Maroc-Algérie : Les échecs diplomatiques de l'Algérie se succèdent, sa voix ne porte plus rien!.
Éclats d'hirak-dz.. -Un Algérien indigné se déchaîne contre la diplomatie de son pays et se demande? «qu'attendons-nous de gens incompétents..? Moi walou!! Des tâtonnements, que des tâtonnements…rien que walou... et ça continuera comme ça…et les hyènes des partis FLN-RND doivent disparaître de la scène politique. Nouvelle génération de politiques formée ailleurs sous d'autres cieux, portant des valeurs professionnelles doit prendre les choses en mains.
-Un autre Algérien, plus en colère que l'autre, commente, d'une autre façon, la situation catastrophique de son pays, la décrivant de plus grave que le terme. La présidentielle s’approche à grand pas, et le pays se dirige droit vers le mur. Selon les Rayya we S'kina (¹), il n’y aura plus de vie en Algérie, si Abdelmajid Tebboune, le candidat le plus favoris de l'armée est élu, le berceau de l’humanité s’autodétruira par dignité.
La fin du monde sera certainement causée par un Algérien révélaient des posts-Facebook, montrant un citoyen en train de souder des bouteilles de gaz pour faire sauter son quartier. Détrompez-vous, ce n’est pas une blague, c’est le calendrier Rayya qui vient de le confirmer, la fin du monde aura lieu le 12 décembre prochain en Algérie, mais d’une manière différente qui prévoit le chaos.
De jour en jour, voire d'un vendredi à l'autre, les Algériens deviennent très déterminés à battre le pavé, faisant de leur indignation une lame de fond qui coupera les nerfs du système, dont le panneau de signalisation qu'on voit là-dessus substitut tout autre mot signifiant l'effondrement. Cela prouve l’instabilité grandissante et tout le mal du monde qui s'installent davantage en Algérie. Les Algériens se sentent dégoûtés et désespérés plus que jamais.
Si l’homme algérien refuse d’abdiquer et maintient sa révolution jusqu’au bout, ce ne serait pas le cas du règne animal, qui visiblement n’a plus la force mentale pour poursuivre sa lutte. Mais les espèces animales en Algérie s'affecteront certes comme l'espèce gazelle surtout qui s’éteindra à force des barbecues de Gaïd Salah. La baleine n’échouera plus sur les cotes Algériennes par peur d’être prise pour Naïma Salhi, (Monib de l'Algérie, écoutez-la en vidéo en bas).
Quant aux oiseaux,toutes espèces confondues; ils pourront échapper à l’apocalypse grâce à leurs ailes et leurs plumes et immigrer, soi au Maroc soi en Tunisie, pas sûrement au sud vers la zone des trois frontières(Libye-Niger-Mali) où la pagaille bat son plein».
Gaid Salah, en aumônier pour que Tebboune gagne la présidence
َAutres fait..Auparavant l'Algérie via sa douteuse diplomatie d'autruche cotisait pour que d’autres en profitent, exactement comme à l’Institut du monde arabe où les prières de Dalil Boubker, le pseudo imam, si ce n'est qu'agent secret Algérien, à la mosquée du 5° arrondissement Parisien n'ont pu sanctifier et glorifier l'influence Algérienne devant l’efficacité Marocaine des faucon de Bourita aux clins d’œil d'un certain Jack Lang.
A New York, l'Algérie a perdu sa voix et avalé sa langue à cause de la reconduction du mandat de la Minurso pour une période de douze mois, au lieu des six de Bolton, du renouvellement technique, en des termes quasi identiques, de la précédente résolution sur la question du Sahara Marocain faisant ainsi impulsion à la nouvelle dynamique expressément souhaitée par Mr. Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, telle que commentée par la duplicité Algérienne, résonne comme une grande déroute dont nous Marocains nous en sommes évidemment très félicités.
L’Algérie de la diplomatie-Bougadoum a essuyé un autre échec à l’ONU, début novembre, où le Conseil de sécurité a voté, à l’unanimité, la résolution 2494 que Abdelaziz Benali Cherif, le porte parole du MAE de l'Algérie avait qualifiée de «regrettable!!».
Je dis bien ABC, le propagandiste Algérien et non ce que sont en train de mijoter à ce sujet les séparatistes de Tindouf qui, apparemment, sont emportés pas les vents de protestation, entachés de scandales sexuels et de bafoués des droits de l'homme dans les camps de la honte.
Ces deux déconvenues ont été enregistrées par la diplomatie Algérienne dans ce contexte confus où Bougadoum,le ministre des Affaires étrangères tente de pallier en l’absence d’un pouvoir légitime, en continuant à grand-peine de défendre les faux principes-dz par hostilité immuable aux intérêts du Maroc, mais tout en étant handicapé par l’absence d’un Président véritablement élu. Cela étant prouve que les ministres qui se sont succédé aux affaires de la propagande ne sont que des commis exécutants pas plus avec incapacité d'innover au bon sens en diplomatie d'Etat crédible.
Les ingrédients de la crise (Bedoui - Bensalah - Gaid)
Gaffe de bougre apprenti..Cette débâcle intervenait au lendemain de la sortie humiliante d’Abdelkader Bensalah à Sotchi. Sa prestation pathétique face à Vladimir Poutine avait, faut-il le rappeler, provoqué une vague d’indignation générale en Algérie où les citoyens ont considéré le compte-rendu fait par le chef de l’Etat fictif à son interlocuteur Russe comme un appel à l’ingérence pour soutenir le pouvoir illégitime, au système illégitime, et pour la perpétuation duquel le général banni Gaid Salah a imposé une élection présidentielle, rejetée par l’écrasante majorité du peuple Algérien qui fait bousculer la rue à chaque semaine.
Pour remédier à la farce qu'il a commise à Sotchi en Russie laquelle ayant provoqué une vague d'indignation en Algérie, Bensalah se croyant vrais président de l'Algérie, fait appeler ce qu'il considère "partenaires étrangers" (FR-UE) à respecter l'Algérie et ses institutions, affirmant, entre autres, l’attachement de l’Algérie au principe de la non-ingérence dans les affaires internes des pays?
Oubliant par son Alzheimer, ou faisant le semblant d'ajouter, le fameux principe d’autodétermination de Tindouf, le mirage Algérien, le plus cher aux gouvernants Algériens que la diplomatie-dz ait l'habitude de défendre en toute priorité et que cette même Algérie s'ingérait depuis plus de quatre décennies dans les affaires internes du Maroc, portant préjudice à ses intérêts et à son intégrité territoriale.
Que doivent-ils faire les Algériens?. Il est clair qu’avec la clique du vieux Gaid Saleh, les choses tomberont en eau et le pays devient exsangue politiquement, une anarchie sur le plan organisationnel, un territoire qui peut être considéré ou être lu comme une menace pour tous ceux qui portent les peines de voir naître, de ses cendres, une 2ème république en Algérie, cela permettra aux partisans du droit de l’hommisme international de justifier le blocus du pays.
On entend parler ces jours-ci, que l'UE se préparait à se lancer dans la crise, ce qui va propager clairement la crise hors frontière, le moment où ce Gaid Salah s'en vante avoir la responsabilité de préserver ce qu'il appelle "la souveraineté de l'Algérie", faisant le semblant de refuser, par ses discours interposés de trottoir toute ingérence de la main étrangère dans l'affaire de l'Algérie, faisant œil myope sur le geste et l'appel indirect de son protégé président fictif au président Russe Vladimir Poutine, niant aussi le rôle déjà engagé par les mauvais héritiers de Cheikh Zaid, avec la bénédiction, sous table, de sa deuxième femme Emaratie.
Souvenez-vous, c'est nos frères ennemis Algériens, qui nous affichent profondément une hostilité aveugle pour la grandeur de notre pays et pour sa Monarchie ancestrale, et aussi pour le leadership Royal qu'ils n'ont pas. Un leadership de haute gamme reconnu par la communauté internationale, leur faisant mal au cœur, secouant du fond la frivolité diplomatique de l'Algérie menée depuis la création artificielle du problème du Sahara Marocain par le pouvoir du maudit Houari Boukharouba qui projetait vainement conquérir le Maroc par force d'armes et par les autres qui l'ont suivi par l'engagement d'une diplomatie douteuse qui perd de la cadence.
L’Algérie qui souffre entre autres, d’une grande perte de vitesse et de crédibilité à cause de l’illégitimité du pouvoir actuel et de la persistance de la crise politique, enregistre des échec au sein des institutions internationales.
En tant qu'un simple admin de blog généraliste, je ne devinerai pas l'avenir et je ne suis pas de même, un journaliste de carrière pour développer les événements en temps et lieux. Mais je me débrouille quand même, me réjouissant de parler politique à grande échelle, suivant les acquis positifs de la diplomatie Royale.
Tous Marocain doit être fier d'y montrer aux Algériens la grandeur du Maroc et la différence entre leur Bou-Gadoum et Mr.Bourita, qui en plus, pour tout succès, il rappelait souvent à l'ordre son personnel sur le -droit de réserve lors des réceptions des ambassades.
Que tout un chacun, officiel ou officieux, comprenne en Algérie que le principe dont faisait allusion leur président intérimaire n'a de respect que chez nous au Maroc où à travers les temps ce Maroc fait ancrer ce principe dans sa culture politique. La diplomatie Marocaine s'engageait volontairement, en respect de l'autre, à ne pas s’immiscer dans les affaires internes d'autrui, surtout en Algérie qui, malheureusement n'affichait aucune volonté de réciprocité.
Faut-il rappeler que le Maroc a souffert de trop d'ingérences, en particulier de la part de l'Algérie qui, commanditée par sa propre jalousie et par l'incitation des autres, comme par l'Egypte Nacerite et par la Libye Kadhafienne, créa beaucoup de problèmes au Maroc, depuis la guerre des sables 63 à celle du Sahara Marocain sans oublier les infiltrations entrecoupées d'insurgés et d'armes dans d'autres événements dont les plus pires événement de mars 73.
Silence on tourne..En utilisant l'ordre de cinéaste, je reprends les jours d'Afrique. Le jour où, nos diplomates Marocains, dans l’hémicycle de l’Union africaine, particulièrement au Conseil de Paix et de Sécurité ont éjecté d'un seul revers l'Algérien Smain Chergui hors d'enceinte de commande qui, profitant de la chaise vide du Maroc, il taillait à sa mesure la présidence de cet organe important de l'UA. Une éjection qui frappait la diplomatie Algérienne à l'improviste, poussant ainsi l'Algérie à la descente en flammes, perdant en parallèle, une meute de pays subsahariens qui meublaient jusque-là son clan hostile au Maroc.
Ces pays repentis, si j'ose dire, ont renoncé sans crainte à la reconnaissance du fantôme Rasd Algérien, dont ceux dont la dette bilatérale venait d’être effacée par un certain Boutef. Tout observateur ait compris alors, que l'Algérie était réduite à sa mesure de nain pour aller raser les murs des organisations internationales. l’Algérie désormais n’est plus que l’ombre d’elle-même.
Tous ceux qui sont au pouvoir en Algérie ou qui gravitent autour sont des corrupteurs corrompus, qui de tètent la mère-Faffa (France) celle qui prend soin d’eux dans les jours sombres et en retour ils lui rendent bien tous les servies, même en plein crise.
En preuve La récente loi polémique du gouvernement Bedoui pour l'exploitation du gaz en offshore en témoigne. Alors, comment veulent-ils une notoriété et mot à dire en présidentielle en une Algérie en off?. La France décidera certes la sortie du tunnel comme elle en a fait auparavant lorsque De Gaules désigna Ben Bella président en plein guerre de libération et hier seulement en a fait venir le maudit Bouteflika.
Depuis 2007, je crois que les algériens après le VCR de Bouteflika ont bien constaté la régression la diplomatie algérienne avec l’arrivée à sa tête controversée les maudits Lahmamra et M'sahal et ce Bougadoum actuel qui ont fait de la politique extérieur de l'Algérie un désastre sur tout les plans.Un désastre qui s'accentue aujourd'hui sous les sales bottes d'un vieux général, le déserteur les batailles d'Amgala, qui s’attelle, corps et dents, à un guidon qu'il n'a jamais rêvé d'y arriver à atteindre.
Les Algériens se demanderont certes, Qui est le représentant de l’Algérie à l’UNESCO, pour ne pas dire chez la Marocaine Mme Audrey Azoulay? Ils ont droit de s'interroger ainsi! si ce n'est qu'un nul et corrompu dit Abdelkader Mesdoua en poste d'ambassadeur à Paris ? tant que les institutions-dz en France sont devenues depuis, des mangeoires où se goinfrent ce qu'ils appellent "la mauvaise meute diplomate" censée servir l'Algérie et les Algériens de France.
Loin des échecs de l'Algérie. Je me réjouis, même en blog, de m’arrêter devant les acquits positifs que le Maroc continue à gagner, par crédibilité, au sein des organisations et institutions internationales. Un exemple seulement, pour ne citer qu'un. Tout récemment, il vient d'être élu au Conseil Consultatif de la Convention de l’UNESCO sur la Protection du Patrimoine Culturel, et y obtenait également la Présidence du dit Conseil, le moment où l'Algérie perd ses bras grassouillets dans toutes les instances hors de ses frontières et personne, y compris les Zuma de l'Afrique du sud, son principal allié, n'entendra plus parler d'elle dans l'affaire de son mirage de Tindouf. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
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(¹) termes de femmes sorcières de la légende Égyptienne devenus locaux,visant Gaid Salah et sa clique. - Boumediane quand il était rien dans les Aurès.