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  • 3/4.- Qui sera le prochain président algérien ?

    Suite... 

                                                    

       Le mort-vivant d'algérie. (Boutef et son chenil..) Si Bouteflika s'est permis d'Imiter tout acte ou initiative venant du Maroc, il n'en arrivera pas, en tant que copieur, d'imiter aussi les causeries religieuses Hassanienne, même s'il a osé changer l'épellation en baptisant les siennes  de "causeries Mohamediennes", dans sa tentative désespérée de politiser la réligion et la tradition du prohpète Sidna Mohamed (saws) au goût du bain maure Taflikien(*)..! Je dis bien goût-Taflikien, car les autres soi-disant présidents algériens n'ont avaient pas le talon d'imitation. Ce pendant, même s'il est simple pour lui d'imiter n'importe quoi des innovations prometteuses Marocaines, il ne lui sera impossible de devenir le "Commandeur de croyants", puisque ce titre honorable ne revient naturellement qu'aux souches prophétiques chérifiennes, dont il ne peut en appartenir, ni s'en procurer par son pétrodollars. Heureusement c'est fini pour un ingrat, qui fait déjà partie d'un chenil qui accouchait une génération épuisée de  "dogs", une génération de pervers qui sont envahis par l'effet de vieillesse, de ceux qui «Tab Jnan'houm..!».selon  ses propres termes qu'il  inventait à Sétif.

    Par contre, pas de réunion des ministres, ni d’audition présidentielle. Les dirigeants algériens sont aux abonnés absents. Si l’on en croit la télévision publique algérienne (ENTV), «Jazaïr el injazat» n’a rien à craindre. Alors que la rentrée parlementaire approche, les députés n’ont pas de textes sur lesquels se pencher. Pendant ce temps, le pays continue de s’enfoncer.

    La fragile santé de Bouteflika qui l’oblige à s’éloigner durablement de la scène politique de son pays ? De graves différends entre la hiérarchie militaire et la présidence de la République ? L’absence de perspective ou de «plan B» après la fin du troisième mandat de Bouteflika en 2014 ? Les Algériens ont bien l’impression que le chef de l’Etat a abandonné le pays. En d’autres termes, cela porte un nom : vacance du pouvoir. C’est presque inévitable.

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    Pour commencer cet épisode, je veux bien reproduire ce que disait un bagagiste algérien ayant travaillé à l'Aéroport Houari Boumed d'Alger. Il raconte une histoire qu'il aurait vécu en personne. Une réalité  sur l'immoralité à haut niveau, qui a trait avec la débauche en algérie, Un lieu où se pratique la décadence morale à l'algérienne qui, n'échappe guère à l'oeil de l'ogre algérien. Ce simple algérien écrivait dans un commentaire qu'il envoyait à la rédaction du blog évoquant une mauvaise habitude qu'exercent régulièrement les corrompus responsables algériens qui se réunissent, spécialement chaque -week end- de préférence le vendredi, qui coïnçide avec la fin de la semaine,  pour passer gratuitement des nuits "rouges", dont les factures sont à supporter soit par l'intendance de l'armée soit par la régie de la Sonatrach.

    Cette situation permettra à mes lecteurs Marocains de comparer entre la pratique du même genre chez nous, une pratique qui revête généralement, partout dans le monde, le carractère privé. On ne peut nullement nier, elle peut éxister, ici et là à huis clos, surtout dans nos grandes villes, dites touristiques, impériales et cotières, comme les villes de Tanger, Casablanca, Marrakech, Fes, Meknes et Agadir, et entre "la semi-officialisation" indirecte de cette maudite pratique par le régime algérien, si  on croit ce que vient de dire le bagagiste qui relate, dans un petit passage dans son écrit, ce qui justifie justement cette hypothèse:(c'est le nommé BOUGOTAYA, une figure-Fln acompagné de 3 militaires de l'intendance de l'armée qui recevaient les colis).Je cite : 

    Le Bagagiste Ce que nous devons savoir c'est que les harkis et héritiers ne mangent et ne boivent même pas l'eau de l'algerie . chaque jeudi soir un avion, d'Air Algérie, transportant les produits alimentaires françaises et espagnoles de luxe comme le jambon de bayonne. le meilleur jambon de cochon du monde, aussi des centaines de bouteilles de Vodka et Wisky atterrit a l'aréroport houari boumedien vers leurs destinataires les harkis et héritiers. précisément vers le CLUB DES PINS chez les vieux généraux et les anciens mulets de jech tahrir et de l'FLN.

    Me diriez vous comment sais tu que les colis bien fermés contiennent du cochon et du vin..? tout simplement un soir de jeudi comme à l'accoutumé nous déchargeons un avion des produits alimentaires de luxe destinés aux hautes personalités algériennes.. par hasard un grand colis en contre-plaqué à la taille d'un homme debout est tombé par terre .le colis est eventré devant nos yeux et nous avons vue une dizaine de cuisses de jambon et des bouteilles de wisky et vodka se cassait par terre.

    Depuis cette accident l'administration de l'aéroport m'ont licencié et m'ont menacé de mort si je racontait ou divulguait ce que j'ai vu. actuellement je fais des petits travaux pour survivre. Pour information c'est le nommé BOUGOTAYA,une figure-Fln acompagné de 3 militaires de l'intendance de l'armée qui recevaient les colis de jambon cochon et wisky vodka puis les rechargement discrètement dans un camion militaire pour les acheminer vers le club assanawbar.Un lieu que tout algérien comme moi ne peut décrire ce qui se passe dedans,  outre que l'immoralité et la décadence morale.Fin de citation.(¹)

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                                                   Qui sera le prochain président algérien ? (suite..)

     Bouteflika n'arrive toujours pas à nommer son gouvernement.                           

    A Alger pour faire marcher les affaires courantes, des secteurs ministériels sont gérés par des ministres intérimaires, un gouvernement sans cohésion ni discipline, et des problèmes qui s’accumulent. Trois mois après le 10 mai, les algériens attendent toujours la formation d’un nouveau gouvernement, au moins pour pallier le départ des ministres qui ont rejoint le parlement. Une situation de paralysie qui attise la colère de l’opposition et du peuple.

     Un président de plus en plus inexistant sur le terrain, un gouvernement amputé de six ministres – dont certains dirigeaient des secteurs clés – et qui ne se réunit que très rarement sans réellement avancer sur les dossiers importants, des problèmes de toute sorte qui s’accumulent et empoisonnent la vie de la population, l’anarchie et l’insécurité qui s’installent  aux quatre coins du pays…ce qui pousse les curieux à poser encore la question : l’Algérie est‑elle vraiment gouvernée ?La paralysie politique qui caractérise le pouvoir en Algérie, trois mois après les élections législatives du 10 mai, inquiète les partis de l’opposition. Tour à tour, ces derniers dénoncent cette situation et appellent le président Bouteflika à mettre un terme à ce statu quo et à cette « semi vacance » qui dépeint sur la vie politique et sociale en Algérie. Par contre Boutef.  ne se fait préoccupé que par la mise à jour de ses extincteurs-déssuasifs pour mâitriser éventuellement les petits foyers de feu et de protestations populaires qui peuvent en ressurgir et se propager ici et là en algérie, laissant assez de temps aux  pilleurs pour dévaliser l'algérie en toute quiètude! face à une opposition faible, voire inéxistente.

                                                          

    Abdelaziz Bouteflika est aussi le seul à pouvoir expliquer les raisons du retard dans la formation d’un nouveau gouvernement. « Aucun ministre, quels que soient son poids et sa relation avec le cercle le plus proche du président, ne sera en mesure d’avancer une date pour le changement de l‘exécutif ». Personne ne connaît les projets du président. « Il est difficile, pour ne pas dire impossible, de deviner ce qui se passe dans sa tête ou anticiper sur les actions qu’il compte entreprendre ».

    Les récentes expériences de l’opposition réelle algérienne ont démontré son incapacité à prendre contact avec le peuple de la rue, en se contentant de dialoguer avec elle-même, à travers l’espace médiatique étroit (création de chaînes de télévisions satellitaires privées en vrac). Or, même dans ce monologue, il semble qu’elle ait échouée en se sclérosant comme le pouvoir lui-même et son opposition officielle de réserve, devenus les uns comme les autres, prisonniers de leurs carcans, incapables de proposer ou d’innover, conduisant l'algérie vers une destination de turbulence.

    C’est dire – et c’est la conviction des analystes algériens et étrangers –  combien il devient  impérieux, que les hommes d’honneur d'algérie - s'il en éxiste ce genre d'hommes - présentent publiquement un projet politique de société aux objectifs clairement énoncés et où il n’y aura place, ni pour la course au leadership, ni pour le culte du secret ; c’est-à-dire loin de toutes ces longues tractations organiques, aussi laborieuses qu’inutiles, souvent mort-nées, à cause des conflits de personnes qui nagent en vain aux alentours du palais d'ElMoradia d'Alger ou par le jeu des infiltrations opérées par les différentes polices politiques engagées jusque-là en algérie, par le DRS en particulier.

    Afin qu’un tel projet revête toute sa profondeur et sa popularité, il sera nécessaire aux algériens-spectateurs d’y associer, s'ils en auront la  volonté et la crédibilité, et dont la représentativité s’étende à toutes les régions de l’Algérie réelle, telle quelle, et non celle que la présente – ou du moins se la représente – une minorité s’exprimant à voix haute, et dont le discours, relayé à travers les médias publics de la presse ou de l’audiovisuel qu’elle détient. Un discours décalé, qui donne cette désagréable impression que l’Algérie se situerait sur l’autre rive ou serait carrément redevenue une colonie… Sans oublier la grande misère d’une information officielle indigente, qui prétend résumer le quotidien d’un peuple en otage comme en l’Algérie, à travers des bavardages navrants, qu'on entend ici et là à travers les nouvelles chaînes tv-sat algériennes et on le voit aussi sur les sites internet d'opposition algérienne qui penche la tête de l'Héxagone, relatant tel ou tel conflit mineur entre le régime et tel ou tel parti, tout aussi mineur…

    L’équilibre dans l’impuissance, entre le pouvoir et l'opposition en Algérie...

    L’observateur de la scène politique algérienne s’apercevra aisément que le régime a atteint aujourd’hui un stade de sénescence devenu propice à la multiplicité des centres de pouvoir dans un contexte de déliquescence et d’absence de la moindre vision politique, comme si les piliers de ce régime excluaient toute idée de leur propre disparition. Il en est résulté que l'Algérie est passée de l’étape d’un pouvoir vertical concentré, exercé par un groupe restreint de militaires et de leurs proches, durant les années 90, à celle de plusieurs pouvoirs conjoints et horizontaux, aux mains des différentes clientèles de ce régime. C’est là un développement qui relève de la nature-même d’un système, contraint de se prolonger en associant d’autres catégories d’opportunistes dans la curée et le pillage organisé du pays. Ceci  du moins, tant que le permettra l’aisance financière procurée par la rente pétrolière. Sauf que la “pieuvre” ainsi créée est en train de menacer sérieusement l’existence du régime lui-même, voire celle du pays tout entier, dans la mesure où la tête du régime est aujourd’hui incapable de commander à un corps en décomposition manifeste; une décomposition qui a été largement perceptible comme chacun a pu le constater, durant la récente mascarade électorale du 10 mai..                                                        

    Comme je viens d’y faire allusion, un tel état de choses ne constitue pas seulement une menace pour le régime en tant que tel, mais pire encore, une menace pour le pays lui-même; et les prochains jours semblent gros d’évènements qui vont bouleverser profondément les rouages du pouvoir algérien, acculé à redistribuer ses cartes et les rôles qui vont avec ; non pas que les algériens soient à la veille de changements politiques radicaux – vu leur incapacité à prévoir combien de jours, de mois, voire d’années de vie [biologiquement parlant] qu’il reste à ce pouvoir – mais tous les facteurs indiquent que le régime voit se fermer devant lui, toutes les issues, les unes après les autres et qu’il ne lui reste en fait que deux atouts, en plus de l’aisance financière ; deux atouts de taille, il faut le souligner :

    1.-)D’une part, l’absence d’une opposition réelle, organisée et forte, ayant une vision politique crédible, capable de mobiliser les populations autour d’elle.

    2.-)D’autre part, le médiocre niveau de conscience politique d’une jeunesse pourtant démoralisée mais qui ne parvient pas à traduire cette démoralisation en revendications politiques légitimes.

    Force est de constater cependant, que les vaines caricaturales du régime pour exhorter les populations à s’associer à la mascarade électorale, auront induit chez les différentes catégories du peuple algérien, un regain d’intérêt inattendu pour la chose politique, autant par rejet d’un pouvoir qui s’accroche, que par réaction contre le navrant spectacle donné de l'Algérie, par les personnages quasi folkloriques qui ont émaillé une campagne électorale indigne qui se voulait être un “printemps à part”; une campagne dont le régime a joué comme d’une dernière carte. Ce qui a fait dire à certains analystes, que le régime, pour maintenir sa pérennité, sera sans doute contraint d’anticiper une "Intifadha" populaire potentielle, en mettant en œuvre de pseudo réformes qui lui garantiraient un sursis ; comme ce fut le cas en Octobre 88. Ce serait-là bien entendu, le pire des scénarios, qui pourrait maintenir, pour de longues décennies encore, l’Algérie en otage.           

                                                                             

     L’Algérie est aujourd’hui à la croisée des chemins et la scène politique est ouverte sur tous les scénarios. En boycottant massivement la mascarade électorale du 10 mai, le peuple algérien vient de jeter la balle dans le camp des élites saines et sincères de la nation qui surveillent de loin, pour ne pas dire qu'elles dorment – et dont il connaît l’existence – les mettant ainsi, devant une écrasante responsabilité dont ils seront comptables, devant lui et devant l’histoire. Tant il est vrai qu’il est difficile d’imaginer la continuité de ce régime sous son statut actuel, jusqu’à l’échéance du mandat présidentiel en cours. Ceci d’autant plus que le problème réside  moins dans le  régime que dans la concrétisation sur le terrain, d’une opposition réelle et forte, capable de rassembler les algériens autour d'elle et porteuse d’une vision politique claire.

     Ce qui se passe aujourd’hui en Algérie, c’est que les algériens sont en présence d’un équilibre mortel entre le régime et l’opposition réelle : la survie de ce régime aux abois, beaucoup moins puissant que d’aucuns pensent, n’étant en fait que la résultante directe du vide, c’est à dire de l’inanité d’une opposition morcelée, divisée, sans structure rassembleuse, ni vision politique consensuelle qui lui permettraient de se présenter en alternative crédible, capable de s’élargir à l’adhésion du peuple. Le succès en politique a toujours été subordonné à la capacité d’initiative et à la compréhension des problèmes réels de la rue algérienne et des aspirations de sa jeunesse opprimée, voire négligée et victime de l'impuissance et l'incapacité  d'un pouvoir devant une puissante junte militaire qui le manipule du derrière.

                                                                                          

                                                                La "Manera" de récupérer sa dignité en Algérie..!

    Un algérien indigné, écrit ceci: 50 ans moins un jour de dignité? La dignité bafouillée de l'algérien est d’ailleurs tout un symbole: d’une propriété collective, elle ne peut être nationalisée ni privatisée ou volée et devenir introuvable.

    La rédaction du blog n'est pas en mesure de donner ses conseils à l'intéllegence  imaginaire des algériens qui doivent comprendre, à mon sens, que l’objectif immédiat de leur projet serait d’abord de stimuler l’intérêt des algériens pour la politique et la chose publique qui ne doivent pas être abandonnés, ni au régime, ni à une opposition créée de toutes pièces par les bras de fer de ce même régime. Ceci afin que le concitoyen algérien ne soit pas trompé ni embrigadé par de faux partis en scène pour un faux changement préconisé par le "statu quo" Taflikho-Khademien.!

    Ce qu’il faut aux algériens de savoir, c’est que cette voie implique un prix, sous forme de sacrifices qui seront au final, beaucoup moins coûteux pour l'algérie que le bilan désatreux de la décennie noire; car, sans élévation du niveau de conscience politique parmi les franges les plus larges du peuple, et en particulier chez les jeunes, les élites algériennes ne peuvent imaginer rien d’autre que le chaos. De même que chacun doit comprendre que la phase de la mise en œuvre du changement et de l’édification d’un nouveau régime politique, requiert un esprit de consensus, mettant leur intérêt supérieur au-dessus de toute autre considération.

    En effet, le consensus ne signifie pas nécessairement accord ; il suffit ici d’évoquer l’exemple Tunisien et les gesticulations des chantres de la modernité ou les aberrations des salafistes ici et là. Le consensus que les pseudo-saveurs algériens doivent en proposer, c’est un consensus de sages, autour d’une plate-forme de valeurs et de principe politiques communément admis, pas seulement par les fans du clan d'Oujda mais aussi, par toutes le composantes de la socièté algérienne, y compris les M'zab, les Kabyles et les Touaregs, excluant bien sûr les régions Marocaines spoliées, la Saoura et le Grand Touat¹.., des régions contraintes de supporter une  injuste «Algérisation».

    L’autre point important, c’est de comprendre la nature réelle de cette lutte, en se référant aux expériences récentes, des trois cas algériens (Les Novembristes-Octobristes et les Janvieristes), voire  celles en cours, des peuples Tunisien, Libyen et Égyptien. "Car, en vérité, ces luttes sont d’abord des luttes pour la restauration de la souveraineté et la dignité populaires et vont donc bien au-delà de la revendication de démocratie ou même de liberté au sens étroit du terme". C’est pourquoi, les algériens doivent prendre en compte le fait que tout processus de changement qu'ils auront à engager, signifierait d’entrer simultanément en lutte contre un certain nombre d’intérêts de mafias locales qui soutiennent le régime algérien et qui useront de tous leurs moyens pour faire avorter tout projet de changement qui ne mettrait pas en selle de nouveaux vassaux à leur service. Ceci d’autant plus que l’Algérie, devenue aujourd’hui  et depuis la décennie noire un vaste champ sous influence militaire, qui représente un poids géostratégique majeur, aux yeux   de l'occident dans le volet anti-terrorisme.

    Le combat pour le simple algérien, c’est le combat entre «le vrais et le faux, entre la justice et l’injustice, entre la liberté et l’esclavage, entre la justice sociale et la misère qui s'évissent en algérie, en un mot, c’est le combat éternel des justes». Il est vrai que les algériens pourront avoir des points de vue différents sur les voies et moyens de réaliser les objectifs du changement, mais ils ne pourront remporter ce combat que "s'ils seront sincères et loyaux envers eux-même et envers leurs voisins, surtout envers notre pays le Royaume du Maroc" car, la crise politique et morale qu'ils sont en train de vivre aujourd’hui, est le résultat incontestable des pratiques de l’intrigue, du mensonge, des manipulations et de l’insincérité de leurs dirigeants, aussi bien avant, que pendant la décennie noire et même après cette catastrophe. C’est pourquoi il ne faut pas qu'ils  laissent cette période noire dans leur histoire se répeter. Il ne leur échape certainement pas qu'ils ont versé assez de sang innocent pour couvrir plus de révolutions légales, mais il n’ont malheureusement recueilli que des malheurs, sous la forme de pouvoirs successifs, plus malhonnêtes et corrompus les uns que les autres.Bonne lecture.

                                                                          Cordialement, Chihab25

    A suivre...

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    (*).-En rapport avec  le bain maure que gérait, à son jeune âge, sa mère Mansouria à Oujda.

    (¹).-Un journaliste Marocain de retour d'Alger racontait que "Nadi Essanawbar" est un lieu public  avec une privatisation spéciale, où: on égorge l'innocence de la féminité algérienne, où tout est permis, où l'adultère,  la fornication et l'immoralité  ont atteint leur plus haut degré.