3/3.)Kerry Kennedy et les acrobaties de l'algérie
Sa Majesté le Roi Mohamed VI se marre encore à Ouarzazat, avec Mme Hillary Clinton dans une autre position. Rigoler avec quelqu'un, c'est être au beaux fixes avec. C'est le cas de notre pays avec les États Unis d'Amérique. Je me demande : Est-ce-que Bouteflika Ier peut imiter, selon son agenda d'imitation, avec Mme Alina Kabaeva Poutine?.
L'occasion pour la rédaction de rapporter cette anecdote, est la déclaration suivante de Mme Hillary Clinton. Une déclaration comme les autres, au quelle nous simples Marocains, (voir ici 80% de sondés) nous souhaitons pas qu'elle fera pression sur le «statu quo» existant. Nous voulons sérieusement que la frontière avec l'algérie reste fermée pour éviter le terrorisme et les mauvais esprits algériens. D'autant plus, cette déclaration n'aura sûrement pas le bon accueil à l'autre coté :
La secrétaire d’État américaine aux Affaires étrangères Mme Hillary Clinton a à nouveau appelé à Washington, à l’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie. Le Maghreb Arabe a lui, été décrit comme l’un des groupements régionaux les moins intégrés au monde. Mme. Hillary Clinton a indiqué aussi lors d’une conférence sur "les transformations démocratiques dans les pays du Maghreb, que la réouverture de la frontière entre le Maroc et l'Algérie, serait une étape importante vers cette intégration souhaitée. La chef de la diplomatie américaine avance même qu’aucune raison ne justifie la fermeture des frontières Cette décision avait eu lieue, pour rappel, en juin 1994 , après les attentats de l’hôtel Atlas Asni à Marrakech, attribués par feu S.M. feu Hassan II que Dieu ait son âme,aux services secrets algériens, tout en instaurant le visa pour les algériens désireux visiter le Maroc.
ONGs Américaines : Suite et fin.
Au cours de leurs investigations sur place, qui ont touché et regroupé les représentants du tissu associatif des régions : Laâyoune-Saquia Lhamra et Oued Eddahab-Lagouira, des victimes du polisario, ainsi que des ralliés, ces militantes Américaines ont signalé que le choix porté par l'entité-polisario sur des ONG connues pour leur adhésion à ses thèses, telle que la «fondation Kennedy» est désormais connu de tous et que les rapports qu’ils réalisent étaient élaborés d’avance et avant même qu’elles arrivent dans ces camps. Ont-elles révélé entre autres, que les milices du polisario qui contrôlent chaque mouvement des séquestrés, n’ont pas l’audace d’inviter dans les camps de Tindouf des ONG neutres où elles pourraient constater les souffrances qu’endurent les séquestrés. Ils se sont demandé comment certaines associations réputées pour leur soutien aux thèses du polisario s’autorisent-elles à publier des rapports contenant des contrevérités alors que les populations des camps de Tindouf sont privées de la liberté d’expression et ne peuvent revendiquer le moindre droit.
Elles ont suivi, à cette occasion, les témoignages de victimes des pratiques du polisario et les souffrances physiques et psychiques qu’elles endurent pour la simple raison qu’elles se sont opposées à la politique séparatiste du polisario. Des femmes ayant regagné la mère patrie ont de leur côté rendu compte de la situation dramatique que vivent les femmes dans les camps de Tindouf où, ont-elles dit, elles sont humiliées et privées de leurs enfants expédiés à un bas âge dans des pays étrangers, en particulier au Cuba et Vénézouella, pour servir après la propagande du polisario.
L’une des ralliées, une oratrice occasionnelle, bien entraînée parait-il, a indiqué qu’on lui a enlevé son fils ainsi que sa fille, dans les camps de Tindouf, insistant sur la nécessité de mettre un terme à ces drames en permettant aux populations de ces camps de regagner la mère patrie, le Maroc pour y vivre dans la dignité et œuvrer pour le développement et des conditions d’une vie décente, ce que garantit le projet marocain de l’autonomie des provinces du Sud. Cette solution qui est audacieuse, réaliste et logique, a eu un écho favorable dans la communauté internationale surtout que cette proposition offre la base pour mettre fin à ce problème artificiel et l’occasion pour promouvoir des relations solides et le développement du Grand Maghreb, a-t-elle ajouté.
Pour leur part, les deux militantes américaines ont souligné l’importance de la propositiond’autonomie présentée par le Maroc afin de trouver une solution pratique au problème du Sahara, qui est «devenue une nécessité urgente et inéluctable pour la consolidation de la paix dans la région qui exposée davantage au risque de terrorisme d'AQMI», soulignant que ce "statu quo" ne profite qu'aux membres de la direction du mouvement séparatiste et contribue à leur enrichissement grâce au détournement de l'aide humanitaire aux réfugiés, souvent écoulée dans les marchés des pays voisins, la situation des populations dans ces camps militarisés est devenus le bastion du déni des droits, échappant à tout contrôle.
Enfin ; Madame Huff Nancy n’a pas manqué de fustiger les autorités militaires et sécuritaires algériennes ainsi que leurs larbins du polisario. Elle les accuse tout simplement d’être responsables de graves exactions contre la population des camps de Tindouf, de vols et de détournements des aides humanitaires internationales
Pour sa part, Madame Kathryn Cameron a fait état de la préoccupation de la société américaine quant à la situation des Droits de l'Homme dans les camps de Tindouf. A signaler que sa délégation a, selon un communiqué de l'ONG "Leadership Council for Human Rights", adressé une demande à se rendre aux camps de Tindouf en Algérie. Une demande restée lettre morte et on comprend pourquoi. Ces deux dames qui connaissent bien et de prés, les antécédents de la Fondation Kennedy, ont fini par désigner ouvertement Mme Kerry Kennedy, «d'une pauvre désœuvrée, vendable et achetable pour quelques poignets de pétrodollars pour assurer un moment, son standing de vie ainsi que son approvisionnement en produits dopants et illicites»ooOoo
Une réponse cinglante à Kerry Kennedy et à sa Fondation.
Sur invitation officielle du Royaume du Maroc, le Rapporteur Spécial de l’ONU sur la torture, Mr. Juan Mendez, a effectué à compter du 14 septembre 2012 une mission d'une semaine dans notre pays. Au cours de son séjour, Mr.Mendez s'est rendu à Laâyoune et effectué une série de visites dans les prisons et hôpitaux psychiatriques du Royaume, notamment à Rabat, Salé, Casablanca, Meknès, et Skhirat-Témara. Il a rencontré également des représentants des autorités, du pouvoir judiciaire, de la société civile, de l'institution nationale des Droits de l'Homme, des agences des Nations Unies, ainsi que des victimes et leurs familles.
Il est clair que Mr.Mendez a eu toute la liberté pour s’informer de la situation réelle dans certains établissements pénitentiaires, hôpitaux psychiatriques et centres de protection de l’enfance. Une liberté de déplacement et d’action réaffirmée par Mr. Driss El Yazami, Président du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme.Il est à noter que lors de sa visite dans les villes des provinces sahariennes, Mr.Mendez a eu également l’occasion de rencontrer la population locale et d’entendre en toute liberté leurs voix. Cette visite, la première du genre, d’un haut représentant de l’ONU sur les questions des Droits de l’Homme dans un pays arabe, constitue un évènement historique pour le Maroc, est aussi la preuve irréfutable et irréfragable que le Royaume du Maroc a fait d’importantes avancées en la matière et qu’il n’a rien à se reprocher, preuve à l'appui: «Nomination d'un Marocain Abdelhamid El Jamri, président,pour un an, à la tête du système des Nations Unies pour les droits de l'homme» à l'issue de la 24ème réunion des présidents des organes de traités de l'ONU qui s'est tenue en juin dernier à Addis-Abeba, en Ethiopie. Ce qui aurait apporté certainement un nouveau coup de poing à la figure des algériens».
Le Maroc ouvre grandes ses portes à toutes demandes sérieuses de missions d’information sur ce sujet, contrairement à l'algérie qui sélectionne "spécifiquement" ses acteurs d'ONGs corrompues qui soutiennent sa thèse. Dernières en date, celles de Mme Kerry Kennedy et sa succursale, les deux militantes américaines des Droits de l’Homme précitées et Mr. Juan Mendez.
Il est vrai, que si ces acteurs humanitaires ont pu s’entretenir librement et à huis clos avec des représentants de la population des provinces sahariennes, tout en effectuant leurs déplacements en toute quiétude et sans escorte ou surveillance des autorités marocaines, il n’en a pas été de même pour Mme K.K.dans les camps des séquestrés, parqués comme des animaux à Tindouf depuis plus de 37 ans.
Une petite parenthèse fermée, la mission de Monsieur Mendez, qui est d’un tout autre calibre et surtout reconnu sur le plan international par sa probité consiste à évaluer les améliorations et à identifier les défis à relever concernant la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, particulièrement en relation avec l’adoption de la nouvelle Constitution de juillet 2011 et le droit international. Au terme de cette mission, Mr. Mendez a fait part de ses observations et recommandations préliminaires lors d’une conférence de presse, le 22 septembre à Rabat dans la perspective de présenter son rapport final au Conseil des Droits de l’Homme en 2013.
Il y a lieu de signaler que cette mission du Rapporteur Spécial de l’ONU sur les Droits de l’Homme vient en préparation de la candidature du Royaume du Maroc pour intégrer le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, et ce en remplacement de la Libye. Et pour cause, affirmé-t-il à Rabat qu'une culture des droits de l'Homme se développe au Maroc, saluant la création du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) ainsi qu'une Délégation interministérielle qui l'accompagne, ce qui est "l'aspect institutionnel le plus important de cette culture émergente".
En conclusion, le rapport sur les Droits de l’Homme au Maroc qui sera élaboré par Monsieur Mendez, et celui de Mesdames Huff et Porter, qu’elles soumettront au Congrès américain, à la Maison Blanche, au Département d'Etat et aux membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, constitueront «une cinglante réponse à la supercherie de Kerry Kennedy et de sa fondation qui une fondation non crédible et sans envergure aux plans international et américain».
Rappelant dans le même contexte que le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies, Mr.Hervé Ladsous, vient d'entamer lui aussi, mercredi 10 octobre 2012, une visite de trois jours à Lâayoune. Selon le Bureau Marocain de coordination avec la Minurso, le responsable onusien, qui avait visiblement la mission "d'inspecter", durant cette visite, les unités militaires de la Minurso a eu une série de rencontres avec des responsables sécuritaires de la dite mission. Officiellement c'est une mission téchnique de routine qui dépend de sa responsabilité de paix.
Mais disrcétement, selon des observateurs sur place, ce Haut fonctionnaire Onusien aurait été chargé par le Secrétariat Général de l'ONU d'établir un rapport succinct relatant le vrais de l'ivraie des bilans établis par ces ONGs Américaines au Sahara Marocain et aux camps de Tindouf. Ces associatives, peuvent dire ce qu’elles veulent, puisqu'il s'agit de simples déclarations préméditées, qu'elles soient vraies ou fausses, n'engagent que leurs auteurs. C’est peut-être pour voir si sont des ONGs qui raconteront des vérités, ou bien sont -elles que des affabulateurs. Mais, dans le véritable sens de droit, le SG de l'ONU est seul juge qui peut séparer le bon grain de l’ivraie, dans la perspective de faire éventuellement, la concordance avec le nouveau rapport de la 4ème commission ayant débattu dernièrrement, pour la énième fois, l'affaire de l'autdétermination du Sahara Marocain, avant de le prendre en pièce maîtresse, à soumettre à l'Assemblée Générale ou au Conseil de Sécurité de l'ONU.
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Conclusion:Pour en finir avec cet article, vu ce qui précède, je ne m'empresse nullement pas de faire, selon ma conviction , ma propre présentation sur le sujet. Comme tout Marocain défendant la cause nationale, je dois dénoncer le caractère «non objectif, déséquilibré et partial» du rapport préliminaire du Centre Robert F. Kennedy sur la situation des droits de l'Homme au Sahara du fait qu'il occulte les graves violations dans les camps de Tindouf, en soulignant que cette mission d'observation qui prétendait être neutre et objective, a «complètement raté» l'objectif déclaré pour déboucher sur une opération de «manipulation des droits humains à des fins politiques».
Se basant sur une documentation bien fouillée, puisée dans les déclarations et les communiqués algériens et du polisario depuis l'année 2004, date à laquelle je décidais de consacrer virtuellement, un peu de mon temps à la cause nationale et aux conneries algériennes y afférentes, je me permets de dire pour la circonstance, que cette mission est «inscrite dans l'agenda politique du polisario mené en collaboration notamment avec les services secrets Algériens», au même titre que l'affaire d'Aminatou Haidar, dans le seul but de se servir du paravent des droits de l'homme pour ternir l'image du Maroc, dont la communauté internationale reconnaît les avancées indiscutables dans ce domaine.
Aussi, la démarche du Centre ne peut donc être objective, étant donné que ce «partenariat» engagé notamment avec son alliée dans l'affaire, Suzanne Scholte, présidente de «Défense Forum Foundation»(Fondation du Forum de défense) qui avait orchestré la remise d'un prix à Haidar en 2009, aux Etats-Unis, en présence de l'ambassadeur d'Algérie, qu'elle avait chaleureusement remercié en tant que co-hôte de la cérémonie à laquelle étaient présents les représentants du polisario.
Cet épisode, nourri par d'autres positions publiques, ainsi que l'exclusivité réservée à Aminatou Haidar par Kerry Kennedy, lors de son déplacement au mois d'août à Laâyoune, «montre la synergie entre le Centre Kennedy et le clan Aminatou Haidar et l'utilisation des droits de l'Homme pour atteindre des objectifs politiques inavoués souhaités par l'algérie». Aussi, il serait normal que notre pays regrette le parti pris flagrant» des gestes, réactions et mots utilisés par le Centre Kennedy et sa présidente qui s'avèrent être, bien loin de ceux d'une personne qui mène une mission objective, neutre et impartiale.
Détaillant les faits et gestes de Kerry Kennedy au Sahara marocain où elle a pratiquement élu domicile chez Aminatou Haidar, pour ne s'entretenir qu'avec des représentants d'associations et personnes pro-polisario, il est évident qu'on s'insurge contre le fait que Kerry Kennedy n'ait pas rencontré les dissidents et autres victimes du polisario dans les camps de Tindouf.
Dans ces conditions, comment prétendre à la neutralité quand Kerry Kennedy déclare à Tindouf qu'elle a «chargé» la même Aminatou Haidar de collecter les témoignages de femmes ayant prétendument subi des violations de droits de l'Homme au Maroc alors que cette même personne soutenue généreusement par le Centre et par l'algérie«occulte la situation alarmante de nos populations sahraouies séquestrées à Tindouf, en soutenant même ceux qui font perdurer cette situation», en l'occurrence le couple DRS- l'étourdi Hammati abdelaziz Lmarrakchi et son conjoint, le commandant Khadija Hamdi-, l'oeil magique des services secrets algériens à Tindouf.
A cet effet, tout observateur ayant eu l'occasion de suivre le périple de Mme Kerry Kennedy au Sahara Marocain et à Tindouf ne peux que reprocher également à cette mission de ne pas avoir soufflé un mot contre l'Algérie, ni parler des exactions, ni de l'étouffement des voix contestataires qui ont été éloignées,sur ordre de Mohamed Abdelaziz vers des destinations inconnues. Rappelant que de nombreux contestataires et opposants à Mohamed Abdelaziz avaient espoir de rencontrer la délégation et ont bravé les interdictions et la chaleur pour «pouvoir alerter et sensibiliser cette délégation sur leur calvaire et sur les violations des droits de l'homme dont elles sont victimes de la part de la Direction de Renseignement et Sécurité algérien et du Polisario». La délégation Kennedy n'a pas saisi ou voulu ne pas saisir l'occasion qui lui a été offerte de faire preuve de neutralité et d'objectivité concernant la réalité des droits de l'Homme dans les provinces sahariennes du Maroc ainsi que dans les camps de Tindouf en Algérie.
En parallèle, pour sa part, Mme Kathryn Porter Cameron a fait état de la préoccupation de la société américaine quant à la situation des Droits de l'Homme dans les camps de Tindouf et que les délégations américaines de ces deux dames, ne sont pauvres désœuvrées, vendables et achetables pour quelques pétrodollars pour s'aligner aveuglement à la thèse de l'algérie et du polisario, en s'approvisionnant en produits de mensonge, de désinformation, de dopants et illicites.
Pour se défendre, Mme Kerry Kennedy vient de déclarer dans une interview exclusive à l'hebdomadaire Marocain " Maroc Hebo" , (n°992 du 21 septembre) après sa visite dans les camps de Tindouf, qu'«elle ne roule pas pour le polisario». C'est la déclaration de routine qui se fait normalement par un fautif, quand il se dévoile, de chercher des alibis pour justifier ses gaffes et influencer l'opinion publique qui l'entoure, le moment où il découvre qu'il venait de dérouter de son trajectoire, se sentait, malgré lui dans l'embarras. Pour nous Marocains et aussi pour tout observateur crédible, la déclaration et le démenti de Mme Kerry Kennedy, qu'elle vient de déposer à la rédaction de l'hebdomadaire précité, sont nuls et non avenus et que personne raisonnable n'est disposée à la croire, tant que tout est clair, de façon que l'observateur, voire les simples observateurs, toi, moi et l'autre que "Nous sommes", n'a pas besoin de prendre en considération ce qu'elle venait de dire ou dira éventuellement, hors de tout ce qu'elle consignait déjà dans son rapport chiffon.
Malheureusement la fondation Kennedy a cédé devant l'influence du pétrodollars algérien au détriment de son principe, si on croit le message délivré par Robert F. Kennedy à partir du Cap en Afrique du Sud, un certain 6 juin 1966 : «Chaque fois qu'un homme défend un idéal, ou agit pour améliorer le sort des autres, ou se bat contre l'injustice, il envoie un petit souffle d'espoir, et se croisant à partir d'un million d'autres centres d'énergie et d'audace, ces souffles construisent un courant capable d'abattre les murs les plus puissants de l'oppression et de la résistance».
Enfin, la rédaction du blog doit souligner avec un trait rouge, ce que disent les grands Américains, qui analysent profondément les choses et dépassent la vision d'une simple fondation dite Fondation de Kerry Kennedy à ce sujet. Le journal américain à grand tirage, «The Washington Post», a mis en garde,contre les dangers liés à la création d’un Etat fantoche au Sahara. Pour le quotidien, l’instabilité et la prolifération de groupes terroristes et rebelles conjuguées au flux incontrôlable d’armes dans la région du Sahel, depuis et même avant la chute du régime Kaddafi «sont là pour nous rappeler à tout moment le caractère suicidaire d’une telle entreprise ». Mr.Jennifer Rubin, l’auteur de l’article, rappelle à cet égard les conclusions d’un récent rapport du "Think tank américain Carnegie Endowment for International Peace" (Centre Américain de recherches-CARNEGIE-pour la paix au monde)qui met en garde contre la multiplication dans la région "d’Etats non-viables" et incapables de remplir les fonctions liées aux attributs de souveraineté et au devoir de sécuriser leurs territoires.Allusion à la pseudo Rasd et à l'Azawad au nord de Mali.
De mon coté, j'ajoute qu'une telle situation ouvre la porte, à sa largeur, aux extrémistes et trafiquants de tout genre, pour prendre en otage ces entités fantoches et faire de la région un terrain fertile pour la prolifération des activités d’AQMI (?) L’auteur affirme, par ailleurs, que la conjonction d’intérêt et la collusion avérée entre AQMI et le polisario constituent la matrice d’une organisation terroriste aux conséquences «incalculables» pour la stabilité et la sécurité d’un ensemble géographique allant de la Mauritanie aux grandes étendues du Sahel , y compris le grand sud Algérien
Je termine ma modeste présentation par un avertissement de pitié au régime algérien qui vit dans la vanité surtout, et aux larbins du DRS, qui nous envient pour la grandeur de notre pays, en leur disant que : Le Maroc ne va pas lâcher prise, comme ils sont entrain de croire, il ira jusqu'au bout et avec fermeté, pour contre carrer toutes leurs tentatives désespérées, par la guerre silencieuse qu'il mène aux pas stables, pour préserver sa souveraineté, son intégrité territoriale y compris les terres encore spoliées par l'algérie et faire en sorte, avancer ses réformes de démocratisation, de modernité, de développement infrastructurel, d'ouverture politique envers le monde, avec une gouvernance particulière, sous l'impulsion de Sa Majesté Mohamed VI que Dieu l'assiste. En dépit du silence de nos officiels, le Maroc va dans le sens de leur créer, avec le temps et avec la bénédiction de notre monarchie, beaucoup de surprises d'échec et de défaites diplomatiques, là où ils mettront les pieds, en leur causant d'énormes cafouillages et de difficultés au sein de leur propre fief (!) marqué déjà par un cercle infernal qui prend le peuple algérien dans les filets de haine, violence, larmes, sang, deuil, et humiliation.
Le Maroc est actuellement membre au Conseil de Sécurité, sur pieds d'égalité avec les quinze, sa voix de l'intérieur aura sa crédibilité et sera la bienvenue, tandis que la voix cassée de l'algérie et de ses États d'aboie « الدول الرديئة » qui vont naturellement accentuer l'aboie de l'extérieur seront sûrement irrecevables dans tous les stades de discussion à l'ONU.
Mr. Mohamed Loulichki, ambassadeur permanent du Maroc à l'ONU est là, il aura la faculté de riposter à chaud et sera pour eux, pour les algériens et leur 5ème colonne, pour les tenir en tête dans toute supercherie et toute surenchère, touchant l'aspect de droits de l'homme dans notre pays, en particulier dans nos provinces du sud.
Le Maroc par éxperience, est tenu à être vigilent, plus que jamais, pour confronter, comme à la coutumée, toutes les acrobaties algériennes, surtout à la 4ème commission de l'ONU, pour faire pratiquement face, aux nouvelles frivolités politiques de l'algérie, qui s'émergeront à la 67° assemblée générale actuelle de l'ONU, s'appuyer sûrement sur le coût de revient du rapport de Kerry Kennedy et sur la mise en scène et la mise en compétition d'un nouveau mauvais partant! (terme équestre). Et qu'ils sachent que les Marocains, de génération en génération, s'ils sont généreux de nature, ils ne laisseront pas les algériens continuer à leur faire toujours du mal.
Ceci dit qu'elle est mise au pieds du mur, devant la clarté de la cause Marocaine. Pourquoi toute cette chronique attitude haineuse contre les intérets du Maroc?, Le rêve expansionniste algérien et le faux leadership, qui ne se réaliseront jamais dans la région, tant que le Maroc existe en bonne et du forme.Une formule dialectale dit :«راحتا هْنا والدَّنيا مَزالا طْويلا؟»Nous sommes-là et en va voir. Bonne navigation sur Chihablog, merci à vous.
A trés bientôt.Chihab25