L'Iran-Maroc : l'insouciance et la grande faille de l'islamiwist Marocain, Abdelillah Ben-Irane!
«ها وليدي - Ha Wlidi»
Jaylann chante, le succès Marocain..
Le démon Perse : Fidèle au concept Algérien d'arrogance, (parler sans agir قول بلا فعل). L'Algérie exprime colère et regret, suite au bombardement Américain des installations nucléaires des ayat Echaitane Iraniens, soulignant que l'option militaire n'a jamais été une solution aux problèmes entre Etats souverains, voyant autrement, de bon œil, les comportements néfastes de sa création de Tindouf, qu'elle la soutienne par son tamis creux de mensonges, dépassé par les temps et les textes.
Faisant semblant d'Etat crédible et responsable de ses dires, s'activant à détourner l'opinion publique internationale de ses conneries portant préjudice à son entourage régionale, dont le Royaume du Maroc, le Mali et pourquoi pas la Mauritanie aussi, si Ould Ghazwani, censé fidèle au serment qu'il a faite à l'Académie Royale Militaire à Meknès, ne prendra pas la locomotive de merde d'Alger. On parle pas dans ce sens, de la Tunisie, qui se trouve déjà perdue de souveraineté, dans l'illusion Algérienne, dans laquelle le fou de Carthage s'est fait plongé.
L'Algérie qui se contente de ses illusions, avec prémédité, qu'elle soit, n'avouant pas que son escalade intervient au moment où un large consensus international appelle à apaiser les tensions dans la région Nord-Africaine et éviter l'éclatement du continent Africain, épargné jusqu'ici, des vagues défectueuses de putschs à répétition!.
Le Maroc par contre, Dieu merci, est soutenu somptueusement par une large bénédiction Divine, grâce à sa Monarchie ancestrale qui se tend à travers des siècles et des siècles d'existence.
Comment peut-on arriver à ce stade? du fait que la bande d'Alger, dépourvue d'honnêteté et bon sens, refuse le retour à la table des négociations et rechercher de bonne foi avec le Maroc une issue pacifique du dossier artificiel qu'elle a créé autour du Sahara Marocain occidental.
Je dis bien occidental, pour préciser aux Algériens que le Maroc ne négligera surement pas, au plus tard, durant le règnes de : «Hassan3 ou d'un Mohamed7», le rapatriement à la mère patrie, de l'autre Sahara Marocain oriental, (le Grand Touat et la Saoura) échouant avec insistance et perceverance, toute fuite en avant par Alger, qui refuserait certes d'en parler du problème de frontière, constituant, la pierre angulaire de tous les maux chroniques, dont souffrent, les caporaux d'Alger.
Nonobstant que la sensibilité et la gravité de la situation actuelle avec la mafia d'Alger exigent de tire les leçons, ce qui prouve, que l'option militaire, n'a jamais été et ne serait une solution aux crises internes qu'elle traverse. J'ajouterai à cela, que la priorité absolue pour elle, est désormais de revenir à l'approche politique, la moins couteuse à elle.
Cette approche, fondée sur le respect des dispositions de la légitimité internationale et de la Charte des Nations Unies, peut épargner à la région de nouvelles tensions et tragédies qui pourront en découler et conduire la région à l'escalade via d'autres victoires d'Amgala.
Nous disions que la fidélité de l'Algérie à ses fourbies parfumés d'hypocrisie, n'en vaut politiquement en rien, dernier en date, prononcé lors de la 51e réunion des ministres des Affaires étrangères de l'OCI, tenue en Turquie, Attaf, le ministre Algérien de mensonges a déclaré que la sécurité et la paix entre Etats souverains, ne peuvent être assurées sans s'attaquer au cœur des conflits, à savoir les questions du moyen Orient, sans se substituer de bonne foi à la véracité des vérités, cachant en substance, l'affaire de son peuple multicolore de Tindouf.
L'Algérie monopolise sa prétendue défense des peuples opprimés, au détriment de la stabilité des pays de son voisinage, en violant continuellement leur souveraineté, leur unité et leur intégrité territoriale. La frivolité des militaires d'Alger, la logique hégémonique et la politique du fait accompli, ne sont plus acceptables et que ce qui est aujourd'hui requis, c'est le strict respect des règles du droit international sans exception que l'Algérie a toujours bafouillé par son attachement aux ruines de la guerre froide d'autrefois!.
N'arrivant pas à satisfaire les besoins de ses fils d'attente, l'Algérie, en tant que leadeur de jonglage, qu'elle soit, se déguise en intelligente dans son monde de merdes, évitant de condamner son allié barbu Perse après le bombardement récent de l'Emirat de Qatar?, condamnant, par hypocrisie, la correction israélienne contre la Syrie de son allié Béchar Assad.
Alors que les capitales arabes se sont empressées de condamner l'attaque iranienne contre une base américaine au Qatar, elle a adopté un ton flou, et une escalade, publiant un communiqué ne désignant pas explicitement l'auteur Iranien. Cela a suscité une vague de critiques et de questions auprès des analystes et observateurs connaisseurs de l'hypocrisie Algérienne.
En preuve, l'Algérie a toujours choisi le camp de l'ambigüité, à un moment où les positions régionales exigeaient détermination et clarté. Cela accentue encore son isolement et sape jour après jour sa crédibilité diplomatique. En preuve éclatante, Un journal français décrit le régime d'Alger comme «pourri, autoritaire et corrompu jusqu'à la moelle, pendant les années, de vaches maigres, sous le règne militaire qui emploi des pions civils, dont le Clown Président Tebboune, se perdant dans ses illusions pour en tirer de la légitimité»
Rétrospectives amères : Les relations entre l'Iran et le Royaume du Maroc sont dans l'ensemble inexistantes, et les relations diplomatiques entre les deux sont toujours tendues et ont souvent été compromises par des différends. À plusieurs reprises, l'Iran et le Maroc ont pratiquement ou complètement rompu leurs relations diplomatiques, en preuves :
-L'Iran a mouvementé ses relations avec Rabat depuis 1981, à la suite à la décision de Sa Majesté le Roi feu Hassan II d'accorder l'asile politique au Shah en exil. Il a fallu attendre presque une décennie pour que les relations se dégèlent suffisamment et renouer les liens. Abderrahmane Youssoufi, alors Premier ministre, conduisait une délégation Marocaine en Iran, après laquelle les liens, surtout les économiques, se sont considérablement intensifiés, Par contre les relations politiques, restées en marée haute-et-basse, selon la modeste sélection en date, retenue en ma mémoire de simple observateur soigneux :
Nos relations diplomatiques avec l'Iran n'ont jamais été bonnes pour plusieurs raisons, dont de l'ingérence de Téhéran dans les affaires internes Marocaines par sa tentative de proliférer le prosélytisme chiite au Maroc sunnite. Ces relations étaient toujours en marées, et la décision Royale, la plus inversible a été prise, quand les -ayat Echaitane- sont arrivés à Tindouf pour soutenir le Polisalgerien, via Alger et Hezb Echaitane Libanais de Hassan Sakht Allah.
En énième connerie Perse, la chaine Israélienne (I24News) a dévoilé au clair, cette relation groupant le Polisalgérien, Hezb Echaitane et l’Iran. Elle a même apporté des preuves en publiant des «Fuites» d’une conversation téléphonique enregistrée le 7/10/2023, entre un soi-disant ambassadeur Polisalgerien en Syrie et un agent Iranien, spécialiste du pays des cèdres, le Liban.)
Les analystes connaisseurs en percept-Irano-Algérien, jugent que Le Polisalgérien est devenu le pari-perdant de l'Iran en Afrique du Nord après le déclin de Hezb Echaitane Libanais et la disparition de son Sakht Allah, l'échec des Houthyine au Yémen et de l'illusion Algérienne, au choc de la Marocanité du Sahara et la stabilité de ses provinces.
Probabilité d'une prochaine cible : Une bande d'opportunistes-escrocs dite de -«régulation de l'audiovisuel en Algérie» mis en garde les médias Algériens contre la diffusion de discours trompeurs, de campagnes de désinformation et de propagande, étant que ces discours sont devenus le qualificatif prépondérant du régime d'Alger, connus par tout le monde, étant que le fait de prononcer (Algérie) devient un terme banni, équivalant à une entité de toutes les merdes.
Ce pseudo-avertissement intervient alors que certains sites web émettaient des hypothèses, selon lesquelles l'Algérie serait la probable prochaine cible d'Israël après l'Iran, en s'appuyant sur des tweets de opportunistes, proches des lieux, connus par leur ton propagandiste, prêt à emporter, pour y brouiller chaque position, non convenable au rythme des sales bottes de l'écurie d'AlMouradia d'Alger.
Ce pseudo-organisme, à cheval de trait, galopant aux sales boues de haine! dit avoir constaté une augmentation des discours trompeurs, chargés de dimensions alarmistes suspectes, visant l'Algérie dans ses scénarios de malfaisance, convoités de toutes formes de désinformation à l'Algérienne! sera «la prochaine cible de l'oncle Sam».
Toutes expressions vocables d'algériens émises, ici et là, sauf du monde opprimé de fils d'attente et de quelques sérieux, sont dépourvus de règles, les plus élémentaires de vérification, constituent, une violation aux bonnes fois d'interlocuteur crédible, déformant le respect des principes, notamment, la Souveraineté d'autrui non Algérien, pire encore en politique officielle d'Etat, aux intérêts de la politique étrangère de voisinage.
Malgré ses défaites et ses déboires devant Bourita et ses aides de camp, l'Algérie poursuit son entêtement, en quête de résultats préjudiciables à la cause Marocaine. Fragilisés par revers à répétition subis par leur diplomatie d'autruche, face à la loyauté et l'intelligence Marocaines, les sales bottes Algériens tentent de reprendre la main, avec l'aide, d'un poignet d'engagés de France et de l'EU, réactivant en parallèle, le cowboy Américain (Jean Bolton) pour refaire du bruit et nuire à la crédibilité Marocaine qui est en bonne position d'honnêteté.
Oui le Maroc, malgré l'envie de ceux d'à-côté, est en bonne position. La preuve en est, que Bensdira, l'agent DRS, chargé, sous table, par son maitre, le général Toufik, pour critiquer, haut et fort, le sale régime de son pays s'en prendre à la présidence menteuse.
Une approche tendancieuse au règlement de comptes entre belligérants militaires, qui se disputent en ombre, le pouvoir civil, mettant hors état de nuire, par liquidation physique les opposants, tels que se soient civils ou militaires du pisseur (Chengriha).
Le régime algérien tente, à cet effet, d’assassiner ses opposants en exil, dont Mohamed Larbi Zitout a Londres, Abdou Sammar, Hicham Abboud en France, et Anouar Malek au Maroc, pour ne citer qu'eux en particulier, tout on se prenant à leurs familles restées au pays pour les obliger à revenir au pays, à se repentir et obéir à la volonté militaire.
Ainsi, le sabre du pouvoir ne tremble jamais longtemps avant de frapper l’un des siens. Cette fois, c’est le général déchu, Nacer El Jenn, figure centrale des services de sécurité, qui vient d’en faire les frais, affaire prise en échantillon, quand le pouvoir algérien dévore ses généraux, menaçant, en parallèle, celui qui sortirait de la ligne, selon le terme d'influence du président-clown Algérien. Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25
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