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  • Maroc-Algérie : La bombe atomique au Sahara Marocain oriental, 2ème volet et le putsch contre le général De Gaulle..

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    Algérie : le putsch des généraux du 21 avril 1961, un coup d'Etat militaire manqué contre la politique de de Gaulle                                            Les  putshistes d'Alger, le 27/12/1960.

    A la marche...La rédaction du blog avait promis au lectorat d'y revenir au putsh, voire à la révolte de certains généraux de l'armée Françaire contre le général le général Charles De Gaulle alors président Francçais et responsable des opérations atomiques que menait la France au début des années soixante du siécle précédent.

    Je ne dirais pas que ces essais atomiques Français étaient opérés en Algérie Française, mais en territoires Marocains sis dans le Sahara oriental spolié actuellement par l'Algerie62. Mais avant de passer au deuxième volet d'eissais. je voudrais dire au lectorat qu'un de mes lecteurs assidus me reprimandait pour la longueur et l'étendue de mes écrits. En réponse, je lui dirais que je ne peux me limiter à son souhait devant l'abandonce d'idées et de points de vue cumulées. à chaque nouveau point de départ.

    D'autant plus qu'en parallèle le rédaction se trouvait contrainte d'y aller en avant, quand, même les puissances coloniales censées démocrates et politiquement stables dont la France, en avaient, elles aussi les mêmes opportunités de comploter contre leurs pouvoirs centraux. Pas seulement le désordre qu'on attribuait aux pays du tiers monde.

    Mais contrairement à cet aspect, tout observateur  constaterait la particularité Marocaine basée dans ce sens, sur sa  stabilité politique et sur ses piliers d'or, en l'occurrence les Dynasties ancestrales.. Idrisside et Alaouite faisant briller l'éclat du Maroc à travers les temps. Malheureusement, en contre partie l'Afrique se trouvait,une fois de plus basculée. L'énieme bouleversement en date est celui perpétré récemment en Guinée Conakry, le pays du grand ami du Maroc feu Ahmed Secou Touré.

    Le 21/4/1961 - 4 généraux Français (photo de g à d): André Zeller, Edmond Jouhoud, Raoul Salan et Maurice Challe, ont mené un coup d'Etat militaire, ou un putsh manqué contre la politique du général Charles De Gaulle selon les médias de l'époque. Leur révolte s'est effondrée le 25 avril de la même année et le président De Gaulle a pris des mesures sévères pour s'assurer qu'il n'y aurait pas de répétition de l'événement en entamant une purge massive à travers la France et l'Algérie Française. 

    Dans la nuit du 21 au 22 avril 1961, quatre généraux français s'opposerent, pas seulement aux essais nucléaires Français de Raggane, mais sévèrement aussi à l'indépendance de l'Algérie faisant sédition et s'emparaient d'Alger avec des légionnaires et parachutistes, défiant le général de Gaulle au pouvoir.Ces putschistes étaient en liaison avec un autre général  qui les rejoignait le 23 avril depuis de l'Espagne, il saura bref, à peine cinq jours, et il échouera.

    L'histoire était en effet en marche : le 16 septembre 1959 De Gaulle avait admis le droit des Algériens à l'autodétermination et, le 8 janvier 1961, les Français ont voté pour à 75% en sa faveur lors d'un référendum ouvrant la voie à l'indépendance de l'Algérie-française qui était sous colonisation Française depuis 1830 après l'avoir arraché des Ottomans qui occupaient l'ensemble Numidien durant des siècles. Pour une partie des cadres de l'armée française, déjà humiliés par la défaite en Indochine, c'est une trahison insupportable du pouvoir, incarnée par le général De Gaulle devenu président de la République, et qui venait d'évoquer, le 11 avril 1961 un "Etat souverain" en Algérie Française.

    Les putschistes n'étaient pas seuls, d'autres généraux au rang moins prestigieux les suivaient, mais sans un basculement total de la haute hiérarchie militaire et sans impliquer les soldats de l'armée de conscription. L'indiscipline de certains chefs et de certaines troupes a abouti ce matin à Alger à placer les pouvoirs civils et militaires dans l'impossibilité d'exercer leur commandement. La situation dans le reste de l'Algérie était calme. Le gouvernement central de Paris avait pris la nuit suivante les mesures nécessaires, publiées dans le courant de la journée à la consommation de l'opinion publique française.

    Dans la nuit du 21/22 avril, le 1er régiment de parachutistes du commandant de Saint-Marc, cantonné à Zeralda, faisait route sur Alger et investit le Palais d'été où siègent la Délégation Générale, les bâtiments officiels, la radio et les centraux téléphoniques et télégraphiques. Le centre d'Alger fût quadrillé de chicanes.

    Le délégué Général du gouvernement central et le ministre des Travaux publics, furent arrêtés ainsi que le Général, commandant en chef des troupes Françaises en Algérie, qui tentait de regagner son PC. Le 22 au matin, l'AFP, dont les journalistes à Alger ont au petit jour été empêchés de travailler par les putschistes, annonce l'état de siège, puis, d'après un communiqué diffusé sur la Radio d'Alger, que "l'armée a pris le pouvoir en Algérie et au Sahara".

    L'Agence relayait une déclaration du ministère de l'Information au gouvernement central de Paris : "L'indiscipline de certains chefs et de certaines troupes a abouti ce matin à Alger à placer les pouvoirs civils et militaires dans l'impossibilité d'exercer leur commandement. La situation dans le reste de l'Algérie est calme. Le gouvernement a pris cette nuit les mesures nécessaires, qui seront publiées dans le courant de la journée".

    A Alger, le général Challe lance un appel : "L'armée s'est assurée le contrôle du territoire saharo-algérien. L'opération s'est déroulée conformément au plan prévu disant à voix haute à Paris. «Je suis à Alger avec les généraux Zeller et Jouhaud, en liaison avec le général Salan, pour tenir notre serment : garder l'Algérie Française».

    Le général Zeller décrètait l'état de siège "sur l'étendue des 13 départements français d'Afrique" tandis que le général, commandant la 5e région, se placait sous les ordres du général Challe. Dans l'après-midi, la Radio-Alger annonce qu'Oran était aux mains des insurgés.

    1961 c'était une année cruciale pour De Gaulle. Le putsch d’Alger des généraux visait à « sauver » l’Algérie français. Depuis sept ans, les généraux Challe, Jouhaud, Zeller et Salan se battent pour que l’Algérie reste française. Alors quand, le 11 avril 1961, le président de Gaulle annonçait la création prochaine d’un «État souverain, au-dedans et au-dehors», d’une Algérie indépendante, c’en était trop.                                           

                              Le Sénat français n'en témoignait qu'en de 2009

    Gerboise bleue..Les dispositions prises à l'époque n'ont pas suffi à empêcher l'exposition à des contaminations de personnes qui soit participaient directement aux expérimentations, soit se trouvaient dans les zones environnant les tirs. Ces mesures de sécurité n'ont, tout d'abord, pas empêché la survenue de trop nombreux incidents techniques lors de la préparation ou du déroulement des essais.