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  • 1/4.-Le peuple Algérien aurait du mal à s'organiser, face à une forte machine de repression de Bouteflika!(*)

     

    Spécial Libye: Bienvenus dans le guêpier,du plus fou!!

                 Même si  Maâmar Kaddafi, le roi des rois d'Afrique(!), est un bouffon tyrannique, est-on bien inspiré d'aller se mêler des affaires libyennes ? Oui, la nécessité oblige, pour chasser le néo-pharaon du pays d'Omar ElMokhtar. Le faux guide est nu, il comptait sur la désunion des Arabes, sur la lâcheté des Occidentaux et sur le soutien de la Chine. C'est raté. Ils ont voté une résolution contre lui...

                          Les dirigeants de 22 pays et organisations, dont l'ONU, l'Union Européenne et la Ligue arabe, se sont retrouvés le samedi 19 mars 2011 à Paris, pour un déjeuner de travail, à l'invitation de Nicolas Sarkozy pour décider d'une éventuelle action militaire en Libye.Le Maroc était honorablement présent contrairement à l'Algérie, ce qui  prouve que Bouteflika est impliqué à coté de Kaddafi, ce qui va lui coûter, tôt ou tard, le même sort. et «Il sera clair qu'il assurera le leadership dans l'enfer». Pour se soulager, Bouteflika jouait unilatéralement cavalier seul,  pour semer la panique au sein de la ligue arabe,le seul interlocuteur qui lui écoute pour le moment. Effectivement, dès les premiers jours de l'opération "Aube d'une odyssée occidentale" les propos contradictoires de Amr Moussa en témoignaient.

                        Dans une ambiguïté absolue, le vieux connard Morad M'delci, ministres Algérien des affaires étrangères, vient de faire une fausse déviation, pour la consommation interne et externe. Il disait en substance, que l'intervention des occidentaux en Libye est une exagération, Sans pour autant reconnaître de son coté, que la mobilisation par son pays, de sept avions militaires cargos pour transporter les mercenaires au profit la Libye, était aussi une plus grave exagération impardonnable, qui dépasse  l'intervention de la coalition internationale. Pour justifier l'absence d'Alger à la réunion de Paris,  il ajoutait que la position de son pays en l'objet, était conditionnée(?).                         

     

                          Malgré que l'effet des manifestations était très faible en Algérie. L'étau se ressert autour du coup du régime. Bouteflika inquiet sur son sort, du fait que deux partis algériens d’opposition algérienne ont boycotté l’ouverture de la  nouvelle session  du soi-disant parlement Algérien. Parmi eux, le RCD a appelé à de nouvelles marches à Alger tous les samedi pour tenter de prouver que la levée de l’état d’urgence "n’est pas effective".

                          L'opposition Algérienne n’est pas convaincue de la levée de l'état d'urgence décidée par le gouvernement Algérien. Pour le faire savoir, deux partis ont  manifesté leur refus d'y assister à l’ouverture de la  session parlementaire.Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), le plus radical d’entre eux, continue de militer pour un « changement du système » politique.« Nous ne voyons pas l'utilité d'assister à une session d'exhibition d'un gouvernement incapable de répondre aux aspirations du peuple », a déclaré  le chef du groupe parlementaire du RCD. La levée de l'état d'urgence « n'est qu'une nouvelle pièce théâtrale ». À preuve a-t-il ajouté,  «  nous allons organiser une marche  chaque samedi, quelles qu'en soient les retombées. » ne doutant pas qu'elle soit à nouveau interdite. Samedi dernier, deux jours après la levée de l’état d’urgence (qui a été maintenu pendant dix-neuf ans), une marche avait été bloquée par un important dispositif de sécurité. Une centaine de militants seulement s’y étaient joints.

                         Depuis le début du mouvement, au mois de janvier, Alger affirme que les marches sont autorisées sur tout le territoire sauf dans la capitale, où les manifestations sont interdites depuis juin 2001 (une marche en faveur de la Kabylie avait tourné à l'émeute faisant 8 morts et des centaines de blessés). Selon un correspondant de presse, une demande de marche déposée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) à Oran, la grande ville de l'ouest algérien, a pourtant été refusée par la wilaya (préfecture) pour n'avoir pas été déposée huit jours plus tôt.Ce qui veut dire que les autorités sont appelées à chercher la petite bête avec les meneurs de manifestations.

                         Le Front national algérien (FNA), un tout autre petit parti d’opposition, a pour sa part annoncé le « gel » de ses activités politiques à cause de « la non prise en charge par le gouvernement des préoccupations du citoyen ». Le FNA a toutefois précisé qu’il « appréciait » les mesures prises le 22 février en Conseil des ministres, notamment celles en faveur des jeunes. Le parti a appelé le gouvernement à les concrétiser sur le terrain et à « éviter les solutions superficielles ».et ne pas prendre que des mesures pour l'apaisement

                          Pour chaque descente dans la rue, le RCD prévoit trois cortèges partant de l'est, de l'ouest et du centre de l'agglomération d'Alger. La manifestation est souvent lancée au nom de la CNCD. Ce mouvement, né le 21 janvier, s'est scindé il y a un mois à la suite d'un désaccord entre ses membres sur la stratégie à suivre.Ce CNCD qui a jeté l'éponge à mi-chemin, s'est scindée en deux,et sera  automatiquement substitué dans la rue par une Alliance Nationale pour le Changement (ANC), créée le 5 février, autour de l'ancien Premier ministre Ahmed Benbitour, et par les partis d'opposition pour tenir l'étincelle  du flambeau de protestations bien allumée.

                        En effet, en appui des efforts consentis jusque-là par l'opposition, le Front des forces socialistes (FFS) a tenu d'une manière indécente son premier grand rassemblement à Alger depuis 2004. Le meeting, qui a eu lieu dernièrement à Alger, était selon le 1er secrétaire du FFS: «un appel aux forces du changement, pour dire que l'Algérie n'est pas un pays à part, que les Algériens ne sont pas un peuple à part et qu'ils veulent exister dans le présent et dans l'avenir».ajoutant que depuis plusieurs années, la capitale n'a pas vu d'affiches de partis politiques en dehors des campagnes électorales. Une preuve encore de la fermeture de l'espace public aux formations politiques sous un état d'urgence ciselé comme une chaîne autour des libertés. 

                        Des libertés qui, faut-il le souligner, sont toujours à arracher , comme le droit, puisque la levée de l'état d'urgence n'a pas affranchi la libre expression. Donc, cet appel du FFS qui ornait les murs de la capitale depuis plusieurs jours, lance un défi aux forces du changement pour construire «une Algérie libre». La présence du FFS sur le terrain en ce moment, ouvre la voie à d'autres acteurs d'y participer au combat, et à toutes les forces du changement qui se retrouvent en quête de «la liberté, la dignité, la justice, l'équité et la solidarité. Et ceux qui sont pour la construction d'une Algérie nouvelle».

                        Le FFS  par son meeting voulait donc reprendre le flambeau  en avant-garde des forces du changement  par une série d'autres meetings à attendre certainement, si les circonstances le permettent, dans différentes wilayas du pays. Contrairement aux autres meneurs de manifestations dans la rue, comme ce nouveau venu (CNCD) qui n'a pas de bases, même à Alger-capitale.Le choix civilisé des meetings par le FFS comme moyen d'exprimer son refus de voir le régime se maintenir est perçu par le FFS comme l'approche à entreprendre en ces temps où le travail de la réhabilitation du politique se pose avec acuité.

                     «La responsabilité de toutes les composantes de la société est de trouver une expression politique et programmation à ces aspirations», note Mr. Ait Ahmed, le président du FFS dans une récente déclaration. Il estime qu'en ces temps où des tentatives de discréditer la pratique politique et les partis politiques se font jour, «il est urgent de rassembler tous ceux qui refusent tous les enfermements et ceux qui prônent une pratique citoyenne effective».La révolte existe dans le cœur de chaque Algérien, mais personne n'ose parler dans un État policier, ce qui rend la vie de l'algérien  très difficile, ressemblant à un cercle vide. En parallèle la sécurité, l'armée et Bouteflika bouchent l'oreille pour ne rien entendre.Et la révolte devient lente, car la faiblesse de l'opposition encourage parait-il, le pouvoir à l'apathie persistante.

    Le jeu de rat et la souris

                        La formule «impressionnant déploiement des forces de l’ordre» n’a jamais autant été utilisée que depuis quelques semaines, plus précisément les samedis. Effectivement, il n’y a pas mieux pour qualifier cette… impressionnante présence policière sur les artères d’Alger, où se plante le décor humain des brigades anti-émeutes et décor matériel des camions grillagés et autres engins blindés qui ne dépareraient pas dans l’arsenal d’une armée en combat sur le front.


                      Depuis le début de ce chassé- croisé, au premier appel lancé par celui que la vox populi appelle pas forcément avec méchanceté, «Saïd samedi», la police a montré et démontré que ce dispositif n’était pas là, contrairement aux apparences, pour réprimer violemment les marcheurs éventuels, et cette retenue a été effectivement constatée, à quelques égratignures près. Aucun Algérien ne serait assez fou pour dénier à la police sa mission de vigilance ou de mettre en doute ce principe que lorsque ce corps sort pour assurer la protection du citoyen, il est dans son rôle. Mais pourquoi l’étalage de ce qui s’apparente à un excès dans la démonstration ? Cela ne pouvait être inscrit que dans une optique démonstrative destinée à la consommation interne et externe, une façon d’étaler, par le biais de la démesure, l’autorité de l’État, sa puissance et sa capacité réactive et, encore une fois, sans pour autant en user, encore moins en abuser. A moins qu’on soit aveugle ou atteint d’une grave cécité mentale, cet objectif est largement atteint et tout le monde sait que l’État algérien a les moyens de faire respecter la loi, la sienne évidemment, sur un socle argumentaire sécuritaire qu’il est difficile de remettre en cause. L’Etat Algérien des trois Abdelaziz(Bouteflika,Belkhadem,Ziari), a décidé de ne courir aucun, absolument aucun risque quant à la protection de la vie des Algériens, et il tient à le faire savoir. Mais maintenant qu’il l’a fait savoir, et de manière indéniable, pourquoi continuer à arborer la même mobilisation policière, celle devant contenir (ou contrer) des milliers de manifestants potentiels, alors que désormais, seuls quelque trente ou quarante personnes se présentent au lieu de départ indiqué ?


                       Le vénérable Ali Yahia Abdennour(90 ans) mérite certes tous les égards dus à son âge et à son parcours d’irréductible opposant, mais de là à déployer une grandiose armada de "Qabil" contre "Habil et sa menace de marcher, c’est pour le moins disproportionné. En raisonnant par l’absurde, l’observateur est fondé à se poser cette question : si pour quelques quidams en mal de provocation ou de défoulement revendicatif, on mobilise des dizaines de camions et des centaines de policiers, qu’en sera-t-il si l’appel est lancé par une véritable force citoyenne dirigée par de grandes figures nationales ? En un mot, il y a de quoi s’interroger sur le sens de cette réactivité policière qui s’auto-convoque pour contrer des marches, en sachant qu’elles n’auront pas lieu, mais qui permettent à des hurluberlus de s’exhiber devant les caméras étrangères, en criant à la répression et au musellement de l’expression.

     

                          Il y a lieu de rappeler qu'en parallèle M. Abdelaziz Bouteflika a présidé une rencontre avec ce qu'il considère, comme les plus hauts responsables de l’Etat au niveau de la présidence. Elle a eu lieu dans le plus grand secret, avait appris  la presse locale de source bien informée. Y ont pris part  Abdelkader Ben Salah, le président du Sénat, Abdelaziz Ziari, le président de l’Assemblée populaire nationale, Ahmed Ouyahia, le premier ministre, Boualam Bessaïeh, le président du Conseil constitutionnel, ainsi que le charlatan, ministre d’Etat, représentant personnel de Bouteflika, Abdelaziz Belkhadem. Ce sommet de la haute hiérarchie institutionnelle intervient après celui tenu auparavant dans les mêmes conditions entre les mêmes responsables.

                         Par ce modeste écrit, je ne cherche pas à nourrir des sentiments de rancœur ou d'animosité à l'encontre de l'Algérie,mais, j'essayerai de lire à ma façon, la récente décision que vient d'annoncer Abdelaziz Boteflika au sujet de ce qu'il nommait  "réformes plus profondes!". A mon avis pour donner la crédibilité à cette décision, il lui a fallut ne pas jouer avec ces quatre fausses cartes, et  prendre en contre partie, d'autres alternatives, comme l’organisation de rencontres entre lui et les responsables des partis politiques, mais aussi avec les personnalités  politiques et historiques Algériennes, dans le cadre d’un vrais débat et de concertation. En l'occurrence MM. Houcine Ait Ahmed  qui a adressé tout récemment à l’ensemble des Algériens une lettre dans laquelle il réitère son désir de l’élection d’une Assemblée constituante., le docteur Said Saâdi, Abdelhamid Mehri, Ali Ben Fliss et Mouloud Hamrouch, et pourquoi pas, Boujarra Soltani. et Louisa Hannoune. Le but serait à ce moment-là, de sortir avec une série de décisions qui seront complétées étudiées avant qu’elles ne soient prises officiellement à la légère.

                          Je ne suis pas concerné, et je ne le serai jamais, par ce qui intéresse les Algériens, le plus, mais en tant qu'observateur et éplucheur de la peau galeuse du régime Algérien corrompu, je voix de ma tribune, que les réformes les plus adéquates que réclament les Algériens qui descendent dans la rue , sont les priorités qui seront discutées lors d'un vrais  dialogue national qui concernerait notamment: la justice sociale,(l'instauration d'une prime de chômage pour les jeunes et les chefs de familles démunies) l'éradication de la précarité du peuple Algérien, l’amendement de la constitution, la possibilité de dissoudre le parlement qui constitue pour la plupart des Algériens un "Souk périodique de vente aux enchères", la préparation d’élections législatives anticipées, la dissolution du gouvernement Ou Yahya et son remplacement par un gouvernement transitoire national, qui s'ouvre  à des personnalités « neutres » et des partis qui étaient jusqu’à maintenant loin du cercle de la décision, et encore la fin de la corruption dans l'appareil de l'État. A part ça,  plus d'annonces  infructueusement gratuites dans ce sens, ne seraient que des bluffs et des sorties médiatiques  d'apaisement. 

                          En Algérie, les causes du mécontentement sont les mêmes qu'en Tunisie ou Égypte, au Yémen:chômage,corruption,jeunesse marginalisée,système politique verrouillé... Mais si l’embryon de révolte n’a pour l’instant pas pris, de profondes et rapides réformes sont plus que jamais indispensables. «l'Algérie n’est ni la Tunisie ni l’Égypte », a déclaré le 14 février Mourad Medelci, ministre algérien des Affaires étrangères. C’est à la fois un constat et une prédiction – une menace, pour dissuader les révoltés. Les autorités comptent sur une "exception algérienne?" pour préserver le pays de l’embrasement. Car l’Algérie concentre la plupart des ingrédients explosifs:un peuple jeune et désœuvré, un bouillon d'autoritarisme, et de corruption qui longtemps mijoté; une bonne dose de malaise dans un société tiraillée entre envie de modernité,conservatisme et tabous; le tout saupoudré de gestes individuels désespérés.

                        Abdelaziz Bouteflika et son gouvernement sont contraints de multiplier les mesures d'apaisement. Objectif: calmer un front social en ébullition et désamorcer une contestation politique jusque-là portée par des forces aux capacités réduites. Au-delà de ces mesures, les révolutions Tunisienne, Égyptienne et Libyenne cumulées à une situation interne faites de conflits sociaux et de jacqueries, qui prennent, parfois, des formes très violentes ont apporté une innovation: l'après-Bouteflika, n'est plus un sujet tabou.

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                        Un ami m’a envoyé un MSN dans lequel il me demandait de baisser le ton envers les Algériens dans mes écrits. Je me permets de vous dire que je ne partage ni l’esprit ni la lettre puisqu'il était pour moi hors sujet. Ce n’est pas les Algériens qui sont à la ligne de mire, mais le pouvoir Algérien qu’il faut dénoncer. Il est vrai que de la droite à la gauche, personne ne veut venir sur le terrain et crier "au voleur"! dans cette État stupide qu’est Algérie. Comme beaucoup de journalistes, de chroniqueurs, ou de gens de l'opposition Algérienne, je me concentre sur les personnes du palais d'ElMoradiah et de la caserne Ben Aâknoune, sans combattre les idées et les pensées du peuple Algérien. La  problématique à résoudre n’est donc pas le peuple opprimé, mais Bouteflika et sa junte.

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                        On savait que les dignitaires arabes, leurs familles et les privilégiés du système, par-delà les régimes politiques : monarchique, république à papa, forme d’organisation prétendument populaire et pseudo-révolutionnaire à l’image de la Libye de Kaddafi, ont tous des comptes bien fournis, bien garnis aussi, et des biens à l’étranger. Mais on était loin d’imaginer que la rapine pouvait atteindre un tel seuil de boulimie. C’est à s’y perdre dans les informations distillées par des sources officielles européennes et américaines qui annoncent le gel de fortunes à faire perdre la tête et la raison détenues à l’étranger par des dirigeants arabes et leurs «smalas». C’est une règle du genre à laquelle n’échappe apparemment aucun dirigeant. Pas même l’inénarrable Kaddafi, autoproclamé guide de la Révolution libyenne et dont le régime populaire qu’il ambitionnait de bâtir devrait faire théoriquement de lui un dirigeant en phase avec son peuple, nullement intéressé par l’argent et la vie de château, vacciné contre la tentation de puiser indûment dans les fonds publics de l’Etat et du peuple.

                         Alors que leurs peuples croulent sous la misère, les dirigeants arabes ont mis en place d’immense pipelines financiers aspirant, sans limite, les richesses du pays recyclées à l’étranger dans des dépôts bancaires, prises de participation dans des groupes économiques et financiers cotés en Bourse, acquisition de patrimoines immobiliers de luxe… En guise de gage de leur bonne foi démocratique, les nouvelles autorités en charge de la période de transition en Tunisie, puis en Egypte, ne s’y sont pas trempées en appelant, dans le cadre des premières mesures d’urgence de reconstruction, les partenaires étrangers de ces pays à geler les avoirs de leurs dirigeants déchus. Les pays occidentaux et les États-Unis d’Amérique, qui se sont toujours montrés inflexibles pour lever le secret bancaire et le voile sur les fortunes des dirigeants arabes au nom de la raison d’État, deviennent subitement coopératifs et soucieux de la morale publique quand le pouvoir tombe et change de main.

                          Ces pays qui étalent aujourd’hui froidement sur la place publique les comptes personnels et les richesses mal acquises des dirigeants arabes après les avoir honteusement couverts du manteau du secret bancaire – cette machine à recycler et à blanchir l’argent sale ou résultant de détournements de biens publics – ne pouvaient pas dire qu’ils ne savaient pas que ces fortunes proviennent du racket d’Etat. Même si ces richesses devaient être restituées à leurs propriétaires légitimes – les peuples –, il sera difficile de retrouver toutes les traces, tant les pratiques de prête-noms et autres sociétés écrans, niches privilégiées des transferts douteux, offrent un anonymat qui pourrait rendre une partie de ces fortunes irrécouvrable. Bonne lecture

                                                           Cordialement,Chihab25

    A suivre...

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     (*) Le texte n'est pas du genre classique de Montesquieu ou de Victor Hugo, et que si la rédaction ne maitrise pas bien la  langue Français!!, elle fait quand même passer ses messages, malgré la modestie. Procédant continuellement à la mise au point textuelle, grammaticale, et à la correction de frappe. La rédaction vous prie d'accepter ses excuses.