Maroc-Algérie : Qui mourra le premier, Tebboune ou Chengriha?.Une interrogation à prendre au sérieux...
Le vrai visage de l'Algérie
La conséquence assortie de cette stérilité, se caractérise au réveille de la conscience arabo-africaine. Du fait, qu'il n'y aura pas de sommet arabe chez Tebboune, comme prévu le 1 et 2 novembre prochain en Algérie : La majorité des pays arabes pro-Maroc, ceux du Golf, particulièrement, ont exprimé à Abou L'ghitte, le Secrétaire général de la ligue arabe leur amertume envers l'hostilité Algérienne contre le Maroc et sans que la présence, au "haut niveau" de ce dernier, ils ne participeront pas au sommet. Le message fut passé, à cet effet, par Abou L'ghitt informant, en définitive, l'Algérie des difficultés à tenir le sommet en temps et lieu convenus?
Contrairement aux idées véhiculées par la propagande, le sommet de la Ligue n’a pas été confié à l'Algérie pour son rayonnement, ou compte tenu du rôle incomparable (!) de sa diplomatie d'autruche. La réalité est beaucoup plus triviale: c’est à la rotation de l’ordre alphabétique des Etats membres de la Ligue arabe que ce pays doit l’organisation du sommet. Une prouesse au tabac à chiquer (Chemma), voire la preuve que l’Algérie «se replace» dans l'échiquier des Etats ennuyeux du monde...
Le régime algérien aurait perdu là un coup diplomatique rare, en mobilisant ses acolytes des Etats arabes, dispersés et sujets à des luttes insurmontables, autour d’un rendez-vous déterminant pour l’avenir des populations du monde arabe… Cela, c’est la propagande algérienne. Donc l’Algérie hérite du sommet de la Ligue arabe, pas par mérite ou par crédibilité, mais en raison de la place qu’occupe dans l’ordre de l’alphabet arabe.
C’est donc à tour de rôle que l’Algérie devait l’organisation de ce sommet, et non pas aux mensonges dont ce régime, en fin de vie, abreuve son opinion publique locale. A mon sens, c'est l'erreur inappropriée qu'a commis le metteur en scène de la mascarade théâtrale des commanditaires de l'homme aux boues.
C’est à un hasard que l’Algérie était désignée pour y abriter le sommet. Ce qui n’a pas empêché le régime de jouer à fond la carte de la propagande en présentant ce sommet comme une initiative de Tebboune et même un exploit de l'Algérie. «Cela fait bien rire sous cape les autres Etats membres, dépassés par autant de bêtises Algériennes», commente laconiquement le diplomate d'un pays arabe, accrédité à Rabat.
Il est à rappeler à cet effet, que Lhamamra, ministre aux affaires mensongères de l'Algérie "comptait et gagnait tout seul", il montait au créneau haineux, pour plaire à ses maitres, quand il avait prémédité les choses par sa sortie médiatique provocatrice au journal Algérien -L'Expression-, confirmant que le prochain sommet arabe prévu en Algérie sera une "occasion adéquate de soutenir", bien sur ses palestiniens pro-Algéro-Iraniens de la bande de Gaza.
Le maitre de la force de frappe-dz
J-B et Vodka...Oui virtuellement, on pourra faire, avec ces boissons-poison l'éclat et l'irréalisable. Mais soutenir qui, quoi et comment?, bien sûr, il y en auraient que les Polialgériens et les acolytes d'Ismail Hanyie à Ghaza, au moment où le régime règle avec persistance, les comptes avec ses adversaires locaux du temps de Boutefrika, continuant à les juger pour divers chefs d'accusations spectaculaires, en vue de nettoyer, en toute quiétude, les passerelles vers d'autres étapes de corruption et de conter des fables touchant la grandeur du Maroc.
D'autant plus, que depuis que le Maroc avec plusieurs autres États arabes, a simultanément rétabli ses relations avec Israël, l'Algérie s'est mise, verbalement contre, enragée d'envie, et régulièrement mise au rythme de désinformation, comme seul pays capable de libérer le monde des illusions révolues, sans perdre, en parallèle, son souhait de franchir le pas, discrètement, vers la normalisation avec l’État hébreux.
Mais elle patine en rond sur place, sans pouvoir sortir de sa coquille et s'en passer de l'orgueil qui l'attache sévèrement encore aux rêves du nationalisme d'autrefois. Le faux nationalisme du maudit Jamal Abdenacer, défiguré par les réalités et disparu avec la défunte guerre froide .
A chaque fois, les autorités d'Alger démentent, constamment, le désir d'aller vers Israël, sans réussir à calmer la polémique interne à ce sujet. Cette Algérie du dernier temps (Tebbou/Chengri) est peu à peu mise à l'écart, de toute concertation arabe et considération régionale et privée de voir même de prés, les exercices militaires conjoints «African-Lion 22», organisés par le Maroc et par l'Africom Américaine, ce qui augmentait plus, le degré de colère et de nervosité chez Tebboune et son entourage.
A souffler enfin à l'oreille Algérienne que : «Le Royaume du Maroc, l'unique pays ancestral, est fier du partenariat qu'il a renoué avec l'Espagne de Pedro Sanchez, souhaitant à l'Algérie tous les maux politiques de la planète».
Attention Est-ce réglé! Zitout, trahit l'opposition
L'ère d'assassinats.. A la rédaction nous ne ferons pas d'étrange rituel au détriment de nos valeurs. Nous ne risquons pas non plus, d’écorner la dignité d'autrui ou d'embrasser sur le crâne d'un sale jongleur, se prenant en juste croyant de la place à Bab El Oued d'Alger. La sagesse et la crédibilité Marocaines continuent de faire figure d’exemple à suivre en Afrique. Du moins, avec les sages de l'Afrique sans Algérie?. Le Royaume a déjà gagné des pays amis avec une grande débauche d'énergie et d'influence au continent.
«Tabboune/Chengriha» se croquaient au solstice de temps et d'autorité, ont visiblement "le blues". (Musique vocale, dérivée de chants, de travail et de folklore Afro-Américain du sud des Etats-Unis). Des témoins qui les ont approché récemment l'assurent. Depuis leur apparition en plein écran en Algérie et même un peu avant, leurs confidents en soufflent déjà aux salons privés d'Alger qu'ils apparaissent nostalgiques, comme s'ils mesuraient que, avec leur pouvoir qui commence, ils sont plus près de la fin que du début enfreignant toutes les valeurs de la crédibilité.
On fait, entendre à Alger et ailleurs qu'ils ne pourront pas continuer sans fin. Ils commencent à avoir conjointement des désaccords, des désajustements de commande, évitant de se rapprocher, l'un de l'autre. Depuis leur apparition en plein écran en Algérie, «et même un peu avant», leurs confidents en soufflent abondement aux salons privés d'Alger. Ils apparaissent nostalgiques, comme s'ils mesuraient que, avec leur pouvoir qui commence, «ils sont plus près de la fin que du début».
C'est une évidence, mais l'Algérien, le simple sujet, l'oublie parfois. C'est le mouvement de l'orgueil à l'algérienne, dans l'espace qui rythme la vie Algérienne au quotidien. Nous ressentons chez nous au Maroc en particulier les effets de tout mauvais périple du pouvoir, autour des autorités politico-militaire qui se disputent le leadership à travers leurs saisons.
Or, les résultats médiocres de gouvernance enregistrés là-bas, au palais d'AlMouradia, comme aux casernes d'Algérie ont, de nouveau, remis en première ligne l'idée d'assassinat, dont la popularité l'insupporte, depuis l'assassinat du président Mohamed Boudiaf à Annaba en 1992 et de «Kasdi Merbah en 1993, assassiné avec son frère et son fils à Alger-Plage, l'homme était le patron de la sécurité militaire, possédant les dossiers noirs des gouvernants, il leur faisait peur. Les secrets de ces deux assassinats restent encore vivants. (Au suivants..!)
Au sommet de l’État, on perd toujours la niaque en Algérie, se croyant pouvoir gambader avec la communauté internationale au sujet de liquidations physiques d'élites Algériennes innocentes. Si une personne s'affiche en plein écran, les occupants du cercle de décision chercheront d'obérer toute issue pour ne lui permettre de briller davantage et d'habitude, au cas de besoin, ils font appel au système d'assassinat, pour dégager les obstacles et couper les mauvais herbes du devant pouvoir militaire en place..
Cette pratique est un fait emblématique courant, béni officiellement dans presque tous les sillages de l’État. En se référent aux liquidations physiques au passé sanglant de l'Algérie, les observateurs constateraient que les assassinats antérieurs d'Algériens sont énormes depuis que l'Algérie est Algérie.
On se demande aujourd'hui, qui serait la prochaine cible?. Certainement l'un des deux connards occupant aujourd'hui les devants, en l'occurrence... Chengriha qui prépare ses funérailles et creuse sa tombe par les limogeages anticipés de hauts gradés de la racaille Algérienne poussant, en parallèle, les fossoyeurs à sortir de l'état de chômage.
Tebboune, quant à lui erre dans couloirs d'AlMouradia sans plan précis?, causant trop de fissures à la présidence pour faire couler le navire accosté au quai Algérois, déjà hors usage...Il attend de l'aide du diable, mais personne n’apparaissait volontiers à l’horizon. Les deux seront les plus ciblés. Mais qui va disparaître le premier et qui va-t-il donner le coup d'envoi meurtrier afin d’augmenter le niveau d’immunité du régime?. Une question non négligeable à suivre par tout observateur de la chose Algérienne).
Une ressemblance d’État en stagnation politique flagrante, exposé à la conduite par tout venant, même si cela nécessiterait une autre décennie noire. Invités à rejoindre l'Algérie dans le but de superviser éventuellement le redressement de toute situation paraissant inquiétante et inadéquate au pouvoir, vu que ce dernier, avec toute sa racaille militaire et l'anoblissement trop exagérée qu'on lui donnait, n'a pas la capacité politique pour bien gérer le pays.
C'est pourquoi en a faisait appel au secours à Khaled Nezar, le bourreau de la décennie noire des années 90 qui était exilé en Espagne après avoir été condamné par contumace par la justice de l'autre général, l'inhumé Ahmed Gaid Salah qui, dans son vivant, était l'homme fort de l'Algérie et qui tenait à suivre farouchement la ligne de haine et d'hostilité de l'Algérie envers le Maroc.
L'autre Mohamed Médiane, alias Toufik, que les Algériens dénommaient «Rab Dzair...le briseur de vent et faiseur des Rois» était caché quelque part en Espagne durant l'effervescence du Hirak en Algérie? C'est-à-dire, il est le criminel le plus engagé .
Ces deux malfaiteurs qui dirigent actuellement l'Algérie derrière les coulisses, maintiennent le -statu quo- de haine envers le Maroc et ce pour plaire, en premier lieu, aux commanditaires d'ElMouradia, et au second par maintenir l'interdiction totale de circuler entre l’Algérie et le Maroc, même par ciel, ainsi que par la fermeture aux voyageurs de la Tunisie depuis plus de deux ans. La situation d'instabilité de l'Algérie est catastrophiquement obérée par l'incertitude. Une fonction de malfaisance qui représentait pour le régime Algérien un caractère "quasi national" en raison du désagrément fâcheux imposé par le pouvoir autoritaire, composé d'ex-caporaux de l'Algérie Française, bloquant pour survivre, tout passage menant à une réelle situation d’État démocratique.
La vague de malheur qui s’abat sur l’Algérie révèle crûment les périls du dérèglement politique. La fournaise expose l’inaction des entreprises, surtout étrangères, en proie au blanchiment d'argent, autant que les propres contradictions du pouvoir. À l’heure d’une nouvelle échéance de chaos, le régime met enfin en valeur l’importance d’un choix de société dingue, inactive par la maintenance d'oppression farouche.
«Rien à déclarer.?».. Les Algériens ne risquent pas d'entendre cette question sur les flancs de leurs frontières. Leur pouvoir a vissé les verrous frontaliers avec la Tunisie il y a deux ans, cadenassé sa frontière avec le Maroc depuis plus de 20 ans. On ne fait pas cela, généralement, dans la demi-mesure aux pays des «systèmes» militaro-politique, même dans les tiers-mondistes, les moins civilisés.
Le conflit avec le Royaume Chérifien, datant depuis l'ère du feu Hassan II, pour cause de Sahara Marocain, ne cesse de s'envenimer au prix de nouvelles rétorsions. Des chancelleries, rupture unilatérale des relations diplomatiques, des venimeuses déclarations des gouvernants Algériens envers le voisin de l'est- la Tunisie risqueront de perturbations, en quelques sortes, conséquentes entre les deux pays.
Même les 300 millions dollars donnés par l'Algérie à Kaiss Saïed ne pourraient soigner les plaies causées par les propos anti-Tunisiens de Tebboune, quand il a récemment désigné, voire humilié la femme Tunisienne par des termes très touchant à l'honneur.(!).
Ainsi en clair, très peu, pour ne pas dire presque aucune personnalité politique majeure et intelligente en Algérie n’osera miser sur la fiabilité du système Tebboune. Un système totalement brinquebalant qui pourrait être sapé par la prochaine « tempête populaire » lorsque le Hirak et la rue vont se réveiller de nouveau.
Entre temps, le duel pour offrir la meilleure boite de tabac à chiquer (chemma) au personnel d'AlMouradia pour arracher leur confiance, est à son paroxysme et Tebboune doit trancher, sous l'effet d'alcool (wiski JB ou vodka acheté au compte de l’État) pour désigner un aide de camp qui va le promouvoir ou celui qui va l’éjecter du pouvoir et voir éventuellement sa valeur et sa charge mentale réduites à néant. Et que va-t-elle gagner l'Algérie?, je veux dire que va-t-elle faire la veuve Algérie qui, malgré elle, a perdu ses conjoints les plus crédibles d'Algériens! Nul ne le sait, même les pronostiqueurs et maitres de jeux de hasard.
En 2011 éclataient les printemps arabes. Mues par une frustration grandissante des citoyens face à des dirigeants sourds à leurs aspirations émancipatrices, les «révolutions» ont essaimé dans la région arabe. Avec des conséquences politiques et sociales disparates. Si la Tunisie a réussi son pari démocratique, la Libye, elle, a plongé dans le chaos. Mais, depuis quelques années, une autre révolution est en cours.
Celle-ci est économique, dont les gouvernants d'Alger n'en prêtent pas d'attention devant le fait le plus interpellant qui domine leur mentalité de haine en l'occurrence : «contrarier le Maroc» sans penser à autrement, même si cela menacerait leur existence au commande, ou leur engendrer du mal entachant à leur propre autoritarisme aveugle.
Les nouvelles technologies, les problématiques gestionnaires et les préoccupations autour de la gouvernance ont bouleversé les dirigeants Algériens, les forçant à revoir le mode de durcir leur pouvoir pour éventuellement anéantir les Hirakistes après le Covid-19. Et à se tourner, également, vers d'autres moyens de dissuasion, moins traditionnels et plus agressifs.
Où en est le vocabulaire de la flatterie menteuse? où en est «l'Algérie de fièreté et la dignité, de R'faâ Rassak Abba?». Existe-t-il sur ces questions une dynamique interne Algérienne, décryptant un bon avenir pour le simple Algérien? la réponse ne serait, certes, que chez les hésitants d'El Harrach et de Bab El Oued et chez les élites dormants du pays.
Pour ce qui est du Maroc, une phrase suffirait. Je ne dirais pas plus que le Royaume progresse et avance à pas productivement innovants. Je vais donc pas me mêler au programme national d'envergure qui ne laisse place à aucune interprétation croulante.
Le Tanger-Med, le projet (Nour) d'énergie solaire et le Grand projet de pharmacie et de fabrication de médicaments en exemple de décollage infrastructurel, dressant bien l'état des lieux, avec le grand chantier Royal, tourné vers l'avenir avec des perspectives positives. Quant à l’Algérie, l'affrontement à distance et à couteaux tires ne disparaitra jamais des relations Maroc-Algérie, tant que cette veuve Algérie est prise en otage par les caporaux-fr et ça va barder là bas sans pitié.Depuis le chute de clan de Bouteflika ; le justice Algéroise a mis dans son viseur les anciens hauts responsables Algériens corrompus. c’est alors le début de règlement de comptes, d’une véritable chasse à l'homme, aux trésors mal acquis et une interminable succession de procès. Un mythe, à l'Algérienne, qui garanti au régime Algérois de s’efforce pour durer..!
En Algérie, le justice a procédé à le saisie de plusieurs biens mobiliers et immobiliers ; à l’instar de ceux de l’homme d’affaires Tahkout ; mais qu’en est-il les biens précieusement cachés en France ? où en est le procédé de suivie?
les anciens hauts responsables algériens privilégiaient certaines lésinassions pour planquer leurs biens mal acquis à l’abri des yeux du pouvoir d'Alger. Il s’agit-là notamment aux émirats arabes unis, à l'Espagne, en Turquie ou encore en France. D’ailleurs, la capitale Parisienne avait particulièrement attiré l’attention de ces personnalités de clan Boutefrika ; avec ses immeubles luxueux de 16ᵉ arrondissement Parisien.
L’Algérie pourrait-elle céder face à des pressions politiques Américaines ou Européennes pour reprendre les flux de gaz à travers le Maroc ? Nul ne le sait, tant que les dirigeants Algériens n'ont pas trouvé au marché de propagande la bonne qualité de tabac à chiquer qui les exciterait pour êtres en bonnes consciences et agir correctement.
Soulignons toutefois que les autorités algériennes avaient informé leurs homologues que l’exploitation des deux pipelines, actuellement en service, à capacité maximale, compenserait largement la fermeture du pipeline qui passait par le Maroc. Mais est - ce réellement le cas ? Il semblerait que non!
En effet, la consommation intérieure croissante de gaz et l’instabilité politique du pays mettent un frein aux ambitions perturbées, prêtées à l’Algérie par l’Occident qui la met, sincèrement au pied du bûcher, pour son inéligibilité politique d'État. Tandis qu'au Maroc, on attend pas l'arrivée du miracle Algérien, tous les secteurs d'infrastructure sont en bonne position de marche, en lui attribuant son leadership incontestable à travers le monde.
Ce sont là les principales raisons qui laissent penser que l’Occident ne pourra pas compter sur l’Algérie. Une fois encore, ses dirigeants ratent cette autre opportunité d’améliorer la situation financière du pays et celle des citoyens, comme ils peinent à faire de leur pays un acteur non fiable et un partenaire énergétique faible en crédibilité mondiale, si on croit surtout que l’Occident qui la met, sincèrement au pied du bûcher, pour son inéligibilité politique d'État.
Nous ne souhaiteront pas, en définitive, de réconciliation avec l'Algérie...laissons les tensions monter de plusieurs crans. Ca nous est totalement égal, étant que la politique «d'ignorer l'ennemi Algérien avec toutes ses inventions», que parfaire notre pays face à cette veuve Algérie, nous arrange amplement, devenant pour nous le concept adéquat, le meilleurs plan de sobriété et la feuille de route mise à exécution par le pouvoir confié à l'administration Bourita qui projettera de suffoquer davantage diplomatiques adversaire Lahmamra.
D'autant plus, l’approche Marocaine de gestion des flux migratoires visant les derniers événements de Nador-Mellila était saluée par l’UE, un témoignage inédit qui considère le Royaume comme un exemple. Par contre, les manœuvres algériennes en la matière ont été mises à nu dans ce sens.
Par contre l'observateur s'étonnera en regardant le défilé militaire honteux de Chengriha, à l'occasion de l'anniversaire de l'indépendance de l'Algérie dont on martelait depuis des semaines qu'il s'agira d'un événement colossal? Une honte qui n'a finalement pas été à la hauteur des attentes des Algériens. Il a été offensé par l'absence des masses populaires et l'absence d'armes de pointe, dont la propagande du régime s'est toujours vantée. C'était tout simplement un nouvel épisode d'urine locale, "made in Tebbou-Chengriha". Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25
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