Les archives Françaises et la vigilance Marocaines dévoilent l’alliance de mal entre «-Iran-Algérie-Polisalgerien!-»
Le torchon polisalgerien usé par l'abondance de vérités Marocaines.
Pardon au lectorat : A la rédaction du blog nous demandons pardon au lectorat si on insiste davantage à se concentrer et revenir, en ponctualité appropriée, à la merde regrettable-maladroite des Perses, en tant qu'ennemis des Arabes d'autrefois du Golf et du Maroc au Nord-Afrique, rêvant arriver, par ablution, jusqu'au large de l'Atlantique. Cela étant prouve, le mal constant que représente «Ayat Echaitane d'Iran¹» à leur entourage arabe et à l'humanité en général.
En ce qui concerne le Royaume Chérifien du Maroc, j'ai évoqué, via la dernière note les causes ayant poussé les Iraniens post-Shah à étendre la main jusqu'au périphérique Marocain, sans pouvoir pour autant, citer ce qui s'est passé de guerres, à travers les temps, entre les Perses et les tribus arabes du Golf, d'Hormoz-Oman au sud, au nord du Royaume de Jordanie.
En consultant les archives diplomatiques Françaises déclassées jusqu'ici, il s'avèrerait de façon plus claire à tout observateur, qu'elles révèlent une vérité déshonorant le Golf arabique entier, pour lequel, doit-on refuser d'approuver ou de reconnaître que le Golf arabique ne portait autre titre que Perse!.
Non, il y était et restera pour toujours, «le Golf arabique» car son baptême était irrigué du sang des arabes d'autrefois, qui ont eut la sagesse de mener pour lui, des batailles acharnées, dont tout, juste durant son règne, par l'ex-Sultan d'Oman feu Qabous Ben Said, officialisant sa définition arabe, en l'incluant, objectivement dans le patrimoine de la péninsule Arabique.
Sachant que Qabous était un précieux trait d’union entre les monde et la corne de l'Afrique. Durant son vivant, il a su faire de son petit pays, aux confins de la péninsule Arabique, une passerelle entre les mondes «Arabe, Perse et Occidental» à rebours du sectarisme qui était en vogue dans la région.
Pour ce qui est du Maroc, on trouve que le Polisalgerien a tissé des liens étroits avec les Ayat Echaitane d’Iran, sous parrainage Algérien. Son pacte sulfureux, longtemps relégué au rang de spéculation géopolitique mondiale, s’imposant désormais comme une donnée idéologique de terrorisme en Afrique du Nord.
Le Parlement Américain, d’ailleurs, ne s’y est pas trompé dans son projet visant à classer les mercenaires de Tindouf comme «organisation terroriste», il a fondé l’essentiel de son argumentaire, récemment dévoilé sur les liens établis entre cette entité dite, Sahraoui à l'Algérienne et l’Iran et depuis 1979, les liens s’étaient tissés en catimini.
Hôte de Khomeini...La France suivait avec une vigilance inquiète l’émergence d’un voyou régional nommé Polisalgerien. Deux dossiers brulants accaparaient alors l’attention des services diplomatiques et de renseignement français à la fin des années 1970, par la rencontre à Paris d’une délégation du Polisalgérien avec Khomeini, alors encore en exil, quelques jours à peine avant son retour à Téhéran, le 1er février 1979.
Un document diplomatique signé à l'époque par l’ambassadeur de France à Rabat atteste formellement de cette rencontre, est eut lieu en janvier 1979. Cet épisode oublié mérite qu’on s’y attarde, tant il jette une lumière crue sur les premiers signes d’une convergence terroriste aussi inattendue que périlleuse.
Dès sa fondation, le Polisalgerie s’est inscrit dans une mouvance propagandiste, dont l’emballage était tiers-mondisme, anti impérialisme, dissimulait mal une fonction instrumentalisée au service de la stratégie algérienne contre le Maroc, à la veille même de l’instauration de la révolution en Iran, marque un tournant significatif, à la fois risqué et paradoxal.
Axe Iran-Alger...C’est dans un contexte de recomposition des alliances régionales, au lendemain de la révolution iranienne de 1979, que le Maroc adopta une posture de vigilance stratégique face au rapprochement entre le Polisalgerien et les Ayat Echaitane d'Iran.
Loin d’être un fantasme géopolitique, cette convergence prit forme dès les premières années du Khomeinisme. Un télégramme diplomatique émis le 27/1/1984 par l’ambassadeur de France à Téhéran en apportait la preuve, révélant la profondeur de ces accointances naissantes Irano-Algériennes.
Mahfoud Ali Beiba, alors soi-disant «Premier ministre» Polisalgerien, successeur d’El Ouali Mustapha Sayed assassiné par Alger, avait été reçu avec aux honneurs par des Iraniens de premier plan. Au menu des discussions : «soutien militaire, appui logistique et abandon définitif de la voie diplomatique au profit de l’option armée».
La rencontre, loin d’être isolée, s’inscrivait dans une séquence régionale troublée: elle précédait de peu les troubles de Nador, Tétouan et Marrakech de 1984, au cours desquels des tracts pro-Khomeinisme furent retrouvés à l’Université de Fès et dans les rues de Marrakech - autant de signaux faibles d’une influence iranienne en gestation.
Coopération et faille...Le document Français atteste d’une coordination directe entre Alger, la merde iranienne et le Polisalgerien. Il met également en lumière l’hostilité explicite de Téhéran à l’égard de la politique d’ouverture que semblait amorcer le président Algérien Chadli Ben Jedid en direction du Maroc.
Cette hostilité était formulée au plus haut niveau : Ali Khamenei, alors figure montante du régime postrévolutionnaire, exprime son scepticisme face à toute tentative d’apaisement dans le dossier du Sahara Marocain, considérée comme contraire aux intérêts stratégiques de l’Iran.
Depuis cette date charnière de 1984, la position iranienne sur la question de l’intégrité territoriale du Maroc n’a pas varié. Les critiques virulentes adressées à la Conférence de Casablanca et à la présence américaine en Afrique du Nord témoignent d’une grille de lecture encore largement hostile aux intérêts Marocains, où le soutien aux mouvements séparatistes, à travers l'Afrique répondait à une logique d’exportation révolutionnaire, plus qu’à une compréhension des équilibres régionaux.
La balle est dans le camp de l'Iran, qui n'a d'autre choix que d'abandonner ses illusions et de reconnaître qu'il est vain de défendre son régime Chiiste, qui croit en l'exportation de sa révolution et même de soutenir le régime Algérien dans sa guerre d'usure contre le Maroc.
Tandis que les militaires d'Alger récoltent l'isolement de leur pays, après que, récemment le Parlement européen a officiellement approuvé l’inscription de l'Algérie sur la liste des pays classés à «haut risque», de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme aux pays du Sahel et dans le monde.
Sachant que l'Algérie, depuis sa naissance, il y a 63 ans s'active, en tant qu'entité experte en mensonges et en bêtises, menant une politique de merdes qui la classe en pays à risque!. Ses savants en fourbies, travaillent en coulisse pour inventer une histoire à la taille de la frivolité Algérienne. Une fausse garnie de rien, n'ayant aucun lien avec la réalité, poussant l'Algérie à devenir la plus ancienne que les civilisations qu'a connu le Royaume Chérifien du Maroc à travers des siècle.
Que Dieu ait pitié de feu Hassan II, qui savait avec intelligence remarquable, comment éviter les embuscades ennemis et comment raser de loin, sans mouiller, les barbes Perses, s'attaquant à toute oscillation ennuyeuse, négligeant la folie de la veuve voisine. Quand il parlait, il fait trembler l'assistance. Duans une allocution à ton de colère et de mise au point. feu Hassan II répondait à un journaliste pro-Algérie.. «N'jawbak b'llahja l'maghribya, Azenqawya : Lmaghrib b'zzaf aâla mmok».
Cela me donnerait fierté, de ne pas perdre l'essentiel qui fait mal aux Algériens. Je dis bien Algériens au pluriel, étant que leur présidence est devenue le domaine privé d'un caporal pisseur qui a été corrigé de manière humiliante par les Marocains aux batailles d'Amgala 1976 qui l'ont fait asseoir sur bouteille!.
Pour rappel, les batailles d'Amgala, ont eu lieu 27-29 janvier et 14 février 1976. elles étaient des affrontements clés dans le conflit du Sahara Marocain. Elles ont opposé les FAR à des unités algériennes, qui ne sont pas arrivées, selon le terme d'arrogance de Boukharouba, à mettre «-la pierre dans le soulier Marocain-».
Sahara dites-vous : La réaffirmation des Etats-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara lors d’une visite de Nasser Bourita à Washington, constitue un tournant majeur dans la question du Sahara qui devrait isoler encore plus l’Algérie si elle ne décide pas d’agir pour se réaligner stratégiquement et réagir, favorablement, au soutien américain, au risque d'affaiblir et isoler encore plus l'Algérie.
Au compte à rebours des tempêtes soulevées par Alger après l’appui de l’Espagne et de France à la Marocanité du Sahara, la réaction algérienne vers Washington a été pour le moins très timide. Fini aux politiques de casernes les condamnations, les dénonciations, les bravades et autres menaces de représailles avec un effet pschitt garanti.
Plus qu’une simple confirmation, c’est une consolidation historique qui vient couronner la diplomatie Marocaine, soutenant la proposition d’autonomie 2007 «comme base unique pour une solution au différend qu'a créé l'Algérie». face à la frivolité Algérienne qui ne saurait respecter les garde-fous de crédibilité et de raison, ce qui fait d'elle une entité à objet de dégout des pays limitrophes, ne souhaitant pas d'y avoir de relations amicales et de bon voisinages. Preuve à l'appui :
«Le Mali ignore la demande d'Algérie de négocier ou de coopérer, du fait que le Mali rejette l'offre Algérienne, de servir de médiateur avec les rebelles Touaregs, préférant poursuivre la voie purement interne qui a conduit à l'adoption d'une nouvelle Charte de paix et de réconciliation, annulant formellement l'Accord d'Alger de 2015».
Des voix cassées des soi-disant partis politiques en arrière plan, s'éveillent, top tard pour crier, -au voleur-, accusent le gouvernement Algérien de dilapider les richesses du pays au profit du Polisalgerien, provoquant ainsi, au peule opprimé de se distinguer, en longs fils d'attente, «made in Algérie» pour s'en procurer d'un sachet de lait ou d'une poignet de semoule.
Et pourtant les Algériens, tous sans distinction, i au monde par leur bla-bla, le fait de considérer : «leur l'Algérie. en force de frappe!». Une entité qui n'a que 63 d'âge, la réalité surprise, venant subitement de raisonner, reconnue par leur président-clown, contrariant ouvertement en vif, ce que la classe de savants d'Alger veut copier et coller à une histoire. qu'ils rédigent sous table.
Ainsi, le comportement hostile du régime d'Alger contre le Royaume est nul par rapport à nous simples Marocains. Nous le mettons, tout de même dans la case de l'humour, ne dépassant pas l'anecdote dite en présence de Sa Majesté feu Hassan II par un ministre Marocain parfumé de flatterie : «Sir, moi je ne fais jamais d'erreurs». Le Roi lui répondait avec sarcasme d'un Monarque très perfectionné, maitrisant bien les prises et les risques de son règne : «Toi, donc tu fais rien du tout..!»
Sa Majesté le Roi garde prenant toujours, en position de sagesse, la voie de réconciliation et tend la main aux dirigeants militaires Algériens pour un «dialogue franc et fraternel». Tenant compte de l'avancement des choses au bon gré de notre intégrité territoriale. La preuve en est à la Carte du Maroc, devenant plus claire que jamais et sans réserve par rapport au monde politique Européen :
La Commission européenne affiche un document qui ne laisse place à aucune ambigüité, insérant une carte d'un Maroc unifié jusqu’à Lagouira. Le visuel, d’apparence purement technique, affiche un Royaume pleinement unifié, couvrant l’ensemble de son territoire, du nord au sud, ne manquant que le Sahara Oriental, pour lequel, nous souhaiterons, qu'aucune hésitation de la part d'Algériens ne viendra nuancer ou refuser au futur son rapatriement à la mère patrie.
Certes, notre génération ne sera pas là, mais nous comptons sur les générations à venir avec un espoir basé, sur l'efficacité des prochains règnes de «Hassan III ou de Mohamed VII», dans un moment où le Royaume censé s'imposer en force de cadence régionale et tiers-mondiste, ne négligeant pas de tondre la pelouse Algérienne de mal et d'arriver en raison, à l'achèvement de rapatriement de ses territoires encore spoliés, dont :
«Le Sahara Marocain Oriental en Algérie, les ilots, en disperse à la Méditerranée, tels que : Nekkor, Leila et la tour de l'horloge», symbolisant la Souveraineté Marocaine, ce qui participera à l'instauration d'une normalité de bon voisinage, surtout éventuellement, avec d'autres Algériens, plus raisonnables, à l'image de ceux disparus, qu'ayant volontairement, reconnu la générosité Marocaine, baisant la main Royale et léchant les grands portails du palais Royal durant la sale guerre d'Algérie.
Les observateurs et analystes des cas de l'Algérie perdue, prévoient sincèrement d'y revoir renaitre une autre entité plus sage, que l'actuelle d'illusions, accablée de merdes, se heurtant à son système figé dans ses dogmes anciens de la guerre froide, loin de toute bienséance, voire de toute manière crédible de l'Etat responsable. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
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¹serviteurs Sataniques, terme créé par l'écrivain Indo-Britannique Salmane Rushdi