du colonialisme français.
En février 1961 le Roi Mohamed V meurt, le prince héritier Moulay Hassan prend les rênes du pays (mort le Roi, vive le Roi).En reconnaissance à la générosité du Maroc, alors que la lutte algérienne entrait dans une phase déterminante, le président Ferhat Abbas qui s'était de nouveau rendu au Maroc pour le remercier, avait reçu de Hassan II en tant que Roi le soutien inconditionnel du royaume, rapportait un communiqué du Palais Royal rendu public, dans lequel était écrit, noir sur blanc, je cite :
«Le gouvernement de S.M le Roi du Maroc réaffirme son soutien inconditionnel au peuple algérien dans sa lutte pour son indépendance et son unité nationales. Il proclame son appui sans réserve au Gouvernement provisoire de la République algérienne dans ses négociations avec la France, sur la base du respect de l’intégrité algérienne. Le gouvernement de Sa.Majesté le Roi du Maroc s'opposera par tous les moyens à toute tentative de partage ou amputation du territoire algérien», indique en substance une déclaration conjointe dûment signée par les deux parties le 6 juillet 1961 comme base d'entente.
A cette fin, les deux gouvernements avaient alors décidé de créer une commission ad-hoc qui devait se réunir dans les meilleurs délais pour procéder à l’étude et à la solution de ce problème, dans un esprit de fraternité et d’unité maghrébine.
Cette déclaration conjointe confirme également le fait que "le Gouvernement provisoire de la Révolution Algérienne reconnaît pour sa part,le problème territorial posé par la délimitation imposée arbitrairement par la France entre les deux pays, qui trouvera sa solution dans des négociations directes entre le gouvernement du Royaume du Maroc et le gouvernement de l’Algérie indépendante".Fin de citation.
Mais dix ans plus tôt, le quotidien Algérien El Moujahid, organe officiel du FLN, dans son édition du 19 juillet 1961, avait publié ce communiqué commun qui faisait suite aux entretiens entre feux Hassan II et Ferhat Abbas.
Elle n’avait été rendue publique par le Maroc que le 22 octobre 1963 après l'attaque surprise par l'armée de Ben Bella des points d'eau Marocains de Hassi Beida et de Tinjoub dans la province d'Ouarzazat,tuant vachement 12 Mokhaznis avec leur comptable payeur, un Français et son aide-comptable, déclenchant ainsi, les premières étincelles de la première guerre avec l'Algérie indépendante, appelée "La guerre des sables en octobre 1963".
Il convient de préciser à cet effet, que feu Mohamed V avait décliné «une offre française, du général Charles De Gaules en personne, pour la restitution des territoires amputés de l’Oriental Marocain au profit de l’Algérie française, contre l'expulsion, pure et simple, des "fellaga Algériens" de tout le Maroc, de façon à ordonner, en parallèle, aux forces Françaises encore basées au Maroc, d'exécuter opération chasse à l'homme.
On pensait particulièrement à Colomb-Béchar, Kenadsa, Touat et toute la Saoura. Pour lui,(Roi Mohamed V) la question ne devait être abordée qu’une fois l’indépendance des "frères algériens" acquise.
Un papier-chiffon, dit-on?.. Or, c’était bien compter sans la trahison du «clan d’Oujda», à leur tête le premier président de l’Algérie indépendante Ahmed Ben Bella et son ministre de défense Houari Boumediene, de son vrai nom Mohamed Boukharrouba, lesquels non seulement ont renié les engagements du GPRA envers le Maroc, mais également provoqué le premier conflit fratricide avec le Royaume, considérant cet accord Maroco-Algérien du 6/7/61 qu'un Papier chiffon (sic).
Et ce n'est pas tout! En 1973, le maudit Boumédiène; arrivé à la tête du pouvoir à bord de chars!, avait récupéré une poignée d'étudiants sahraouis Marocains sur le sol algérien appuyé par Kaddafi, pour en faire un "mouvement de libération", nommé front polisario, que le régime algérien continue, à ce jour, d'instrumentaliser à des fins hostiles à l'intégrité territoriale du Maroc. Cette attitude délibérément hostile contraste de manière flagrante avec les sacrifices énormes consentis par le Maroc en faveur de l'Algérie.
Conclusion..Que les Algériens, officiels et officieux, sachent que les doléances Marocaines à ce sujet ne s’effondrons jamais à bas bruit.Elles resteront toujours présentes, au bon ou malgré, des dirigeants Algériens qui sont appelés à cet effet, à revoir leurs mauvais comptes, à s'habiller de crédibilité et de bon sens, et de s'entendre avec le Maroc sur ce litige, tout en abandonnant l'intention de lui tenir tête pour toujours, s'ils veulent faire vivre en paix les générations futures des deux pays.
Ça serait, à mon sens, la seule issue pour y arriver au bon voisinage avec celui qu'ils considèrent désormais "leur ennemi de toujours". Cela étant, même s'il en reste encore, fort à faire, pour que tous les acteurs concernés, de part et d'autre, soient au bon rendez-vous pour régler, à l'amiable, ce conflit commun, hérité du colonisateur Français.
A l'évidence, seront-ils, les uns et les autres, condamnés, voire contraints par l'évolution de la mondialisation qui dicte ses lois, imposant d'autres coefficients de temps, à relever ensemble les défis du passage de la culture de haine et d'hostilité à celle de la fraternité et de respect réciproque et de ne permettre à cette affaire de frontières de continuer à napper encore plus dans les brumes politiques de l'Algérie.
Je crois de mon coté, que j'ai le droit de rappeler, à qui de droit, ici et là, que l'attente des tribus limitrophes de la frontière Algérie-Maroc devient intolérable, oppressante et opprimante en l'objet. Allusion à faire aux tribus Marocaines éparpillées dans l'Oriental et au sud-est du Royaume, en l'occurrence..les Beni Znasen, Ouled Sidi Abdelhakem, Béni Guil, Laamour, Oulad Jerir, Doui Menie, dont le fief de cette dernière, la plus renommée d'ailleurs, est localisé dans le grand Tafilalet, depuis la venue a Sijilmassa (l'actuel Tafilalet) du Cherif Hassan Eddakhel, le premier des ancêtres de la dynastie Alaouite.
Ces tribus qui, à cause de mauvais découpage et de traits d'aspiration du colonisateur Français, sont devenues des tribus à cheval, (un pied à l'Est et l'autre à l'ouest), souffrant de séparations préjudiciables aux familles et douloureuses pour les uns et pour les autres, depuis la venue au monde de l'Algérie, quelle soit Française ou indépendante et que la nécessité des droits de l'homme oblige à leur faire bénéficier, de leur droit d'honneur et de dignité.
Nous Marocains, nous souhaitons enfin, que les Algériens reviennent à la raison pour en tenir la main tendue, (tendue..! ça ne veut rien dire outre que de noblesse). Il leur en serait souhaitable d'en profiter de la bonne fois du Maroc et de promouvoir pour leur bien, le système d'entente, de cohabitation et de bon voisinage avec leur voisin d'obligation, sans pour autant, chercher en vain d'y arriver à un leadership introuvable, en dépend de la raison et du fait accompli.
Et dans le cas où ce leadership serait, accidentellement atteint, il ne conviendrait jamais à l'état de fausse supériorité qui entache la mentalité Algérienne, réjouissant tout un monde de dupes, à la mesure d'orgueil et d'arrogance des gouvernants illégitimes de casernes.
Nous sommes là, pas dans une loge de conciergerie, mais dans un Royaume Chérifien vaste et pluriel, vivant, démocratiquement sa grandeur sous l'ombre d'une Monarchie constitutionnelle ancestrale enracinée dans l'histoire. Nous en mènerons pour notre dignité en tant que sujets de Sa Majesté, une âpre bataille en l'objet, nous la gagnerons en silence et l'avenir en jugera à notre faveur.
Ce faisant le bien fondé d'une situation bénéfique aux générations futures Marocaine, pour une vie pacifique grandiose face à un voisinage hostilement mouvementé et l'occasion propice pour l'Algérie censée enfanter les meilleurs guides; devant conduire un peuple mélangé de tout venant et de tout vent, un peuple, dépourvu d'identités si on croit ce que disent-ils les Algériens eux-même, prenant en témoin la prétendue histoire contemporaine d'Algérie.
Nous souhaitons ici à la rédaction du blog que cela se réaliserait dans les plus brefs délais et que nos "frères" Algériens sortent de la crise actuelle tout en badigeonnant leurs rues en blanc de paix dans la perspective de trouver l'interlocuteur crédible "à qui parler", surtout qu'on constatait avec soulagement des signes d'apaisement et de compassion sortaient en "feu d'artifices " des alentours de Bab Soufara de Rabat en direction du souk de la CAN19 qui a récompensé "accidentellement" celui qui a disait mieux.
Même si le geste est de noblesse, il fait sauté, partiellement, le premiers verrous de la porte frontalière, la bonne foi Marocaine n'aura pas, en parallèle, l'oreille qui l'entendrait, au moment où l'autre coté paie actuellement la note que lui imposaient les sales bottes. (affaire à suivre)..Bonne lecture.