Algérie : des amusés-gueules..du genre.. “روحو تقودو”
Attention 18/8/19. Alerte de la presse jaune de trottoir en Algérie, avançant une sérieuse affaire qui "secoue!" le trône au Maroc.
Se sentant prêt du feu, pulvérisé par les brèches et l’étau se serre davantage autour du coup de son père en Suisse et en Algérie. Il investi avec préméditation ce qu'il croyait fort préjudiciable et humiliant à la grandeur du Maroc, en la personne de Sa Majesté le Roi.
Çà ne serait pas certes son propre objectif, il serait paraît-il, un point de désinformation de sa part, conçu spécialement pour la consommation locale et pour désorienter l'opinion publique Algérienne qui suit avec assiduité, l'évolution des grands dossiers ouverts à l'encontre de son "protégé père" avec chefs d'accusations graves - crimes de guerre, corruption, abus de fonction, dilapidation de fond public et violation de droit de réserve militaire.
Faut-il signaler que Nezzar-père se trouve exilé en Espagne. On entend parler à Alger même de sa naturalisation. Ce faisant marcher sur ses milliards d'Euros, il devint un bi-national Espagnol à part entière. Les mesures de son extradition sont tout de même, selon la presse locale Algérienne, en cours de validation par les autorités Ibériques.
Il est appelé à la barre par la justice Suisse pour crimes de guerre, suite à une procédure lancée à cet effet, par l'ONG TRIAL international qui lutte contre l'impunité des crimes internationaux et soutient les victimes dans leur quête de justice.
Au second plan, il est recherché activement par la mystérieuse justice, de banne et de règlement de comptes, du lieutenant déserteur d'Amgala, devenu, au fils de temps de pagaille, le général à 4 étoiles, pour ne pas dire par la justice normale de l'État en Algérie.
C'est un cas d’hystérie d'un fils gâté d'ex-caporal Français qui par crainte du pire, il fait semblant de brosser les sales bottes de l'autre ex-caporal Français Gaid Salah, qui menace d'écrouer son père.
En suppliant indirectement, il citait sa plaidoirie de bienfait de la racaille Algérienne que je cite : «l'injonction de l'état-major de l'armée" qui, a jeté en cours normal, des dizaines d'hommes d'État et hommes d'affaires en prison pour corruption blanchissement d'argent et d'autres chefs d'accusation».fin de citation.
Je vais pas faire l'analyste, je laisserais le choix aux lecteurs d'en tirer le vrais du faux et s’arrêter au stade d’hypocrisie de la presse Algérienne de tout vent.
Il est cependant à noter que la presse Algérienne, toutes tendances confondues, pour plaire aux décideurs et d'en profiter de plus de revenus publicitaires, souhaite activement, faire de mauvais rêves sur le Maroc et les transmettre avec insistance, anesthésie oblige, aux dupes de l'Algérie.
Début citation : Pour essayer de sortir de l’impasse dans laquelle se retrouve son régime face à la crise qui le menace, le roi Mohammed VI a décidé de lancer prochainement une grande opération «mains propres» qui rappelle, de par ses proportions et son impact, celle initié par le pouvoir algérien qui, sur injonction de l’état-major de l’ANP, a jeté en prison des dizaines d’hommes d’affaires et de responsables accusés de corruption ou de dilapidation de deniers publics.
Des sources médiatiques ont rapporté qu’au lendemain du dernier discours du roi dans lequel il avait annoncé un remaniement du gouvernement et la mise en place d’une commission de suivi du développement global dans le pays, le Makhzen a été instruit de lancer rapidement une opération de «nettoyage» visant tous les responsables impliqués dans des affaires de corruption ou de mauvaise gestion, à tous les niveaux et sans distinction.
Les mêmes sources indiquent qu’une liste contenant un grand nombre de hauts responsables suspectés de détournement, dont des ministres, des députés et des chefs d’entreprises publiques, est déjà finalisée.
Un show médiatico-judiciaire, dans la conjoncture actuelle, semble être le moyen indiqué pour espérer absorber la colère de la rue Marocaine qui gronde, et exacerbée récemment par le refus du roi d’accorder la grâce aux détenus,du hirak de Rif et leur chef Nacer Zefzafi qui écope une peine de 15 ans de prison ferme.Fin de citation.
Ça suffit maintenant, vos conneries commencent à bien faire ».disait-il aux journalistes qui l'encerclaient, ajoutant :“Faites ce que bon vous semble, rouhou tqawdou”.
Ce coordonnateur du panel de dialogue et de médiation, une sorte de comité de sages, un certain Karim Younes, ex-président du parlement Algérien est l’une des figures marquantes de la courbette militaro-idiocratique. Un mois après son installation, il a échoué dans sa mission d’ouvrir un dialogue sérieux, inclusif et transparent avec les contestataires de la rue. Excluant ce qu'il aurait pu faire avec le chef de l'exécutif et les pseudos partis politiques bannis par la rue. Ce qui fait que les Algériens seront condamnés à rester encore plus dans la «case de départ» du premier vendredi 22 février dernier.
Chihab25