Le triangle Algérien -Daâisho-
Une défaite par excellence...D'abord, être Algérien, c'est drôle ?.. Eric Zemmour, ex-candidat à la présidentielle en France répond clairement : «Quand je pense à mes origines algériennes j’ai envie de m’auto-expulser».
Une défaite sanglante vient de frapper «Hizb Achaitane» au Liban. Son animateur Hassan 'Sakht Allah' pleure son sort sur les ruines de cette échéance législative survenues le 15 mai 2022 au Liban après avoir perturber la vie normale des Libanais par ses sorcelleries Perses.
Premier crime houleux perpétrè par Hizb Chaitane, rappelons-le, l'assassinat en direct, en février 2005 à Beyrouth de Rafik Hariri ancien premier ministre Libanais, sans dissuasion aucune à nos jours et ce par faiblesse d’État et par l'acharnement d'un mélange de sectes ethniques qui, par instinct de force, partagent l'espace politique au Liban.
Les "polisalgériens" perdent ainsi le soutien d'un acteur de déstabilisation régionale, banni et chassé de tout le moyen orient.Par contre l'option "guerre des sables" est devenue une option irréfutable pour tout Marocain, conscient que le seul ennemi à abattre, sans pitié, ne serait qu'un Algérien, soif de vengeance.
Les "Ayatt chaitane", termes gravant le livre polémique de l'Irano-Anglais (Salmane Roushdi) eux aussi blâment en ce temps leur échec, de ne pas avoir réussi d'ouvrir, comme ailleurs, au Yémen et en Irak, leur commerce d'ingérence diabolique à Tindouf, et y êtres, tout prés, pour percer la solidité du Mur militaire Marocain et de ne pouvoir, d'autre part, déstabiliser la vigilance des troupes du général Belkheir El Farouq dans les provinces Marocaines du sud.
A propos, le Chiite -Hassan Sakht Allah- avait fait de son agenda le désir de soutenir le polisario contre les intérêts du Maroc. A Tindouf plus exactement, ou plutôt à ce qu'on appelle "vachement" l'ouest Algérien (.!.), là où le pouvoir Algérien décidait lui offrir un espace pour étaler son terrorisme, mais il a échoué dès sa première tentative.e
En brouillant toutes les vérités Marocaines et le leadership Royal, le pouvoir Algérien et ses Ayatt Chaitania, ont donc loupé l'occasion de se baigner, gratuitement, aux larges de «Foum El Oued à Laâyoune et de Dakhla» devant la bravoure des FAR, d'une part, et devant la crédibilité de la diplomatie Royale de l'autre. Et pourtant, l’Algérien dingue continue à vivre les illusions, croyant faussement en la suprématie et le leadership de son pays, mais la volonté divine décidait autrement, mettant l'égoïsme Algérien au rythme des fils d'attente, même pour s'acheter des allumettes
Une vérité irréfutable..Commençons tout d’abord par un sujet qui paraitrait étrange au lectorat, en l'occurrence : «Quand les Algériens étaient sous la domination du Maroc» Il s'agit de l'histoire Marocaine de la ville de Tlemcen, actuellement Algérienne qui a remis en question l'histoire commune entre le Maroc et l'Algérie, surtout que de grandes parties géographiques de l'Algérie d'aujourd'hui, faisaient partie des Indivisibles des pouvoirs successifs qui ont régnè au Maroc.
Un post qui a provoqué le limogeage du directeur d'Air Algérie, qui a été effacé une heure après sa publication et changé par une autre, disant : «Fier de son passé glorieux et prospère, avec ses monuments Hispano-Marocains et de son caractère andalou, la belle ville Tlemcen». La ville d'art et d'histoire surnommée la "jumelle de Fes, et la perle du Maghreb".
Il semble que le régime algérien se soit aliéné de tout ce qui concerne le Maroc, même s'il est vrai, comme la publication susmentionnée ne s'est pas trompée, car la ville de Tlemcen a fait pendant de nombreux siècles partie, à part entière, du Maroc et des États qu' ayant suivi sa domination, et il existe encore de nombreuses preuves, monuments et langage-courant que la ville le confirme à ce jour, en exemple : (Eeeu'lt lik..ina..ghada N'êss).
Pour en revenir aux pages de l'histoire, Tlemcen n'est pas la seule à avoir été affiliée aux régimes et pouvoirs qui étaient présents au Maroc, mais elle n'est que la plus ancienne, la première et à entrer dans le règne de son état. Cependant, comme mentionné précédemment, Tlemcen n'était pas l'une des seules villes algériennes actuelles qui appartenaient au Maroc, mais plutôt la ville d'Alger-capitale.
Avec l'affaiblissement des Almohades et l'émergence de l'État Mérinide, le Maroc a progressivement commencé à perdre la subordination de nombreuses régions algériennes, mais Tlemcen et d'autres de l'Ouest Algérien sont restées une partie intégrante du sol Marocain, à de nombreuses périodes, tant avec les Mérinides, les Wattasides et les Saâdiens, avant l'ère turque des Ottomans.
Avec le début de la colonisation française de l'Algérie en 1830 du siècle écoulé, les dirigeants de Tlemcen et ses notables gardaient le contact avec le Sultan Marocain entre 1834 et 1836, pour exiger, le cas échéant, leur protection contre les attaques et l'occupation françaises. Le Maroc pendant cette période,fournissait à la résistance algérienne les moyens financiers. et le soutien militaire, avant la bataille -d'Isly- Aâyoune Sidi Makhokh prés d'Oujda en août 1844 dans laquelle elle a été vaincue.
L'histoire confirme que les régimes Marocains ont géré et gouverné les affaires des Marocains et des Algériens pendant de très longues périodes sans aucune différenciation, et donc il y a une histoire commune dont les effets sont encore visibles à ce jour, et peut-être les antiquités Marocaines qui sont encore présentes dans Tlemcen en sont les plus témoins, alors pourquoi le régime algérien nie-t-il ce jour et punit-il tout ce qui se rapporte à lui avec le Royaume du Maroc? La réponse à ces interrogations serait belle et bien, celle de "l'ingratitude de bâtards".
Je dirais en Substance que les batards dont il s'agit sont les Marocains qui ont gouverné l'Algerie, d'Ahmed Ben Bella, dont l'origine est de Sidi Rahal ElBoudali, région de Marrakech, au maudit Abdelaziz Boutefrika, le gamin de Bab Sid Abdewahab d'Oujda, lesquels étaient les plus brillants en ingratitude par leurs comportements néfastes contre la main généreuse Marocaine qui soutenait l'Algérie, sans condition, dans ses stupidités et ses peines de libération.
Comme à la coutume, n'oublions pas la cause nationale, citant cette fois la démarcation de la frontière maritime du Maroc qui dérange l'Algérie qui, par le biais de sa création polisarienne, tentait vainement d'ouvrir une fenêtre sur l'Atlantique pour respirer l'air pure Marocaine.
deux frégates Marocaines craquant l'atlantique
Au Maroc.. On limite nos frontières. Il nous en reste encore à rapatrier notre Sahara Marocain oriental passé, sous table, à l'Algérie par la France de De Gaules.Une affaire épineuse censée être éventuellement traitée avec une Algérie aussi crédible que celle d'aujourd'hui.
On se demande après la démarcation de la frontière maritime du Maroc... L'Espagne va-t-elle porter un nouveau coup à l'Algérie et à son Polisario ? Le comité bilatéral chargé de discuter de la démarcation des frontières maritimes entre le Maroc et l'Espagne s'est réuni à Marrakech pour reprendre les choses en main. Un accord final entre les deux pays serait déjà pris au sujet des transports maritimes et l'ouverture des frontières.
Ce comité compétent, rappelons-le, a été formé en 2001 spécifiquement dans le but de parvenir à des entente à tout moment, conformément à la volonté bilatérale et aux conventions internationales, mais ce comité n'a pas poursuivi ses réunions pendant 15 ans, à cause de quelques pauses d'harcèlement et de divergences de la partie Espagnole.
Pour recoller les morceaux et réparer les dégâts des discordances avec certains gouvernants espagnols de gauche, il est maintenant décidé d'y revenir à table, à la lumière de l'amélioration des relations entre Rabat et Madrid, et de la volonté récente des deux parties de surmonter toutes les divergences.
Cependant, immédiatement après l'annonce par le ministre Espagnol des Affaires étrangères de la reprise des activités du comité bilatéral réunissant Marocains et Espagnols, une polémique politique a éclaté en Espagne concernant la démarcation de la frontière maritime avec le Maroc et la question du Sahara, notamment la question de : «Si Madrid travaillerait pour s'entendre avec Rabat sur la démarcation de frontières maritimes Hispano-Marocains, y compris le Sahara Marocain.
Dans ce contexte, il convient de noter que le Maroc a annoncé officiellement, par l'intermédiaire de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, l'été dernier, son rejet catégorique de tout accord avec tout pays qui n'inclurait pas le territoire du Sahara. Si cela se produit, ce sera un nouveau coup porté aux séparatistes Algériens du "Polisario", observaient quelques analystes indépendants, surtout après le coup porté au soutien de Madrid à la proposition Marocaine d'autonomie du Sahara proposé par le Royaume depuis 2007.
Mais le problème qui s'imposait à l'Espagne, est celui des îles Canaries, qui sont situées aux larges des côtes de la région du Sahara Marocain, et donc Madrid se trouvera obligée de parvenir à un accord avec le Maroc, ce qui serait une reconnaissance officielle par Madrid de la Marocanité du Sahara, à moins qu'on ne déciderait (de part et d'autre) de ne pas conclure éventuellement d'accords d'entente et de bonne foi sur toutes les questions qui s'imposeraient.
Quel scandale?
Chengriha offre la viande d’âne à ses troupes Tebboune,joue les Beatles
Scission entre paroles et actes..Alors que le régime algérien n’a eu de cesse de minimiser verbalement les succès diplomatiques du Maroc sur le Sahara, ses actes disent tout le contraire. L’action du régime algérien est devenue puérilement hystérique après le tournant historique opéré par l’Espagne.Ce tournant ne passe décidément pas à Alger.
C’est sans doute le coup de trop, celui qui anéantit tous les efforts du régime algérien et réduit à néant l’escalade orchestrée contre le Maroc, en vue de bloquer ses percées diplomatiques.