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  • Maroc-Algérie : le Maroc s'invite au conseil de ministres d'Alger pour ses acquis fructueux contre l'arrogance et l'orgueil de l'Algérie..!

                                                               

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                                                                                                            Celui que fabriquait Gaid Salah pour lui 

                                                           لحديث والمغزل.

    Bousculade de consulats étrangers au Sahara Marocain. On compte déjà six consulats. Un coup de maitre de la diplomatie Marocaine qui ouvre, largement, le portail du sud Marocain à l'Afrique.

    Ainsi par contre, les remparts ennemis (Algériens) construits de mensonge tombent davantage partout ailleurs, tandis que les édifices consulaires de pays amis poussent à Laâyoune et à Dakhla au grand dam de la diplomatie  Algérienne qui n'enregistre au qu'échec après échec en l'objet..?

    Dernier en date la Bolivie en Amérique latine qui vient de retirer sa reconnaissance du mirage Algérien. C'est le grand coup de tonnerre qui va secouer l'intestin grêle de la diplomatie Algérienne.

    Les déclarations d'assurance et de conscience de M.Bourita dans ce sens  sont signifiants, mettant à nu la diplomatie d'autruche Algérienne, qui à cause de l'hypocrisie de ses maîtres, perd de la vitesse, passant à la  phase bredouille et faire le bilan de ses pots cassés.

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                                                                              Un fil d'Algériens pour un sachet de lait, c'est la force régionale!!

    Introduction pas comme les autres.. En revenant à l'histoire contemporaine de guerres, nous y retrouverons en deuxième guerre mondiale (1/9/1939 - 2/9/1945) l'ennemi le plus féroce pour l'occident était l'Axe, le clan de l'est qui regroupait à l'époque l'Allemagne, l'Italie et le Japon.Tandis que les Alliés se constituaient des USA, de Canada et de l'Europe de l'Ouest. 

    Évoquer cette phase périlleuse, c'est pour commencer à tirer à "boulets rouges" sur la mauvaise mentalité Algérienne qui nous envie pour rien, si ce n'est que pour la générosité, la crédibilité et la grandeur de notre pays le Maroc.

    Par mauvaise foi, le pouvoir algérien tient toujours à se rappeler de la grandeur du Maroc en le choisissant, en seule priorité de toutes autres, ennemi N°1 de l'Algérie, affichant pour lui la haine et l'hostilité dans toutes les formes.

    Ceux qui ne connaissent pas encore la mentalité Algérienne venimeuse et malveillante  se demanderont certes, pourquoi cet entêtement? La réponse, selon ma propre conviction est très simple :

    « Les Algériens sont de nature arrogants, orgueilleux et ingrats, ils se passent ces mauvaises qualités entre eux, de génération à autre. Ils héritaient de façon rituelle l'esprit de "Bou'ekhkh", si  j'ose utiliser ce terme dialectal. C'est avec ces aspects qu'ils se prennent unilatéralement de "faux" maîtres du monde. En un seul mot, ils sont des mauvais voisins».

    En preuve à leur est, l'ex-président Tunisien feu Habib Bourguiba, dans son vivant, par pratiques d'avocat et d'interlocuteur de taille, connaissait très bien plus que d'autre les frivolités des Algériens.

    Un jour, prenant la parole dans un de ses longs discours, il les avertissait, voire menaçait d'expulsion et de sanctions pour tout comportement de leur part, portant préjudice à la quiétude en Tunisie, en leur crachant à la figure «Eddakhel l'touns N'aâref M'mou...Ou L'kharej Menha N'aâref B'bou'ah الداخل لتونس نعرف امو..والخارج منها نعرف اباه».

    Par contre, malheureusement à l'ouest, ils se sont retrouvés dans un autre monde pacifique, avec une société de crédibilité et de paroles, généreuse envers l'hôte, ils l'ont considéré, par mentalité de supériorité excessivement frivole, en société très arriérée de dingues (!).

    Et pourtant, c'était un Maroc ouvert à tout venant de tout bord, pas qu'aux Algériens et aux Sud-Africains, Nelson Mandela et ses compatriotes de l'ANC. Un Royaume avec un Monarque très accueillant, le Roi-fkih, Mohamed V qui ouvrait, par sa nature de pieux et de souplesse son palais et son pays à ceux qu'il croyait, à tort, ses frères Algériens (!?), en les soutenant dans leur peine de révolution contre avec l'occupant Français.

    Pas seulement le Roi, le peuple Marocain aussi imitait indéfectiblement et sans conditions les bienfaits du palais et de gouvernement à la faveur des réfugies Algériens.

    Au Maroc les réfugiés Algériens se sentaient comme chez eux, voire plus. Ils pratiquaient normalement toutes leurs activités. Il a eu même au sein de plusieurs familles, de part et d'autre, des contractions de mariage mixte, Algéro-Marocain et vice-versa.

    Mais, avec un grand 'M', les gouvernants Algériens au pouvoir qui sont d'ailleurs des mafieux de nature, cherchent vainement à concurrencer le Royaume du Maroc dans son authenticité ancestrale et lui arracher son leadership qui s'affiche presque dans tous les continents. Ils souhaiteraient même venger les raclés qu'ils recevaient de la part du Maroc dans différentes étapes.

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                                                               La patate, un droit garanti aux Algériens par la constitution-chiffon

    Un héritage d'humiliation..En se référent au pseudo conseil de ministres, le premier d'ailleurs, présidé par "l'elu de l'armée" Tebboune, le Maroc était à l'ordre du jour, comme il était toujours piment-piquant la gorge qui brûle les nerfs de tout gouvernant Algérien depuis que Algérie est sortie d’un œuf pourri en 1962.

    Si c'est toujours le cas pour cette sale voisine, je me réjouis de mon coté de revoir moi aussi mes ordres du jour concernant l'Algérie et rappeler à ses ingrédients de gouvernance, les échecs et défaites que l'Algérie enregistrait devant ce gigantesque Ennemi Marocain.

    Dans ma mémoire, je ne trouve qu'un cumul de défaites qui font mal aux Algériens en général. Je les reproduis ici avec fièreté, pour mon lectorat, et pour vexer les ingrats Algériens en premier lieu, à savoir :

    -Les 7-8 octobre 1963, la défaite de l'armée Algérienne de Ben Bella à Hassi Beida et de Tinjoub en territoire Marocain (Province d'Ouarzazat) après avoir attaqué deux postes Marocains de garde frontière et tué des mokhaznis en sommeil. -Le 13 octobre 1963, la gifle flagrante des FAR aux mercenaires Égyptiens de Abdenacer venus sur chars, en rescousse à l'armée Algérienne aux portes de la localité Marocaine "Ich" Figuig - Le 16 octobre 1963, quand le général Driss Ben Omar était aux alentours de Colomb-Béchar demandait au Roi l'ordre de libérer tout le Sahara Marocain oriental y compris la ville Algérienne d'Oran et...

    -Le 18 octobre 1963, un gros butin tombait du ciel à l'improviste...Si je dis du ciel, je veux dire, c'était la volonté divine qui venait, elle aussi à l'improviste aux cotés du Maroc dans ses opérations défensives contre l'agression Algéro-Egyptienne, apaisant, en quelque sorte, la colère du Driss Ben Omar qui voulait dans sa conquête d'honneur, apprendre des leçons de bravoure, qu'il apprenait aux batailles, de genre du -jour le plus long d'Italie en 2ème guerre mondiale-, à l'adjudant Ben Bella et à son commanditaire Abdenacer.

    Jamal Abdenacer, projetait à respirer de l'air atlantique par une république fantoche Nacerite au Maroc, après avoir avalé l'Algérie, toute entière, dès ses premiers pas d'indépendance, et effacer, tout simplement de la carte la Monarchie Marocaine, comme faisait facilement au Yémen du Roi Bédouine Mohamed L'Badr, renversé par un certain Abdallah Sellal au compte de Abdenacer.

    Revenons au butin de gros poissons. Sa Majesté le Roi feu Hassan II avait offert à l'Algérie indépendante un lot de cinq hélicoptères. Un de ces offrandes tombe tout seul au piège Marocain le moment où le Maroc combattait l'Algérie sur tous les fronts. Le 18 octobre 1963 un hélicoptère Algérien se posait accidentellement en territoire Marocain, avec à bord  Neuf hauts officiers : 5 Égyptiens, assistants de guerre, dont le pilote Mohamed Hosni Moubarak l'ex-président Égyptien et 4 autres Algériens dont le colonel Lyamine Zeroual, l'ex-président Algérien, alors un tout petit lieutenant. 

    Le pilote Algérien était trompé de direction. Au lieu de survoler l'aval d'Oued Guir pour aller à la base Algérienne "Hamaguir"(une ancienne base militaire Française) au sud-ouest de la localité d'Abadla, il s'est orienté vers l'amont de l'oued posant inconsciemment son appareil, sans s'apercevoir du drapeau Marocain, flottant haut et fort, au sol Marocain,sur un petit édifice administratif à la localité de Ain Chouater dépendant de la province de Ksar-Es-souk, Errachidia actuel.

    Une poignet de quelques Mokhaznis (4 à 6) du Caidat de Doui-Menie, dont le siège était à Boudenib, même province, armés de simples fusils "Mousqueton" était sur place, appuyé par un petit groupe de civils, a refusé aux voyageurs Algéro-Égyptiens de remonter à bord jusqu'à l'arrivée de Militaires Marocains. Un de ces Mokhazni (Jabbari Youssef) lui qui supervisait l'opération est encore vivant à Agadir. En fait, un commando des FAR ‹dépêché  d'urgence par voie aérienne de Ksar-Es-Souk pour s’en charger du butin.

    Entre-temps, c'est hôtes inappropriés du Maroc ont  tenté vainement,par mesures d'opacité,de précaution et de consigne militaire, de détruire tous les papiers portant leurs identités, telles que passeports, pièces d'identité, cartes géographiques et ordres logistiques de missions pour brouiller les pistes aux enquêteurs militaires Marocains.

    Une fois identifiés et signalées aux autorités centrales à Rabat. C'est les FRA (Forces Royales Air) qui se sont chargées de leur transfert à Rabat. Ils étaient bien accueillis, nourris et logés et même habillés en co-star 3 pièces par le Roi, commandant suprême et chef d'État major des FAR, pour ne pas dire par les aigles du général Driss Ben Omar qui les guettaient en proie toute fraîche.

    Je ne peux m'en passer pour la circonstance des défaites flagrantes subies par Boukharouba, en tant que président et ministre de la défense de la Algérie au Sahara Marocain, en particulier dans les deux Amgala en février 1976 quand les loups des FAR au Sud Marocain, le général Dlimi à Amgala et colonel Ghoujdami à Jbel Ouarkziz, ont dévoré la racaille-armée de Boukharouba, venue se venger, mais jetée à l'enfer d'humiliation sous les feux de nos Forces Armées Royales. C'était une grande défaite de l'armée Algérienne qui s'ajoutait à celles de la guerre des sables d'octobre 1963.

    Ce que je crois.. j'ai toujours droit de laisser la diplomatie à ses experts et l'officialité aux officiels et je voix que je peux continuer en ce deuxième épisode de voir si j'ose dénicher quelques failles dans les premiers exploits de ce pion de l'armée Algérienne que la trajectoire sera certes, entachée de faits polémiques

    J'ai dépouillé,en quelque sorte, en premier épisode la peau du pouvoir Algérien du coté présidentiel, évoquant l’efficacité du président Algérien "élu" qui commençait son agenda consacré à l'opération "mains propres", par récupérer en premier lieu un montant de 200 da de 1000 milliards de centimes dilapidés.

    En terminant ce passage, je vient d'apprendre qu'il ne baisse pas les bras dans cette affaire, puisqu'il récidive et récupère un nouveau montant de 120 autres dinars en monnaie sous le siège de la voiture présidentielle (!)Toujours à la recherche de l'argent perdu Tebboune est bien terminé dans ce sens, il trouvait encore76 centimes dans sa valise de voyage.

    C’est le deuxième tome de la recherche de l’argent perdu. Après avoir retrouvé les 200 da dans une poche de sa doudoune, Tebboune fait de nouveau parler de lui, récupérant une partie de l’argent volé aux Algériens.

    C’est une bonne nouvelle, d'ailleurs, pour les algériens : par les 120 da retrouvés par hasard, Tebboune (l'homme au foin) a l’impression d’être au bon endroit pour lutter contre la corruption. Il s’éponge le font, ça fait déjà 329,06 dinars. Soit à peu près un euro. Pour ce fait, il poussait un soupire de soulagement, ça y est, l’Algérie est sauvée. Le montant de l’argent volé s’élève à 1000 milliards. Avec l’euro récupéré, il nous en reste encore du chemin à faire, mijotait-il, certainement dans sa cervelle.. 

    Le junte renaît de ses cendres? L'Algérie ne peut plus dire qu'elle n'est pas impliquée dans le conflit du Sahara marocain, elle est impliquée jusqu'au cou dans le conflit. Le général Said Chengriha, alors commandant de la 3e région militaire de Colomb-Béchar, affirmait publiquement devant un parterre de cons militaires à Tindouf que les séparatistes du Polisario peuvent compter sur son "soutien agissant et indéfectible!".

    Dans une allocution filmée en vidéo en 2016,dont des extraits ont été diffusés sur les réseaux sociaux, Said Chengriha, connu pour ses méthodes de haie et d'hostilité anti-Maroc, a exprimé explicitement "le soutien de l'Algérie au peuple "sahraoui" contre ce qu'il appelait le colonialisme Marocain (sic), et ce jusqu'à la création de son État indépendant au mirage Algérien. Il a ainsi tiré à boulets rouges sur le Maroc, l'accusant de mener une "politique de déstabilisation de l'Algérie et de la région ".

    Or, les Algériens ont découvert stupéfaits que l’Algérie était gouvernée par une bande de malfaiteurs qui a détourné des milliards. La bande a été mise hors d’état de nuire, son chef ejcté lui aussi par la rue dès les premiers pas de marche des Algériens et l'impunité a encore de beaux jours en Alger..

    Chengriha a été nommé au poste de Chef d'État-major de l’armée Algérienne par intérim, sa validité de successeur, en haine et en hostilité au Maroc, du maudit-Gaid salah, est périmée même si désormais est le chef de l'armée. Il n'est pas le vice-ministre de la défense en Algérie, comme c'était le cas pour son parrain disparu.Le président Tebboune, disant à l'entourage "la défense, je m'y connais bien!", et pourtant, il découvre que le poste de chef d’état (major) est encore vacant, et malgré que Chengriha est le vrai fer de lance, et nomme un certain Antar Yahia, un énième pion de la charnière.

    Rivalité et guerre de clans.. la presse locale Algérienne (de trottoir) prend le devant et tranche déjà, fustigeant les Algériens par des manchettes thuriféraires à  l'égard de la présidence et l'armée, titrant :«-Le président Tebboune remis les pendules à l'heure, rendant à l'Algérie sa grandeur..!- Le général Said Chengriha détient les clefs de solution du conflit Libyen..! (sic)»

    Ainsi, l'opportunisme de cette presse jaune minimisait avec préméditation le rôle du Maroc en l'objet, du fait que les pays en lice en Libye mettent en avant le <grand effort> déployé, silencieusement jusqu'ici, par le Maroc pour résoudre le conflit Libyen sur la base de l'accord de S'khirat. Tandis que ni Chengriha ni son président, sont contraints d'affronter un problème qui les dépasse, tant qu'ils sont nouveaux en politique étrangère, ils n'ont conjointement pas de base pour y parvenir à des solutions, sauf leur tracé de frontière commune.
     
    Le nouveau homme fort de l'armée ne cache pas sa méfiance à Tebboune. Ils étaient les deux exclus de toute décision, mis à l'écart. Ils étaient jusqu'ici hors état de nuire. Mais après les changements inopinés, survenus, à la surprise de tous, à la présidence et à l'armée en Algérie, chacun d'eux se mettait à rassembler ses moyens et limer ses scies pour une guerre pas encore déclarée. Selon une source médiatique locale proche du champ de batailles qui se préparent,de part et d'autre.
     
    -Tebboune..croyant toutes les cartes en main, projette emboîter les pas de Bouteflika et enfoncer le grand portail  du pouvoir, interdisant à l'armée de s'immiscer dorénavant à la politique du pays, limitant à son rival chef de l'armée ses mouvements, dans les casernés. La seule carte qu'il ne pourra saisir, serait celle des militaires en général, du moins en ce début de ses manœuvres prospectives, tendant à percer toutes les vannes de pouvoir, combattant sa race de démons en l'absence inattendue de son meilleur lieutenant recruteur Gaïd Salah et tente, en sur plus,de prendre, tout seul, goût à sa vie de vrais président.
     
    -Chengriha..de son côté prévoyait  prendre le maquis et parer à toute éventualité, aurait soufflé à un de ses subordonnés, qu'il n'est pas en mesures d'accalmie avec le président et n'a pas confiance en lui, tout en se méfiant, éventuellement, de toute initiative ayant tendance à civiliser le pouvoir en Algérie. L'armée, selon lui, est la seule digne de garder les commandes.
    -Les Algériens craignent, paraît-il, le jour de voir l'Algérie Libyanisée avec un nouveau Haftar et un autre Sarraj. Les mois, voire les jours à venir décideront,certes, à l'Algérie sur quel pied doit-elle danser, espérant voir ses nouveaux béliers sceller accord d'entente, sans négliger la rue et ses protestations.
     
    Ce que je crois, dans le face-à-face actuel entre l’État-Major coiffé cette fois-ci par un nouveau charlatan de l'armée, Chengriha venant de Tindouf, est un élément méconnu des masses profondes du peuple Algérien, mais connu au sein des casernes, particulièrement par un parterre de militaires qu'il commandait, pour son hostilité au Maroc, il est probablement rejeté par les dizaines de millions d’Algériens comme membre du système banni par la rue.

    Ainsi, l’enjeu est important pour le simple Algérien : comment réussir une transition pacifique, ordonnée, qui ne déstabilise pas l'Algérie des soi-disant martyrs ? Dans le sens d'opacité, Tebboune, selon une source médiatique locale, se prépare d'adopter une loi criminalisant le discours de haine, un discours  d'hypocrisie, inapplicable à ce qui s'affichait et s'affiche encore envers le Maroc en cas de validation par les hyènes du parlement..Car l'hostilité au Maroc est devenue le tube, pas d'hiver seulement, mais de toutes les saisons pour les gouvernants.

    Les Algériens pourraient commencer l'analyse si en ont besoin d'analyse, par la formule incisive d’un universitaire algérien, connaisseur des mœurs politiques du pays, après deux années passées dans plusieurs casernes pendant son service militaire : «pour un militaire algérien, un civil est un objet encombrant». Si la perception est juste, elle n’est pas suffisante pour en comprendre les causes par le simple Algérien.

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                                                                      Au Hirak.. attention,ne lâchez pas..

    Les dictatures meurent au fils du temps..Dans l’histoire récente de certains pays, l’armée s’est trouvée des décennies, en opposition violente avec la population du pays. Si les effets de la guerre contre le peuple sont similaires, les causes racines étaient souvent les mêmes par exemple :

    L’armée algérienne n’est pas en guerre contre le peuple car elle détient le pouvoir absolu depuis le début, au nom de cette ‘’légitimité historique’’. Le peuple n’a jamais entrepris d’action pour lui disputer le pouvoir, à l’exception peut-être du soulèvement armé du Front des Forces Socialistes (FFS) des colonels Belhaj (père et fils) et Tahar Zbiri de septembre 1963, qui était d’abord une opposition politique au pouvoir de Ben Bella. C’était le fait accompli de Boumediène qui en avait fait un conflit armé en faisant occuper militairement la Kabylie par sa racaille, dès le début octobre 1963.

    Les militaires Algériens ont toujours été au pouvoir depuis 1962. La concession minimale octroyée en 1989 sous la présidence de Chadli Benjdid, avec le pluralisme politique contrôlé, à la suite de la révolte populaire et les massacres d’octobre 1988, n’a pas du tout remis en cause ce monopole du pouvoir militaire. Le pluralisme de façade a conforté l’armée pour défendre ‘’Sa République dans la république de façade’’, par le sang du peuple Algérien par une décennie noire aux années 90.

    En 1962, l’armée Algérienne de l’extérieur, appelée ‘’armée des frontières’’, soutenue et armée par l’Égypte de Abdenacer, est entrée par la force des armes, depuis le Maroc (clan d'Oujda) et la Tunisie. Elle a pris le pouvoir à Alger, en marchant sur les corps des soldats de l’Armée de Libération de trois wilayas installant Ben Bella au pouvoir, à côté du colonel Boumediène, son ministre de la défense qui le renversait en juin65. Elle ne peut donc revendiquer aucune légitimité historique.

    Or, cette armée de l’intérieur a été liquidée dès la prise du pouvoir par l’armée de Boukharoub et la majorité de ses officiers supérieurs ont été, soit liquidés physiquement soit démobilisés et mis à la retraite proportionnelle, recyclés dans les structures du FLN pour assurer au pouvoir du clan d'Oujda une continuité et une certaine crédibilité auprès du peuple Algérien.

    Le soulèvement populaire du 22 février 2019 est arrivé pour mettre fin au statu quo. Le peuple renaît de sa cendre et remet en cause cette ‘’légitimité historique’’ et revendique une 2ème république civile par la légitimité des urnes, pourtant inscrite en clair dans la constitution-chiffon et acclamée par la rue dans son 47ème vendredi de contestation.

    Un analyste Algérien de dernier plan s'est mis la tarte au four en s'interrogeant : S’il y avait une armée authentique Algérienne qui aurait pu revendiquer la légitimité historique, ce ne pourrait être que celle des frontières dans sa globalité.

    Et j'ajoute en substance, depuis quelques mois, la diplomatie Marocaine ne chôme pas. C’est un véritable ballet de ministres étrangers, de tous bords, atterrissant au Maroc presque toutes les semaines. Chacun amène avec lui son lot de problèmes et de dossiers chauds et le Maroc, fidèle à ses habitudes, joue le rôle de conseiller,de médiateur et de sage dans le règlement de tout problème, qu'il soit politique ou économique.

    Conclusion d'apprenti.. Ainsi, reconnaissance de fait et retour à la normale s'inscrivent aux normes de la diplomatie responsable de chaque démocratie. Les résultats de cet afflux de ministres, venus discuter avec Bourita, ministre aux affaires étrangères, de la coopération Africaine et des Marocains Résident à l'Étranger, sont prometteurs pour le Maroc.

    Officiellement,chaque ministre exprime volontairement la Mrocanité du Sahara et le soutien de son pays au Maroc dans son conflit avec l'Algérie, encourageant, en parallèle, le plan d'autonomie proposé par le Maroc en 2007 et soumis à l'ONU pour faire sortir de l'impasse cette affaire artificielle, créée par l'Algérie. Sans pour autant dévoiler les sujets d’autre importance qui auraient été abordés en toute discrétion avec les autorités Marocaines.

    Dans un contexte de tensions internationales, le Maroc doit impérativement se tenir fort sur le même degré de cadence Royale. Nous simples Marocains nous constatons clairement que la diplomatie Royale silencieuse donne déjà ses fruits, enfonçant les remparts ennemis, au grand dam du pouvoir Algérien, permettant à M.Bourita d'attacher les brebis galeuses.

    La preuve est..pour prouver la sincérité de l'expression et se laver l’honneur, certains pays qui étaient bien égarés dans l'affaire de notre intégrité territoriale ont pris l'initiative de créer des consulats dans nos provinces du sud (On compte déjà 5 entre Laâyoune et Dakhla), considérant que le Sahara Marocain est la bonne porte pour transiter vers l'Afrique profonde et à l'inverse vers le vieux continent pour les pays d'Afrique. Pour certains le Maroc est désormais le «Pôle de Moulin» pour toute transaction et épanouissement aux quatre coins du Monde.

    Quant à l'Algérie qui ne dispose plus de vrais interlocuteurs, de négociateurs armés de crédibilité pour trancher avec le Maroc, elle a certes échoué dans l'affaire du polisario. Elle a perdu la création artificielle de Boukharouba, dont elle misait après lui sur l'aide du démon et songeait prendre le «beurre et l'argent de beurre!».

    Cependant, dans cette nouvelle ère de déclin politique en Algérie, Abdelmajid Tebboune et Sabri Bougadoume, son ministre aux mensonges se contentaient de faire du bruit, criant au voleur autour des consulats étrangers ouverts au Sahara Marocain et ce pour compenser les failles et combler l’inefficacité de leurs prédécesseurs disparus, en paroles vides d'arômes.

    Vraiment, de ce que je peux dire là, comme tout autre observateur, si le dicton parle sans ambiguïté,  que - la caravane passe, les chiens aboient -, il est de nature que cela s'appliquerait pratiquement aux nouveaux gouvernants Algériens et prend même de l'ampleur en ce début d'année, déclenchant ainsi, un autre ton de mentalités et d'hypocrisie au niveau de la haute autorité de l'Algérie.

    Pour ce fait, les observateurs de toutes  sciences confondues, prédiront, qu'il y aurait encore..et encore que du blocage aux négociations en l'objet sous l'égide de l'Onu. Sachant que depuis James Beker à nos jours, toutes les négociations au sujet du Sahara Marocain  ont connu, trop de perturbations par l'inintelligence Algérienne ayant cours habituellement, ici et là, surtout aux temps de Ramdane Lahmamra et Abdelkader M'sahel et ça va continuer évidemment avec l'actuel Bougadoum.

    Et pourtant, la raison a réussi à résister dans l'ombre de la clarté des droits du Maroc sur son Sahara. En contre partie, l'Algérie cramponne toujours dans sa thèse "d'autodétermination" de son peuple "Sahraoui!"ramassé de tout bord. Elle défend, corps et dents, un principe qui, a prévalu puis anéantie enveloppé d'une position frauduleuse  dévoilée, au grand jour, par la communauté internationale.

    A cause de la persistance aveuglement répétée chaque année par l'Algérie, traînant derrière des voix corrompus, on aurait stoppé, parait-il, à la 4ème commission de l'ONU le déversement de cigares Cubains et de pétrodollars Algériens pour en finir avec les jeux d'Algérie, déshonorant le travail et la crédibilité Onusienne à ce niveau.

    Cette acrobatie politique étrangère de l'Algérie n'a provoque à l'intérieur que l'instabilité qui sévisse actuellement et qui s'accentue davantage autour du cou de cercle de décisions d'Alger à cause des revendications de la rue, auxquelles s'ajouteraient les protestations contre l'illégitimité d'un président "non-élu", mais imposé par les urnes de casernes du général Gaid  Salah, parti subitement sans lui dire au revoir, ni lui rouler le tapis rouge, ou encore lui souhaiter la bienvenu au sérail. Bonne lecture.

                                                                     Cordialement,Chihab25

    Med Larbi Zitout, ex-diplomate Algérien en exil à Londres évoque l'humiliation du président "non élu" Algérien Tebboune à Berlin  Écoutez...