Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Un sale pouvoir - Page 36

  • L’Algérie retombe dans le flou total..!

     

                                                                                

                                   L'image de l'Algérie actuelle., c'est la force régionale dit-on..!                                 

    Attention danger..Toutes les provocations qui nous proviennent des Algériens interviennent dans un contexte où l'Algérie prépare l’après Bouteflika. On dit toujours que la tension entre l’Algérie et le Maroc est montée d’un cran, mais cette fois-ci est montée de plusieurs, estiment des analystes politiques marocains et étrangers. Ce regain de tension pourrait s’expliquer par le fait que les opposants à la normalisation tentent de détourner l’attention du citoyen algérien sur les vrais problèmes internes en privilégiant l’escalade avec le voisin de l'ouest.

    L’Algérie se trouve actuellement dans l’incertitude marquée par la longue absence du chef de l’Etat algérien, Abdelaziz Bouteflika, en convalescence de longue durée. "Et les occupants du cercle de décision se sentent coincés par les problèmes internes de l'Algérie qu’ils essayent d'exporter vers le Maroc.

    L’Algérie stagne sur ses positions hostiles, elle ne manque pas de réitérer ses conditions, que nous qualifions "d'infondées"  pour normaliser ses relations avec le Maroc et ouvrir ses frontières fermées depuis 1994. La pire condition inacceptable de l’Algérie. c'est que Alger demande à Rabat de reconnaître les séparatistes du polisario et la création d’un Etat à sa solde dans le sud du royaume.Une condition lui permettant de se sauver en avant et de gagner du temps dans l'attente de sortir de sa brouille de succession.

    Selon les observateurs, elle se trouve sous tension, plaçant son soutien aux ennemis de notre intégrité au-dessus de toute considération, que cela soit la relation bilatérale, la construction maghrébine ou encore la construction d’un espace de paix et de prospérité partagée en Méditerranée". Ceux qui s'intéressent à la chose algérienne ont émis le vœux que "l’Algérie puisse surmonter ses difficultés internes, liées à la maladie de son président et à un horizon incertain, en espérant la fin de l’escalade pour passer à la vitesse supérieure qui épargnera certes la région nord-Africaine de la dérive.Le cas de la Libye le confirme.

    Les caciques Algériens opposants du Maroc s’agitent parce que la succession de Bouteflika bat son plein dans les milieux de décision militaire. Mr.Taj Eddine Housseini, professeur des sciences politiques et des relations internationales à l'Université Mohamed V de Rabat, estime lui que "le timing de l’escalade algérienne n’est pas anodin". Les responsables algériens essayent tant bien que mal d’évacuer leur crise interne en déterrant la hache de guerre", a-t-il souligné dans un point de vue relayé par la presse Nationale, ajoutant que le Maroc a bien fait de manifester son refus avec force. 

    Une plaie qui fait trop mal..Depuis le mois d'avril dernier, l’Algérie, voire la diplomatie d'autruche algérienne traverse une phase de rage aiguë, suite aux progrès que marque victorieusement la diplomatie Marocaine à l'échelle internationale, là où l'Algérie se croit dominer par son sale pétrodollars, pour en tirer appui dans son conflit avec le Maroc. Par le biais de sa presse, de ses médias et ses chaines de tv, ça sent une odeur suicidaire et de la pourriture contre le Royaume du Maroc.  

    Pour remuer la plaie algérienne, permettez-moi de revenir au coup de point frontal qu'a endossé la diplomatie algérienne (l'intelligente, dit-on, au monde..!) dans son conflit avec notre pays et qui lui provoquait de l'hémorragie, n'est que la considération de l'Union Africaine par l'ONU comme étant "PERSONA NON GRATA", en ce qui concerne le dossier du Sahara Marocain, que rien n'est trop cher pour elle et pour sa politique étrangère d'autruche.

    La presse algérienne de la place, toutes tendances confondues, rapportait avec amertume à la veille de la présentation du rapport de l’émissaire Onusien pour le Sahara, Mr.Christopher Ross, le 9 avril 2015, que l’ONU avait refusé catégoriquement de prendre en compte le document de Joachim Chissano, infligeant à Alger par cet acte, un cinglant revers, mettant fin à une énième manœuvre orchestrée par la diplomatie algérienne, pour la simple raison que l'UA, autant qu'entité dont elle se revendique, pèche par un parti-pris flagrant en faveur de la thèse séparatiste .Sauf que, cette fois, c’est à New-York, au siège des Nations Unies, pas dans ses fiefs habituels, là où elle jouait le malin! fiefs noyautés par les agents du fameux Département du renseignement et de la sécurité (DRS),

    De son coté le Maroc, rappelons-le, s’est opposé catégoriquement à tout rôle ou implication, sous quelque forme que ce soit, de l’Union Africaine dans la question du Sahara marocain. Dans une lettre adressée au Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, M. Salah Eddine Mezouar, ministre Marocain des affaires étrangères et de la coopération confirmait clairement cette position du Maroc.

    Le Conseil de sécurité qui est mandaté pour statuer sur la question du Sahara, a tranché. Il en ressort qu’aucune entité au monde, à plus forte raison une UA en panne sèche de crédibilité, ne peut influer sur le cours des discussions entreprises par le Conseil de sécurité sur le dossier saharien. Cette mise au point Onusienne apporte, à qui veut bien voir, la preuve de l’échec flagrant des parties ennemies et, par ricochet, la justesse de la bataille que mène le royaume, avec confiance et sérénité, pour affirmer ses droits historiques et inaliénables sur ses provinces sahariennes.    

    Dans l'affaire du Sahara Marocain, de leadership régional et continental de notre Souverain,  c'est que, comme tout peuple colonisé combattant pour son indépendance, les Algériens, voire les divers gouvernants algériens, depuis leur substitution à la France en Algérie, font preuve d'une incapacité de défier la résistance et la résilience extraordinaire du Maroc. En cela, ils sont éternellement vaincus par les bourreaux de leur fausse mentalité de grandeur, quels que soient les supplices infligés au Maroc. Et, génération après génération, ils puisent leur force d'âme, gaspillent leur temps et leur potentiel financier dans des affaires perdues contre la solidité de cet ennemi qu'ils imaginent vachement qu'il leur viendra de l'Ouest ! 

    Que l'Algérie arrête de mentir au monde..Voilà des décennies que le dossier du Sahara perdure dans l’enceinte de l’ONU. Comment en sommes-nous arrivés là ? D’une part, nous avons une Algérie qui continue à se cacher derrière le mensonge de la neutralité alors que les populations du Sahara sont enfermées dans des camps communément appelés «Tindouf ». Et d’autre part, le Maroc avec toute son expérience diplomatique a évité de ne pas tomber dans le piège de la guerre. Combien de fois il s’est empêché d’appliquer le droit de poursuite à chaque raid que le Polisario menait sur son territoire ? 
     
    Nul besoin de revenir sur la légitimité historique du Maroc à revendiquer son Sahara. Mon propos est clair : la bataille qu’a souhaitée l’Algérie n’aura pas lieu. La guerre est finie depuis les Amgala en 1976. Il n’existe nulle part au monde un pays qui souhaite l’existence d’un pseudo-Etat avec tout au plus 45 000 personnes(un mélange ethnique) dans le Sahara, alors qu’une troisième guerre mondiale a lieu actuellement contre le terrorisme. 
     
    Alors, quel sens donner au soutien algérien à des séparatistes d’une autre ère, spoliant et manipulant des populations désœuvrées ? L’Algérie a perdu sa crédibilité et son aura internationale dans son obstination à ne pas reconnaître sa responsabilité dans ce conflit. Une analyse rapide démontre que ses orientations ne trouvent aucun justificatif par rapport aux enjeux internationaux. 
     
    Le Maroc a clairement et définitivement fermé le dossier du Sahara à travers le discours du 6 novembre 2014, dans lequel Sa Majesté le Roi Mohamed VI déclarait «Le Maroc restera dans son Sahara, et le Sahara demeurera dans son Maroc jusqu’à la fin des temps».En parallèle nous voyons les Nations Unies faisant les petits pas pour consolider la vision Royale. 

    Je n’arrive plus à écrire sur les multiples gaffes algériennes perpétrées contre mon pays depuis 1962. Pas parce que je n'ai rien à dire ! Bien au contraire, j’ai plein d’idées et des impressions ambiguës : des sensations de haine et de vie, d’espoir et de désespoir, et de courage en plus. Dans toutes mes notes et témoignages j'avais écrit sur la traîtrise et l'ingratitudes des algériens face à la générosité du peuple Marocain, ce qui nous fait aimer l'idée de mourir pour ce Grand pays de valeurs.

                                    Une Conspiration Marocaine à Ghardaia (!) 

    Qanat L'istihmar (Ennahar)..Une rigolade émanant du génie algérien d'invention et de déformation.C'est l'arbre qui cache la forêt de toute vérité en Algérie.Pour compenser son incapacité de résoudre le problème de Ghardaia, le gouvernement algérien vient d'emprunter une autre voie de mensonge mettant en cause le Maroc dans une affaire algérienne purement interne.   

    La chaîne ne chôme plus, elle récidive en grande pompe et continue à se moquer des Algérien, en leur imposant un bluff capital de son menu, rapporté par un site algérien. Cette fois-ci le mensonge  est énorme et grave accusant virtuellement le Royaume Chérifien du Maroc d'ingérence dans les soulèvements Amazigh de Ghardaia dans le sud algérien. C'est bon à découvrir, tel quel, sans retouche ni modification, puisqu'il provoque, pour les sensibles, le rire le plus amère. Un mensonge bien monté de toutes pièces, impliquant un médecin et un militant Amazigh, tous deux algériens de Ghardaia qui avaient participé au festival méditerranéen sur la culture Amazigh organisé à Tanger en Août dernier.

    Début citation..:Les rapports de la sécurité algérienne présentent ces deux individus comme étant les intermédiaires entre le Maroc et les Amazigh de Ghardaia pour organiser des troubles en Algérie qui, selon les termes de ces rapports,  connait une stabilité sûre, non négligeable, laquelle n'a du mal à confronter que des voisins Marocains. 

    Des informations provenant d'Alger font état d'un fameux rapport établi par le conseil de l'Etat algérien dénommé : Conseil des Ouléma et des sages de l’Algérie, accusant ouvertement le Royaume Chérifien du Maroc, d'être derrière les manipulations ethniques dans la région de Mzab, ce qui a conduit à des affrontements sanglants entre  Malikites et  Ibadithes.

    Selon l'article : Le Roi Mohamed VI prévoit l'autonomie de Ghardaia.tel que?. C'est la maîtresse d'un des conseillers du roi qui aurait rapporté la proposition à Jamal Fakhar de mener une révolution à Ghardaia avec l'aide des Marocains et des Israéliens. 

    En parallèle, les services de la sécurité algérienne viennent de démanteler une cellule de Marocains chargée d'armer des jeunes Mzab, a révélé une source proche des enquêtes, qui avait pris contact avec Kamal Fakhar en prévision d'une réunion avec le conseiller du Roi Mohamed VI aux affaires culturelles, afin de planifier et inciter la population à l'autonomie de Ghardaia.

    Les enquêteurs ont révélé, preuve à l'appui, l'implication du Makhzen Marocain dans la constitution de la soi-disant  MAG «Mouvement pour l'autonomie de Ghardaia»,mobilisant Kamal Fakhar, le premier accusé dans cette affaire pour de perpétrer des actes de vandalisme à Ghardaia, à travers la médiation du nommé Ahmed Aassid , un féroce de l'Amazighité , membre de l'Institut royal de la Culture Amazigh.

    Nos sources indiquent également que des multiples réunions ont eu lieu bien avant, durant et après le déclenchement des événements de Ghardaia,  au cours desquelles le Roi du Maroc aurait exprimé sa disponibilité totale, proposant son soutien financier et logistique auprès des instances internationales, en échange de la création d'un mouvement séparatiste à Ghardaia, afin d'embarrasser le régime algérien.

    Les mêmes sources révèlent encore que le médiateur marocain nommé Ahmed Aassid qui est l'un des défenseurs de la normalisation avec Israël, a, récemment, était l'objet de plaintes de certaines mouvances islamo-politiques marocaines qui réclamaient son licenciement du poste qu'il occupe à l'IRCA, réclamation fondue et rejetée grâce au soutien que lui réserve le conseiller du Roi aux affaires culturelles. 

    Ce qui n'a pas empêché Aassid à entretenir des relations étroites entre Kamal Fakhar et sa maîtresse l'athée Malika Mezzane,une féroce Amazir elle aussi, considérée la plus radicale parmi les défenseurs de la normalisation avec Israël et qui appelait ouvertement les Marocains au "jihad sexuel".Femme ivrogne, fichée par nos services du DRS depuis qu'elle était épouse de diplomate Marocain quelque part. Celle-ci aurait lié contact entre Kamal Fekhar et l'OAMFD (Organisation de l'Alliance Mondiale des Forces Démocratiques) siégeant à Soulimania en Irak, groupant des organisations de minorités, gérée par un lobby sioniste très connu.Fin de citation.

    Où en est la vérité..? C'est un article comme les autres, et pourtant les événements de Ghardaia ne peuvent, en aucun cas, êtres cachés ou camouflés par ce genre de contes, étant donné  qu'ils ont coûté la vie à des habitants Amazigh innocents dans cette région de l'Algérie. Ces Amazighen, qui sont exposés à toutes sortes d'abus dans ce qui pourrait être considéré comme un véritable filtre par une «guerre préméditée», planifiée par les autorités algériennes depuis des décennies.

    Les événements Ghardaia ne sont pas nouveau ou sans précédent, des événements similaires se sont déjà produits auparavant, pour les mêmes raisons, et seules les autorités algériennes tiennent à convaincre les opinions publiques que c'est un phénomène nouveau supervisé par la conspiration du Maroc pour camoufler avec de la paille, l'atmosphère de tristesse  très répondue en Algérie, de même que les conditions de vie digne sont inexistantes. 

    Si cela était le verdict rendu par les sages d'Alger, quel sera-t-il celui des stupides et des fous de l'Algérie..? Où était-elle la sagesse de ce prétendu conseil quand les militaires imposaient en investiture à la tête de l'Etat Algérien, pour la quatrième fois, un handicape sur sa chaise roulante, dépourvu de toute éligibilité et de capacité de se communiquer même avec son entourage?.Est-ce il n'y a pas parmi ces présumés sages "Un" compétent pour combler la vacance et gérer  les affaires à la magistrature suprême du pays. Que les autorités algériennes arrivent à ce niveau de décadence, cela indiquerait leur échec d'étouffer la crise qui les prend au piège, en raison de leur incapacité de résoudre les problèmes croissants de l'Algérie de bonne et due forme publiques? 

    Nous Marocains ne nous sommes pas si dingues, ni des naïfs non plus. Ces mensonges n'y tromperont que les Algériens, pas Nous, nous sommes devenus vigilants et sensibles pour vérifier tout ce qui nous provient de l'Algérie en termes d'information, désinformation et de déformation . Notre devoir est de riposter à chacune de ses foutaises, même en virtuel, et dire la réalité des choses aux digues algériens qui croient aveuglement tout ce qu'on leur dise sur le Maroc, à savoir :

    Les DRSistes, les  vrais teneurs de ficelles de commandement de l'Algérie tiennent à faire circuler en Algérie des fourbies, à consommation locale, sur la Libye, allant dans le sens de faire étaler une toile de crédibilité à toutes inventions fâcheuses sur le Maroc et sur sa prétendue conspiration à Ghardaia. L'information qu'ils inventaient avec préméditation, précise entre autres, que les services secrets Libyens auraient arrêté en 2010 pour espionnage au profit d’Israël, des chercheurs Marocains "Amazigh" venus en mission d'études des sites archéologiques sis en Tunisie et en Libye.. Après 17 jours d'interrogatoire et de détention, et ils se sont retrouvés libres, faute de preuves matérielles.Une divulgation hors couverture, comme on dit en mode de télécommunication.

    Pourquoi ce Kamal Fakhar et pas d'autre de toute l'Algérie, parce qu'il'est considéré étant  «élément nuisible». Il est Mozabite-Amazigh de Ghardaia,un militant bien connu de la vallée du M’Zab. Ancien membre opposant du FFS. C'est le médecin radical dans ses positions et la bête noire du pouvoir Algérien. Il est le seul et le vrai activiste algérien pour les libertés et les droits de l’homme non corrompu, qui participe, à force de bras, à des conférences internationale et y prend parole pour étaler l'image sombre de la situation dans son pays.

    Heureusement, il était de notre intérêt que les autorités algériennes ne fassent attention à ce jeu absurde de synthèse des conspirations étrangères, que récemment. Si non, elles nous en colleront au dos toutes les agitations ayant secoué l'Algérie durant les trois dernières décennies en l'occurrence : Les événements du printemps Amazigh à Tizi Ouzou en 1980. -les événements de la décennie noire des années 90, les dix ans de guerre civile qui ont ravagé le pays en raison de l'insouciance des militaires et de leur violence brutale dans la gestion du pluralisme dans leur pays. Les événements du printemps noir de 2001 dans la région de Kabylie. (Chez nous c'était l'année, qui a connu le discours Royal à Ajdir faisant de la déclaration de Tamazight, une responsabilité nationale pour tous les Marocains).        

    Faites vos jeux..Critiquer le Maroc de cette façon, c'est facile et simple pour les journaleux Algériens. Ces chroniqueurs de taille d’Eskimo, n'osent dire à leur peuple la réalité de "l'Aprés-Bouteflika». Selon ce que nous voyons nous Marocains en tant qu'observateurs. Je leur dirai ce qu'ils ne peuvent dire, même en clin d’œil, au meilleur moment. Il n'y a sur la scène politique Algérienne que des malades des usés et des dépassés par les exigences sociales, politiques, intellectuelles et culturelles imposées par une mondialisation qui a balayé sur son passage toutes les formes de nationalisme, peuvent-ils encore ces vieux gouverner le pays dont la jeunesse atteint un fort pourcentage.

    Les cartes de jeux sont distribuées avec le retour d'Ahmed Ouyahya, à la tête du RND (l'aile gauche du pouvoir) et la polémique créée par la presse du pouvoir à l'encontre du général Gaid Ahmed Salah, le chef d'Etat-major des armées algériennes, suite à sa sortie médiatique spectaculaire au profit de Amar Saidani, le Drabki et homme-fort du parti FLN. Une critique qui s'inscrit dans la  perspective d'écarter cet ex-caporal de l'armée Française de tout consentement ou discussion autour de ce qui se mijote dans les coulisses au sujet de la transition et de la course à la présidence.

    En réponse et en récompense à cette attitude.. Amar Saidani, le Bulldog d FLN vient de laisser entendre aux urgences que le général Gaid Salah est fidèle aux valeurs de la république, il ne voulait comploter contre le président Bouteflika disait-il, et ce pour apaiser le ton chez qui se sont donné le droit de le critiquer à cause de sa lettre de soutien à la Derbouka d'Oued Souf.  

    Or,Bouteflika est déjà cliniquement mort, alors que le premier responsable du DRS Mohamed Medienne et ce Salah Gaid, et c’est un secret de polichinelle, en plus des maladies qui les rendent inaptes à comprendre les enjeux du moment, sont très limités intellectuellement et culturellement….-Leur longévité- qui heurte les lois de la nature- à la tête de l’Etat est dû essentiellement au populisme et aux mensonges. Mais aujourd’hui, ces malades qui se prévalent de la légitimité historique et de la légitimité révolutionnaire, peuvent-ils encore gouverner ? Ne constituent-ils pas par leur entêtement une menace pour la cohésion,l’unité et l’avenir de l'Algérie ?  

    Les partis "dits" de majorité contiennent que des vieilles mules, aux sabots poilus, qui ne pensent qu'à maintenir leurs dotations de foin provenant de la Sonatrach et préserver les privilèges qu'ils ont accumulé durant des années par, je ne dirai pas par la générosité de l'Etat, mais par la corruption de l'Etat, étant donné que cet état dilapide ouvertement, pour sa survie, le fond public algérien. De manière faisant de ces mules le socle de soutien à n'importe quel choix de la présidence.(Actuellement Said Bouteflika, le président en cache). C'est le seul mot d'ordre du pouvoir Algérien géré bien avant l'arrivée d'Oulad Mma Mansouria pour le maintien en activité du casino de l'Etat, d'une part, et d'autre part distribuer sous table et parfois en vrac, des futilités de dinars, prenant en charge ce qui peut subvenir aux besoins de la grande masse de brosseurs algériens, ouvrant en parallèle, par voies d'escroquerie, de vol et de viole, les vannes aux mafias et aux escrocs pour qu'ils se taisent.

    Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'algériens honnêtes qui se sont opposés à ce système de gaspillage ...! Non bien au contraire, au début de l'indépendance. Il y en avait les colonels Ait Ou Lhaj (Père et fils) à l'époque de Ben Bella et le colonel Tahar Zbiri à l'ère Boukharrouba qui se sont distingués dans ce sens et dans d’autres. Ils se sont vite mis hors état de nuire. Liquidés à jamais dans un silence affreux, où personne ne pouvait lever la voix pour demander "Où sont-ils passés ?

    A Moula Nouba..(Appel à sauveur..!).Il est temps que les Algériens sachent que leur futur président sera bel et bien Ahmed Ouyahya, la figure fidèle à la famille Bouteflika au cas où le mode d'héritage est exclu et que le plus heureux de l'Algérie lui cédera la place pour éviter le scandale, car un esclave serviable vaux mieux qu'un nouveau venu dévastateur au palais de la famille. Je dis bien Ouyahya en simple pronostic, car je ne vois pas pour l'instant d'autre figure émergente, étant donné que le peuple algérien est devenu malheureusement un ensemble d'animaux anesthésiés à l'écurie polichinelle, ensemble incapable de se révolter ou de faire distinction entre le bien politiquement prometteur et le mal qui le détruise.

    Ouyahya n'est pas le directeur de cabinet de  Bouteflika, comme on vous fait croire, car Bouteflika pratiquement n'existe plus pour avoir un cabinet.Il n'est en vérité que le garde des sceaux d'Oulad Mma Mansouria, la gérante d'autrefois du bain maure d'Oujda qui a bien fait de procréer les" Frères Dalton" pour paître un ensemble d’animaux dit "le peuple Algérien"..(!) Ce Kabyle banni est le chef de service de nettoyage et de valets de chambre au palais d'ElMoradia qui change régulièrement les couches au locataire, en conformité à l'anecdote qui signifie que : "Pour que le voleur ne pique pas, en lui donne les clefs".Politiquement il est le plus brillant que Ali Benflis et Abdelaziz Belkhamej.

    L'opposition algérienne s'il y en a, vit une faiblisse accablante et n'y arrivera à rien. Seul Ali Benflis, lui qui a dégusté les saveurs de la primatie et de l'autorité, est en train de brûler ses doigts , faisant cavalier seul, galopant dans le vide. Et s'il croit faire pression sur un pouvoir fichu qu'il connait plus que d'autre, il se trompe certes, car les épices et les ingrédients du jeu ont changé durant son absence et y sont importés d'ailleurs et le jeu a changé depuis qu'il est parti de la primatie. Avec ses acrobaties, ses tourbillons verbaux il risquerait d'être attaqué par les chiens de garde du palais d'ElMoradia, surtout par le Bulldog de parti FLN Amar Saidani. Sachant que pour la sauvegarde de la famille régnante, Said Bouteflika, «le président actif actuel» fait tout. Pour que ça passe ou ça casse,il aurait dressé d'autres chiens, (Ghoul-Benyounes et Louisa) et y sont disponibles à tout moment pour mener des opérations suicidaires, déminer et nettoyer les alentours du palais d'ElMoradia les jours "J" et à les heures "H".

    Pour donner impulsion crédible à la feuille de route cuisinée par le double du président et mise à exécution par son second, on a fait appel au président François Hollande, en tant que "comparse"pour jouer le rôle d'expert et diagnostiquer l'état de santé de Bouteflika. Il sort au peuple Algérien avec une brève déclaration sur l'éligibilité de leur président qui disait-il en résultant l'expertise, «Il prend son café seul?» Cela ne serait pas nouveau dans l'agenda Français, puisque les algériens ont assisté deux fois auparavant à ce genre de théâtre Français depuis Val-De-Grace, Ils sont aussi habitués à consommer facilement tout produit portant indication " Frrr, ou Faffa" et d'y croire aveuglement à tout ce qu'on leur dise, surtout si cela provient d'étrangers.

    Les rôles sont, à cet effet, bien spécifiés. Les vieilles mules de la place, sont programmées et mémorisées sur la voie d'Ouyahya dans sa nouvelle impression. Mohamed Larbi Ould Kh'lifa, le doyen des vieilles hyènes du FLN, est chargé de garder les hyènes galeuses dans son écurie (le parlement) et graisser en parallèle les boucs pour les prochaines échéances. Quant à Abdelkader Ben Salah, il s'est avéré au comité " ad hok" de gestion de la crise présidentielle, qu'il est mentalement dépassé par les règles du jeu et les enjeux du moment, son écartement de la piste politique, devenue glissante, était évident pour son incapacité de convoiter les nouveautés politiques. En ce qui concerne Abdelaziz Belkhamej, pour éviter éventuellement les nuisances de ce vieux renard du désert , on lui mettra de la boue sur ses pieds pour qu'il aura  du mal à marcher correctement sur la plateforme du jeux.Pour Aâmi Salah, comme le dénomme l'entourage de Bouteflika,le général-bougre, on le gardera tel quel, sans lui prodiguer aucun remède pour éviter éventuellement des conséquences néfastes, nécessité oblige, pour couvrir et garantir une transition calme, «à la Marocaine». 

    Quoi qu'il en soit, le statu quo sera forcément maintenu et il n'y aura pas de changement, du moins pour nous dans nos relations avec cette veuve Algérie qui a perdu ses hommes crédibles et exposée au jeu de billes des enfants du quartier d'Oujda, à la tonalité du Derbouka d'Oued Souf, et à la bénédiction des vieux connards de ce qu'on appelle le royaume de Tlemcen. Quel mauvais destin.. Oui c'est vrais l'Algérie retombe dans le flou total. C'est dans ce contexte que les fameux..! chroniqueurs et journaleux algériens devaient se pencher, analyser et développer, au lieu de tirer, à boulets  rouges sur Un Grand Maroc qui devient, de jour en jours, plus fort que leur Algérie. Bonne lecture.

                                                                               Cordialement, Chihab25  

    (Pour compléter la vision..veuillez jeter un coup d’œil sur la dernière note en arabe intitulée ( تصدير لأزمة الجزائر الداخلية الى المغرب )sise en pages jointes, colonne gauche)