Algérie : Ça va barder..! le torchon brûle en Algérie entre la présidence et l'armée...!
La médiation bredouille..Après la disparition brutale du maudit général Gaid Salah, la merde est en train de gagner la pseudo-force régionale l'Algérie et son armée. Liamine Zeroual,ex-président Algérien s'est déguisé en habits de "saint" pour jouer le rôle de médiateur entre l’armée et le président Algériens.
Faut-il rappeler d'abord que ce Zeroual était parmi les passagers de hélicoptère Algérien qui a accidentellement atterrit en territoire Marocain et capturé durant la guerre des sables d'octobre 1963 par quelques Mokhaznis d'une petite agglomération Marocaine dite Ain Chouater de la province de Ksar Souk à l'époque (Errachidia actuel) avec à bord 9 personnes - 5 officiers Égyptiens (dont Hosni Moubarak) et 4 Algériens - dont le petit lieutenant alors ce Liamine Zeroual, qui est actuellement à la retraite au grade de colonel.
La visite rendue par Liamine Zeroual au président Algérien n’est pas un hasard fortuit. Zeroual a profité de son passage à Alger pour une visite médicale afin de rencontrer le nouveau locataire du palais d'AlMouradia d'Alger.
Or, contrairement à ce qui a été raconté par la presse algérienne, cette rencontre ne fut pas purement amicale et dans le seul but d’échanger des Salamalecs. Non Zeroual a échangé avec Tebboune sur l’actuelle situation de l’armée algérienne et les déchirements qui la minent.
Zeroual a été approché, dit-on, par plusieurs notables Algériens civils et hauts gradés, en retraite et en activité de l’armée Algérienne pour qu’il sensibilise Tebboune sur la finesse dont il doit faire preuve pour gérer les rapports de la présidence avec l’institution militaire.
Limogeons-en-dz..Depuis le limogeage et l’emprisonnement de plusieurs généraux du clan de Gaid Salah, la presse Algérienne reprenait cas par cas et n’arrivait pas à arrêter la liste, mais elle rapportait en provocation ciblée un groupe de généraux, les plus influents de l'armée, en l'occurrence : Wassini Bouazza - Nabil Benazzouz - Amar Boussis - Smail Zerhoud et Ghali Belkecir pour ne citer que ceux-ci qui formaient les piliers du clan Gaid, citant la disparition surprise de l'adjudant-chef (passe-partout) qui faisait secrétaire-ballet de Gaïd Salah.
Selon la presse locale une source de l'armée Algérienne évoquait que le clan édifié par l'ex-général Gaid Salah depuis plus de 15 ans est en train de basculer. Il se sent méprisé, voire très menacé et pensait à riposter à n'importe quel prix, pas loin même de l'esprit de complot s'il le faut pour protéger ses intérêts, assurer sa survie et contenir les risques débordants qui peuvent émerger de cette vague de "chasse à l'homme" et de règlement de comptes.
Tebboune a été contraint d’intervenir pour empêcher le limogeage et emprisonnement d'un de ses proches le général Lachkhem, et de jouer le rôle de l’arbitre pour calmer les esprits, du moins ce qu'il peut faire actuellement face à l'acharnement du général Said Chengriha devenant, peu à peu, l'homme fort de l'armée et pourquoi pas à l'avenir de l'Algérie aussi sur les pas de son compagnon aux débauches et aux immoralités "L'maqbour" Gaïd Ahmed Salah.
Or, à quelques semaines de la fête de l'indépendance de l'Algérie, le 5 juillet prochain qui doivent dévoiler si Said Chengriha sera officiellement désigné dans ses fonctions de vice-ministre Algérien à la défense et chef de l’armée, les tensions se ravivent.
Le médiateur bredouille Zeroual n’a pas caché, dit-on à Alger, ses inquiétudes prodiguant ses conseils à un président-apprenti encore novice qui sous-estime l’impact sur la situation du pays de ses tensions internes au sein des populations locales et de la racaille militaire.
Tebboune et l’alcoolé écrase à l'américaine son doigt bleu
L'envie de pilonner..Parmi les généraux limogés et poussés par force à la retraite il figure le général Ghali Belkecir, l'ex-patron de la gendarmerie Algérienne qui s'est réfugie en Espagne avec de gros dossiers de corruption qui peuvent ravager presque tout le monde en Algérie officielle, y compris Tebboune lui même dans l'affaire de cocaïne et Chengriha dans des affaires suspectes de pots-de-vin d'achat d'armement -ferraille - lesquels se disputent en discrétion, chacun en ce qui le concerne, le leadership à la tête de l'État Algérien actuel?.
Le général Ghali Belkecir, l’ancien puissant patron de la gendarmerie algérienne, et l’un des poids lourds de la hiérarchie militaire algérienne entre 2016 et 2019, a enterré le rêve de revenir un jour en Algérie.
Le démantèlement progressif actuel du clan Gaid par Tebboune et Chengriha donne à Belkecir des sueurs froides. Pour se venger à cet effet, il est entré en contacte avec des services de renseignent occidentaux leur demandant officiellement refuge, ce qui lui permettra de pilonner avec précision le pouvoir Algérien en place et ses deux têtes interposées.
Face à ce blocage qui l’empêchera d’obtenir la résidence à Dubaï, Ghali Belkecir en exil avec sa famille au complet, se rabat sur l’Europe, mais cette fois-ci, il ne veut pas se contenter de son statut de simple résident en Espagne ni du passeport diplomatique algérien qui lui permet de rentrer régulièrement en territoire Schengen.
Selon des médias Algériens ce général Algérien exilé, a décidé de négocier en particulier avec les Français et les Espagnols une asile politique en toute sécurité. Il veut marchander tous les secrets qu’ils sont en sa possession concernant le fonctionnement opaque du régime algérien. C'est une véritable boite noire du clan Gaid Salah durant les 5 dernières années,
Ghali Belkecir détient des documents "top secrets" de grosses affaires du régime algérien : affaire de la cocaïne 701, enrichissement illicite des généraux, affaires secrètes des oligarques, de députés opportunistes et des trois mousquetaires Bouteflika. En plus, il connait parfaitement Tebboune et ses failles en tant que ex-ministre aux gouvernements Sellal et Ouyahya. C’est lui qui avait facilité la tache à Tebboune pour obtenir la carte militaire pour son fils Khaled.
C’est lui qui représente le grand danger pour tout le monde d'Alger tant qu'il détient les secrets "polichinelles" et les images de tous les hauts responsables algériens qui, pour négocier des pots-de-vin, défilaient dans le bureau du milliardaire Kamel Cheikhi, alias "le Boucher", un narcotrafiquant Algérien dévoilé accidentellement au grand public par la quantité 701 kg de cocaïne d'Oran.
Bref, ce que je crois, pour les services français ou espagnols, le général Algérien Ghali Belkecir est une véritable mine d’informations qui mérite l'attention et offre le plaisir de faire couler davantage les salives. Une telle «capture d'écran» serait un atout incontournable pour faire pression sur Alger dans éventuellement les affaires politiques ou d'autre qui resurgiront à l'avenir avec la politique étrangère d'Alger et la diplomatie mensongère de l'équipe Bougadoum.
Faut-il souligner à ce stade que ce général Belkecir a dans ses poches plusieurs amitiés de ses contacts sécuritaires antérieures notamment en France où il a collaboré en son temps de patron délégué de tous les pouvoirs de la gendarmerie algérienne avec ses homologues de la gendarmerie française.
Il a entretenu des contacts et des relations privilégiés tout au long de sa carrière militaire. Il a voyagé régulièrement en France notamment à Paris, Lille et Marseille pour rencontrer les hauts responsables militaires français.
Aujourd’hui, pourquoi pas faire jouer ce réseau d'amis pour négocier une «asile politique confortable en toute sécurité» en France ou en Espagne qui font refuges pour tout haut responsable Algérien corrompu candidat à l'exil désirant fuir l'Algérie .
Ce que je crois enfin dans cette saleté Algérienne, ni Tebboune ni Chengriha ni Bougadoum non plus, ne pourront faire pression sur Paris ou Madrid au sujet d'une décision aussi propre de souveraineté pour y saboter la demande d'asile de leur grand fugitif.
Pour l'occasion adéquate qui se présente à jamais aux services de renseignement des deux pays, l'importance de secrets que pourraient contenir ses valises est de taille, sans négliger la remorque de l'ex-magistrate, sa femme Fatiha qui serait bourrée d'autres secrets y afférent, pleine de sifflets et de téléphones d'intervention "Made in présidence-dz".
Les Touareg pourront-ils parler..(vidéo en bas).En ce moment de musculation et de tir de cordes constituant parait-il, la préoccupation majeure conjointement de la présidence et l'armée. Les belligérants de la couveuse creusent,chacun en ce qui le concerne, la fosse convenable à sa taille et à sa puissance sans pour autant se donner la peine d’arrêter le vent de troubles et de révoltes qui souffle ces jours-ci sur le sud Algérien où la grogne couvait déjà dans une région très pauvre et aride, se trouvant quelque part dans la wilaya de Tamanrasset à cause notamment de la rareté de l’eau potable et de "hogra".
Au mois de mars dernier, une localité lointaine au sud Algérien était entrée en grève pour protester contre la mort d’un jeune tué par les forces de l’ordre. Les populations des wilayas de Tamanrasset, d'El Oued et d'Illizi au sud-est de l'Algérie protestent l'isolement demandant une vie meilleure et bonne gestion de leur situation par les autorités du pays en ce temps de pandémie et de virus.
Située à des milliers de kilomètres les wilaya du sud Algérien se trouvent limitrophes des zones pratiquement très dangereuse du Sahel. La menace terroriste plane toujours sur les populations ainsi que sur la frontière algéro-malienne, utilisée par les terroristes et les contrebandiers sous l'égide de l'Algérien Mokhtar Bel Mokhtar, alias "laâware", un lauréat de l'école ex-DRS du général Toufik, promotion décennie noire des années 90 (!).
Les observateurs notront-ils certes que les populations de ces wilaya lointaines n'y croyaient pas aux flashs que l'armée Algérienne qui se vantait communiquer, d'un moment à l'autre, sur les prétendues repentances d'Algériens terroristes (!), sur leur liquidations physiques présumées de terroristes ou encore sur les découvertes de caches d'armes terroristes Par contre, les groupes islamistes locaux existent partout en Algérie en cellules dormantes.
Si on croît les aboies des savants politiques Algériens en exil (Saïd Bensdira, Larbi Zitout de Londres et Iliass Rahmani de Suisse), ces populations et les Algériens en général persistent et signent que les communiqués de l'armée à ce sujet ne sont que du bluff, des nuages d'été et de couverture parallèle aux sorties de musculation de Gaid Salah, à ses parties de chasse et ses plats de "méchoui-gazelle" qui lui sont très chers et délicieux, surtout s'ils sont préparés par son mester-chef Chengriha dans la 3eme région militaire de Colomb-Béchar.
Silence on tourne..D'autre part, le moment ou l'Algérie se déchire à grands pas, le Maroc progresse aux petits pas, menant avec succès le développement de relations Sud-Sud appelant, à travers son ambassadeur en Afrique du Sud à une solidarité africaine renouvelée face au Coronavirus. Les responsables des pays africains concernés par le don Royal en témoignent avec ferveur.
Dans une tribune publiée dans l’influent portail sud-africain "Daily Maverick", Mr.L'ambassadeur Youssef Lamrani, a appelé à une solidarité africaine renouvelée pour vaincre la pandémie du Coronavirus.
Pour Youssef Lamrani, ancien chargé de mission au cabinet Royal, plus que jamais, l’Afrique doit prendre en charge sa destinée à la faveur d’un engagement renouvelé qui met le développement humain au centre des priorités..
Le Maroc, selon ma propre conviction estime que l’Afrique, berceau de l’humanité et terre d'accueil et de valeurs, «semble opérer une mobilisation de cœur pour pourvoir à des besoins qui ne sauraient être restreints à des calculs proprement politiciens ou à des intérêts égoïstes». Sa grandeur le contraignant à dépasser en exemple le cas ingrat de l'Afrique du sud des Zuma,la famille débauchée Dlamini et son Jacob.
Le Maroc, rappelons-le, qui s'est converti en pleine effervescence de solidarité avec l'Afrique, met en cage l'ingratitude de certains pays Africains envers lui, faisant de sa générosité le berceau de la fraternité Africaine depuis les leaders Africains de liberté et de libération.
En ce moment de Coronavirus, nous les avons vu hors agglomérations en activité permanente. Les gendarmes en piquet sous les rayons de soleil supportant aussi la rigueur de froid, incitant les automobilistes à respecter, pour leur sécurité, le code de la route luttant entre autres, contre la criminalité et le trafic de drogues.
Dans les urbains les télévisions nous rapportaient des cas spéciaux d'usagers de la route dans des barrages de police, surtout à Rabat où nous voyons des colonels, commandants avec leurs épaulettes garnies de papillons, (certaines dorées), aux cotés d'inspecteurs et de policiers en position de vigilance supervisant des séquences de contrôle et de sensibilisation.
A ces paramilitaires en particulier, aux autres unités d'appui en cette période de Covid-19, nous Marocains, hommes et femmes, des médias, des lettres, du paysage politique, nous devrons par témoignages leur rendre hommage. J'insiste en particulier à l’égard de la Gendarmerie Royale qui avec la Sûreté Nationale nous garantissent conjointement la quiétude et le respect des lois à nous. Et par leur particularité, loin de l'esprit des loi de Montesquieu.
Conslusion..
Je ne suis ni gendarme ni policier ni acteur associatif ou politique pour approuver ou approfondir davantage les bienfaits de la Gendarmerie Royale et de la police, malgré ce que disent frivolement à leur encontre certains rancuniers. Je trouve en fait que c'est normal de tirer à boulets rouges sur quelqu'un qui, par droit d'agir, impose le respect de lois pour faire régner l'ordre.
Et pourtant nous devrons à cet effet, mettre en avant, voire en exergue, soit par médias, sur les réseaux sociaux ou tout simplement dans son esprit, leurs aspects de professionnalisme, et de se rappeler aussi de la fidélité qu'ils affichaient et l'affichent toujours à la Monarchie citoyenne du Royaume et au maître du trône durant tout leur parcours depuis les créations en parallèle avec l'armée Royale en 1956.
Sachant que personne ne pourrait évaluer les traces, surtout de l'activisme veillant de la Gendarmerie Royale sur les événements qu’elle a vécus en tant qu'institution d'ordre et de maintien d'ordre, là où les confidentialités et les sévérités obligent.
Selon mon propre témoignage à moi, j'aurais le plaisir d'affirmer que cette Institution d'honneur a connu un parcours distingué depuis sa naissance, elle a valorisé, avec intelligence et grand «Indhibatt» pour créer un des plus beaux parcours dans la sphère sécuritaire Marocaine, couronné à chaque coup de gueule Royal au palais par appel à ses services.
A préciser que cette institution naît et garde le souffle de la considération dont bénéficie son personnel et par ses contributions au travers desquelles elle a enrichi le métier de garant de la stabilité du pays et de la quiétude des sujets de Sa Majesté durant tous les temps.
Revenant aux années des putschs avortés au cours desquelles certains de ses membres officiers, l'un supervisait l'enquête des chefs-putschistes, l'autre interrogeait les élèves d'Ahermomou, tous en définif ont couvert miraculeusement la sécurité royale sous Feu Sa Majesté le Roi Hassan II,
A Skhirat, durant le putsch du général ElMedbouh en juillet 1970,dont l’exécutons du crime était confiée à un duo de mal -le colonel Aâbabou et l'adjudant Aâkka-, le faucon de la Gendarmerie Royale avait eu l'effet de bravoure et joué un rôle prépondérant en cette circonstance de panique. Il aurait enfuie miraculeusement les lieux mettant en cache et au lieu sûr les princes et princesses présents, en particulier l’héritier du trône . Un travail de courage pour lequel il mérite de notre part, nous Marocains de tout le Royaume toute notre reconnaissance et trop d'éloges (..).
En preuve, le fait que nous vivons jusque-ici la continuité d'une dynastie harmonieusement ancestrale, enracinée dans l'histoire, c'est grâce à lui à ses pairs officiers fidèles des FAR et à la clairvoyance dynamique de Sa Majesté le Roi feu Hassan II. Contrairement au cas de nos voisins de l'est qui s'étouffent, depuis plus d'un demi siècle, sous la pression des sales bottes d'une junte de débauches, s'en vantant, entre autres, par vanité excessive appartenir à une force régionale particulière au monde!.
Concernant la Marche verte qui a réveillé chez toutes les unités de l'ordre y compris la gendarmerie Royale les épopées de la bonne gestion de la circonstance, reconnaissant que la gendarmerie Royale avait bien sublimé son travail professionnel d'accompagnement.
De ma part, je ne peut que me réjouir d'avoir citer dans mes notes avec grand respect le «Grand faucon et boite noire» je ne dirais pas boite noire que de la Gendarmerie seulement, mais aussi du Royaume du Maroc tout entier.
C'est un seul homme encore vivant qui avait conduit la Gendarmerie Royale à ce point de respect et d'éloges bénéficiant calmement aujourd'hui d'une retraite certes confortable.
D'autre part, je ne suis nullement pas un certain Tahar Benjelloune ou autre chroniqueur de métier capable de bien analyser et d'évaluer les bienfaits de la Gendarmerie Royale qui en fait, en dépit de quelques hésitations perdues, honore ceux qui lui appartiennent du haut en bas.
A part quelques dingues dont un moniteur que connais de près qui, au lieu d’être dans ses bottes d'un bon soldat, il a préféré de quitter et aller vers le théâtre pour gagner péniblement sa vie en faisant rire les autres.
Mais quand-même je dois en quelque sorte, m'exprimer et donner mon opinion et m'arrêter avec soulagement devant un point que je vois très positif de la Gendarmerie Royale, un point ayant trait à la sécurité de la vie publique que nous ne connaissions pas du tout auparavant, mais il nous est dévoilé que récemment par la pandémie actuelle le Coronavirus.
Le fait de confectionner et stocker par la Gendarmerie des bavettes pour parer à toute éventualité, ça me paraissait surprenant. Je dis bien fabriquer des masques par milliers en temps normal par des unités de gendarmes, en anticipation catastrophique et en prévisions de secours, ça paraîtra nouveau aux prérogatives d'une unité militaire au quelle, moi et d'autres nous ne pensions jamais à l'importance et au port de bavette au moment de crise.
C'est vraiment une sorte de particularité miraculeuse, si j'ose employer ainsi le terme, une particularité issue de l'extrême intelligence d'un haut commis d'État du genre du général à quatre étoiles Hosni Ben Slimane qui, en fait, était en 1961 un tout petit lieutenant aux escadrons d'honneur au Palais Royal. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
---------------------------------------------------------------------------------------------
Tebboune et les moqueurs