2/5- Le Der Spiegel - Wikileaks - et Bouteflika !
En feuilletant les pages, Regardez deux Syriens se disputent l'auditoire. A vous de choisir (voir à droit au bas de la page)
Alors émeute , la seule solution,pour un dictateur de banane, 13 ministres d'une même région, un certain Ben Bouzid 25 ans, imitant Mr.Znagui, notre jeune ministre de Tourisme pour ne pas laisser de place à d'autres capacités d'autres région Algériennes!!, Ouyahia et ses bus du cous 4ème fois 1er ministre et d'autres? Une situation qui ne fait naître que des pourrissements.!
(2ème partie,suite..)
Bouteflika au collimateur ? Les présidentielles de 2014 ou jamais!,
Les représentants du parti FLN au parlement ont exprimé à cet effet, leur collère et leur déception. Si la conversation a eu lieu telle qu’elle a été rapportée, « ce serait de l’aventurisme et un affront aux représentants du peuple, » a dit à Spiegel Online un député parlementaire du mouvement "Tas-hih" créé aprés le débordement du parti, qui rédclame le départ inconditionnel du parti FLN de Abdelaziz Belkhadem et de Bouteflika aussi! qui considèrent le parti FLN, ou plutôt ce qui reste de ses ruines, comme leur fief et propriétté privée intouchables! Selon le Der Spiegel online d'autres députés parlementaires du FLN ont exprimé leur indignation sur le fait que le Duo Bouteflika-Belkhadem ont confié à l’ambassadeur américain des informations sur « les sales tours qui sont employés pour tromper la base du parti, si elle en éxisite vraiment une base partisane à cette vieille carcasse»
Quelle comédie! cinquante ans après l'avenue officielle au pouvoir, pour ne pas dire la fondation officielle du parti-pouvoir le FLN (Front de Libération Nationale). Chaque membre du parti, déjà divisé sous les pieds de Belkhadem, devrait à présent voir clairement la manière dont le parti fonctionne. Ce n’est pas seulement dans le domaine de la politique étrangère que L'FLN fait exactement le contraire de ce qu’il proclame officiellement dans son soit-disant programme et ses campagnes électorales. Elle fait la même chose dans tous les autres domaines politiques que ce soit le démantèlement des emplois dans le secteur public, la privatisation, sous table avec ses pots de vin, du secteur de logement et des services publics ou l’application au niveau local des attaques contre les chômeurs et les bénéficiaires des aides forfaitaires en application de la tentative échouée de Bouteflika « LwiAme Lwatani ».aucune stratégie de développement ne saurait sortir l'Algérie du sous-développement en l'absence d'une lutte efficace contre le clientélisme, le népotisme et la corruption?!! phénomènes propagés en puissance sûrement durant toutes les périodes de commande des FLNISTES qui ne sont faits que pour se repmlir les poches et laisser la base du parti et le peuple Algérien "aller au diable".
Les soi-disant membres du parti FLN qui sont bien sélectionnés par l'équipe Belkhadem pour jouer le jocker de table-casino, tentent de dissimuler cette politique droitière par une rhétorique apparemment de gauche. Les révélations de WikiLeaks ont exposé la nudité de leurs tentatives de camoufler la politique réactionnaire de Bouteflika et de son charlatan Belkhadem qui sont pris à leur propre jeu, au détriment des vrais FLNISTE qui ont fait le maquis de libération et qui s'attachent encore au droit de vivre l'atmosphèe de l'esprit de Tanger 1958.
Les révélaions Wikileaks ne s'arrêtaient pas à la politique interne du parti Algérien FLN, ni à la conversation de Bouteflika et ses proches avec l'ambassadeur Américain en Algérie. elles dévoilent encore plus la disponibilité du Président Algérien en éxercice au service d'Israél d'une manière plus discréte qu'auparavant!! selon une dépêche Wikileaks de l'ambassade américaine à Abu Dhabi en Imarat de Cheikh Zaid.Par contre, on entend parler partout, ici et là, de l'égoïsme trop abusif des Alégriens les plus dingues du monde disant avec une modeste fièreté qu'ils " sont trés ravis de vivre dans cette Algérie de dignité !".Je me pose la question de quelle dignité s'agit-il ?
Mais où est donc passé Abdelaziz Bouteflika, l'ancien et le nouveau trait-union Algérien avec le" Mossad et le shin bet" ? l'ex-indésirable à Alger, l’ex-homme fort du temps de Boumediane aurait rentré en liaison par la grande porte du pouvoir pour arriver au bon port avec Israél et faire d'une pièrre deux coups.
Selon Der Spiegel qui se basait sur les révélations et les faits du site internet Wikileaks, le citoyen Abdelaziz Bouteflika avant d'être élu à la magistrature suprême de son pays, il y a plus de dix ans, est l'ancien « protégé » des Américains et des Israéliens depuis qu'il faisait conseiller politique plus proche de Cheikh Zaid Ben Soltan al N'hyane, le grand Émir des Émirats Arabes Unies et à l'insu de ce dernier. Il était tombé en disgrâce avec les agents de la CIA opérant aux pays du golf arabique après une humiliante déroute dans ses collaborations à haute échelle en juin 1998. Mais il était parvenu ensuite à revenir dans sa peau au jeu politique dès son rapatriement "surprise" par le général Larbi Belkheir, le façonneur des présidents Algériens.
Les dévulgations Wikileaks ajoutent que pour Israël et les États-Unis, Bouteflika serait tout à fait acceptable en tant que président-informateur, pour seconder, et pourquoi pas succéder au Émir de Qatar Cheikh Hamed Ben Khalifa Al Thani qui ne produit à Israël que de faibles informations non rentables, à cause de son isolement régional et de son désacord avec la plupart des pays arabes à cause de sa chaîne rebelle " Al Jazeera". qui en couvrira sûrement, un de ces jours sa déchéance probable.
Effectivement le président Algérien est rentré en fonction de collaborer avec Israël par entente directe avec le Mossad et le Shin bet – il avait infiltré les mouvements sionistes les plus éxtrêmistes et radicaux dès ses premiers pas au pouvoir Algérien, pour développer ses privilèges et fortifier ses chances avec Israël, qui par sa grâce serait la seule garante à lui permettre de perdurer son éxistance au pouvoir, si non sera éjecté d'un pays instable , un pays déchiré, par l'insécurité, un pays à la merci de vents et de tempêtes de sécessions et de dissidence éventuelles qui souffleront, tôt ou tard, de littoral de la grande Kabylie au nord-est du pays et du Touareg de Tamanrasset, à Tassalt à l'éxtrême sud via le Hoggar. Il avait ensuite poussé très loin la collaboration et le partage du renseignement avec le Mossad et le shin bet , (le service de sécurité interne israélien) par le biais de son ancien parrain le palestinien Mohamed DAHLAB, l'ex-homme fort de "Fateh" à l'époque du président Yasser ARAFAT qui l'engageait lors de sa fugue dans les pays du Golf arabic. et ce pour sanctionner ses potentiels ennemis islamistes Hamas de Gaza, qui ont pris le pouvoir par les armes en juin 2007, après des informations avérées qu'ils soutenaient, -via les tunnels les reliant à l'Egypte-, les islamistes Algériens du FIS, incitant ainsi Cheikh ALI Belhaj à la désobéisance et au soulèvement contre le pouvoir Algérien en place..
Abou Jorjora- son surnom d'agent de renseignements - a longtemps été très apprécié des services de renseignements occidentaux, même si les Français, par exemple, avaient fini par s’en méfier. Malgré ça, « Jacques Chirac l'aimait beaucoup », remarque un autre diplomate européen à Jérusalem, qui a mis en garde le responsable du Quartet contre « les nombreuses casseroles » accumulées par Bouteflika, depuis quinze ans. « Un diplomate Américain qui siégeait à Alger veut montrer qu’il est plus blanc que le blanc », il évoque de son coté d’autres affaires de corruption, non encore mises au jour, au sein de la direction Algérienne. Cette éviction s’inscrit dans les manœuvres inter Algériennes en vue d’une réconciliation probable entre factions : le GSPCA- La Kabylie et les Touareg au sud d'Algérie. Et pas seulement entre le Palais d'ElMoradiah et la caserne de Ben Aâknoune, les deux ennemis jurés du peuple Algérien. Dont le régime mafieux Algérien restera l'un des symboles de la répression sanglante qui s'est abattue sur la population Algérienne, au lendemain du coup d'état du 11 janvier 1992 contre le président Algérien modéré Chadli Ben Jdid.
Très drôle, la politique par le petit bout de la lorgnette: pendant ce temps où les Algériens se chamaillent comme des gosses, les gens sérieux en Israël et en Iran se disputent le Leadership de l'énorme gisement politique, si j'ose dire, dans la région du Moyen Orient. Si jamais le peuple Algérien acceptait d'emblée la politique de l'autriche que leur impose le pouvoir Algérien contre le Royaume du Maroc, c'est selon les services secrets occidentaux, l'Algérie qui aurait un gros problème avec son futur et son destin inconnus et là les Algériens s'apercevraient aprés l'ère Bouteflika/Belkhadem que le vieil adage selon lequel leur Etat qui soutient la lutte armée du polisario le font pour que jamais ne naisse un tel micro-Etat à leur extrêmité ouest, est bien réel. Ils devraient d'ailleurs demander aux Marocains si ce n'est pas un viol de souveraineté que de ne pas vouloir tenir compte d'eux pour les royalties éventuels liés à cette atmosphère politique incertaine .Mais bon les dirigeants Algériens sont tellement à l'abri du besoin qu'ils ne se rendent même pas compte de la misère de leurs populations démunies, de la chair à canon, sans plus.
Un résistant n'abandonne jamais son poste et ni ceux avec qui il travaillait, s’il n’est au départ un traître. Faire tuer et, au besoin mourir, n'effraient pas le bon militant partisan, ni Bouteflika et sa junte militaire non plus!. Comme tout le monde le sait l’assassin de son maître à penser le defunt Mohamed BOUDIAF, -la perle d'Algérie et la victime des généraux-, était bien établi au compte de ses services spéciaux.!. Il a même été bien rassuré de la complicité des patrons de la DRS dans cet assassinat,dont le chargé d'éxecution n'était que l'agent-DRS, le lieutenant M'Barek Bou Maâraf. Mais par peur de connaître le même sort, Mr. Bouteflika n'a rien pu faire, il s'est vu contraint de souffler à l'oreille de son éguilleur Abdelaziz Belkhadem, alors premier ministre,chef du gouvernement d'enregistrer l'affaire "contre inconnu" afin de se débarasser de ce dossier épineux. Sachant qu'à ce moment-là, il ne pouvait que fuir ou se taire, pour sauver sa peau, puisque ses concitoyens de la DRS sont bien perfectionnés en apprenant les méthodes des Israéliens de liquidation physique qu'il avait bien connu la pratique, lors de son entrainement au sahara de "Naqab", par les agents du Mossade (Israël Sécurity Agency). Avec un président (agent-double), les Algériens ne sont peut-être plus en sécurité mais ils sauront bien qu'ils en étaient enroulés malgré eux, et ils ne retrouveront cette sécurité, qu'aprés la mort certaine bien sûr de leur vieille hyène "Bouteflika" qui commence à perdre l'équilibre et de la force de s'esquiver sur les pointes de ses pattes,et aussi aprés l'éclipse totale de la mauvaise lune des généraux corrumpus de l'Algérie.
Je disais "qu'aprés la mort", et j'ai pas voulu employer d'autre terme, car Mr. Bouteflika tient à être le président à vie sans compter pour lui le nombre de mandats!! (2014-2019-2024). Et en càs de force majeure, il sera le futur usurpateur"Lauent Gbagbo" de l'Algérie.
Le général major Smaïn Lamari a fait l'essentiel de sa carrière, entamée à la veille de l'indépendance en 1961, dans les services opérationnels de la tristement célèbre sécurité militaire, de la Direction générale de prévention et de sécurité (DGPS) et du Département recherche et sécurité (DRS). Nommé par Larbi Belkheir inspecteur général de la direction de la sécurité de l'Armée à l'époque, il devait avoir, dès le renversement du président Chadli Bendjedid en janvier 1992, et sous les ordres du général Mohamed Médiene, dit Tewfik, la haute main, sur tous les services de sécurité algériens dont il assurera la coordination durant la décennie noire.
Il est tenu pour responsable d' exécutions extrajudiciaires opérées à grande échelle, sur la base d'un programme de liquidation physique d'opposants et de simples citoyens algériens, programme conçu entre autres avec le général Khaled Nezzar ; ces exécutions commises par les services de sécurité militaire ainsi que par la police judicaire dirigée par Mohamed Issouli, et passée sous son contrôle, en mars 1995.
C'est ainsi que de nombreux citoyens algériens seront assassinés, torturés ou disparaîtront à ce jour.De nombreux témoignages, parmi lesquels ceux d'anciens officiers de l'armée algérienne, y compris d'anciens officiers du DRS, attestent du rôle et de l'implication directe du général Smain Lamari dans l'exécution cette politique de répression à vaste échelle.
L'ex-adjudant chef Abdelkader Tigha rapporte l'ordre personnel du général Lamari au CTRI (la machine à mort) de Blida dirigé alors par Mehenna Djebbar, l'un de ses hommes de confiance, de limiter au maximum les traductions des prévenus devant les tribunaux, ce qui était interprété comme un permis de tuer ou de faire disparaître les personnes interpellées.Le général Lamari aura ainsi échappé à la justice des hommes et laissé aux familles de ses victimes un sentiment de frustration qui ne les fera cependant pas renoncer à la poursuite de leur combat pour la justice et la vérité sur les crimes contre l'humanité commis par les civils et militaires responsables la tragédie algérienne.
Les soupçons d’Interpol sur l’existence d’une filière Algérienne de la cocaïne se sont avérés fondés. Au début du mois de févrierdernier, suite à une alerte d’Interpol, la Police judiciaire Marocaine a mis la main sur des membres d’un réseau local de trafic de cocaïne d’origine colombienne.
Deux généraux Algériens sont impliqués dans le trafic basé dans la zone tempon Mali-Mauritanie-Algérie, selon le journal espagnol La Razon.
Selon l’information d’Interpol qui a alerté les autorités marocaines, la drogue est débarquée soit sur les côtes atlantiques ou directement transvasée des bateaux de marchandise vers les bateaux de pêche. Les perquisitions menées sur ordre du roi ont permis à la police et la gendarmerie royale de trouver la drogue dans un conteneur appartenant à une société dont le propriétaire est un général de l’armée Algérienne en retaite dans le royaume qui est aussi actionnaire dans plusieurs entreprises de pêche. Ce qui explique, peut-être, la réaction passive des autorités qui gèrent cette région en constante tension. La police a confisqué en tout 112 conteneurs et recherche d’autres convois de cocaïne en provenance de Colombie cachés quelque part dans la région de Dakhla ou sur les bateaux de pêche. Le principal suspect est une société qui possède une trentaine de bateaux congélateurs appartenant à certains généraux et homme d'affaires Marocains et algériens, dont l'ex-chef d'Etat major de l'ANPA, qui gère tranquillement ses affaires et investissements à Casablanca, aprés avoir senti que le régime militaire Algérien a perdu la vitesse dans toutes ses tentatives nesfastes contre le Maroc.
Cordialement,Chihab25
A suivre...
N.B : Pour voir d'autres articles et commentaires bien detaillés,visitez le weblog-Chihab-25, en cliquant sur ce lien : http://www.google.co.ma/searchhl=fr&rlz=1W1SKPB_...
Je tiens à souligner que la rédaction du blog n'a nullement le droit de créer des inventions ou de reproduire des mensonges à l"Algérienne"!. Pour enrichir ses articles, elle fait recours naturellement aux révélations Wikileak les plus récentes qui injectent au fils de temps, à cette espace arraignée, des dépêches diplomatiques Américaines toujours rapportées soit par le Der Spiegel, soit par le Monde.fr.
Est-ce l'implication de Bouteflika en personne au service d'Israël est une ignorance des services secrets Algériens ou la complicité des uns des leurs? Les documents Wikileaks répondent à cette interrogation en confirmant que Mr. Abdelaziz Bouteflika est connu à l'occident pour sa collaboration éffective avec israël ; Mohamed DAHLAB lui a dit un jour en pleine reunion de coordination informelle , je cite : je sais qu'Israel te soutient financierement plus que moi. Fin de citation. Boutefika c'est lui qui créait la division et l'acharnement entre les mouvements d'opposition Egyptiens " Kifaya" et Les frères musulmans" d'une part et le président Mohamed HOSNI Moubarak au profit d'Israel d'autre part. Il s'est montré comme un rat d'égoûts indésirable quand les "ElMokhbarat Al Amma Almissrya" ont decouvert sa trahison .Un jour durant la tension polémique gypto-Algérienne au sujet du ballon rond, il a dit au cours d'une rencontre privée avec certains diplomates de la ligue arabe à Alger, je cite:
" je suis le futur héritier du Raïs Jamal Abdenaceur en Egypte..! pour l'être j'ai le soutient des USA et d'autres parties trés influentes au Moyen Orient, sans pour autant pouvoir citer nomément les Israëliens qui l'engagent aussi pour entrainer son ami de parcours, l'Iranien (Hamid Chabat de Tehran) Mahmoud Ahmadi Najad dans d'autres affaires. Au Caire dit-il encore, il y'a beaucoup de traitres de la cause arabo-palestinienne; aux services secrets palestino-Egyptiennes integres de les decouvrir avant qu'il ne soit trop tard".Fin de citation.