Le Mossad prédit un coup d'Etat militaire en Algérie..?
Un pauvre Algérien lamentant sa chance et son sort..!
Hostilité fixe et éternelle..En évoquant Algérie-Maroc c'est parler d'une rupture antinaturelle entre deux Etats voisins du point de vue géographique, loin pratiquement de toutes autres ententes car ceux qui détiennent les ficelles de commande à haute échelle d'autorité du coté de l"Algérie, sont que des mal élevés issus des maisons closes "les Milles" et de relations illégales à la veille de l'indépendance de l'Algérie entres Algériennes et pieds noirs ou OAS (Organisation Armée Secrète) Français.
Je dis cela, comme tout autre Marocain, par expérience que l'ingratitude du pouvoir aveugle d'Alger nous a apprit avec la force du temps, ce qui nous a permet d'apprendre aussi que le dossier du Sahara Marocain est le seul dans l'univers qui a matérialisé, dans les temps, le terme «perdurer». Il a fait couler aussi beaucoup, beaucoup, d'encre depuis sa création artificielle par le maudit président Algérien Boumédiane, en mai 1973. C'est une première en politique d'hostilité qu'une juste affaire gagne devant l'ampleur et l'insistance du pétrodollars algérien.L'état des choses indique, à mon avis, que ce différent avec toute l'arrogance aveugle du pouvoir d'Alger est presque arrivé au terminus, après avoir sillonné tous stades d'arbitrage et de droits universels à travers le monde.
L'affaire de décolonisation du Sahara Marocain, à l'instar de Tarfaya et Sidi Ifni, date depuis les années 50 du 20°siècle, quand le Maroc indépendant posait en 1958 cette affaire devant les Nations Unies, déposant sa requête à la 4° commission contre l'occupant Espagnole. Affaire qui, après la venue au monde d'une entité appelée Algérie, avec le planning d'expansion de son pouvoir, est baptisée en "affaire d'autodétermination" d'un peuple multicolor, dit-on vachement "le peuple Sahraoui", un peuple qui n’existe vraiment que dans l'esprit Algérien.
Pour rappel, la question du Sahara est un problème maroco-algérien et le polisario n’a aucun poids dans ce conflit artificiel,«Si l’Algérie décide de parvenir à un règlement de ce dossier, le polisario ne pourra pas s’opposer à cette volonté»,Les thèses séparatistes sont alimentées constamment par le soutien de l’Algérie, une fois l’Algérie mettra fin à son soutien, les tenants de ces thèses cesseront de revendiquer la séparation.
Or,ce sujet nous a apprit avec le temps de concrétiser.. Si quelqu'un devrait parler "Algérie", c'est seulement pour dévoiler et mettre à sac le sale régime Algérien, un régime pourri, encore prisonnier dans les ruines d'une guerre froide déjà consommée il y à vingt cinq ans ou presque. Un régime mafieux à particularité singulière, se réjouissant et se contente de se faire parrainé par une génération de vieilles hyènes, par une racaille à mentalité frivole, qui date depuis les années bannies qui divisaient, entre autre, le monde en clans Est-vs-Ouest, en société impérialiste et en autre socialiste progressiste.
Les algériens et les observateurs assistent en parallèle, ces jours-ci, à une énième partie de la pièce théâtrale de la comédie algérienne. Nous le constatons, Abdelaziz Bouteflika ne veut pas aller se ré-habiller ailleurs à l'instar des autres Abdelaziz de Mauritanie et de Tindouf qui l'imitent en disant علاه بوتفليقة احسن منا , le peuple Algérien certes et malgré lui, sera contraint de supporter les conséquences qui en découleront.
Encore de la souffrance..Le message de Boutelika aux Algériens, rendu public la veille du 5 juillet, fête de l’indépendance de l'Algérie, est dense et plein de conneries .Il a choisi de l'hypocrisie pour parler de sa santé et sur d’autres sujets, il n’est pas allé par quatre chemins pour montrer sa détermination de continuer son mandat jusqu'au bout, tout en invitant l’ensemble des acteurs politiques et sociaux algériens qui s'attendaient à autres choses du plus concret et plus crédible, à faire preuve de compréhension et a éviter tout autre point de vue n'allant pas dans ce sens. Cela dit,Bouteflika a tenu à montrer aux Algériens et au monde la continuité de l'incertitude, du flou à la mascarade présidentielle qui sévissent en Algérie, en laissant seuls maîtres du destin de l’Algérie, les membres de sa famille et les thuriféraires qui les entourent.
En effet, Si le peuple algérien avait besoin de connaître des propositions alternatives prétendant améliorer son devenir, il ne saura ensuite choisir souverainement son destin qu’après 2019 ou accidentellement peu avant, si ce corbeau président meurt. Cette pleine reconnaissance du fait accompli dans le champ politique algérien n’est certes pas une nouveauté dans les discours-chiffons du président algérien depuis son arrivée au palais d'ElMoradia, mais elle intervient dans un contexte politique interne assez électrisé avec une opposition faible, infructueuse qui veut à tout prix imposer, en vain,une période de transition pour le pays.
Les algériens, à mon avis, ne doivent rien faire que de supporter davantage de perte de temps, de supporter forcément les quatre autres années restantes de souffrance, d'anarchie et d'hypocrisie politiques auxquelles il leur revient, malgré eux de les promouvoir dans le cadre d'un débat de sourds, pour semer le désespoir et pour soutenir inlassablement un pouvoir corrompu .La presse du pouvoir qui joue le rôle de décorateur styliste autour de la vacance présidentielle vient de confirmer cette mascarade par l'affirmation, dit-on, d'une ère de réconciliation entre l'institution présidentielle et le DRS permettant à Bouteflika de terminer en paix son quatrième mandat de souffrance.
Quant à nous au Maroc, peu importe, qu'il aille Bouteflika à l'enfer ou qu'il reste, il nous est totalement égale..! Nous sommes bien forgés pour vivre dignement à l’intérieur de nos frontières sans l'Algérie. Le Souverain que Dieu l'assiste nous a apprit l'autosuffisance,, et de continuer à bâtir notre Royaume Chérifien sur des paliers solides à l'aide des grands projets prometteurs.
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En Algérie comme ailleurs, sauf au Maroc qui a souffert..On ne dira jamais assez, le mal que fit au monde arabe le faux nationalisme des années 1960 d'El Bakbachi Jamal Abdenaceur, dont le F.L.N Algérien est le fils adoptif, après la conversion et la confession totale de l'Algérie-Ben Bella en idéologie Nassérite pour devenir une simple "Mohafadha d'Egypte..! avant d'être secouée par le coup d'Etat militaire du 19 juin 1965.
En avril 1962, après les accords d'Évian entre la France De Gaules et le GPRA (Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne) et leur approbation par référendum par le peuple français, c'est un pays qui court vers son indépendance, doté des plus grands atouts. Territorialement, la France lui a donné la part du lion, en lui offrant la totalité du Sahara Marocain Oriental. Scolairement, la jeunesse algérienne est alphabétisée, grâce aux efforts des instituteurs et des militaires, en majorité des officiers de la Section Administrative Spécialisée, (SAS) en abrégé, de la IVe République Française.
Ces coopérant, voir ces déléguée Français, en avaient pour but, application à la lettre de la mission des services secrets Français, à savoir: bien former et perfectionner un contingent d'hommes de troupe et de sous-officiers, des caporaux Algériens en majorité, issus des rangs de l'armée Française, à la veille des pourparlers d'Evian, pour remplacer les Français à la tour de commande et diriger l'Algérie à venir en "junte de faux généraux".
En matière agricole, l'Algérie est exportateur net. En matière d'industrie et d'artisanat, le pays bénéficie de la présence d'une importante population européenne ayant l'esprit d'entreprise. Ses infrastructures routières et portuaires sont les plus développées en frique du nord. En matière énergétique, la France lui fait un gigantesque cadeau de départ, dans le pétrole que ses géologues viennent de découvrir dans le sous-sol du Sahara Marocain Oriental.
Malheureusement, la caste militaro-nationaliste du FLNa (Front de libération nationale algérien), qui prend le pouvoir à cette époque - et qui ne l'a toujours pas rendu -, va gâcher l'un après l'autre les cadeaux reçus à sa naissance par l'Algérie. Au lieu de garder sur place des colons européens authentiquement amoureux de cette Algérie Française, le FLN les chasse par l'intimidation et l'assassinat (plus de 500 morts français dans le massacre d'Oran du 5 juillet 1962).La collectivisation forcée de l'agriculture ordonnée par le FLN la détruisit petit à petit, au point que le pays doit importer aujourd'hui plus des trois quarts de sa nourriture.
Sur les pas des Sovètiques,. Dans le secteur secondaire, la dictature militaire de Boumediene (1965-1978) fit venir d'URSS des «industries industrialisantes», dont il ne reste strictement rien aujourd'hui en Algérie. Dans le domaine scolaire, le FLN impose, par idéologie, dès les années 70 du siècle écoulé, l'arabisation des études. Il veut effacer la continuité de l'Algérie Française, hissant un slogan de nationalisme qui se répète même aujourd'hui : «L'islam est notre religion, l'arabe est notre langue, l'Algérie est notre pays.» Cette politique s'est révélée illusoire, insultante, autodestructrice. Illusoire car l'arabe parlé en Algérie a toujours été dialectal, à cent lieues de l'arabe classique de l'orient ; insultante car elle indispose les 10 millions de berbérophones du pays issus de la grande Kabylie, la Chaouia et des M'zab de Ghardaia ; autodestructrice car elle a nourri la sanglante insurrection islamiste des années 90.
Comme les classes instruites ne parlaient que le français, il a fallu faire venir comme instituteurs des milliers d'Égyptiens.Proches des Frères musulmans, ces enseignants ont apporté l'islamisme, dans un pays peu religieux, où une jeune femme d'Alger n'aurait même pas eu l'idée de se voiler dans les années 60. On ne dira jamais assez le mal que fit au monde arabe le nationalisme nassérien des années 1950 et 1960 (dont le FLN est le fils adoptif. Non seulement il détruisit un cosmopolitisme social garant de développement culturel et d'enrichissement économique ; mais son autoritarisme fit naître l'islamismen confinant à la mosquée toute liberté d'expression.
L'Algérie que connurent les Français faisait encore illusion, car, submergée de pétrodollars, elle semblait en chantier vers un avenir radieux. Mais au lieu d'orienter la rente pétrolière vers des investissements productifs,les hiérarques du FLN l'ont détournée vers leurs poches et le financement d'une société de fonctionnaires et pire encore le financement sans rendre compte à personne d'un groupe de séparatistes dans les provinces du sud du Maroc. Maintenant que les réserves énergétiques algériennes s'épuisent et que les prix du pétrole s'effondrent, il n'y a aucune économie de remplacement. Les institutions ne sont pas solides, puisqu'elles n'ont pas de bases démocratiques, et elles ne jouissent pas de la réelle adhésion du peuple Algérien.
Comme le FLN n'a pas réalisé le moindre planning familial, la population algérienne est passée de 10 millions d'âmes à l'indépendance, à 40 millions aujourd'hui! Le taux de chômage des jeunes diplômés dépasse les 50 %. La principale menace stratégique de l'Algérie, ce n'est pas son «ennemi» traditionnel, le Maroc ; c'est sa propre bombe démographique. Comme s'ils étaient tétanisés par l'étendue de leur désastre, les militaires et les civils du FLN n'ont toujours pas réussi à trouver un leader capable de redresser leur pays. Ils ont reconduit à la présidence Abdelaziz Bouteflika, vieillard diminué physiquement et intellectuellement.
On vient d'apprendre que l'Algérie devient de plus en plus nue. L'Internationale Socialiste (IS) a rejeté à l'unanimité à New York, la demande du Front de libération nationale (FLN) d'obtenir le statut de parti membre de plein droit.Le rejet a été justifié par le fait que le FLN est un "parti non démocratique et autocratique".
Attention au DRS..Ce gendarme d'Algérie a longtemps fait la pluie et le beau temps dans la vie politique algérienne. Il en notamment joue un rôle majeur lors des rendez-vous électoraux.
La scène se passe devant un restaurant du quartier d'El-Biar où se côtoie le tout-Alger de la politique et des affaires. Croisé par hasard, un ancien fonctionnaire chargé de surveiller la presse internationale dans les grands hôtels durant les années noires de l'insurrection islamiste se lâche. «Je peux vous le dire maintenant, je n'étais pas commissaire de police mais colonel au DRS», glisse cet «ex-policier» reconverti dans le conseil aux entreprises. La confidence est révélatrice des changements en cours: Le DRS (les services secrets militaires), qui a fait longtemps la pluie et le beau temps dans la vie politique mais aussi sociale et économique du pays, sort peu à peu de l'ombre. Son rôle et sa place dans la société ne sont plus un tabou.
Véritable État dans l'État, le DRS s'est développé comme une pieuvre dans l'administration et les organismes publics, dans les syndicats et les entreprises. Il a ses relais dans les médias, les milieux universitaires, la diplomatie, les affaires religieuses. Il est censé écouter, savoir et surtout prévoir. L'opacité est son mode de fonctionnement. Il aurait favorisé la création de partis, d'associations, de journaux. Il peut avoir son mot à dire dans la nomination de n'importe quel fonctionnaire, qu'il soit préfet ou simple planton d'une obscure sous-préfecture. La légende de sa toute-puissance est à l'origine d'une forme de paranoïa collective, dont les effets varient d'un individu à l'autre, et qui se caractérise souvent, quel que soit le statut social, par une crainte - parfois fondée mais d'ordinaire fantasmée - d'un complot. Paradoxalement, cette machine à espionner n'empêche pas les Algériens de pouvoir s'exprimer librement et rêver d'un avenir prometteur.
Héritier de la sécurité militaire, le KGB local, le DRS a été créé en 1990 par les généraux pour coordonner les activités d'espionnage et de police politique du régime. Il a joué un rôle majeur lors de chaque rendez-vous électoral de la démocratie de façade algérienne. En Algérie tout impétrant sérieux à la magistrature suprême explore son niveau d'appui dans les sphères militaires et dans leur épicentre, le DRS, avant de se lancer dans la bataille électorale. En place depuis bientôt un quart de siècle, le chef du DRS, le général Toufik, a intronisé à la présidence, avec un petit cénacle de hauts gradés, Liamine Zéroual en 1995, puis Abdelaziz Bouteflika en 1999.
Un système de fraude quasi scientifique a permis d'éviter toute surprise. Il avait poussé en 1999 l'ensemble des adversaires d'Abdelaziz Bouteflika à se retirer de la course à la veille du scrutin. En 2004, le DRS n'avait pas pris position dans le premier duel Bouteflika-Benflis, contrairement au chef d'état-major de l'armée, qui avait donné des assurances au premier ministre. Cette «neutralité» des services avait favorisé la victoire avec un score écrasant d'Abdelaziz Bouteflika, qui avait dans la foulée mis à la retraite le patron de l'armée. Cette fois, pour cette élection rendue bizarre par l'absence du président malade, le flou règne.
Fort de ses quinze ans de pouvoir, Bouteflika a conforté son autorité en rognant les prérogatives des services sans parvenir à totalement les contrôler. L'an dernier, le camp présidentiel a écarté, à l'occasion d'un remaniement ministériel, les ministres réputés proches des services secrets, et a réorganisé le DRS. Le général Toufik est resté en slip», confiait au Figaroun ancien haut responsable du DRS. En février, peu avant l'annonce de la candidature d'Abdelaziz Bouteflika, Amar Saadani, le secrétaire général du FLN, a lancé un pavé dans la mare en demandant au général Mediène de ne plus s'ingérer dans la vie politique et de démissionner. Du jamais-vu! Les langues se sont depuis déliées pour prendre la défense de l'institution occulte, ou pour l'accabler.
Cela veut-il dire que les équilibres sont rompus entre les Bouteflika et Toufik? Rien n'est moins sûr. Le pacte non écrit entre la présidence et le DRS pourrait être maintenu dans la perspective de l'après Bouteflika, le temps de s'accorder, selon la tradition, sur un successeur, ou sur le partage de l'héritage à l'issue d'un processus de transition comme le réclament l'opposition et une partie des représentants du système. Mais même affaiblis, les As de la manipulation du DRS n'ont sans doute pas dit leur dernier mot.
Incertitude politique..Alors que tous les regards en Algérie sont braqués sur le palais d’El-Mouradia, duquel ne filtre aucune information sur l’absence prolongée de Bouteflika, les institutions sécuritaires sortent de leur léthargie et multiplient les mesures pour parer à “des menaces de déstabilisation” et à toute éventualité.
Une fois n’est pas coutume, le très secret DRS, vient d’ordonner à tous ses officiers qui étaient en congé ou en repos de rejoindre en urgence leurs postes au niveau de leurs divisions respectives, a-t-on appris à Alger d’une source sécuritaire. Selon cette source, bien qu’aucune alerte n’ait été déclenchée et qu’aucun communiqué n’ait été diffusé par le DRS, les officiers en congé ont été appelés les uns après les autres par téléphone pour leur faire part de ces nouvelles instructions.
Des instructions qui interviennent dans un contexte politique très tendu, alors que Bouteflika est porté disparu et que le sommet du pouvoir semble paralysé. Certes, quelques décisions ont été adoptées, des décrets publiés, mais la vie politique algérienne semble bel et bien à l’arrêt. Face à la menace terroriste qu’ incarne la filiale algérienne de Daech, aucun acteur politique ou gouvernemental n’a expliqué aux Algériens ce que l’État compte faire pour empêcher que le scénario de la décapitation de l’otage français Hervé ne se reproduise. Officiellement, les opérations de ratissage de l’armée algérienne n’ont pu encore neutraliser les groupes du terrorisme local qui seraient composés de centaines, voire de milliers d’éléments en cellules dormantes éparpillées un peu partout en Algérie.
En revanche, l’armée algérienne, contrairement à ses habitudes, ne cesse de communiquer sur ses activités et multiplie les communiqués pour informer l’opinion publique de son incapacité. Elle fait part de toutes les arrestations de ce quelle appelle des criminels et des saisies de marchandises illicites au niveau des frontières algériennes avec la Libye,le Niger et le Mali. Une façon de rassurer une opinion publique bouleversée par la violence inouïe des partisans de Daech en Algérie ou une manœuvre pour colmater des brèches ?
À chacun sa lecture. Mais certains observateurs n’hésitent pas à lier cette forte activité de l’institution militaire et des autres appareils sécuritaires au contexte politique marqué par l’absence du chef de l’État ou du moins sa discrétion politique. Une absence dénoncée par une opposition qui tente de se structurer afin de réclamer des mesures contre cette “vacance au sommet du pouvoir”. La rue s’interroge aussi sur l’avenir de son pays à l’heure où l’Algérie ressemble à un navire sans capitaine.malgré le discours rassurant, lu au nom de Bouteflika à l'occasion du 5 juillet algérien.
Face à ces voix qui s’élèvent, à Alger, la capitale, les algériens ont constaté un nouveau dispositif sécuritaire. Depuis quelques jours, des petites brigades de trois policiers armés sillonnent en permanence les quartiers et les places publiques, en imitation, bien sûr, de nos groupes Marocains baptisés «Hadhar» où se trouve un Gendarme ou un Policier entouré de deux soldats, doigts à la gâchette. Une nouveauté qui répond à une considération sécuritaire liée à la lutte contre le terrorisme dit-on à Alger ? Pas si sûr. En outre, des divisions se font jour au sein du gouvernement qui constitue pour le simple algérien une écurie à bestiaux là où on trouve que les voix méprisables.
Certains ministres et figures de proue affichent leurs ambitions politiques. Preuve en est. Selon le journal ElKhabar, un ministre a visité à Oran des institutions qui ne relèvent pas de son secteur tout en damant le pion à Sellal, le premier ministre en lui disputant une parcelle de son pouvoir ? C’est fort possible et cette guéguerre stratégique entre les dirigeants Algériens pourrait refléter le début d’une véritable course à la succession d’Abdelaziz Bouteflika.
L'armée imbattable!?..L’armée algérienne a le morale en berne et elle est au bout du rouleau, c'est ce que indiquent les experts en astrologie militaire, elle accuserait des signes d’essoufflement et de fatigue (regardez prise ci-dessous) face à la situation explosive prévalant aux frontières Algériennes poreuses avec la Libye, la Tunisie, le Mali, le Niger et la Mauritanie? Cette armée dit-on,professionnelle et imbattable est bien mise au pied du mur par ses propres créations terroristes. La magie est retournée contre le magicien, comme on dit en proverbe arabe.
Les radars de détection n'ont pas pu empêcher le loup des Aurais Mokhtar Belmohtar, le Beladen Algérien, de s’infiltrer en Algérie, en 2013, - en pleine opération Serval, pour effectuer, sur le site gazier d'Ain Amenas, dans le sud de l'Algérie, l’une des prises d’otages les plus sanglantes de l’histoire terroriste de l'Algérie?
Cette prise d’otages, qui a valu à l’Algérie une tempête de critiques de la part de la communauté internationale, avait mis en évidence l’échec indéniable de l’armée algérienne à contrôler ses frontières. Cette conclusion aurait été confirmée par Mr Aâjlaoui, Chef de l'Institut d'Etudes Africaines à Rabat et disait en plus : Pas besoin d’égrener les menaces que font planer sur l’Algérie les terroristes d’Ansar Charia du mont Chaânbi, les signataires avec du sang, le Mujao au Niger, les réseaux internationaux de trafic d’armes et de drogues s’activant à la frontière mauritano-algérienne, et je me permets d'ajouter de mon coté, sur la base de sources locales que «tout trafic se jouant dans la région est sous la supervision effective du Cdt-DRS Khadija Hamdi, épouse Algérienne, de Hammati Abdelaziz L'marrakchi, elle est originaire de R'guibat Echarq, le troisième œil du général Toufik dans Tindouf».
Mais au delà, il ne faudrait pas non plus oublier la frontière ouest de l’Algérie avec le Maroc et cette conversion très dangereuse du Polisario, son produit pur jus, dans l’activité terroriste et le trafic de toutes sortes. Remarquez que l'Algérie est cernée de toutes parts. Entretenant des relations plus que tendues avec ses voisins, ses "offres de médiation" à tort et à travers, en Mali et en Libye , n'ont eu pas de chances d'aboutir. Pour le plus grand malheur d'une force dite "régionale?" déjà au bout du rouleau ...
La lettre de «soutien» adressée à Saâdani par le général Gaïd Ahmed Saleh, loin d’être une initiative individuelle, peut être considérée comme une accréditation prématurée pour que Saâdani prenne les commandes de l’Algérie en remplacement de Abdelaziz Bouteflika, malade et incapable de suivre les événements. Mais là encore, la pilule «Amar Saâdani» risque fort bien de ne pas passer. Dans une lettre ouverte à Gaïd Saleh, un chroniqueur Algérien a dévoilé les lourds soupçons de corruption et de transferts illicites de devises qui pèseraient sur l’actuel patron du FLN. et dans laquelle aussi Gaïd Saleh, n’a pas échappé non plus d'une véritable volée de bois vert.
Le Mossad prédit un coup d'Etat militaire en Algérie..Je ne crée ni l'information ni l’événement, seulement je me pronostiquais, faisant allusion à ce genre d'information par un petit passage dans la dernière note intitulée" l'Algérie retombe dans le flou total, du 27 juin dernier, étant donné que les milieux du renseignement extérieur israélien estiment qu'un coup d’Etat militaire en Algérie est inévitable. Bienvenue à l'Etat-DRS !
«Président mort-vivant», «Vacation du pouvoir», «Guerre au sommet» entre «clan présidentiel et DRS»… Autant de syndromes d'un dérapage anarcho-militaire inévitable en Algérie, selon Mr.Gilles Salem, analyste de “Flash-Israël”, un journal israélien connu pour sa proximité avec le Mossad. Alors que Bouteflika appartient au monde des morts-vivants, à l'image d'Ariel Sharon, les trois pouvoirs,( le politique, le renseignement et le militaire), aiguisent les couteaux en Algérie», écrit l’analyste israélien et juge sur son honneur qu'un «coup d’Etat militaire en Algérie est imminent».
Une sombre perspective que les sphères politiques, relayées par les médias, n’écartent plus tellement cela sent le soufre chez le voisin de l’Est. «En coulisses, dans l’ombre, Saïd Bouteflika, frère du président, conduit la gouvernance politique du pays, soucieux de maintenir la corruption à son plus haut niveau. Depuis 2013, Saïd manigance et regarde son frère qui ne veut pas mourir. Néanmoins, il a compris avoir plus d’intérêts à maintenir Abdelaziz vivant que de le faire trépasser», décrypte “Israël-Flash”, ajoutant que «le décès du président serait une déclaration de guerre ouverte entre tous les prétendants au pouvoir».
Par prétendants au pouvoir, il faut entendre deux principaux courants antagonistes. D’un côté, le clan de Saïd Bouteflika, appuyé par le flamboyant Amar Saâdani, le drabki du FLN. Ce dernier avait été chargé par Saïd Bouteflika, d’attaquer frontalement, à la veille de la présidentielle d’avril 2014, le redoutable DRS, et les vieux-nouveaux parvenus de la rente pétro-gazière. De l’autre côté, l'on retrouve le patron du même DRS, Mohamed Médiène, alias «Toufik», qui voue une haine féroce au clan Bouteflika.
«Le DRS est en lutte violente contre le pouvoir politique. Il a récemment menacé de dévoiler des informations de corruption concernant les frères Bouteflika. Toufik ayant mis sous écoute téléphonique Saïd Bouteflika, le déballage risque d’être douloureux pour le pouvoir en place», décrypte “Israël-Flash”, cité par le journal électronique algérien “Algérie patriotique”. «La jeune garde composée de commandants quinquagénaires du DRS attendent leur tour pour prendre le pouvoir», relève-t-il, en prédisant une chute imminente du régime actuel «vicié» au profit de jeunes hommes en kaki qui ont déjà l'œil sur le fauteuil (présidentiel) chancelant! Bonne lecture et bonne chance aux putschistes Drsisres (!).
Cordialement,Chihab25
Voir la nouvelle note arabophone en pages jointes,colonne gauche, intitulée :الفرق بين الحكم في المغرب والحكم في الجزائر