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Un sale pouvoir - Page 39

  • 3.-La jungle est aussi en Algérie...

    (Suite de la note 1..)

         

    Le 23 janv 2015                            Sahara Marocain...

                 Le 23  janv.2015                       

     

    Protestations sans précédent dans le grand Sud Algérien, effondrement des cours du brut, la multiplication des difficultés en Algérie, le mort-vivant de l"Algérie, s'agite pour contenir la révolte du gaz de schiste  et pousse à court-circuiter, le gouvernement Sellal et gérer, évidemment que par des paroles sans effet, les affaires du pays. Et ce bien que la crise s'accentue de jour en jour  sans pouvoir trouver une issue de sortie  de l'impasse (...).

    Contrairement au progrès qu’enregistre continuellement notre payse. Dernier en date, le Sahara est Marocain ,«l'ONU restera neutre,elle donne au Maroc des assurances fermes quant à la neutralité, l'objectivité et l'impartialité des responsables de l''ONU dans le dossier du Sahara» c'est Mr.Ban Ki Moon qui le dit à Sa Majesté le Roi, reconnaissant ainsi et indirectement, que son envoyé spécial au Sahara Mr.Christopher Ross, qui plaidait en faveur de l'autre rive, n'était pas neutre auparavant, et ne prenait pas non plus, le bon sens de la confiance Onusienne escomptée dans toutes ses tentatives et ses ronds de négociations.

    Plus de 24 ans après la signature du cessez-le-feu (1991) la médiation de l'ONU pour une résolution définitive du conflit sont dans l'impasse, la Minurso est essentiellement chargée d'y surveiller le cessez-le-feu conclu avec le bâtard  de l'Algérie "le polisario",et tout le monde sait qu'à cause du bâton Algérien dans la roue Onusienne, ce dossier qui est un sujet majeur de tension avec Alger, n'a jamais été hors de l'ordre du jour de la 4ème commission, ce qui fait qu'il n'a pas pu quitter les hospices des Nations Unies depuis plus de 40 ans . Cet année, après le coup de fils rassurant de Ban Ki Moon avec Sidna,Le Maroc calme le jeu avec l'ONU et l'Algérie ne pourra pas certes,trouver au mois d'avril prochain de supporters qui l'applaudissent, surtout si la fermeture des robinets de la Sonatrach sera de mise.

    D'autant plus, il y a quelques jours seulement, notre pays s’est félicité de la position de l’Egypte soutenant la question de l’intégrité territoriale du Royaume (l'anesthésie -made in algéria- qui aurait été injectée à Mr. Abdelfettah Sissi, lors de sa première visite à Alger, juste après son investiture, était apparemment inefficace). Nous prenons ainsi acte de la position claire de la République arabe d’Egypte au sujet de la question de l’intégrité territoriale du Royaume exprimée dans le communiqué conjoint rendu public, au terme de la visite au Maroc du ministre égyptien des Affaires étrangères (15/16 janvier)”.Et c'était bien le résultat d'une gifle médiatique (RTM/2M) sur la joue d'un nouveau venu au monde politique Cairo. 

    Si les Algériens pourront jouer sur les nerfs des Français, ils ne peuvent faire autant aux nerfs de la Chancelière Allemande Mme Angela Merkel, qui envoyait son ministre aux Affaires étrangères à Rabat, en visite de travail (21/22/23 janvier) pour chercher du partenariat avec le Royaume du Maroc sur la coopération sécuritaire et lutte antiterroriste. Mr. Johakim Gauck a souligné la position constante de son pays concernant le Sahara, exprimant le soutien de l’Allemagne aux efforts des Nations-Unies pour parvenir à une solution politique définitivequalifiant de sérieux et crédible le plan de large autonomie pour le Sahara sous souveraineté du Marocaine proposé par le Maroc, tout en saluant les efforts du Maroc pour faire avancer la recherche d’une solution au ce conflit artificiel. 

    Je voix que ces trois gifles à la fois, c'est pas trop sur la sale figure de Ramtan Lamamra, le grand charlatan de la diplomatie algérienne. Pour ne pas entendre ces réalités, l'Algérie s'enfuit en avant, elle continue de brouiller son miroir, persister dans son arrogance, essayant de jeter de l'huile au feu pour augmenter le volume de la brouille entre le Maroc et la France, et ce pour la simple raison : faire éloigner, pour un certain temps, son opinion publique locale de cet éveil Onusienne concernant l'épineux dossier du Sahara qu'elle a créé et qu'il crève les tympans du peuple Algérien depuis déjà plus que cinq décennies.                                              

    Nous leur répondons avec ceci : « Quand un diplomate dit oui, cela signifie peut-être ; quand il dit peut-être, cela veut dire non, et quand il dit non, ce n’est pas un diplomate c'est le cas de la diplomatie Algérienne »… C’est ainsi qu’on définit généralement le métier de diplomate. Nos diplomates, avec leurs homologues français, ne dérogent pas à la règle. Notre diplomate "le Baskettman de Meknes", se donne plus de temps pour régler les dossiers en souffrance… La sérieuse brouille entre Rabat et Paris n’est plus un secret pour personne, elle est même une joie pour plusieurs y compris l'Algérie, mais les diplomates Marocains et Français, n’en démordent pas, nous sommes «de grands amis». et nous leur demandons pas d'excuse pour le protectorat Français au Maroc, comme ils ne cessent "eux" de le faire à la France pour les 132 ans de colonisation de l'Algérie. 

    Les "eux" auxquels je fais allusion sont des personnalités qui occupent des postes importants au sein de l’appareil politique Algérienne. Des personnalités qui ne cessent de défrayer la chronique avec leurs déclarations insensées et leurs frasques quotidiennes. Ces personnalités énervent, déçoivent et irritent régulièrement les Marocains, et les Algériens sur le même pied d'égalité.

    Voici le Top 5 de ces hauts "responsables les plus irresponsables".(-Amar Saâdani,SG de l'FLN un habitué des phrases polémiques, -Amara Benyounes, président d'un petit parti rallié au clan des Bouteflika, - -Abdelkader Ben Salah, président du sénat Algérien, connu pour être un mauvais tribun, -Ramtan Lamamra, le plus mauvais élève de la diplomatie au monde qui ment sur la gueule des Algériens et les oblige à le croire, -Abdelmalek Sellal, le locataire de la pseudo primatie algérienne, le maître des thuriféraires du pouvoir qui distribue gratuitement, à tort et à travers, des mensonges calmants, comme remède aux Algériens pour tous les maux dont ils souffrent, laissant son patron Bouteflika ne se soucier que de sa propre personne. 

    J'exclue de la liste  d'autres thuriféraires qui s'entassent dans la basse-court, ou qui tournent autour du palais d'ElMoradia d'Alger.(?) à leur tête, Louisa Hanoune, la présidente du Parti des travailleurs, ou plutôt, la patronne des maisons closes en Algérie qui tien haut le fanion de l’allégeance aux Emirats des Bouteflika frères., 

    Panique et affolement..Le ministre Algérien de l’Énergie a annoncé que son gouvernement envisageait de recourir à une augmentation de production de pétrole, donc de plus d'exportations en hydrocarbures pour faire remonter les revenus de son pays, sérieusement affectés par la chute des cours du brut. Il s’agit donc pour l’Algérie, de se donner les moyens de financer son budget. L’option est destinée à la consommation locale et au chantage. Mais cette annonce pourrait avoir pour seul dessein de faire pression sur les grands producteurs membres de l’Opep afin de les amener à réduire la production globale du cartel pour booster le prix du baril. Une hausse de la production algérienne paraît totalement incongrue et, par ailleurs, peu probable très frivole. Incongrue, car elle contredirait ce souci, maintes fois évoqué, de préserver les richesses de l'Algérie grâce à une exploitation judicieuse de gaz de schiste, voire parcimonieuse.

    Pis, une telle option, si elle venait à être entérinée de manière unilatérale par l’Algérie, pourrait faire tache d’huile.. Il y aurait donc peu de chances que l’Algérie franchisse le pas de mettre en pratique une telle mesure. Preuve en est qu’au moment même où le ministre algérien de l’énergie évoquait la dite option à Alger, son collègue de l’Industrie appelait de nouveau, à Davos en Suisse, les membres de l’Opep à baisser leur production, seule alternative pour faire remonter les courts du brut. Est-ce une affaire d’indécision? A mon sens, c’est une sorte d'irresponsabilité des officiels algériens causée par la vacance du pouvoir central et par le manque de coordination au niveau du gouvernement Sellal. À moins que, là encore, les Algériens attribuaient ces déclarations contradictoires à la véritable cacophonie sévissant actuellement en Algérie qui, souvent et sur l’ensemble des dossiers, enlève toute lisibilité au discours officiel qui traverse une panique pure et simple.

    Ce que je crois, un malheur n'arrive jamais seul, en réponse aux aboies d'Algérie contre les pays arabe, producteurs du pétrole du Golf, l'Arabie saoudite ne voulant pas toucher au plafond de la production Opep. Dans sa première déclaration, le Nouveau Roi Saoudien Sa Majesté, le serviteur des lieux saints Salmane Ben Abdelaziz a assuré qu’il n'y aurait pas de changement dans la politique Saoudienne, y compris dans “la politique pétrolière".

    Tout est dit (de diffamation bien sûr) par l'Algérie et ses jongleurs depuis le début de la chute des cours du pétrole, il y a presque deux mois. L’Arabie saoudite et les Emirats Arabes Unis, pays plus que frères et très proches du nôtre, disposants de suffisamment de revenus, peuvent s’accommoder, tant qu'ils veulent, du niveau actuel des prix du pétrole, mais ils devraient, peut-être, dans quelques mois, se montrer plus souples, qu’ils ne le sont aujourd’hui, si les cours continuent de dégringoler.et si  le chien algérien se taise et arrête ses aboies.

    18 Janv.2015                         "المندبة  كبيرة والميت " فار

    ©Farid/Liberté

                 Ça chauffe en Algérie...on apprend à protester à Ain Salah...!

    Coup de projecteur...Un général (Abdelghani Hamel, directeur général de la police Algérienne) serait dépêché par Bouteflika à Ain Salah pour régler le problème de schiste..A peine arrivé à la tête d'une commission constituée de cinq officiers supérieurs de la DGS  et un représentant des zaouïas, dit-on, pour recueillir les revendications de la population, il a rebroussé chemin sans régler le problème. Proposant à la population de sélectionner trois représentants d'Ain Salah pour rencontrer Bouteflika en personne, ce à quoi, proposition rejetée, ils ont répondu que «la population a une revendication unique :  à voir se concrétiser au plus vite l'arrêt des forages de gaz de schiste comme préalable à toute discussion». Entre temps, si-in, marche quotidienne, mobilisation, la population occupe la rue.

    L’appel du front populaire Algérien anti-gaz de schiste, né de la jonction des différents collectifs de wilaya, a été entendu. Des regroupements ont été organisés toute cette semaine pour sensibiliser les populations et raviver leur intérêt à la question de l’heure, celle du gaz de schiste. «Il s’agit pour nous de marquer notre soutien à Ain Salah et Tamanrasset, à cette belle mobilisation qui se poursuit et défie Sonatrach», affirme le coordinateur de ce front qui prend part chaque après-midi aux «rencontres d’échauffement» tenues à Souk Lahjar dans la wilaya d'Ouargla.

    Ce collectif prévoit une mobilisation plus importante que celles déjà tenues, c'est pourquoi il  misera sur un encadrement plus nombreux qui fait du porte-à-porte dans tous les quartiers, il a même opté pour le jeudi, un jour de semaine, pour sonder la population,. Des chercheurs du cru local sont associés à cette manifestation qui se tiendra simultanément dans chaque ville du sud du pays.

    Ghardaïa d’abord, Ouargla ensuite et, à présent, Ain-Salah et Tamanrasset. Le Sud est au bord de la crise et c’est, peut-être, peu dire. Car, pour le pouvoir algérien, il faut être sourd pour ne pas entendre les clameurs dans presque villes qui disent clairement que le sud de l'Algérie risque de s’installer durablement dans l’instabilité. Dans la vallée du Beni M’zab, les habitants réclament la sécurité et dénoncent quelquefois le parti pris des autorités. On y dénombre déjà plusieurs morts et des dégâts matériels considérables. À Ouargla, l’on réclame du travail et les routes sont fermées à la circulation un jour sur deux en moyenne. À Touggourt, ils revendiquent des logements ou des terrains à bâtir, accusent l’administration de corruption et crient au bradage du foncier. À Ain-Salah et Tamanrasset, enfin, c’est l’exploitation du gaz de schiste et ses conséquences sur l’environnement et le cadre de vie dans la région qui mobilisent la population. Un fait quelque peu inattendu. Certes, les motivations de la colère des habitants diffèrent largement d’une ville à une autre. Mais, partout dans cette vaste contrée, c’est la gouvernance qui est mise à l’index..

    La protestation contre l’exploitation du gaz de schiste est loin de s’estomper. Elle  prend même de l’ampleur. Des milliers de citoyens Algériens de plusieurs villes du sud du pays ont été au rendez-vous pour dire, à coups de manifestations populaires simultanées, leur refus d’exposer leur environnement à de probables désastres qu’impliquerait le recours du gouvernement Algérien à l’extraction des pétroles non conventionnels.

    À en juger par le rythme auquel évolue la situation dans les régions concernées, les algériens sont fondés à penser qu'ils sont en présence d’un mouvement ordonné et organisé. Un mouvement qui est sans doute le fruit d’une prise de conscience indéniable. Le gouvernement Sellal, pourtant, ne semble pas y croire. Après plusieurs semaines de silence qu’on pouvait assimiler à une fuite en avant, le ministre Algérien de l’Énergie tente de briser l’encerclement, en invoquant pour cacher la faiblesse de l'exécutif Algérien, cette fameuse “main de l’étranger” qui, décidément selon le pouvoir Algérien,n’arrête pas de farfouiller en Algérie. Mais cette fois-ci ne serait pas certainement celle du Maroc, comme ils prétendaient, était derrière les événements de à Ghardaia?. Cette “main de l’étranger”, qui serait derrière toutes les colères populaires enregistrées depuis l’Indépendance, serait motivée, selon les décideurs Algériens dans le cas présent, par la crainte de voir l’Algérie promue au rang de “puissance énergétique”.

    Ce faisant,les gouvernants d'Alger dénient aux Algériens non seulement le droit d’émettre un avis contraire sur les politiques publiques envisagées ou mises en œuvre mais aussi la capacité intellectuelle de se forger une opinion sur des dossiers qui les concernent au premier chef. Mais au nom de quelle nouvelle “spécificité algérienne” Les Algériens protestants du sud Algérien ne seraient-ils pas fondés à rejeter l’exploitation du gaz de schiste, au vu des dégâts écologiques qu’elle pourrait engendrer, sachant qu’une telle réaction populaire a été observée quasiment dans tous les pays du monde où cette option a pu être envisagée, jusque et y compris dans la Tunisie. À coup sûr, cette spécificité existe bel et bien. Elle tiendrait peut-être au mode de gouvernance obsolète qui reste en vigueur chez les Algériens, telle la relique unique qui date d’une époque partout révolue.Le régime Algérien répliquera certes à tout sit-in anti-gaz par des descentes musclées des forces de l'ordre et la police entamera sa besogne en procédant à l'arrestation de tout le monde et ça va barder partout dans le pays pour envoyer toute voix de protestation dans les filets.               

    Le schiste Marocain au petit feu..En ce qui concerne les schistes du Maroc, contrairement au bla-bla de nos voisins du sud Algérien, le sous-sol Marocain contient d'importants gisements et réserves en la matière, découverts depuis 1973 à Timahdit, Tarfaya et Tanger, occupant ainsi le 6° rang mondial?  Nous en tant que peuple évolué, nous laissons le chemin libre à notre pouvoir public (à Mme Ben Khadra en particulier) pour prendre les décisions adéquates y afférentes. De nombreuses études et recherches géologiques expérimentées et de laboratoire ont été élaborées. Le BNHYM (Bureau national d'hydrocarbures et de minerais) y gère actuellement une nouvelle stratégie en l'objet. Dans ce contexte, l'Office vient de conclure des accords avec des entreprises mondiales de premier rang pour développer des projets pétroliers à travers les schistes et à faire des études spécialisées sur le terrain.

    Certains de ces projets ont atteint le stade de l'étude de faisabilité initiale, tandis que d'autres sont encore en niveau de "beta-test", et dans ce contexte, notre pays a tient compte de l'importance de ces projets, du fait que le pétrole extrait du programme des schiste est confronté à des défis technologiques et des technologies industrielles encore insuffisants, tant que ce type de projets nécessite de gros investissements financiers importants et de longue période d'exploration.Et Mme Ben Khadra bosse en silence et sans bruit,tandis que les populations du sud Algérien manifestent que pour manifester,-la catégorie des manifestants le prouve- sans savoir les étapes complexes que doit faire le schiste pour arriver au stade de combustible consommable propre..

                                                                                                   oOo

    9 Janv.2015                         La jungle est aussi en Algérie...

    Préambule..Mes lecteurs me permettront certes de revenir toujours sur l'Algérie car la ligne de rédaction de mon blog est tracée dans ce sens. Je ne manquerai pas d'exposer à mes lecteurs et visiteurs de cet espace tout ce qui mène à dévoiler l'hypocrisie et l'ingratitude du régime mafieux Algérien, qui par manque de rétroviseur, il engage toute sa presse et médias contre la réalité Marocaine avec son bon sens du terme, et ne cesse de prendre dans son mauvais esprit, mon pays le Royaume Chérifien du Maroc en ennemi potentiel de toujours.

    Je ne vais pas me mêler dans ses récentes affaires, comme l’effervescence dans le sud algérien et un peu partout en Algérie,ni de l'effondrement universel des cours du pétrole qui inquiète plus particulièrement l'Algérie et qui font paniquer sérieusement, ces jours-ci, les autorités algériennes.

    Nous observateurs, nous avons bien entendu la sortie médiatique spectaculaire du grand Drabki de l'FLN,(Amar Saâdani) qui ouvrait le feu, ou plutôt qui répétait ce qu'ont lui soufflé les valets de chambre du palais d'ElMoradia, pour accuser ouvertement les monarques du Golf, en particulier les Saoudiens de maintenir le créneau (haut) de la production de l'Opep en vue d’inonder le marché mondial du pétrole et d’affaiblir en parallèle l'Algérie et le Venezuela en Amérique du sud.Pour se fait et pour constituer un duo déplorant au sein de l'Opep, le président Vénézuélien visitera certes l'Algérie au cours de ce mois

    D'autant plus, Ssi Bouteflika, ou ceux qui décident à sa place, n'ont pas tardé d'exprimer en son nom, la rage de l'Algérie contre deux grands pays arabes producteurs du pétrole ( le Royaume d’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis), qui selon les Algérien, insistent et persistent , plus que d'autres membres de l'organisation, en dépit de la chute des prix, à maintenir la production de l'Opep à son niveau normal,tout en les menaçant d'y rompre les relations diplomatiques avec eux.

    J'essayerai, après avoir appris et compris tout ce qui suivra au fils de cette note, par l’œil magique de la sale porte médiatique algérienne et autres presses, de développer la mauvaise gouvernance et la mauvaise politique algérienne depuis l'arrivée de Mr.Bouteflika (!) au palais d'ElMoradia d'Alger. Une arrivée triomphale,rappelons-le, applaudie par tous les algériens dans la perspective de voir leur pays sauvé de la tyrannie aveugle du terrorisme, de leur terrorisme local, créé à cette fin par le DRS et les généraux autour, pour contrer l'avancée des islamistes de Abbassi Madani et d'Ali Belhaj dans le pays.

    Avec l'élection de Bouteflika en avril 1999,les algériens songeaient voir l'Algérie se libérer de la main de fer des militaires qui  sélectionnaient et commanditaient, en cache, des meurtries..! l'assassinat des moines Français à Tibhirine en témoigne, en plus de celles perpétrées, presque quotidiennement, au sein des populations civiles  à conversion FIS,(Front Islamiste de Salut),qui rejetaient à l'époque,l'ingérence de la junte militaire au processus électoral, par son complot du 11 janvier 1992, qui mettait fin à la victoire du FIS, ce qui a contraint aussi le président Algérien feu Chadli Ben Jdid à démissionner froid au dos.

    Je souhaiterai bien être au niveau de la bonne analyse, dans l'attente de voir très prochainement l'éclatement effectif du pouvoir mafieux en Algérie et de voir l'Algérie revenir à la raison avec notre pays, et y laver ses mains de tous les maux qu'elle a créé avec le Maroc, afin de prendre convenablement sa place, en tant qu' Etat crédible, dans locomotive Maghrebine  

                                        (suite à la page suivante portant le n°3)