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Un sale pouvoir - Page 33

  • Algérie :L’Algérie va vers le pire, c’est inévitable !

     (Le site est ouvert pour vous en tenir informer de ce qui se passe en Algérie, non seulement, on parle de son hostilité contre le Royaume du Maroc, mais aussi de sa saleté interne,de ses échecs en politique mensongère concernant le dossier du Sahara Marocain)                                                                                                                                                                                            

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                                             L'état actuel de l'Algérie, ils se disputent le siège du pouvoir (photo AT) 

    Avant-propos..Les lecteurs m'excuseront , certes, si je récidive toujours en revenant à la chose Algérienne. Sachant que mon blog est uniquement ouvert pour dévoiler les mauvais actes et attitudes malencontreux de la bande mafieuse d'Alger que la nature géographique nous en colle malheureusement au dos. Cette junte, rappelons-le,qui envie tout ce qui est Marocain, et qui tentait, par intelligence aveugle, d'imiter la marche du pigeon dans sa politique d'orgueil contre notre Grand Maroc, mais elle a perdu la sienne comme le cas du corbeau. Je dis bien le Grand Maroc, car je me suis convaincu que je ne le dis pas tout seul, me référent à la nouvelle sortie médiatique du président du Crans Montana le Suisse Mr.Jean-Paul Carteron qui qualifiait le Maroc, en terre de cohérence et de paix, le plaçant en bonne position sur le plan mondial.

    Pour les lecteurs qui visitent le blog pour la première fois, le site est ouvert pour les en tenir informer de ce qui se passe en Algérie, non seulement, on parle de son hostilité contre le Royaume du Maroc,mais aussi de sa saleté interne, de ses échecs en politique mensongère concernant le dossier du Sahara Marocain.

    A cet effet, je voudrai chuchoter au passage, aux oreilles de nos voisins-ennemis algériens que la grande puissance mondiale, le pays de l'oncle Sam soutient, sans ambiguïté, le Maroc dans son intégrité territoriale. En preuve accablante, Mr. Barack Obama, le président Américain disait tout récemment, après l'approbation par le Congres Américain du Budget d'Etat USA-2016,que le montant d'aides octroyées au Maroc pour subvenir à ses besoins y compris dans ses provinces du sud est largement maintenu, incitant le secteur privé Américain à investir dans les province du Sahara Marocain,cela signifie une énième gifle à la figure d'Alger.

    Régulièrement au court de ces 50 ans d'hostilité algérienne qu'affronte notre pays, le Maroc travaille silencieusement pour effacer tout acte malencontreux émanent de la part du pouvoir algérien et ce pour appuyer la raison permettant d'entretenir et d’aménager notre ensemble politique en tant qu'Etat crédible aux yeux du monde.Comme a chaque fois une multitude de travaux diplomatiques silencieux se réalise, sans bla-bla, dans la bonne direction.(...)  

    Un lecteur me posait la question suivant : Quelles sont les sources, d'où je ramasse tout ce bagage..? Je profite de l'occasion pour lui répondre tout simplement que : «Je n'ai pas de sources particulières, je fais comme tout le monde, je plonge dans l’abîme profonde de l'internet, dans les baies de la presse algérienne en particulier, Je sélectionne..je collationne et j'en tire les conclusions en s'intéressant beaucoup plus, à extraire ce qui «peut y être entre les lignes»,  je développe et j’appuie sur la détente sans moniteur de tir.» Même avec mon faible français, j'arrive, quand même, à toucher mes cibles, puisque je reçois souvent des commentaires "diffamatoires, des mots injures" de la part de certains algériens indignés qui se sentaient humiliés par mes propos anti-algériens..(!)
     
    Dans mes développements je tiens à remuer toujours la plaie algérienne en évoquant le maximum d'échecs, défaites et actions de bredouillage qu'elle endosse, tout en laissant l'offensive de notre diplomatie officielle faire l'affaire et avec immuable et grimper confortablement les podiums à l'échelle internationale, contre la politique mensongère de haine de Ramdane Lamamra, surtout en ce qui concerne notre cause nationale.
     
    Or, Je ne peux m'en passer sans dénicher, quoi que ce soit, pouvant mettre à nu la politique d'autruche poursuivie jusque-là par notre voisine-ennemie,aussi bien à l’intérieur qu'à l'extérieur. La nouveauté en la matière est bien que le temps des années budgétaires fastes semble révolu pour l'Algérie. En cause, la mauvaise gouvernance, la corruption et la chute du pétrole. Les autorités algérienne craignent, à cet effet, de revivre le choc pétrolier de 1986 qui plonge l'Algérie rentière dans une autre grave crise économique et politique sans précédent, le moment où le  malheureux peuple Algérien " le plus intelligents du monde", accepte volontiers les grognes, faisant laisser-passer, à coté, les vents de frondes.
     
    Un adage Marocain nous dit que «le minaret s'écroule, on pend le barbier». C’est à l’aune de ce dicton que l’on ne pourrait pas apprécier certaines réactions après la scandaleuse et inique décision du Tribunal européen invalidant l’accord agricole Maroc-UE. Alors que le Royaume est chaque jour,à tout moment, agressé par les appareils diplomatiques de propagande des adversaires de notre unité nationale et de notre intégrité territoriale. Il serait bon, sans doute, que l’on veillât à ne point se tromper de cible, en aidant notre Baskettman des affaires étrangères à repousser loin tout exercice  de flagellation publique que nous inflige l'ingratitude Algérienne par le biais de sa politique d'autruche…
     
                                                                                                             oOo

    Et je reprends..N’ayant pas reçu de réponse presque deux mois après leur demande d’audience, alors que Bouteflika est montré présidant un conseil restreint autour de l’avant-projet de révision de la pseudo-Constitution Algérienne, Zohra Drif-Bitat et Khalida Toumi, membres des 19, rappellent que “la Constitution stipule que le Président s’adresse directement à la nation et non pas à travers des intermédiaires”.

    L’apparition d’Abdelaziz Bouteflika à la télévision à trois reprises au courant de la semaine, présidant des réunions et recevant des personnalités étrangères, ne semble pas dissiper les doutes des signataires de la demande d'audience, qui, plus d’un mois après l'avoir introduite, n’ont toujours pas obtenu de réponse. Se refusant à croire que le Président aurait pu recevoir leur lettre et qu’il refuse d’y donner une suite favorable, la sénatrice Zohra Drif-Bitat, ainsi que l’ancienne ministre de la Culture Khalida Toumi, avec lesquelles certains journalistes algériens avaient longuement discuté à Alger, pensent que ces apparitions répétitives apportent de l’eau à leur moulin. “Puisqu’on le montre à la télévision, puisqu’il reçoit des personnalités étrangères et préside des réunions, elles ne peuvent disaient-elles considérer alors que Bouteflika a les capacités de recevoir des gens et les écouter.

    Au clair,si les gouvernants algériens et ceux qui les appuient derrière les coulisses ont l'habitude, dans leur fâcheuse déformation des faits, d'anesthésier les esprits dingues algériens et leur prodiguer des bluffs, ils ne peuvent pas le faire autrement avec nous autres observateurs. Ce que je constate, même si je ne suis pas spécialiste de l'audiovisuel, c'est que du théâtre, dont les épisodes sont réalisés sur "demande-primée" par l'heureux de l'Algérie à la télévision algérienne pour opérer des séquences de montages et de photoshops pour d'une part, enrouler l'opinion publique locale et de l'autre faire taire les appels à l’application de l'article 88 de la prétendue constitution.

    Il n’y aurait donc aucune raison pour qu’un président ne reçoive pas des citoyens qui demandent à le voir et qui ont des desiderata à lui dire...Ces deux femmes n'ont pas manqué de marteler que ce qu'elles ont à dire ne peut être portés qu’à la connaissance de la seule personne de Bouteflika et pas d'autre, affirmant qu'elles ne reconnaissent que l'ordre constitutionnel, étant donné que la logique stipule que le Président s’adresse directement à la nation et non pas à travers des intermédiaires. Ce propos, chargé d’allusions, se comprend comme une réponse à ceux qui ont pris sur eux de signifier une fin de non-recevoir à leur demande d’audience . 

    Des attaques auxquelles sont exposées ces deux signataires émanent d'une bande mafieuse qui entour la famille régnante qui n'a pas d’arguments politiques, et qu’elle est pour la circonstance, chargée de passer à des tentatives vouées à l’échec, pour disqualifier toutes démarches gênantes en harponnant certaines personnalités de la classe politique Algérienne

    Cependant, l’ancienne ministre de la Culture persiste et signe : “Quelles que soient les intentions de cette bande mafieuse, elles ne reculeront pas d’un pas". Car pour elle, des gens qui agissent en bande mafieuse, c’est qu’ils déclarent au monde entier qu’il n’y a plus d’État algérien. Hé, oui effectivement, il n'y a plus d'Etat en Algérie, la rédaction du blog l'avait déjà dit ici dans un passage, quelque part en blog, et ce suivant la simple logique suivante:

    Les 20 – 1 ont officiellement et publiquement demandé à être reçus par Bouteflika: A) Dans l’hypothèse où ils seront reçus d’une façon ou d’une autre, deux réponses sont à vérifier:
    1- Soit Bouteflika, de par sa santé et son isolement, n’est pas au courant des grandes dérives que connait le pays.Là, il faudrait lui appliquer l’article 88 de la Constitution renvoyant à son impeachment (destitution) pour raison de maladie,empêchement et incapacité mentale et physique.
    2- Soit Bouteflika est bien conscient et au courant de tout ce qui se passe dans le pays comme ne cessent de le répéter le gouvernement,le Drabki de l'FLN, le thuriféraire Ahmed Ouyahia du RND et tous les partisans ou courtisans.Là aussi, et vu les dérives et les dangers dont parlent les signataires de la lettre, il faudrait lui appliquer également l’article 158 de la pseudo-Constitution algérienne pour actes pouvant être «qualifiés de haute trahison du Président,des crimes et délits du premier ministre (le crieur public du gouvernement), commis dans l’exercice de leur fonction».

    B) Dans l’hypothèse où ils ne seront pas reçus, deux réactions sont attendues des 19:
    1- Reconnaître officiellement la vacance du pouvoir présidentiel et sortir ,par conséquent, dans la rue pour exiger l’application de l’article 88 de la pseudo-Constitution algérienne.
    2- Se repentir, demander, têtes baissées, «Pardon» au peuple algérien et annoncer leur retrait définitif de toute activité politique. C’était juste un peu de la politique-fiction dans une Algérie où seul l’absurde est une réalité!   

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                                 Un algérien se noie, demandant de continuer tel que.! "On est bien! dit-il (photo AT)                      

    L'automne Algérien en plein dérèglement climatique.. Zine El Abidine Ben Ali s'est enfui, Mohamed Hosni Moubarak s'est rendu, Maâmar Kaddafi a refusé de se rendre, mais quelqu'un l'a fait à sa place. On l'a rendu mort. Ali Abdallah Salah s'est enfui, puis revenu pour prendre l'arme contre soi. Bachar El Assad continue de tirer à bout portant sur sa population qui répète qu'elle n'a finalement rien à perdre. Et lui il tire parce que justement, il a tout à perdre s'il se tire. Tandis que Bouteflika vit le "temps mort" de son règne, de son automne noir qui succède à la décennie sanglante de "qui tue qui.?".

    Pour se sauver des risques du printemps arabe, rappelons-le, les autorités algériennes avaient pris l'initiative d'effrayer la population Algérienne en lui, tendant le «bâton et la carotte», si jamais elle s'engagerait dans un quelconque mouvement, sous prétexte que l'Algérie a déjà vécu son printemps sanglant durant les années 90. Et depuis elles continuent à faire peur au peuple, créant un climat de terreurs par la police politique,  à la manière de Chawsisko de Roumanie,  pour maintenir le statu quo au profit d'une minorité de bandits.

    Le pouvoir en Algérie est donc tiraillé entre sa volonté d'interdire toute manifestation en tant qu'association à but lucratif qui dérange sa conviction et la perspective de paître, avec une certaine vigilance, un peuple constituant tout un monde d'animaux humains. La satisfaction du pouvoir en place est que le peuple qui aujourd'hui se bat en silence par peur d'extermination, pour revendiquer ses droits redeviendra une foule d'incultes. Décidément, ces apprentis opposants algériens, à leur tête le trio Ali Benflis, Said Saâdi et NourEddine Boukrouh qui ont osé d'émerger avec des voix cassées et qui veulent faire comme les grands dans les pays démocrates, (comme le Podemos et Ciudadanos,d'Espagne) ne sont pas francs, avec eux-même,, voire ne sont pas perfectionnés ou formés pour instaurer les conditions d'une vie démocratique en Algérie, ils ne se battent apparemment que pour grimper aux sphères du pouvoir, surtout après la disparition des grandes hyènes militaires qui les chassaient de tout espace.

    Alors tout le monde se renvoie la balle..Le ton en Algérie n'a pas tant changé, que ça depuis la venue au monde de l'Algérie en 1962, seule a changé la vitesse à laquelle l'information circule, la vitesse à laquelle on sait qui tue qui, combien et pour comment. Et donc la vitesse à laquelle il faut manipuler cette information pour duper la foule autour du bluff. Et la foule se laisse duper. Et ça, c'est comme au bon vieux temps de l'Algérie Française.

    La différence entre hier et aujourd'hui, c'est que l'hypocrisie algérienne prend une toute autre dimension. Elle prend souvent de la lueur, d'interpréter, de croire et de faire croire parce que c'est plus facile et que sur le moment, les circonstances faisaient que c'était la meilleure solution en Algérie. Et la pire des hypocrisies, c'est bien de faire croire aux algériens qu'on cherche des solutions là où on cultive les problèmes.

    Encore faudrait-il que quelqu'un assume ses actes en Algérie. Alors que les Algériens ( ce qu'on appelle Lghachi..!) sont contraints de commémorer chaque année, sous les coups de flash, la journée du 1er novembre, fête des morts pour la bonne cause de libération, pour que naisse cette Algérie, fête des morts tout court d'ailleurs. Il me parait que le simple algérien a toute une pensée pour tous ceux qui sont morts pour rien sous les bottes de la junte des caporaux Français, devenus "généraux" en Algérie, pour ceux qui ont raison, mais qui ont laissé la place à ceux qui ont tort.                                            

    Si la responsabilité de l’Algérie dans le réchauffement climatique n’est pas engagée en COP21 à Paris par sa représentation médiocre, si l'Algérie est exclue de toutes concertations, de coalitions, qu'elle soit arabe pour lutter contre le chiisme au Yémen ou musulmane contre le terrorisme de Daech. L'Algérie reçoit de plein fouet ses conséquences. Dans cette contribution, la sonnette d’alarme est tirée pour interpeller la société civile et les décideurs politiques algériens sur un problème qui ronge la planète et face auquel des solutions structurelles au niveau mondial s’imposent. Par contre le Royaume du Maroc s'il n'est en avant-garde de ces alliances,sa présence, ici et là, est enregistrée avec satisfaction, en dépit de la rancœur de nos voisins-ennemis algériens.

    Soulagement frivole.. l’Algérie  est exclue de ce qu'elle considère «l'OTAN sunnite» elle ne fait pas partie de la coalition de 34 pays arabo-musulmans menée officiellement pour combattre le terrorisme chiite «militairement et idéologiquement ». Même si la diplomatie algérienne – reflet de sa situation interne – n'a pu être active.  A défaut de pouvoir agir, l’Algérie contrainte ainsi de participer à cette entreprise. La coalition aux objectifs valeureux menée par le Royaume de l’Arabie Saoudite a été annoncée après de diverses concertations arabo-arabe comme sortie courageuse contre les ambitions des Perses qui visent la presqu’île arabique et le Golf après avoir dominé Bilad Echame

    Il n’est pas inutile de souligner que l’idéologie Chiite n’est qu'une composante et l’accomplissement de Daech et qui, avec les moyens de communications modernes et en association avec les versets sataniques,a réussi à dévaster les esprits. Pour l’heure, puisqu’il s’agit d’une coalition créée par la nécessite de sauver la face du monde arabo-musulman, il faut relever avec insistance que la matrice idéologie, mentale et politique de l'Islamophobie se trouve depuis en Algérie.

    Depuis l'arrivée de Boutaflika à la magistrature suprême de l'Algérie, et même bien avant, depuis le complot électorale de janvier 1992 contre le FIS, les algériens obéissant à l’ordre du dément, leur demandant de ne pas sortir du silence et de la paresse et depuis, les membres de la junte au pouvoir se sont mis à tailler la basse cours de l'horreur ouvrant largement les portes à la pagaille et à l'anarchie dans tout le pays, ce qui a provoqué l'isolement et l'humiliation du peuple Algérien.

    Pour ceux qui observent depuis longtemps le discours des officiels du pouvoir algérien, leurs idées en politique générale, ne sont pas étrangères à l’arrogance et à la rancœur qui frôlent le cœur des algériens, surtout en relations hostiles avec Maroc. Ils en sont les produits le plus exportés de la particularité de leur égoïsme et le pétrole.

    Alors qui capte la violence pour la promettre rédemptrice ?  Des marchands de quelque chose..! surement des charognards. Et le seul monde qui les réunit tous autour d'une bande mafieuse détenant le pouvoir : les charognards, celle qui meurt de rage, celui qui explose, celui qui pleure à la statue, celle qui meurt aux bistrots, aux petits bars du "club les Pins", d'Alger ou d’ailleurs. Si la junte d'Alger pense avec constance aiguë que le conflit perpétuel avec le Royaume du Maroc et la violence contre ses intérêts n'atteindront jamais le ventre d’Algérie (exemple la Kabylie et les mouvements de Ghardaia).. qu'elle sache, et mette dans sa cervelle que, tôt ou tard,ça viendra un jour. Allah fait attendre, mais ne néglige pas certes..!.

    Cette volonté de se débarrasser – fort tardivement de tout lien avec les sages du monde arabo musulman– ne leurre personne. L'Algérie continue au demeurant de financer les Ongs internationales corrompes (Européennes surtout) pour applaudir sa thèse contre le Maroc  et faire le maximum de bruit  autour de son intégrité territoriale utilisant voltigeur dans ses actes méprisables le polisario qui fait toujours la priorité primordiale du pouvoir algérien, dont la culture, le comportement et la barbarie, exercés jusque-là par sa diplomatie mensongère aveugle contre la raison, sont les mêmes que ceux de Daech, ce qui fait preuve de la plus haute hypocrisie algérienne, jamais vue ou vécue ailleurs.

    L’Algérie a été bien écartée pour ne pas participer à cette coalition qui se pique de combattre les terrorisme chiite «. Une manière grossière de la  mettre devant le fait accompli, d'une part, c'est un jeu gigantesque qui dépasse la capacité politique et intellectuelle de ses gouvernants  et de l'autre elle est, surtout depuis Bouteflika, l'amie de d'Iran et la sœur fidèle de Hizbo Echeitane du Liban, chargé de limer le fer de lance du Chiisme dans la région.

    Cet « Otan sunnite » pour reprendre la formule d'Abdelbari Atwan, l’éditorialiste Palestinien d'Al-Qods Larabi de Londres qui transmet sur la même longueur d'ondes qu'Alger entre dans la démarche arabo-musulmane classique qui consiste à aiguiser la haine sectaire chiite-sunnite avec pour finalité la aider les Etats-Nations à préserver la confession sectaire Sunnite.

    Chacun sait où se trouve Daech actuellement ? En Syrie, en Irak, Au Yémen, en Libye et en Algérie plus AQMI du borgne ! Aucun de ces pays ne fait partie de la coalition «sunnite» et cela ne relève pas du hasard. Ils sont les élèves de l'Iran et l'élève ne peut en aucun cas, contredire son maître. C’est cousu de fil blanc. L’Algérie  n'a pas refusé de participer à l’entretien de "ce clivage empoisonné", selon les termes d'un journaliste mercenaire algérien qui évoquait cette coalition avec un esprit enragé. Il a été écartée, voire négligée carrément par le Cabinet Saoudien ayant pris cette courageuse décision de coalition arabo-musulmane, sans pour autant demander l'avis d'une ligue arabe, à mon avis, une institution inefficace, morte comme l'Algérie.

    Je disais en haut que les gouvernants Algériens ne sont pas aptes, incapables, intellectuellement et politiquement, pour faire partie de ce genre de coalition leader, et ce pour la simple raison que l'Algérie a échoué et échoue encore de mettre terme à ses propres terroristes,plus encore elle continue de les fabriquer en permanence. Sans parler de la continuation de ce pouvoir autoritaire obscurantiste à semer les conditions de division entre algériens et ne cesse de diffuser l’horreur. Avec un réel impact sur  les populations algérienne affaiblies par la pauvreté, par l’absence des libertés (Elhogra) et par la défaillance de l'Etat.

    En tout état de cause, je résume le cas de l'Algérie dans ce sens et j'aurai pas besoin de rappeler que l'orgueil, et l'esprit de domination font de l'Algérie une entité à part, la plus intelligente au monde, le connaisseur prestigieux de toutes choses et l'autre, quel qu'il soit,ne vaut rien pour elle. Son égoïsme la rend furieuse contre toute initiative qui n'est pas la sienne, et rêve d'un leadership mirage, de façon à ce qu'elle refuse être attelée à n'importe quelle locomotive non montée, en toutes pièces, au palais d'ElMoradia d'Alger.Cette situation stérile a lui valu un isolement total, tant à l’intérieur qu'à l'extérieur et personne ne donne de l'importance aux diktats de son ministre d'Etat aux affaires mensongères étrangères Ramdane Lamamra qui ne raconte souvent ses contes qu'à lui-même, sans pouvoir donner l'appétit d'écoute aux assistances incorruptibles internationales.                                                                                                                     

                                                      

                                                      Le premier ministre algérien, la vertu c'est retourner aux racines..!

    Manque de volonté politique.. Sur la photo, on y voit bien Abdelmalek Sellal, le premier crieur public de l’exécutif algérien en train de jouer de la flûte. Pas pour se détendre, mais pour créer de l'ambiance au peuple algérien, qui de jour en jour se découvre en face des promesses mensongères qui selon, Sellal devaient emmener de la prospérité aux Algériens. Du bluff, rien que du bluff, pour cacher ou dissiper les traces des dernières dérives survenues, y a peu de temps, à l'écurie humaine de Mohamed Larbi Old Khlifa, (le parlement algérien).
     
    C’est l’une des rares fois, qu’un débat à ce qu'on appelle le Parlement en Algérie suscite autant d’intérêt. Et pour cause : le débat porte sur le projet de loi de finances 2016, alors que les statistiques sont révélatrices d’un déficit commercial  évalué à près de 16 milliards de dollars sur les 10 derniers mois de l’année en cours, contre un excédent de 2 à 4 milliards de dollars pour la même période de l’année 2014. Ce différentiel trouve son explication dans la mauvaise gouvernance et dans la chute des recettes d’exportation des hydrocarbures, en baisse de plus de 60%.
     
    Au-delà de ce constat, somme toute prévisible, la responsabilité des dirigeants en charge des destinées des Algériens est engagée. Car, hormis les beaux discours flambants, notamment sur la facilitation des projets d’investissement productifs, la réalité est tout autre. Des projets sont bloqués sans aucune explication, au niveau de la capitale Alger  et de plusieurs wilayas, malgré les recommandations multiples des experts et les promesses des responsables.
     
    On parle beaucoup en Algérie de bureaucratie, mais ce n’est sans doute pas le principal obstacle devant le peu d'investisseurs qui en croient aux slogans creux en la matière, confrontés souvent à d’autres blocages de nature subjective.  Certes, il ne s’agit pas de brader les slogans, quitte à les prouver sur terre, pour en assurer une réalité aux présumés investisseurs, pour s’assurer qu’elle ne soit pas détournée de sa vocation. Sans quoi, la diversification des imaginations en domaine d'investissements, devenue le leitmotiv des gouvernants algériens, restera un slogan creux.  
     
    l’Algérie, est frappé de délitement politique, de défaillance de ses gouvernements, de dégradation sociale, où la sécurité est balayée par l’insécurité et où les morts, à vacations périodiques, se comptent par dizaines, dans des attaques terroristes internes inopinées, perpétrées généralement par les groupes de Mokhtar BelMokhtar, le fils de la maison, qui défiait l'ex-caporal Français, jouant le rôle du général, chef d’État-major, se moquant en parallèle de son pays qui n'arrive pas à éradiquer sa propre création terroriste, un pays aussi dystopique qui fait de la priorité de ses priorités la création, au prix de la misère de l'Algérien, d'une entité artificiellement indépendante au sud du Maroc. Cela étant, serait jouer encore plus avec sa sécurité interne.

    D'autre part.., la nécessité de mettre à sac toute chose concernant l'Algérie, je m’empresse de revenir au limogeage du général Toufik par le clan présidentiel algérien et je vais faire mon terrain là-dessus, moi aussi. La lettre ouverte du général Mohamed Mediène dit Toufik au sujet de l’incarcération de son de son second, le général Abdelkader Ait Ouaârab, dit lui aussi Hassan, fait encore de l'actualité et fait couler davantage de l'encre en Algérie provoquant un débat stérile et houleux, au niveau de tous les intervenants. Pour rappel l’ancien chef du DRS avait sortie de sa réserve et défie, selon la presse algérienne, la souveraineté de la justice de son pays..Sa lettre intervient dans un contexte très agité, la condamnation d’un autre poids lourd des ex-généraux, Kehal Mejdoub, à 3 ans de prison fermes et la mise à la retraite de 37 officiers du DRS après les 14 généraux évincés les deux derniers mois.

    A ce titre, l’interrogation sur la stratégie sur laquelle se basaient tous ces changements au niveau militaire en Algérie suscite beaucoup de points d'exclamation et devient essentielle. Il s’agit, à mon sens, tout simplement d’une purge dans les rangs des officiers dont on soupçonne la déloyauté qui est motivée plutôt par la colère ou le mécontentement des hautes autorités? Ce cas de figure serait très probable pour balayer le terrain au général-bougre Gaid Ahmed Salah de commander tant qu'il veut avec l'appui et le soutien du prince hériter de l'Algérie qui se prépare en coulisses pour prendre les commandes.

    Monotone triviale..La première lecture de ce message inattendu ne fait aucun doute sur l’allusion du complot dirigé par l’équipe au pouvoir (en coulisses) contre les hommes de Toufik. Car condamner un général par ses pairs dans un tribunal d’une institution étatique alors qu’il plaide « innocent », cela est une affirmation lourde de sens ! Toutefois le message du général Toufik contient beaucoup trop d’impertinences et d’imprudences pour qu’il soit convainquant. D’abord, le général Hassan a été arrêté le mois de février 2015 lorsque celui qu'on nommait en Algérie «rab d’zair» était aux commandes ! Pourquoi il n’a pas contesté ou, au moins, demandé les chefs d’inculpations contre son bras droit ?

    Il pouvait, à ce moment-là réagir en démissionnant, par exemple ! Sa réaction d’aujourd’hui aurait été beaucoup plus compréhensible et logique. Il est clair que les arguments du général-major ne tiennent pas à cause de la nature même de son ancienne fonction où la justice n’est pas la première de ses préoccupations et dont la fin justifie tous les moyens ! Puis, son passif en la matière ne le rend pas très crédible sur ce registre-là.

    L’homme qui n’a jamais parlé pendant plus de 25 ans, pourtant le pays a connu des événements d’une extrême importance, sort de son mutisme pour « sauver l’honneur de ses hommes » dit-il, pour défendre ses copains et peut-être pour se défendre lui-même en voyant les arrestations au sein de son ancienne administration s’élargissent. La platitude de son discours et la légèreté de ses arguments sont d’autant plus incroyables quand on sait que ses adeptes, ses alliés politiques et les gens émerveillés par son mythe l’attendaient sur un autre terrain, celui des débats plus sensibles et plus idéologiques qui concernent les causes et l’avenir de la Nation Algérienne !

    Hélas, tous ces gens sont restés sur leur faim et ils ont même été déçus. Parce que l'Algérien a envie de croire que ses responsables civiles et militaires ont une vision, une stratégie, une idéologie qui défendent et leurs pensées ne se limitent guère à protéger des copains et à les venger comme dans le milieu des gangsters. Tout observateur a envie d’entendre un débat beaucoup plus élevé sur l’avenir de l'Algérie, sur ses relations avec les voisins-ennemis . Sur, comment sortir de la dépendance des algériens de cette ère de camouflage et de déformation des réalités.

    Où en est le-danger?..En prenant la presse à témoin, ce qui est un aveu d’impuissance terrible, avec cette platitude des propos de cette lettre, l’effondrement du mythe Toufik est alourdissant, pas seulement aux yeux de la population Algérienne, mais aussi de ses anciens disciples qui voient de mauvaise œil comment est-il possible que le patron du DRS se contente de défendre un ami et ne dit un seul mot sur les accusations gravissimes lancées par le Drabki-mouchard du FLN concernant l’inculpation à "tort", qui aurait été montée par le DRS, d'environ 4000 fonctionnaires et cadres d’État ! Ainsi donc la fragilité, voire l’isolement de l’ex-homme fort du système est incontestable.

    De plus, la thèse des règlements de comptes et des coups au-dessous de la ceinture sera très peu crédible au regard de la globalité des changements dans la stratégie du clan de Bouteflika et son conseiller-frère Said  et Aamhom Salah ces derniers mois : (changement des ministres, walis, juges, hauts gradés militaires, puis les jugements des affaires de malversations telles que les affaires de corruption concernant la Sonatrach 1 et 2, autoroute Est-Ouest, El-Khalifa, etc).

    Les algériens ainsi que les observateurs étrangers remarquent formellement, dès lors, qu’il y a une dynamique plus générale et un processus de changement qui ne se résume pas seulement au DRS. Tous ces derniers événements sur la scène politique algérienne renforcent la thèse selon laquelle Bouteflika est déterminé à finir ses 20 ans à la tête du pays, s'il n'est pas mort avant, sur une réalisation qui sera au moins égale à de sa réconciliation nationale qui a mis fin à une décennie de violences entre Algériens.

    Tous ces changements, restructurations et amendements de la pseudo-Constitution vont, à mon point de vue, dans le sens de renforcer l’État du pouvoir de Bouteflika et garantir à son frère, en tans qu'héritier-successeur de s'installer confortablement au palais d'El Motadia et à Zeralda. L’État de droit dont en rêvent les Algériens n'aura pas si vite, y a encore du temps pour s'y instaurer et peuvent être même espérer, et pourquoi pas, le passage à la deuxième République dès la fin du règne de la famille Bouteflika en Algérie!

    Certes la concrétisation n’est pas une tâche facile, elle ne sera pas parfaite, elle est loin de l’idéal dessiné par la perception collective des algériens d’une gouvernance irréprochable et d’une transparence absolue, cependant il n’y aura pas d’autres issues possibles et rationnelles à tous ces bouleversements. C’est inévitable ! En tout cas, il n’y a pas d’explications raisonnables possibles vu l’immensité de ces mouvements sinon un coup d’état avorté !

    Enfin, la société algérienne est devenue assez mature pour comprendre tous ces enjeux, grâce aux expériences, certes douloureuses, qui ont vacciné les Algériens contre les manifestations, contre les soulèvements, et pire encore conte toute manipulation à la rébellion.

    Quand l'âne enfourcha son maître..! l'anarchie, le doute,la pagaille et  la rancœur, n'ont épargné aucun domaine en Algérie. Cela étant domine en quelque sortes les esprits vifs et ouverts, disons  des intellectuels, et prend en otage les esprits malades algériens, à cause de l'abondance de séances d'application de déformation de réalités et de mensonges tracées par le pouvoir Algérien pour faire perdurer l'anesthésie au corps d'un peuple déjà en coma.
     
    Laissez-moi vous raconter une histoire. qu'un de mes connaissances a vécu en direct à Alger.Il est universitaire, chercheur en littérature, invité par un de ses pairs universitaires Algériens à venir en Algérie, pour un certain temps, pour y assister à un débat d'universitaires.Cela s’est passé à l’université, considérée espace de progrès, de la raison et d’ouverture. Cela s’est produit dans l’une des universités algériennes  ! Celle qui a enfanté Mohamed Arkoun, Mofdi Zakaria, Mouloud Maâmri, Katib Yacine et d’autres !Il me racontait un conte que je reproduis ici avec toute fidèleté :
     
    Début citation «J’assistais à une rencontre-débat avec des doctorants. Les futurs chercheurs de la lumière ! La nouvelle intelligence algérienne. Le débat tournait autour de la place qu’occupe le roman algérien des deux langues dans la recherche universitaire.

    À tour de rôle, dans une ambiance décontractée, libre et conviviale, chacun des intervenants a présenté son point de vue sur les difficultés rencontrées par les nouveaux chercheurs étudiant le roman algérien. Entre autres la non-disponibilité des textes romanesques dans les librairies des villes de l’intérieur. La faiblesse du niveau de la langue française ne permettant pas aux chercheurs de lire, d’analyser ou de décortiquer un roman dans sa langue d’origine. L’absence d’orientation des étudiants-chercheurs vers des nouveaux romans algériens. L’hégémonie des textes des doyens en comparaison avec les textes de la nouvelle génération d’écrivains arabophones ou francophones….Le débat était le miroir de la crise que traverse généralement la recherche en littérature jusqu’au moment où une jeune doctorante a demandé la parole. 

    Sur un ton amer, après une petite hésitation, la doctorante a pu se libérer pour expliquer et exposer son problème dans le choix de son sujet de thèse : «J’ai choisi les romans des écrivains Marocains.(La nuit du destin) de Tahar Ben Jelloune  et (le pain nu) de Mohamed Choukri comme corpus pour ma thèse de doctorat. Un choix comme les autres !! Après quelques mois, j’ai trouvé un encadreur !! Soulagement ! Avec enthousiasme et amour j’ai entamé mes lectures programmées. Par une soirée, avec grand intérêt et curiosité j’ai suivi le passage de Tahar Ben Jelloune invité dans une émission télévisuelle. Avec audace et clarté, l’écrivain Ben Jelloune a exposé son athéisme. Ceci ne m’a ni choquée ni éloignée de mon sujet. J’aime l’écriture romanesque rebelle.

    Je suis la sœur d’un frère qui dès sa deuxième année du collège a déserté définitivement les bancs de l’école. Il s’est débrouillé, je ne sais pas comment, une somme d’argent pour s’acheter un véhicule. Il s’est mis en travail noir comme taxieur clandestin ! Le lendemain de la diffusion de l’émission télévisuelle (-Mais encore!- de Mohamed Berrada à la tv-Marocaine 2M) où Ben Jelloune était l’invité, mon frère est rentré un peu plus tôt que d’habitude. J’ai vite pensé qu’il a eu un problème avec la police, chose récurrente dans le quotidien des taxieurs clandestins. Ou une panne mécanique dans sa vieille bagnole ! Rien de tout cela !

    Sur un ton menaçant et irrité, sans préambule, il a déversé sa colère sur moi en criant… Dès maintenant tu t’arrêtes et définitivement ton travail sur cet athée de Ben Jelloune. Je ne veux plus de ses romans entre tes mains ni dans ta chambre ni dans cette maison. Aujourd’hui, notre voisin le vendeur ambulant des légumes m’a ouvert les yeux sur ce mécréant Marocain ! Il vient de m’annoncer que ce "kafer d’écrivain juif-Marocain".on le soupçonne en France, qu’il était apostat. Je refuse que ma sœur croyante, fille de bonne famille réalise une thèse sur la littérature d’un renégat. Et sur-le-champ, mon frère le taxieur clandestin a ramassé tous les romans, mes fiches de lecture, les a glissés dans un sac-poubelle et il les a jetés sur le trottoir !…”

    En écoutant le témoignage de cette jeune doctorante, son histoire avec son frère taxieur clandestin, celle qui sera, sans doute, dans un futur, une enseignante universitaire ou une chercheuse en littérature, je me suis dit : c’est l’ère où l’âne enfourche son maître ! Fin de citation.

    Je laisserai aux lecteurs le droit et la faculté de commenter cette attitude néfaste qui n'est pas étrange à la position d'hostilité officielle du pouvoir algérien envers le Maroc.Bonne lecture.

                                                                                Cordialement,Chihab25

    (Voulez-vous découvrir : Il y a une nouvelle réflexion en (pages jointes) intitulée «Le minaret s'écroule, on prend le barbier» sur la polémique qu'ayant créé nos ministres-apprentis et sur l'embarras que veulent imposer certains opportunistes Marocains à l'offensive diplomatique de Mr. Mezouar et à l'Unité Marocaine)