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  • Même avec une richesse pétrolière, l'Algérie officielle se consume par corruption, dilapidation et vol à l'arrachée par tout responsable!

                                                                                        drapeau-du-maroc-image-animee-0008      
     
                                                     

                                                                          La main tendue n'est pas une faiblesse, mais plutôt appel à la raison, 

                                             

    Pétrole et oligarchie (النفط وحكم الأقلية) : le contenu de cette note est  enrichi en majorité par les aveux d'un haut repenti Algérien, un oligarchie, pas des moindres ou des insectes engagés, qui remplissent cet espace d'araignée de  faux et d'usage de faux, mais de quelqu'un du fond du pouvoir, qu'ayant administré les grandes décisions  de son domaine d'activité! et qui sait bien, plus que d'autre qu'il appartenait à son monde d'illusions et de flatterie, plongé dans les merdes, sans qu'il ait conscience. 

    Il s'agit d'un certain Hocine Malti, ancien vice-président de la vache-pétrolière Algérienne Sonatrach qui dévoilait dans un livre choc intitulé: «Histoire secrète du pétrole algérien. Edition. la Découverte, publié en 2010» dans lequel il vomit le venin qui paralyse le corps de l'Algérie. Ce grand repenti déserteur a fui l’Algérie et vit caché en exil, au Koweït pour certains, en Europe selon d’autres.

    De Boumediene à Tebboune, les dirigeants algériens ont détourné la manne pétrolière, transformant une promesse de prospérité en rente à disposition des caciques du régime, dévoile comment cette richesse est devenue le terreau d’une corruption systémique, orchestrée par des clans militaires successifs qui se sont enrichis au détriment d'une population en détresse. 

    Le 5/7/1962, c'était proclamée la grande erreur dans l'histoire contemporaine de France commise par le général De Gaules, après 132 années de colonisation, l'Algérie était finalement indépendante.

    C'était la fête dans les villes, dans les villages, dans les campagnes, dans les montagnes. Partout on chantait, on dansait, les femmes lançaient des youyous, les voitures, peu nombreuses à l'époque, bondées de jeunes, klaxonnaient à tout va. C'était un énorme  nouveau aube à travers toute l'Algérie,  mais cette liesse populaire n'allait durer qu'un temps, car déjà avaient commencé les règlements de comptes et la lutte pour le pouvoir –une lutte qui dure encore et pour toujours. 

    Des combats fratricides étaient d'autant plus violents qu'il n'y avait alors pas de vrai pouvoir en Algérie. Le Hirak populaire des années90,  coïncidant, en parallèle, avec le printemps arabe, était baptisé en décennie noire,  marquée par l'assassinat, de 260  milles personnes, pro-FIS, selon des observateurs. Un mouvement malmené, était venu  déshonorer à l'élite, qui soit-elle et le commencement de toutes les merdes, touchant directement le fond d'un peuple opprimé, contraint de se spécialiser en fils d'attente pour se procurer de  ses besoins quotidiens.

    Pour mesurer l’étendue de la gabegie, il faut lire ce livre sur le pétrole algérien pour savoir le plus vaste et le plus long pillage, jamais perpétré dans l’histoire des dictatures modernes, une confiscation de vie digne, perpétrée par des clans militaires successifs qui se sont fait la guerre sans retenue, alternant leur contrôle et le détournement des richesses du pays à leur profit.

    Ils ont ainsi transformé l’Algérie en «un pays de Cocagne», tandis que la majorité du peuple Algérien vit dans la pauvreté. Des témoignages exprimés en internet par les plus opprimés de la société qui se plaignent en vif de l'exclusion !.

    Boukharouba, Ben Jedid, Zeroual, Bouteflika «ont fait des hydrocarbures leur bien personnel». Tous se sont gavés grâce à l’or noir «avec un quarteron de généraux» qui changeait à l’avènement de chaque président. Ces «successeurs corrompus règnent encore aujourd’hui sur un pays en totale déliquescence», et le système de prédation se déclenchait, à volontiers, avec l'arrivée de Boumediene et y réside, à nos jours, à l'écurie d'AlMouradia, qui depuis

    «Son coup d’État qui a instauré un système où la rente pétrolière sert à consolider un pouvoir autoritaire», inoculant le virus du pouvoir personnel». Son héritage est le butin des généraux et la descente aux enfers qui pèse sur l’Algérie»

    Le contrôle de la rente «la sécurité militaire met la main dans la patte. Sous Ben Jedid, la corruption s’est généralisée, avec des détournements massifs de fonds publics par l’entourage du président»:

    Ainsi commença l’ère du président pantouflard qui n’avait jamais aspiré à diriger un pays. «Sa famille, sa belle-famille, son entourage immédiat et d’autres cercles au-delà ont détourné une part importante de la rente pétrolière à leur profit personnel», dit l’auteur de «Histoire secrète du pétrole algérien».

    Chadli Ben Jedid allait aussi permettre «à la police politique, la redoutable Sécurité militaire de prendre la totalité du pouvoir sur le pétrole». Celle-ci trouva un appui en la personne roublarde de Larbi Belkheir (mort en 2010), ami intime de Chadli, nommé par ses soins à la tête du Conseil de sécurité, puis directeur de son cabinet durant de longues années, finissant somptueusement ses jours de repos, en ambassadeur extraordinaire au Maroc, profitant en parallèle de s’enrichir et enrichir les membres de son clan en détournant à son profit la rente pétrolière qui se dégageait à flot.

    Belkheir accumulera une immense fortune, estimée à plus d’un milliard de dollars, constituée de commissions perçues dans différentes affaires. Les plus couramment citées sont celles qui lui furent versées à l’occasion de la construction du gazoduc sous-marin entre l’Algérie et l’Italie, celles perçues sur des ventes de pétrole. et de celles qu’il accapara des importations de blé par l’Algérie, dont il avait de fait le monopole, à son profit, et bien sûr pour Chadli BenJedid.

    Ironie de l’Histoire ; C’est ce même Belkheir qui provoqua la chute du président sans vocation. En janvier 1992, lorsque le coup d’État fut acté, l’homme des affaires douteuses et de la rapine monnaya son immunité avec le noyau de généraux surnommés-les «janviéristes» et participa activement au limogeage de Chadli Bendjedid.

    Bouteflikisme : Hocine Malti, qui connaissant bien les rancunes de son pays, documente d’autres affaires de corruption de Bouteflika. «Quelque 100 millions de dollars auraient ainsi été puisés par Abdelaziz Bouteflika dans les caisses de la Sonatrach afin de financer illégalement sa campagne électorale» pour un troisième mandat en 2009.

    Entre 2004 et 2009, au moment où les prix du pétrole grimpèrent jusqu’à atteindre des sommets de l’ordre de 150 dollars le baril, «les instructions du président sur la base d’un baril à 19 dollars» permirent «à 85% des recettes pétrolières de ne pas apparaître dans les comptes de l’État, et par conséquent n’étaient soumis à aucun contrôle».

    Guerre post-indépendante...Le pétrole, et le gaz, allaient grandement aider à consolider les pouvoirs. Ils ont été de tout temps un outil de légitimation pour les différentes factions. La rente pétrolière finança un appareil sécuritaire et clientéliste, étouffant toute velléité démocratique.

    En Algérie, le pétrole s’est transformé en un pactole. Plus de soixante ans après l’indépendance, le peuple algérien dépend toujours, pour sa survie, à 98% de la vente des hydrocarbures et de 2% de rien du tout. Un argent sale qui servit d’abord la cause du «Système», permettant à celui-ci de s’installer durablement, avec des règles de jeu d'une bande d'escrocs, ceux qu'on appelle au Maroc "Chanaqa"(les tiers entre vendeur et acheteur).

    Celle-ci vit ses hommes muer en importateurs improvisés de l’ensemble des produits de consommation de l’Algérie. Une économie bâtarde de rentiers toujours d’actualité dans ce pays, où la loi de réclamation est absente.

    Par ailleurs, «les milliards de dollars des hydrocarbures ont été utilisés afin d’acheter le silence des grandes puissances mondiales sur leurs dérives antidémocratiques», dit Hocine Malti. Les conséquences furent désastreuses sur la population: «Ils se sont acharnés à faire de la véritable ressource intarissable de l’Algérie, ses hommes et ses femmes, une populace malléable et corvéable à merci.»

    Si les révélations de Hocine Malti s’arrêtent en l’année 2010, la rente pétrolière des pontes, elle, ne s’est pas réfrénée. Elle s’est perpétuée et continue d’alimenter les rouages du pouvoir sous la présidence de ce président-Clown Tebboune.

    À l’instar de ses prédécesseurs, ce dernier doit composer avec le «Système», un appareil opaque et tentaculaire qui survit aux hommes et aux époques, façonnant les décisions politiques et économiques du pays dans une logique de préservation de ses intérêts et propagation de méfaits et de mensonges, asphyxiant davantage un peuple opprimé.

    Infériorité mentale d'affligé  : C'est bien le vide et le manque de raisonnement, la même chose des attitudes d'Alger. Ses aboies ne peuvent rien faire à la solitude de notre cause Nationale.

    Tenant compte de l'avancement des choses au bon gré de notre intégrité territoriale. La preuve en est à la Carte du Maroc, devenant plus claire que jamais et sans réserve par rapport au monde politique Européen, une énième preuve parvient de se dissiper volontairement.

    La Commission européenne affiche un Maroc unifié jusqu’à Lagouira dans son document publié récemment dans le cadre de son rapport sur les performances de la pêche maritime, la Direction générale des affaires maritimes et de la pêche de la Commission européenne de pèche a inséré une carte du Maroc qui ne laisse place à aucune ambigüité.

    Le visuel, d’apparence purement technique, affiche un Royaume pleinement unifié, couvrant l’ensemble de son territoire du nord au sud, jusqu’à Lagouira. Aucune mention, aucun signe distinctif, ni hachures ni annotations, ne vient nuancer cette représentation. Il s'exprime, aux fils de temps, en vérités éclatantes.

    Il en résulte en substance, que le président-clown Algérien, reconnaît en vif que son pays est en forte crise d'hommes et que 90% d'Algériens sont illettrés. A cet effet, L'Algérien n'avait droit, de se posséder d'un passeport, jusqu'en 1969, car on le considérait pas mûr pour voyager, ne faisant pas de différence entre le pire et le Sahara Marocain. 

    L'Algérien, n'est capable autrement, que faire du bruit par des mots et phrases incorrectes pour hisser son pays dans les rangs  des hauts par une histoires en mauvaise posture, festoyant la folie d'un président Clown.

    Si l'Algérien embête tout interlocuteur, par son intelligence particulière, sa supériorité mémorielle et son savoir-faire dans tout domaine, mais la sa réalité nous en dit le contraire. La rédaction du blog propose aux lecteurs, en sens d'humour et de rigolade par une anecdote réelle, survenue en 1986 à Biscra au sud de l'Algérie, démontrant que l'Algérien est le plus stupide.

    -On a lui demandé, quelle différence peut-on trouver entre une Dagulete-Nour² et une banane! on lui donnant Une «Après avoir éplucher une banane, il manga la peau, très délicieuse disait-il et jeta le noyau, comme un noix de dattier».

    -Un autre curieux, ajouta : On a connu la banane qu'après l'ouverture de frontières avec le Maroc en 1988, dégustant, pour la première fois, ce que on a appelé désormais, par ignorance, ce que on a appelé, par ignorance «Qaw Qaw Lawaj», Allusion aux grains de «noix de Cajou».

    -En même temps, un de ses hommes de législation parlementaire, du genre de celui qui a la même mentalité qu'un des bergers de la Wilayat d'Enâma, le dénommé Slimane Saâdawi, un député influent dans son monde de nomades, qui reconnaît, ouvertement à un journaliste qui l'interviewer, qu'il «n'a pu manger la banane qu'à l'âge de 30 ans!». Comment attendre que l'Algérie enfanterait une intelligence particulière, plus que celle de son président-Clown.

    S'avérant ainsi, que toute merde, venant d'Alger est nulle et non avenue, par rapport à nous simples Marocains. Nous le mettons, tout de même, dans le ton d'humour et d'anecdote qu'entourait parfois,  feu Hassan II, et défoulant son entourage rapproché, animé en particulier par -Moulay Ahmed Alaoui-, un ex-ministre et jongleur de son temps, entaché de flatterie, faisant rigoler, par ses plaisanteries, surtout quand il était le patron du Tourisme et de l'information.

    « Sir, moi je ne fais pas d'erreur, jamais!» En lui répondant avec sarcasme de Monarque, maitrisant prises et risques de son règne : «Toi, donc tu fais rien du tout, tu perds ton énergie dans n'importe quoi »َ. C'est de l'aphorisme Royal, sagesse et apothéose de la Marocanité. Une particularité qu'on ne peut trouver ailleurs, même dans les anciens empires d'Europe et d'Asie. Bonne lecture.

                                                      Cordialement,Chihab25