Maroc-Algérie : Et si on se demande, l'Algérie credible existe-t-elle réellement?
Mme Arancha González Laya
Affaire de l'heure.. On a droit à l'interrogation. Dans ce sens je dirais ce qu'aucun des politiques ou des officiels Marocains ne peut articuler (respect de raisons diplomatiques oblige).
Le dialictal populaire Marocain nous apprenait l'anecdote courant entre interlocuteurs bavardistest : «لحديث والمغزل la parole et la broche», c'est-à-dire, il faut parler et bosser en même temps que le cultivateur dans son champs.
le terme Almoghzel en dialectal. est un terme peu connu en socièté urbaine au Maroc. C'est un tige de bois par lequel on enfile de la laine et que les femmes regroupées en sorte de 'Twiza', qui viennent généralement aider une des leurs, font tourner entre main et jambe pour avoir un fil bien ficelé et bien tordu.
Exprimant mon point de vue personnel en tant que simple observateur, mon lectorat verra bien par ce qui suit que je ne ferais pas de diffamations ni injures portant préjudice aux relations Maroco-espagnoles actuelles.
Je ne suis pas également analyste de relations entre Etats, mais je crois que le différent qui oppose actuellement mon pays à l'Espagne au sujet du polisarien Brahim R'khiss. ne doit pas passer inaperçue.
Tout d'abord, Mme Arancha González Laya, la ministre Espagnole aux affaires étrangères, une femme de taille, une femme politique, dit-on du poids lourd, pas qu'en Espagne mais aussi en Europe, appartenant au cercle européen affairiste.
Je crois qu'en faisant de la politique au niveau d'Europe, ça ne sera pas le même avec les pays du sud de la méditerranée, surtout avec le Maroc, le leader du continent Africain.
Elle apprend la nage au détroit de Gibraltar avec ses : "raisons humanitaires", marchant vers les requins Marocains qui surveillent nos intérêts dans ce passage à l'embochure Meditèrrano-Atlantique. Cela nous donne l'ambition et l'apitié de parler en bref Maroc-Espagne.
La question est : Au cas où le Maroc prendra ses propres mesures pour interempre les coopérations ant-terrorismes avec l'Europe via l'Espagne, Madame Arancha González Laya, la ministre aux affaires étrangères de Madrid, sera-t-elle noyée, pour la simple question dans le sang par le terrorisme international?!
Sachant que la France reconnait l'éficacité de renseignements du Maroc et en profite de sa particularité en ce domaine pour lequel MM.Hamouchi et Mansouri forment un bras fort de «Deux en Un» pour marquer la supériorité Marocaine en renseignements.
Les opérations de démentellement de cellules terroristes que les services de sécurité (Sureté Nationale et gendarmerie Royale confondues) ne cessent d'opérer par anticipation en témoignent le professionalisme Marocain dans ce sens. Un fait grandiose et particulier qui attire davantage l'admiration de beaucoups de pays menacés par un «terrorisme aveugle baptisé en Jihadisme».
La ministre Madrilaine dans le gouvernement socialiste Pedro Sanchez II va dans ce sens avec sa colaboration douteuse avec l'Algérie en acceptant la sale offrande Algérienne de gaz et de pétrole pour y apprendre à nager en contre partie contre le courant Marocain.
Attention au feu Madame! ça va barder, pas seulement avec le Maroc, mais aussi avec le parti d'opposition Espagnole (le Parti Populaire) ayant pris en compte la colère Marocaine demandant des explications au gouvernement Sanchez sur "l’entrée illégale" de Brahim R'khiss, alias (Mohamed Ben Batouch) en Espagne.
Nager contre le courant Marocain, c'est facile à dire, mais pas si simple, comme pourraient-elles croyer les femmes taureaux ibériennes du genre de Mme la ministre Arancha González. Mr.Bourita, l'agent d'exécution des orientations royales, est toujours éveillé et donnera certes ultérieurement la réponse à toute interrogation dans ce sens.
Rappeler par exemple l'ambassadrice Marocaine en Espagne Mme Karima Benyeich pour consultation, après le «mécontentement» exprimé par le Maroc face au sujet de ce mercenaire d'Alger.
Prenant compte que le torchon commence déjà à brûler entre Madrid et Rabat si en croit ce qu'avait laissé entendre Mme l'ambassadrice dans une déclaration accordée à l'agence espagnole "Europa Press, je cite : Que Madrid devait assumer les conséquences de ses actes, comprendre la réception par l’Espagne du chef du mercenaires Polisario Brahim Ghali, hospitalisé dans le pays ibérique, contrairement à ce qu'avance la presse espagnole.. «l’entrée massive de migrants Marocains à Sebta», selon le communiqué de Mr.Bourita, notre ministère aux Affaires étrangères .
S.M.le Roi Mohamed VI avec le Roi d'Espagne
Tandis que les cons d'Alger..Tebboune, son parrain Chengriha et leurs acolytes sont embrouillés par le trop plein de défaites et d'échec endossé par le département de mesonges de Bougadoum qui n'a réussi en aucun moment, avec ses danses diplomatiques de cop devant la diplomatie Royale bien gerée par les faucons de Mr.Bourita.
Une diplomatie Royale credible, basée sur le respect des principes de souveraineté et d’indépendance tant que la réciprocité est de mise. Dans le cas contraire, la réaction du Maroc est ferme comme il l’a montré récemment avec certains pays Européens dont l'Espagne qui accueille sur son sol le polisalgérien Brahim R'khiss.
Que madame la ministre et son gouvernement sachent enfin que le Maroc, est capable en cas de force majeure de pulviriser le sud d'Espagne par des vagues de migrants en libérant, les autorités locales Marocaines au nord et les unités de la marine Royale des FAR opérant en méditerranée et Atlantique du cauchemar de poursuite et de chasse à l'homme dans la rive sud de la méditerramée et que leur pays l'Espagne en supportera les frais.Il serait, paraît-il, déjà pris entre les tenailles et l'enclume de migration informelle.
Le mauvais comportement majeur de la part des Espagnoles est toujours de mise pour nous, nous rappelant à cet égard la frivolité du gouvernement Aznarr'affaire de l'arraisonnement du 'Yakht' Royal par la guardia civile en 2014 en Méditerrané en lui restera d'exemple à éviter en d'en prendre cette belle bourde diplomatique du gouvernement José María Aznar qui pensant avoir affaire à des trafiquants de drogues ou des clandestins, une patrouille de la Guardia civil espagnole a arraisonné en mois d'août 2014 au large de Ceuta le yacht Royal avec à bord Sa Majesté le Roi Mohamed VI.
Ceuta rappelons-le est une enclave espagnole sur la côte Marocaine. Le journal espagnol El Mundo, avait révèle à l'époque cet incident rapportant que le souverain a appelé directement le roi espagnol pour avoir des explications.
Pour rappel à Madame la ministre que la scène, quelque peu surréaliste, s'est déroulée le 7 août 2014, en fin d'après-midi. Intrigués par un bateau de plaisance, autour duquel gravitaient plusieurs jetskis, une patrouille de la guardia civil espagnole décide sans autorisation préalable de l'occupant qui n'était que le Roi du Maroc de monter à bord du navire afin de procéder à un contrôle, déclenchant ainsi une polémique passagère entre le Maroc et l'Espagne.
Ils se retrouvent alors nez-à-nez avec Sa Majesté le Roi qui leur lanca «Vous ne savez donc pas qui je suis?». Un des policiers espagnoles finissait par le reconnaître et les gardes-côtes prennent rapidement la poudre d'escampette..
Cet incident n'est pas sans rappeler celui survenu en juin 2010, lorsqu'un avion militaire espagnol avait survolé le yacht Royal de Sa Majesté le Roi Mohamed VI alors qu'il se trouvait dans la baie d'Al Hoceima en pleine mer Marocaine..
Madame la ministre ne doit pas négliger que les relations Maroco-espagnoles, même si elles traversent une période de calme et d'entente cordiale, n'échappent pas à des imprévus. Le fait d'Arraisonner un yacht royal et accueillir sur son sol un mercenaire Marocain dit Brahim R'khiss ne participait pas à consolider les rapporchements escomptés entre les deux pays.
Un journaliste Espagnol aurait conseillé à Arancha González Laya de lever devant l'ambassade du Maroc à Madrid une pancarte et demander excuses écrivant : «Ça m'a coûté cher, de guérir mes blessures Marocaines et de rester telle que je suis....J'ai appris à survoler sur des mots stupides envers le Maroc, dictés par l'ignorance.... de ce que représente le Sahara au Maroc.!!!
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La malédiction Algerienne
Tout au long de mes écrits, certains lecteurs assidus me demandaient souvent la signification de "l'Algérie d'un million et demi de martyrs". Je peux dire là-dessus que l'Algérie est une "voisine répudiée", par ses leaders disparus, délaissée à la portée d'une bande de lâches, des fils de maisons closes ouvertes abondamment à la dernière minute de l'Algérie française pour enfanter les bâtards d'aujourd'hui, militaires et autres qui gouvernent l'Algérie..
L'Algérie qui débutait ses premiers pas d'indépendance par attaquer le Maroc dans ses propres fiefs, à Hassi Beida et Tinjoub dans la province d'Ouarzazate, tuant des Marocains innocents qui n'avaient nullement, "ni chamelle ni camelin", comme on dit au dialectal Marocain, dans toute histoire avec l’Algérie "Nacerite" de Ben Bella dominé "politiquement" et pratiquement même par le nationalisme exagéré de Abdenacer jusqu'au point de pouvoir proclamer l’Algérie en "Mohafadha d'Egypte"
Ce tyran Égyptien prévoyait dominer le monde arabe, il s'y lançait, volontiers au secours d'une Algérie saignante qui dit-on, vient tout juste de sortir à peine d'une guerre de libération très lourde, selon les termes vagues de Abdenacer qui avançait sans preuves le chiffre flottant, trop exagéré d'«un million et demi de martyrs algériens» contre un Maroc dur dirigé par une Monarchie stable qui pèse lourd au marché du monde arabe.
Pour rappel, Abdenacer avait son propre agenda «éliminer tout royaume Arabe et construire"une grande République Arabe unie»comme le faisait avec la Syrie et l'Irak (RAU-Rapublique Arabe Unie) commençant déjà ses complots par démolir le Yémen "heureux", lui imposant une guerre sanglante ayant fait tomber le Roi Mohamed AlBadr de son trône pour y installer à sa place un certain Abdallah Sellal, comme pion à son service
Il a fallu à Abdenacer et ses acolytes en Algérie un apprentissage ardu pour faire tomber un Roi génie comme feu hassan2. A peine arrivé à neutraliser, péniblement, les faibles du monde arabe! Abdenacer perdait, au sens ignorant, toutes ses cartes au Maroc.
Dans cette foulé de contradictions, l'Algérie est passée aux mains d'une autre bande d'opportunistes qui s'accaparait du pouvoir à bord des tanks conduite par ceux qui ont trop bu de l'eau Marocaine à Nador et Oujda - les maudits Houari Boumediane (Boukharoub de son vrais non) et son gamin Boutefrika, le surnom que lui donnait feu Hassan2.
Témoin à part..Me Hubert Seillan, Président de la Fondation FMPD «France Maroc, Paix et Développement» avocat de carrière au Barreau de Paris. Je reprend textuellement ce que je crois important au sujet de nos ennuis avec l'Algérie :
«Tous ceux qui connaissent ce vieux et beau pays du Maroc n’ont aucune hésitation sur le sujet de son Sahara Marocain, parce que sa Marocanité est un fait historique avéré par la culture, l’économie et le droit», Me Seillan, membre également de la Plateforme internationale pour le Sahara Marocain, articulant :
«Il y évoque notamment la genèse du conflit dans le sillage de la guerre froide, l’implication directe de l’Algérie et les derniers développements du dossier à la lumière de la reconnaissance américaine de la Marocanité du Sahara, ainsi que la dynamique née de l’ouverture de nombreux consulats étrangers dans les provinces du sud du Maroc.
Le juriste français, auteur de l’ouvrage “Le Sahara marocain, l’espace et le temps”, dénonce à cette occasion une falsification des faits par les ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume sans viser l'Algérie par son nom.
Face à des faits “têtus et obstinés” attestant de l’existence de liens venant des premiers temps de l’islam entre le Maroc et son Sahara, certains (les Algériens veut-il dire en clair) ont tendance à leur substituer les mirages qui leur conviennent.
Dès lors, comme ils savent le faire pour maquiller un animal fatigué en un fringant coursier, les maquignons interviennent. Dans l’histoire, l’art du droit s’est prêté assez souvent au maquignonnage pour qualifier des apparences, après falsification des faits.C'est l'art que maîtrisaient et détenaient en devise les teneurs de ficelle au pouvoir militaire d'Alger.
C’est pourquoi il ne peut y avoir d’État moderne que démocratique, comme l’indique l’appellation RASD. Le mirage se matérialise alors en un mot. Mais que ce mot en devienne l’enveloppe juridique ne lui donne pas pour autant une réalité. Toutefois, renchérit le juriste français, la force de toute tricherie est très limitée lorsque la contradiction avec les faits est trop grande et “ses échos s’arrêtent aux seules oreilles qui y trouvent quelque intérêt”.
Elle ne trompe pas plus loin, martèlait-il. “Aussi le Sahara de l’Ouest Marocain est aujourd’hui reconnu Marocain par le plus grand nombre des États du monde actuel et l’illusion Algérienne n’a vécu que le temps où le monde était partagé dans le sillage de la guerre froide.
Le juriste français pointe également du doigt l’implication de l’Algérie, “entièrement partie prenante” dans le conflit, ajoutant que cette réalité indiscutable ne trompe personne car les faits, là encore, s’imposent.
L’Algérie a engendré, et non pas simplement créé, le polisario et la RASD. Tous trois ont la même nature. Cette tromperie date de l’acte de décolonisation par l’Espagne, il y a plus de cinq décennies. Elle permet à l’Algérie de se présenter devant la communauté internationale comme un État neutre, ne considérant que les intérêts démocratiques des populations et les droits humains. L’audace est téméraire quand on sait ce qu’il en est dans ce pays. Elle relève de l’arrogance, constate le jury Français.
A ses yeux, la diplomatie du régime algérien est encore une fois fondée sur un “mirage”, ajoutant qu’en qualifiant le Polisario et la RASD de représentants exclusifs des populations du Sahara Marocain, elle déclare ne leur apporter qu’un soutien politique alors qu’ils ne sont que son prolongement, une illusion qui lui permet de combattre systématiquement les efforts internationaux qui tendent à une reconnaissance définitive du statut d’autonomie avancée du Sahara sous la souveraineté du Maroc.
Mais observe-t-il, “aujourd’hui, l’opinion internationale n’est plus abusée”. Un pays comme l’Algérie qui place massivement en détention ceux de ses ressortissants qui en appellent à la démocratie et aux droits humains a-t-il la légitimité pour parler au nom des habitants de Lâayoune, de Smara ou encore de Dakhla ?, s’interroge Me Seillan.
La réalité s’impose..Ajoutons-y la symbolique de la carte du Maroc intégrant le Sahara Marocain paraphée au grand jour par l'ambassadeur Américain devant tout le monde à Rabat, que retiennent désormais les États-Unis, première puissance mondiale et modèle des libertés. Tout ceci indique que le résultat est désormais loin d'etre proche au terminus.
C’est ce que pense une immense majorité du monde, ce qui, sans doute, explique la décision récente du président Français de créer une représentation à Dakhla à l'instar de presque une vingtaine de pays. Parce que les mirages ne durent qu’un temps, et l’illusion Algérienne doit disparaitre à jamais.
Principal soutien à sa création polisalgérienne, l’Algérie a procédé à des manœuvres militaires dans la zone de Tindouf, pas pour perfectionner sa racaille militaire, mais pour montrer à ses acolytes qu'elle est là et toujours là pour encaisser davantage d'échecs face à un Maroc fortement têtu à ses yeux!.
L'armée algérienne a procédé à d'importantes et spectaculaires manœuvres aéroterrestres à Tindouf-Sud. Selon des images de la télévision algérienne diffusées en grande pompe, cet exercice, baptisé Al-Hazm 2021 «Résolution», s'est déroulé sous la supervision du chef accidentel d'état-major de l'Armée Algérienne, le général Saïd Chengriha. Des images ripostes me parait-il, pour marquer la présence algérienne sur terrain haineux visible avec un soutien aveugle à sa créature batard du Polisario.
Évoquant l'instabilité régionale, Me Hubert Seillan, pointant le chef d'état-major a souligné que l'Algérie «mérite que son armée soit constamment à la hauteur des enjeux auxquels elle fait face aujourd'hui, et qu'elle demeure éternellement libre, souveraine et tenace face aux ennemis d'hier et d'aujourd'hui», sans citer ces potentiels ennemis.
Malgré qu'elle est équipée de matériel russe, l'armée algérienne est de loin d’être la première puissance militaire au Maghreb.face à un Maroc fort de ses capacités de guerre. Dans son numéro de décembre dernier, la revue de l'armée Algérienne, avait appelé les Algériens à se tenir prêts à faire face à des «menaces imminentes».
Son éditorial faisait état de «la détérioration de la situation régionale le long de sa bande frontalière et [de] la menace que font peser certaines parties ennemies sur la sécurité de la région ces derniers temps ». Plus grand pays d'Afrique, l'Algérie partage plus de 6 500 kilomètres de frontières avec sept pays, dont certains sont en proie à des conflits. Alger a récemment dénoncé des « manœuvres étrangères » visant à la déstabiliser et pointé du doigt Israel, après la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara Marocain,
Le Maroc contrôle dans le cadre des « Provinces du Sud » la grande partie partie intégrante de son territoire construisant un mur armé de protection. Le Polisario, soutenu par Alger, réclament un référendum d'autodétermination déclaré irréalisable meme par l'ONU.
Je reviens ci-dessous pour mémoire à quelques points marquant le farouchisme du pouvoir d'Alger. En 1994, attentat de Marrakech où des Algériens étaient impliqués. Le Maroc imposait des visas aux Algériens et l'Algérie, par nervosité et par pression d'effet de tabac à chiquer (chemma) ferme ses frontières.
En 2004, fin des visas pour les Algériens et en 2005, fin des visas pour les Marocains entrant en Algérie. Mais l’Algérie maintient, depuis, la fermeture de ses frontières, malgré les appels du Maroc, ainsi que l'appel de ce qu'on considère nos frères algériens.
Quand la paix régnait dans cet espace Maroco-Algérien, les Marocains faisaient, en voiture, 8000 km pour arriver à la Mecque. Aujourd’hui, ce parcours nous est fermé par l’Algérie, malgré l’amitié et la fraternité liant nos deux peuples.
Le Maroc a toujours soutenu l’Algérie. Mais les gouvernants algériens l’oublient. Nos deux peuples ne cautionnent pas les conflits et espèrent la réouverture des frontières. Dernièrement, une chaîne de télévision algérienne, dans une émission satirique, a grossièrement dénigré Sa Majesté le Roi. Les Algériens, à travers les réseaux sociaux, ont de leur part exprimé leur indignation et ont appelé au boycott de cette chaîne.
Je suis idéaliste, je le sais, mais il m’est permis de rêver. Mon vœu serait alors de faire Casablanca-Ryad en voiture. Puisse-t-il un jour être exaucé! En attendant, je souhaiterais voir les frontières avec l’Algérie toujours fermées pour éviter toute contamination terroriste et ne pas voir davantage d'Algériens se promener avec arrogance ou s'installer chez nous.
L'attaque de Marrakech de 1994 est toujours vivante, faisant tache à l'esprit du Marocain. Nous souhaitons pas donner l'occasion au borne Mokhtar Bel Mokhtar ou aux caporaux de France de destabilser notre quiétude. A bas l’histoire, le voisinage et le sang avec un pays fantoche comme l'Algérie. Le leadership Marocain avance et progresse sans petrole et son hypocrisie au détriment de l'acharnement de haine et d'hostilité de la part de l'Algérie.
L’ingratitude Algérienne avance et fait mal au voisinage nord-Africain. «Seule une régulation rigoureuse», écrit Tahar Ben Jelloun, permettra de séparer la haine à l'hostilité , que porte le régime mafieux en Algérie contre le Maroc et d’éviter un choc de non retour à la normale. Mais ce à quoi nous assistons, c’est plutôt un choc des ignorances à l'Algérienne..
Un passage signifiant..Je m'arrête devant un passage trés fort, vivant encore dans nos esprit, désignant la réalité et la particularité de l'Algérien. «S'adressant aux Algériens dans son vivant, l'ex-président Tunisien Me Habib Bourguiba, leur disait via un de ses discours de colère : (Assez de nous en merder!! "Addakhel N'aâraf M'mou ou Lkharej N'aâraf B'bah!"). Ca veut dire, sans citer clairement, qu'ils sont tous que des batards issus des maisons closes d'autrefois en Algérie Française.
Sachant que le Maroc, conscient de ses capacités mentales, il évite de tomber au même niveau que Bourguiba ou se laisser porter par les bas niveaux de diffamation enfantelle avec une veuve (Algérie) qui aboie tout le temps à ses cotés, pour réveiller et engager par sa sale odeur de pétrole tout démon suceptible d'entacher le Maroc.
En contre partie, le Maroc en tant qu'homme, se comporte de façon unilatéralement crédible, ce qui lui attire davantage respect des grands avec lesquels il partage plusieurs intérêts en matière de sécurité et de stabilité.
Il se débrouille sans ressources pétrolières, s'appuyant sur sa propre force, ne laissant ainsi aucune trace sur l'épaule d'autrui, prenant son modéle de meilleures pratiques diplomatiques.
C'est pour cet aspect priviligié que les Algeriens s'en viniment davantage et se mordent les doigts pour n'avoir point arrivé à ce stade de particularité Marocaine, voyant leur pays l'Algérie se démerdait dans ses déboires face au monstre Marocain.
En fin de compte, tout observateur bien avéré constaterait, de tout ça, que les tribunes des capo-généraux Algériens, sont le miroir qui bafouillait toute une société Algérienne totalement épuisée. Et pourtant, l'anecdote ou plut tot, la sotise la plus spécialulaire de Chengriha vient tout juste de tomber au sujet de la Palestine.
Pour cacher la faiblesse Algérienne, Chengriha avancait par orgueil, le plus flagrant sur terre, que l'Algérie avait l'intention de bombarder Israël par 4000 missiles?. Mais par peur de porter atteinte à la quiétude Palestinienne(sic), l'Algérie s'est vue contrainte, par obligation propagandiste d'«émettre que des solgans, condamnant les actes de terreur d'Israël en Palestine
Cela étant à mon avis ne reflète que la sensation hypocrite qu'articule souvent le pouvoir d'Alger pour la consommation locale et aussi pour marquer sa présence dans l'actualité» en preuve : La récente décision du président algérien, menaçant les entreprises de son pays qui traiteraient avec le Maroc et autres prétendus «lobbys hostiles à l’Algérie», a mis à nu son incapacité à s’élever au niveau de la fonction présidentielle. Bonne lecture
Cordialement, Chihab25
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